Page 125, l. 10 : Theocrite en ſa Pharmaceutrie.
Ἅλφιτά τοι πρᾶτον πυρὶ τάϰεται.
L. 20 : Iacoba Rhodogine. Voyez ci-après, p. 302, note sur la l. 2 de la p. 474.*
Page 126, l. 30 : Apollonius de Tyane. — Philostrate, IV, 16.
L. 31 : En præſence de Saul. — Les Rois, I, 28.
Page 127, l. 19 : Cent nobles. On croit d’abord qu’il s’agit de nobles à la rose, puis Panurge ajoute pour faire une équivoque : « & quatorze roturiers. »
Page 128, l. 12 : Couillon mignon. L’espèce de litanie, ou plutôt de blason, qui commence ici n’est pas sans analogie avec le blason de Triboulet fait par Pantagruel et Panurge (t. II, p. 181). Burgaud des Marets a cru qu’il existait de grandes différences, quant à l’ordre des mots de cette liste, entre la première édition où elle est imprimée sur trois colonnes, et celle de 1552, que nous avons suivie et où elle l’est sur deux. Cet ordre est cependant absolument le même ; mais il faut avoir soin de lire ligne à ligne et non colonne à colonne, de sorte que si l’on réimprimait ceci en un texte suivi il faudrait mettre : Couillon mignon, Couillon moignon, c. de renom, c. pâté, c. naté, etc.
Page 131, l. 11 : Faiz en crier les bancs. Jeu de mots : « fais publier les bans. » L’allusion libre est très nettement déterminée par l’orthographe bancs et par le complément : « & le challit. »
L. 19 : Creſcite. Nos qui viuimus (benedicemus Domino). Multiplicamini. « Croissez. Nous qui vivons (nous bénissons le Seigneur. — Ps. CXIII, 18). Multipliez. »
L. 24 : Dum venerit iudicare. « Tandis qu’il viendra juger. »
L. 31 : Peu au retour me chault d’eſtre noyé.
Parcite, dum propero ; mergite, dum redeo.