Page:Les Caquets de l'Accouchée.djvu/338

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Condé (Le prince de). Tout se fait par ses avis. xvii, 67. — Pourquoi il se prend de haine contre les huguenots et se mêle aux affaires. Ib., note. — Menacé par Cadenet lorsqu’il est prisonnier à Vincennes. 161, 162, note.

Consinot, médecin de l’Hôtel-Dieu. Ses gages. 251.

Coquillart (Guill.). Cité xii, xxxvii.

Cordeliers. Leur rébellion contre la réforme qu’on veut introduire chez eux. 71, note 2.

Cordier, huissier. 258.

Cormier. Tabarin à ce cabaret. 268.

Cotel (L’affaire de). 142.

Coulange. Chanson citée. xv.

Courbouzon (Le sieur de). Empêche qu’on ne massacre l’ambassadeur d’Espagne. 162, note. — Sa furieuse escarmouche contre les Rochelois. 163, note.

Courval-Sonnet. Cité xiv.

Créqui (Le maréchal duc de). Gendre de Lesdiguières ; espère après lui être connétable. Ses droits. 170–171. — Son duel avec don Philippin. Ib., note.

Croisette (M. de la), usurier. Perd tout par la mort de son débiteur. 226.

Dangeau (Suppl. au Journal de). Cité 21, note 1 ; 47, note.

Darmingère (M.). 218.

Daubray ou Dambray (Claude). Erreur des Caquets à son sujet. 21, note. — Laisse, par testament, trois pains de sucre à l’Hôtel-Dieu. 22, 240.

Davity. Son livre Les Estats, Empires, etc., cité 71, note.

Desiderio Descombes, le Charlatan. 102. — Moins plaisant que Tabarin. 102, note ; 231. — Parle pour Grattelard dans la Sentence par corps. 278, 283.

Desplan. Fortune de ce parvenu. xxi. — Protégé de Luynes. 151, note. — Sa chute rapide. 160, note. — Ses commencements ; il est laquais, puis soldat au régiment de Navarre sous M. Cadenet. 161. — Visite M. Le Prince à Vincennes. Ib. — N’est pas fait maréchal de France, quoi qu’en disent les Caquets. 162, note.

Des Rues, financier. 40.

Dobillon, usurier. 29.

Doux (Le, madame). Sa fille la poupine. 222.

Dubreul. Ses Antiquités de Paris, citées 42, note.

Du Moulin, ministre protestant à Charenton. Sa fuite à Sédan. 88, note. — Lettre d’avis publiée sous son nom. Ibid.

Entragues (Marie d’). Sa liaison avec Bassompierre. xxii. — Il devroit l’épouser. 171. — Madame de Verneuil brouillée avec lui à cause d’elle. 169.

Esternod (Claude d’), véritable auteur de l’Espadon satyrique ; son pseudonyme de Franchères ; pourquoi l’on attribue son livre à M. de Fourquevaux ; titres divers donnés à ce même livre ; contrefaçon qu’il subit, etc. 115, 116, note.