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LIVRE II, SECTION I.
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13° 15′ 38,39″ |
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210° 08′ 25,65″
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13° 38′ 51,51″ |
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0,3307640
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0,5989542 |
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0,3222239
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14° 33′ 19,50″ |
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205° 22′ 14,57″
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0,3259878 |
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− 3° 14′ 04,78″
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0,6675154 |
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7° 34′ 53,73″
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0,5884987 |
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3° 29′ 00,39″
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203° 16′ 38,41″ |
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4° 05′ 53,34″
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Tous ces nombres diffèrent si peu de ceux fournis par la seconde
hypothèse, qu’il est certainement permis de conclure que la troisième
n’exige plus aucune correction[1]. C’est pourquoi l’on peut
procéder à la détermination même des éléments, au moyen de
détermination que nous nous dispensons de transcrire ici,
puisqu’elle a été déjà développée en détail dans l’exemple de
l’art. 07. Il ne reste donc plus rien à calculer que la position du plan
de l’orbite par la méthode de l’art. 149, et à transporter l’époque au
commencement de l’année 1805. Ce calcul doit être établi sur les
nombres suivants :
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9° 55′ 51,41″
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202° 18′ 13,855″
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− 6° 18′ 05,495″
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d‘où nous déduisons
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196° 43′ 14,62″
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− 4° 37′ 24,41″
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6° 33′ 22,05″.
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Nous avons donc, 201° 20′ 39,03″, et par suite, 171° 7′ 48,73″ ;
ensuite, 192° 5′ 50,21″, et par conséquent,
puisque l’anomalie vraie pour la première observation a été trouvée,
dans l’art. 97, égale à 310° 55′ 29,64″, la distance du périhélie au
nœud ascendant dans l’orbite 241° 10′ 20,57″, la longitude du pé-
- ↑ Si le calcul était exécuté jusqu’au bout de la même manière que dans les hypothèses précédentes, on obtiendrait et valeur qui peut être considérée comme nulle, et qui, par le fait, s’élève à peine au-dessus de l’incertitude inhérente à la dernière figure décimale.