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Page:Gauss - Théorie du mouvement des corps célestes, traduction Dubois, 1864.djvu/265

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LIVRE II, SECTION I.

Nous avons donc

équation qui, combinée avec celles-ci,

produit

d’où nous pourrions obtenir la distance pourvu qu’on n’ait pas cas dans lequel on ne tire de là rien autre chose que Au reste, quoiqu’on n’ait pas (car nous tomberions dans le troisième cas que l’on doit considérer dans l’article suivant), cependant sera toujours une quantité très-petite, et par conséquent devra nécessairement différer peu de mais de là il est évident que la détermination du coefficient est très-incertaine, et par suite, que la détermination de ne sera d’aucune précision.

De plus, nous aurons

après cela, de la même manière que dans l’art. 143, sont facilement développées les équations

dont la combinaison avec les équations VIII et IX de l’art. 143 permettra de déterminer les quantités Les autres opérations du calcul s’accordent avec celles décrites auparavant.

162

Dans le second cas coïncide avec coïncidera aussi avec le même point ou avec son opposé. Où aura donc et