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III.
Vénus brille annonçant les heures de l’amour
IV.
Mouette solitaire et plaintive, perdue
V.
Le soleil est tombé dans les flots ; une barre
VI.
Doux air mélancolique et suave qui passes
VII.
Le grand cerf pourchassé dans les plaines de neige
VIII.
« Où es-tu ? » disait-elle, errant sur un rivage
IX.
Éternelle nature aux aspects infinis
X.
Mais depuis le chagrin dont mon âme est atteinte
XI.
Le hameau n’est qu’un tas sombre dans la falaise
XII.
L’année a ramené le triste anniversaire
XIII.
Je m’en suis venu seul revoir notre vallée
XIV.
L’air froid vibre ; le sol sonne durci ; la lune
XV.
Le vieil aveugle assis sur le bord de la route
XVI.
Parfois dans un vieux cœur d’où le souvenir fuit
XVII.
Qu’est-ce, hélas ! que l’amour d’où ne sort point l’enfant
XVIII.
Mon front est soucieux et mes tempes blanchissent
XIX.
Heureux les morts, heureux les cadavres paisibles
XX.
Faut-il que ma douleur aussi soit égoïste
XXI.
Dans quels calmes regrets ton esprit résigné
XXII.
Ainsi que ma douleur est au cœur de ma vie
XXIII.
Comme on s’assied au bord d’un lac sombre dont l’onde
XXIV.
Que je sois le premier par la Mort entraîné
XXV.
Ainsi nous resterons séparés dans la vie