L. 20 : A la paſſion qu’on iouoit à ſainct Maixent. Voyez t. II, p. 315.
L. 30 : A l’exemple de Caton le Cenſorin. « Eodem ludos florales, quos Messius ædilis faciebat, spectante, populus ut mimæ nudarentur postulare erubuit : quod cum ex Favonio, amicissimo sibi, cognovisset, discessit e theatro, ne præsentia sua spectaculi consuetudinem impediret. » (Valère Maxime, II, 10)
Page 137, l. 23 : Il n’eſt… coqu, qui veult. Des Périers (Nouvelle 5), citant ce discours de mémoire, l’attribue à Pantagruel : « Et bien, s’elle vous fait cocu après, le plaiſir vous demeure touſiours, ie ne dis pas d’eſtre cocu, ie dis de l’auoir depucelée. Et puis vous auez mille faueurs, mille auantages, à cauſe d’elle. » — La Fontaine a énuméré ces nombreux avantages dans son conte de La Coupe enchantée.
L. 31 : Couillon flatry. Dans l’édition de 1546, cette liste est sur trois colonnes. Voyez ce que nous avons dit, p. 246, note sur la l. 12 de la p. 128.* La liste de 1546 contient un certain nombre d’épithètes qui ne figurent pas ici, mais que nous aurons soin de recueillir dans le Glossaire.
Page 141, l. 11 : L'anneau de Hans Carüel. « Voici la généalogie exacte du Conte de l’Anneau de Hans Carvel. L’invention en eſt due à Poge… Qu’on liſe la 133 de ſes facéties, intitulée Viſio Franciſci Philelphi, on reconnoîtra que Rabelais… n’a fait que mettre le nom de Hans Carvel à la place de celui de Philelphe. On trouve enſuite ce conte dans la onzième des Cent nouuelles nouuelles… L’Arioſte eſt le troiſiéme qui l’a mis en œuvre à la fin de la cinquième de ſes Satires… Un anonyme qui fit imprimer in-16, à Lyon, en 1555, un recueil de plaiſantes Nouvelles, a employé ce conte dans la XI. Celio Maleſpini l’a auſſi employé, p. 288, de la ſeconde partie de ſes Ducento Novelle, imprimées in-4, à Veniſe l’an 1609… La Fontaine, en 1665, habilla joliment en vers la proſe de Rabelais… Enfin, pour couronnement de l’œuvre, on a eſſayé de le mettre