6 décembre 1990 | Documents administratifs | 14. |
Liste A
2. Mots composés : on écrit soudés également les noms de la liste suivante, composés d’éléments nominaux et adjectivaux (Voir Analyse 1 ; Recommandations 1, 2.)
Liste B
3. Onomatopées : on écrit soudés les onomatopées et mots expressifs (de formations diverses) de la liste suivante (Voir Analyse 1 ; Recommandations 1, 2.)
Liste C
4. Tréma : dans les mots suivants, on place le tréma sur la voyelle qui doit être prononcée : aigüe (et dérivés, comme suraigüe, etc.), ambigüe, exigüe, contigüe, ambigüité, exigüité, contigüité, cigüe. Ces mots appliquent ainsi la règle générale : le tréma indique qu’une lettre (u) doit être prononcée (comme voyelle ou comme semi-voyelle) séparément de la lettre précédente (g). (Voir Analyse 3.1.)
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5. Tréma : le même usage du tréma s’applique aux mots suivants où une suite -gu- ou -geu- conduit à des prononciations défectueuses (il argue prononcé comme nargue). On écrit donc [1] : il argüe (et toute la conjugaison du verbe argüer) ; gageüre, mangeüre, rongeüre, vergeüre. (Voir Analyse 3.1.)
6. Accents : on munit d’un accent les mots de la liste suivante où il avait été omis, ou dont la prononciation a changé. (Voir Analyse 3.2 ; Règle 3 ; Recommandation 3.)
Liste D
7. Accents : l’accent est modifié sur les mots de la liste suivante qui avaient échappé à la régularisation entreprise par l’Académie française aux XVIIIe et XIXe siècles, et qui se conforment ainsi à la règle générale d’accentuation. (Voir Analyse 3.2 ; Règle 3 ; Recommandation 3.)
Liste E
8. Mots composés empruntés : on écrit soudés les mots de la liste suivante, composés d’origine latine ou étrangère, bien implantés dans l’usage et qui n’ont pas valeur de citation. (Voir Analyse 6 ; Règle 7 ; Recommandations 4, 5, 7, 8, 9.)
Liste F
Mots d’origine latine
(employés comme noms — exemple : un apriori)
Mots d’origine étrangère
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