Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
IX
Pages
I.
Comme un soldat blessé tu peux panser ta plaie
II.
Les vieux soldats romains, lorsque dans la cité
III.
Dans la salle où je vis, dont la large fenêtre
IV.
Lorsque le glaive d’or du matin extermine
V.
Avant que les rayons ne blanchissent les voiles
VI.
Quand l’hiver sur le pôle a clos sa longue nuit
VII.
Les coursiers emportés que l’Aurore conduit
VIII.
Je te vis dans un rêve après un triste adieu
IX.
Si nous nous revoyons avant que de mourir
X.
Va ! tu triompheras, ô noble bien-aimée
XI.
Alors je serai seul à souffrir ! Je prendrai
XII.
Je vieillirai pareil aux chênes du pays
XIII.
Et lorsqu’à mes rameaux moins touffus et moins verts
XIV.
Ah ! chers instants du cœur conservés dans ces vers