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Page:Chateaubriand - Œuvres complètes, éd. Garnier, 1861, tome 4.djvu/478

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21e. — page 147.

La flotte des Francs.

Cette petite circonstance de la flotte des Francs est depuis longtemps préparée. Voyez le livre précédent et la note 65e du même livre.


22e. — page 147.

Les barbares choisissent presque toujours pour débarquer le moment des orages.

Voyez la note 4e du livre vi.


23e. — page 147.

Une longue suite de pierres druidiques, etc. ; jusqu’à l’alinéa.

C’est le monument de Carnac en Bretagne, auprès de Quiberon. Il est exactement décrit dans le texte. Je n’ai plus rien à ajouter ici.


24e. — page 148.

Sur cette côte demeurent des pêcheurs qui te sont inconnus, etc. ; jusqu’à la fin de l’alinéa.

Cette histoire du passage des âmes dans l’île des Bretons est tirée de Procope (Hist. Goth., lib. vi, cap. xx). Comme elle est très-exacte dans le texte, je n’ai rien à ajouter dans la note. Plutarque (de Oracul. defect.) avoit raconté à peu près la même histoire avant Procope.


25e. — page 148.

Le tourbillon de feu.

Cette circonstance des tourbillons se trouve dans les deux auteurs cités à la note précédente.


26e. — page 149.

Tu m’écriras des lettres que tu jetteras dans le bûcher funèbre.

Lorsque les Gaulois brûlent leurs morts, dit Diodore (trad. de Terrass.), ils adressent à leurs amis et à leurs parents défunts des lettres qu’ils jettent dans le bûcher, comme s’ils devoient les recevoir et les lire. »