Page:D'Hérisson - La Légende de Metz, 1888.djvu/323

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de paroles. — Conjuration dans l’armée. — Le colonel d’Andlau. — Messieurs les trotteurs. — Un article du Berliner Börzen Zeitung. — Périsse la France, mais sauvons la Révolution ! — Une dépêche de Gambetta


Metz, Campagne et Négociations. — Lettres du colonel d’Andlau. — Faux témoignages. — Les drapeaux. — Lettre du colonel Melchior. — Dépositions des généraux Pé de Arros et Picard. — Déposition du capitaine Mornay-Soult. — Le drapeau allemand de Rezonville. — Les drapeaux de Paris 
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La raison du plus fort est toujours la meilleure. — Une lettre du colonel Commergon. — Question de vivres. — Déclaration de Bourbaki. — Un agent secret. — Væ Victis. — Entre maréchaux. — Base de l’accusation. — Montebello. — La légende. — Justice humaine. — Le libérateur du territoire. — Un admirable soldat. — Orléanistes. — Un général in partibus. — Ce que pensait le général Schramm. — Une lettre du général de Barail. — Sacrifice volontaire. — Le président du Conseil de guerre. — À l’unanimité ! — Une frime. — Le peuple souverain 
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Bazaine au Mexique. — À la table de l’Empereur. — Un choix patriotique. — Je demande des juges. — Bazaine a trahi. — Gambetta veut sa tête. — Le défenseur de Troppmann. — Aveu de M. de Bismarck. — Un crime politique. — Un peu de lumière. — Faute de mieux. — Ce que pensait M. de Bismarck. — Les devoirs d’une Régente 
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Soixante-dix ans d’affection fraternelle. — Appel à l’Histoire. — Encore la légende. — Armistice pour Paris et Metz. — Sauf-conduit périmé. — Une proclamation infâme. — Un émissaire de Bazaine. — Un faux officier d’ordonnance. — En collaboration. — La France est trompée. — Le rapport d’un coquin. — Hors la loi. — Ordre d’arrestation. — Le chevalier vicomte de Valcourt. — Un sénateur opportuniste. — Le doigt de Dieu. — États de service 
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