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D'IBN KHALDOUN.
Pages.


La société ne saurait exister sans un gouvernement (sïaça) qui puisse y maintenir l’ordre 
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La sïaça. — La cité parfaite. — Lettre dans laquelle Taher, le général du khalife abbacide El-Mamoun, prescrit à son fils Abd Allah des règles de conduite.


Sur le Fatémide (qui doit paraître vers la fin du monde). — Diverses opinions qu’on professe à son sujet. — La vérité sur cette matière mise au jour 
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Traditions relatives au Fatémide attendu, ou mehdi, dont le règne sera celui de la justice. — L’authenticité de ces traditions examinée d’après les principes et règles adoptés par les docteurs musulmans. — Traditions relatives à la fin du monde. — La tradition des drapeaux. — Opinions des soufis à l’égard de la venue du Fatémide. — L’aal. — Le sceau des saints. — La brique d’argent. — La brique de la maison. — La brique d’or. — Calculs cabalistiques et astrologiques. — Fausseté de toutes ces opinions. — Imposteurs qui se sont donnés pour le Fatémide attendu.


Sur les prédictions qui concernent les dynasties et les nations. — Dans ce chapitre l’auteur parle des melahim (recueils de prédictions), et fait connaître ce que l’on entend par le mot djefr 
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Explication des termes moneddjem, haceb, dareb el-mendel, hidthan, etc. — Les inspirés. — Traditions qui concernent la fin du monde. — Opinion de Soheïli. — Traditions concernant la chute des dynasties. — Le djefr. — Les prédictions des astrologues sont fondées sur les conjonctions des planètes. — Exposé de leurs opérations. — Le djefr d’El-Hindi. — Livres de l’empire. — Falsification d’un de ces livres, pour ne pas effrayer le khalife abbacide El-Mehdi. — Fragments de poèmes renfermant des prédictions. — Trait de fourberie d’un libraire. — Histoire du soufi El-Badjerîki.


QUATRIÈME SECTION. Sur les villages, les villes, les cités et autres lieux où se trouvent des populations sédentaires. — Sur les circonstances qui s’y présentent. — Observations préliminaires et supplémentaires.
La fondation des empires précède celle des villes et des cités. — La royauté s’établit d’abord et la cité ensuite 
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Le peuple qui acquiert un empire est porté à s’établir dans des villes 
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Les grandes villes et les édifices très-élevés n’ont pu être construits que par des rois très-puissants 
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Les édifices d’une grandeur colossale ne peuvent pas devoir leur entière construction à un seul souverain 
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Sur les choses dont il faut tenir compte lorsqu’on fonde une ville, et sur les suites que le défaut de prévoyance en cette matière peut avoir 
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Quels sont les mosquées et les temples les plus illustres de l’univers 
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Description et histoire de Beït el-Macdis (le temple de Jérusalem), du temple de la Mecque et de celui de Médine (le Mesdjid el-Haram). — Le Hidjr. — Changements
Prolégomènes. — ii.
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