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Page:Daviault - Le Baron de Saint-Castin, chef abénaquis, 1939.djvu/203

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NOTES

écrit plus loin : « Il doit demander une concession à M. d’Esnonville auprès duquel il s’est rendu par son ordre pour la guerre des Iroquois ».

Tous les chroniqueurs anglais qui racontent l’attaque d’Andros constatent que Saint-Castin était au loin.

(7) P. 70. Voir aussi Garneau.

(8) P. 71. Godfrey, p. 55.

(9) P. 71. Broadhead, IV, 282

(10) P. 71. Mémoire de Menneval (1688).

(11) P. 72. Broadhead, III, 571.

(12) P. 72. Mass. Hist. Coll., 3e série, vol. 7, p. 180.

(13) P. 72. Broadhead, III, 551.

(14) P. 72. Godfrey, p. 56.

(15) P. 72. Broadhead, IX, 396.

(16) P. 73. Mémoire» de la Société royale, 1899

(17) P. 73. « Chaque sauvage qui ira à la guerre recevra une livre de poudre et beaucoup de tabac. »

(18) P. 73. « There were undoubtedly provocations on both sides, but the English were the first aggressors. Fairness compels that conclusion » (Sylvester, II, 389).

(19) P. 73. Ibid.

(20) P. 73. « King William’s War, but as it is évident that Castine was the chief mover of it, it may very properly be called Castine’s War » (Church, 315). Voir aussi Niles et Sylvester.

(21) P. 73. « The Eastern Indians (…) invaded the Frontier this summer and commenced a war which all the power of New England could not extinguish in ten years » (Neal, 423).

(22) P. 74. Niles, 203 et 204.

(23) P. 76. Lauvrière, I, 140.

(24) P. 76. Bernard, 181.

(25) P. 77. Andros séjournait surtout à Boston (Niles, 205)

(26) P. 77. Mass. Hist. Coll., 3e série, I, p 100.

(27) P. 77. Neal, 433, Belknap, I, 234.

(28) P. 78. Neal, 449.

(29) P. 78. Belknap, I, 245.

(30) P. 79. Sylvester, II, 399.

(31) P. 79. Waldron était particulièrement injuste dans ses opérations de traite avec les Indiens. Il ne biffait pas leurs comptes et son poing