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chapitre XVII. — la courbure de l’espace et du temps.
rente
(39-17)
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Tant que est très petit, la vitesse observée est encore sensiblement ( étant très petit), mais à mesure que approche de c’est-à-dire à mesure que le mobile paraît à l’observateur s’éloigner à l’infini, toutes les vitesses apparentes croissent indéfiniment, quelque petites que soient les vitesses réelles dans l’espace sphérique.
Dans la seconde des équations (38-17), remplaçons par sa
valeur tirée de la première équation ; nous obtenons
l’expression du carré de la vitesse radiale
(40-17)
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Enfin l’équation (37-17) de la géodésique prend la forme
const.
ce qui montre que, pour l’observateur, la trajectoire du mobile libre est une ligne droite.
Étudions particulièrement le cas de la lumière. Faisant
dans l’expression (32-17), nous obtenons
(41-17)
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Soient la vitesse de la lumière, l’angle de la tangente au
rayon lumineux et du rayon vecteur, on a, pour les composantes
radiale et transversale de la vitesse,
L’expression (41-17) s’écrit donc
BECQUEREL.
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