Livre:Ibn Khaldoun - Prolégomènes, Slane, 1863, tome II.djvu

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TitreLes Prolégomènes
AuteurIbn Khaldoun Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurDe Slane Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionImprimerie Impériale
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1863
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SérieTomes : 1, 2, 3

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Deuxième volume

Sur les dignités et les titres qui sont spéciaux à un gouvernement royal ou sultanat 
 1
Bureau des finances et des contributions 
 19
Le bureau de la correspondance et du secrétariat 
 26
Le commandement de la flotte 
 37
Différence remarquable qui existe entre les charges d’épée et celles de plume. 
 46
Sur les emblèmes de la royauté et les marques distinctives de la souveraineté. 
 48
De la macsoura et de la prière qui se fait du haut de la chaire . 
 71
Sur la guerre et sur les usages militaires des divers peuples 
 75
Sur la cause qui fait augmenter ou diminuer le revenu d’un empire 
 91
Les droits d’entrée et de marché s’établissent quand l’empire tire vers sa fin 
 94
Le souverain qui fait le commerce pour son compte nuit aux intérêts de ses sujets et ruine les revenus de l’Etat 
 95
Le sultan et ses officiers ne vivent dans l’opulence qu’à l’époque où l’empire est dans la période intermédiaire de son existence 
 99
La diminution des (railemenls amène une diminution dans le revenu 
 105
Un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique 
 106
Comment l’office de chambellan s’établit. Il acquiert une grande importance quand l’empire est en décadence 
 114
Quand la décadence d’un empire commence, rien ne l’arrête 
 120
Comment la désorganisation s’introduit dans un empire, 
 121
Dans les premiers temps d’un empire, ses frontières ont toute l’étendue qu’elles sont capables de prendre, ensuite elles se rétrécissent graduellement. 
 127
Comment se forment les empires 
 131
Ce n’est qu’à la longue qu’un empire qui commence fait la conquête d’un empire déjà établi; il n’y réussit pas (tout d’abord) par la force des armes. 
 133
Quand un empire est dans la dernière période de son existence, la population est très-nombreuse et les famines, ainsi que les grandes mortalités, sont fréquentes. 
 138
La société ne saurait exister sans un gouvernement (sïaça) qui puisse y maintenir l’ordre 
 140
Sur le Fatémide (qui doit paraître vers la fin du monde). 
 158
Sur les prédictions qui concernent les dynasties et les nations. 
 205


QUATRIÈME SECTION. Sur les villages, les villes, les cités et autres lieux où se trouvent des populations sédentaires. — Sur les circonstances qui s’y présentent. — Observations préliminaires et supplémentaires.
La fondation des empires précède celle des villes et des cités. 
 238
Le peuple qui acquiert un empire est porté à s’établir dans des villes 
 240
Les grandes villes et les édifices très-élevés n’ont pu être construits que par des rois très-puissants 
 241
Les édifices d’une grandeur colossale ne peuvent pas devoir leur entière construction à un seul souverain 
 245
Sur les choses dont il faut tenir compte lorsqu’on fonde une ville, et sur les suites que le défaut de prévoyance en cette matière peut avoir 
 247
Quels sont les mosquées et les temples les plus illustres de l’univers 
 253
Pourquoi les cités et les villes sont peu nombreuses en Ifrikiya et dans le Maghreb. 
 271
Les édifices et les grandes constructions élevées par les musulmans sont loin d’être en rapport avec la grandeur de ce peuple. 
 273
La plupart des édifices bâtis par les Arabes tombent promptement en ruine 
 274
Comment les villes tombent en ruine 
 276
Si certaines villes et métropoles surpassent les autres en activité commerciale et par le bien-être dont on y jouit, cela tient à ce qu’elles les surpassent aussi par leur population 
 277
Sur le prix (des denrées et des marchandises) dans les villes 
 282
Les gens de la campagne ne sont pas assez riches pour habiter les villes. 
 286
Les différences qui existent entre un pays et un autre, sous le rapport de la pauvreté ou du bien-être, proviennent des mêmes causes qui établissent des différences semblables entre les villes 
 287
Comment un grand nombre de maisons et de fermes se trouvent dans la possession de quelques habitants des villes. 
 291
Dans les grondes villes, les hommes riches ont besoin de protecteurs ou doivent être dans une position qui les fasse respecter 
 293
Les grandes villes doivent aux dynasties qui y ont régné leur portion de cette civilisation qui se développe dans la vie sédentaire. 
 294
La civilisation de la vie sédentaire marque le plus haut degré du progrès auquel un peuple peut atteindre. 
 300
Toute ville qui est le siège d’un empire tombe en ruine lors de la chute de cet empire 
 307
Certaines villes se distinguent par la culture de certains arts 
 312
L’esprit de corps peut exister dans les villes; quelques-uns d’entre les habitants dominent alors sur le reste 
 313
Sur les dialectes (arabes) parlés dans les villes. 
 316


