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Les pays qui ont donné naissance à la philosophie moderne se tournent vers la vie réelle, tandis que la métaphysique reste à l’Allemagne. Marche du développement intellectuel en Allemagne — 76-81. — Causes de la rénovation du matérialisme ; influence des sciences de la nature ; Cabanis et la méthode somatique en physiologie — 82-84. — Influence de l’habitude des polémiques philosophiques et de la liberté de pensée — 85. — Tendance vers la philosophie de la nature — 86. — Évolution vers le réalisme depuis 1830 — 87. — Feuerbach — 88-98. — Max Stirner — 98. — Décadence de la poésie ; développement de l’industrie et des sciences de la nature — 98-101. — La théologie critique et la jeune Allemagne ; mouvement croissant des esprits jusqu’à l’année 1848 — 102-104. — La réaction et les intérêts matériels ; nouvel élan des sciences de la nature — 104-106. — Commencement de la polémique matérialiste — 106 et 107. — Büchner et la philosophie — 107-112. — Büchner ; détails personnels ; il est influencé par Moleschott ; obscurités et défauts de son matérialisme — 113-117. — Moleschott ; il est influencé par Hegel et Feuerbach ; la théorie de la connaissance, de Moleschott, n’est pas matérialiste — 118-124. — Possibilité du matérialisme après Kant. L’impératif catégorique : Contente-toi du monde donné — 124-127. — Czolbe — 127-137.



DEUXIÈME PARTIE
Les sciences physiques


Matérialistes et spécialistes ; dilettantisme et école dans les sciences physiques et dans la philosophie — 139-145. — Manière de penser conforme aux sciences physiques et à la philosophie — 145-149. — Les limites de la connaissance de la nature. Du Bois-Reymond — 150-155. — Malentendus des matérialistes et des théologiens — 156-163. — Rectification des conséquences des hypothèses de Du Bois-Reymond — 163-165. — Les limites de la connaissance de la nature sont les limites de la connaissance en général — 166. — La conception mécanique de l’univers ne peut pas nous dévoiler l’essence intime des choses — 167. — Le matérialisme change la théorie en réalité et la donnée immédiate, en apparence — 168 et 169. — La sensation est un fait plus fondamental que la mobilité de la matière — 169-171. — Même l’hypothèse d’une matière sensible ne lève pas toutes les difficultés. Le tiers inconnu — 172 et 173. — Reproches injustes faits au matérialisme — 173-176. — Le matérialisme est vaincu par la science philosophique et historique — 177-181. — Valeur des théories — 181 et 182. — Le matérialisme et l’idéalisme dans l’étude de la nature — 183-190.


Histoire de l’idée d’atome — 191 et suiv. — Boyle — 192. — Influence de la