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Page:Daviault - Le Baron de Saint-Castin, chef abénaquis, 1939.djvu/204

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LE BARON DE SAINT CASTIN

comptait pour une livre dans la pesée des fourrures (Drake, 299) Voir le récit de cet épisode dans Belknap, I, 252.

(32) P. 81. Niles, 208. Belknap, I, 450.

(33) P. 81. Les citations de ce récit sont tirées de Charlevoix. I, 557 à 559.

(34) P. 81. Belknap, I, 451.

(35) P. 82. Church, 160 à 172

(36) P. 83. Charlevoix. II, 52.

(37) P. 83. Relation du cap. Davis, Mass. Hist. Coll., 3e série, vol. I, p. 101.

(38) P. 83. Charlevoix, II, 52.

(39) P. 84. Mather, Magnalia, II, 524.

(40) P. 84. Sylvester, II, 436.

(41) P. 84. Charlevoix. II, 53, Toutes ces dates ont un écart de dix jours, selon que le récit est de source française ou de source anglaise. Les Anglois employaient le vieux style. Ainsi, pour eux, l’attaque de Casco-Bay se produisit le 16 mai.

(42) P. 85. Willis, p. 300 et Davis, p. 110. (Voir note suivante.)

(43) P. 86. Arch. de Québec, Rapp. 1927-1928, p. 37. Cette lettre corrobore la version de Charlevoix et réfute le récit de Davis.

(44) P. 87. Church, 177 à 207.

(45) P. 88. Mass. Hist. Coll., 3e série, vol. I, p. 113.

(46) P. 88. Sylvester, II, 455.

CHAPITRE V

(1) P. 89. « Relation de la prise du Port-Royal par les habitans de Baston et de Selan commandez par Vuillam Philps le 21 may 1690 » (Arch. d’Ottawa, Rapp. 1912).

(2) P. 90. À Boston. Menneval protesta énergiquement auprès du Conseil contre le vol dont il avait été victime de la part de Phipps (Mass. Hist. Coll., 3e s. v. I, p. 114). Le conseil entendit la plainte dans une audience au cours de laquelle Phipps se prit d’une querelle violente avec Nelson qui défendait les Français (Ibid., 5 s., v. I, « Sewall’s Diary »).

M Petit joua, à cette occasion, un rôle diversement apprécié par les contemporains. Lamothe-Cadillac (Archives, C11 D2 fo 2) l’accuse d’avoir forcé Menneval à se rendre, alors que le plan du gouverneur consistait à se retirer en un endroit où il pouvait offrir une résistance acharnée. Le curé obéissait sans doute aux considérations qui empêchaient les habitants de combattre les Anglais ; sachant les Français trop faibles pour avoir le dessus et que les Anglais exerceraient des représailles à leurs dépens, ils préféraient s’abstenir. Quand Villebon arriva en Acadie, il reçut instructions de renvoyer Petit à Québec, parce qu’il avait « toujours été attaché à