CINQUIÈME SECTION. Sur les moyens de se procurer la subsistance, sur l’acquisition, les arts et tout ce qui s’y rattache. Examen des questions auxquelles ce sujet donne lieu.
De la véritable signification des termes bénéfice (rizc) et acquisition (kesb). 
 319
Sur les voies et moyens divers de gagner sa vie (ma-ach
 323
Travailler au service d’un maître est un moyen de gagner sa vie qui n’est pas conforme à la nature 
 326
La recherche des trésors et des dépôts enfouis n’est pas un moyen naturel de gagner sa vie et de s’enrichir 
 328
La haute considération est une source de richesses 
 336
Ce sont ordinairement les gens qui savent s’abaisser et faire leur cour qui réussissent dans le monde. 
 338
Les personnes chargées de fonctions qui se rattachent à la religion, parviennent rarement à s’enrichir 
 346
Les hommes de peu de considération et les campagnards besoigneux sont les seuls qui adoptent l’agriculture comme un moyen de se procurer la subsistance 
 347
Sur le commerce, sa signification, ses procédés et ses divers genres 
 348
Sur l’exportation de marchandises 
 349
De l’accaparement 
 350
Le vil prix d’une marchandise nuit aux intérêts de ceux qui, par métier, s’occupent de cette (espèce de marchandise) dépréciée 
 352
Quels sont les hommes qui peuvent s’adonner au commerce avec avantage, et ceux qui doivent s’en abstenir 
 354
Le caractère moral des négociants est inférieur à celui des personnages qui exercent de hauts commandements, et s’éloigne de celui qui distingue l’homme de cœur. 
 355
Pour apprendre un art quelconque, il faut avoir un maître 
 357
Les arts se perfectionnent dans une ville à mesure du progrès de la civilisation et de l’accroissement de la population 
 358
La stabilité et la durée des arts, dans une ville, dépendent de la stabilité et de l’ancienneté de la civilisation dans cette ville 
 360
L’amélioration des arts et leur extension dépendent du nombre des personnes qui en recherchent les produits 
 363
La décadence d’une ville entraîne celle des arts qu’on y cultive 
 364
Les Arabes sont le peuple du monde qui a le moins de disposition pour les arts 
 365
Celui qui possède la faculté d’exercer un certain art parvient très-rarement à en acquérir parfaitement un autre 
 366
Indication des arts du premier rang 
 367
De l’agriculture 
 368
De l’art de bâtir 
 369
De l’art du charpentier 
 376
De l’art du tisserand et de celui du tailleur 
 379
De l’art des accouchements 
 381
De l’art de la médecine. — Il est nécessaire aux peuples sédentaires et aux habitants des villes, mais il est inutile aux peuples nomades 
 386
L’art d’écrire est un de ceux qui appartiennent à l’espèce humaine 
 391
De la librairie 
 406
De l’art du chant 
 410
Les arts, et surtout ceux de l’écriture et du calcul, ajoutent à l’intelligence des personnes qui les exercent 
 422


SIXIÈME SECTION. Des sciences et de leurs diverses espèces ; de l’enseignement, de ses méthodes et procédés, et de tout ce qui s’y rattache. — Cette section commence par une introduction et renferme plusieurs chapitres supplémentaires 
 425
De la réflexion 
 426
L’intellect ne peut embrasser toute la catégorie des choses sans l’aide de la réflexion 
 428
De l’intelligence expérimentale et de la manière dont elle se produit 
 430
De la nature des connaissances humaines et de celles des anges 
 433
Sur les connaissances acquises par les prophètes 
 436
L’homme est ignorant par sa nature ; ce qu’il sait consiste en connaissances acquises 
 438
L’enseignement fait partie des arts 
 439
Les connaissances (ou sciences) ne se multiplient que dans les villes où la civilisation et les usages de la vie sédentaire ont fait de grands progrès 
 448
Sur les diverses sciences qui, de nos jours, existent dans la civilisation (musulmane) 
 450
Des sciences coraniques, à savoir l’interprétation et la lecture 
 454
De l’interprétation du texte coranique 
 458
Des sciences qui ont pour objet les traditions 
 463
Note sur les termes techniques employés dans la science des traditions 
 481