Page:Chapais - Jean Talon, intendant de la Nouvelle-France (1665-1672), 1904.djvu/527

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La commission de l’intendant Talon. — Ses pouvoirs sont considérables. — Sa tâche est ardue. — Entrevues avec Louis XIV et Colbert. — Les instructions royales. — Fâcheux préjugés. — Inexactitudes. — La Compagnie des Indes Occidentales. — Son organisation. — Ses prérogatives et ses obligations. — Dualisme politique et administratif : le roi et la compagnie. — La question du rapprochement des habitations. — Recommandations diverses. — Talon à la Rochelle. — Ses lettres à Colbert. — Il part pour le Canada 
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La traversée de l’Océan au XVIIème siècle. — Cent dix-sept jours sur mer. — Arrivée de Talon à Québec. — Les renforts accueillis avec joie. — Le régiment de Carignan. — Un triumvirat : Tracy, Courcelle, Talon. — Talon à l’Hôtel-Dieu. — Québec en 1665. — Basse ville et haute ville. — Petit nombre de maisons. — Les cornmunautés. — Les églises. — Le personnel ecclésiastique. — Le Conseil Souverain. — Les notables. — Le monde commercial. — Une France au berceau. — Intronisation officielle des nouveaux administrateurs 
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La tâche de Tracy, Courcelle et Talon simplifiée par la mort de M. de Mésy. — Ils s’occupent d’abord du péril extérieur. — Construction de forts sur la rivière Richelieu. — Talon se met au courant des affaires. — Sa sollicitude s’étend à tous les objets. — Conversion de M. Berthier. — Talon écrit au roi. — Il adresse à Colbert un long mémoire. — Il rend un témoignage favorable aux Jésuites. — Il donne un aperçu des ressources du pays. — Il aborde une grave question. — Est-il plus avantageux pour le Canada de rester propriété de la Compagnie que de relever directement du roi ? — Talon se prononce pour la seconde alternative. — Les troupes, la colonisation, les manufactures. — Éloge de M. de Tracy 
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