Livre:Bunyan - Le pelerinage du chretien a la cite celeste.djvu

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TitreLe Pèlerinage du chrétien à la cité céleste Voir l'entité sur Wikidata
AuteurJohn Bunyan Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionRisler
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1831
Publication originale1678
BibliothèqueInternet Archive(g)
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Chapitre I. Rêve de l’Auteur. — Chrétien, convaincu de péché, fuit la colère à venir. L’Évangile le conduit à Christ. 
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Chap. II. Chrétien poursuit sa route. — Obstiné, par suite de son attachement au monde, refuse de l’accompagner. — Facile va jusqu’au Bourbier du Découragement, mais n’étant pas soutenu par la grâce divine, il retourne sur ses pas. 
 5
Chap. III. Chrétien, trompé par les avis de Sage-Mondain, se détourne de son chemin et court de grands dangers. Mais ayant heureusement rencontré Évangéliste, qui le remet dans la bonne route, il continue son voyage. 
 14
Chap. IV. Chrétien arrive à la porte étroite, invoquant en sa faveur les promesses de l’Évangile ; il frappe et est reçu avec bienveillance. 
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Chap. V. Chrétien passe délicieusement son temps à la maison de l’Interprète. — Caractère d’un vrai ministre de Christ. — Le cœur de l’homme, souillé de sa nature, est purifié par la grâce, par la foi. — Le choix important. — La vie spirituelle est entretenue dans l’âme par la grâce. — Effets d’une sainte persévérance. — Désespoir d’une âme qui a abandonné la vérité après l’avoir connue. — Chrétien mis en garde contre une dangereuse sécurité. 
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Chap. VI. Heureux effets de la foi. — Le fardeau de Chrétien tombe au pied de la croix ; il est délivré de la condamnation du péché, et revêtu de la justice du Rédempteur, et il reçoit du Saint-Esprit, qui le console et le sanctifie, un rouleau de parchemin, contenant les titres de son adoption dans la famille de Dieu. 
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Chap. VII. Chrétien rencontre Inconsidéré, Paresseux et Présomptueux, profondément endormis. — Formaliste et Hypocrite le traitent avec mépris. — Il gravit la colline des Difficultés, perd son rouleau et le retrouve. 
 45
Chap. VIII. Chrétien passe heureusement devant les lions (le Monde et le Diable), et arrive au Palais magnifique, où il reçoit un très-bon accueil. 
 55
Chap. IX. Chrétien pénètre dans la vallée de l’Humiliation, où il est vivement attaqué par Apollyon, dont il finit pourtant par triompher au moyen de l’épée de l’Esprit et de la foi à la parole de Dieu. 
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Chap. X. Angoisses de Chrétien dans la vallée de l’Ombre de la Mort. Instruit par l’expérience, il la traverse, l’épée nue à la main, et en priant sans cesse ; de sorte qu’il ne lui arrive aucun mal. 
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Chap. XI. Chrétien trouve dans Fidèle un excellent compagnon de voyage. La peine avec laquelle celui-ci se décide à voyager avec Chrétien, et le refus surtout qu’il fait de l’attendre, montrent quelle prudence les gens pieux doivent apporter dans le choix de leurs amis. — Ils finissent par se réunir, et ont une conversation très-édifiante. 
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Chap. XII. Chrétien et Fidèle rencontrent Beau-Parleur. — Caractère d’un homme qui n’a que les apparences de la piété. Bien des gens s’imaginent être de vrais Chrétiens qui n’ont que la connaissance la plus superficielle de l’Évangile. 
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Chap. XIII. Évangéliste donne aux pélerins des avertissements et des encouragements destinés à les préparer aux nouvelles épreuves qui les attendent. — Les habitants de la Foire de la Vanité méprisent le vêtement de salut que portent les pélerins (la justice du Rédempteur) ; ils tournent en dérision leur langage, parce que leur amour pour Christ les porte à célébrer sa gloire ; ils se moquent de leur conduite, parce qu’elle montre leur indifférence pour le monde, pour ses vains et coupables plaisirs ; ils s’irritent contre eux, les persécutent, et finissent par faire mourir Fidèle
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Chap. XIV. Chrétien trouve un autre excellent compagnon de voyage, nommé Grand-Espoir ; l’amour de Dieu, répandu dans leur cœur, les met en état de réfuter les sophismes de plusieurs personnes qu’ils rencontrent en poursuivant leur route. 
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Chap. XV. Chrétien et Grand-Espoir se voyant dans la prospérité, et se sentant en paix, deviennent insouciants, et négligent la vigilance. Ils prennent un sentier de traverse, et tombent entre les mains du géant Désespoir ; mais ils implorent le secours de Dieu, et sont délivrés, au moyen de la Clé de la promesse
 152
Chap. XVI. Les pèlerins sont bien accueillis par les bergers qui vivaient sur les Montagnes des Délices
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Chap. XVII. Conversation des pèlerins avec Ignorant — Terrible état d’Apostat. — Petite-Foi est volé. — Chrétien et Grand-Espoir ayant négligé de consulter le plan de leur route (la Parole de Dieu), sont induits en erreur par Flatteur, et pris dans le filet. 
 170
Chap. XVIII. Les pèlerins rencontrent Athée ; mais, dociles aux avertissements contenus dans la Bible, ils résistent à tous les efforts qu’il fait pour les séduire. — Ils traversent ensuite le Terrain enchanté, image de ce présent siècle mauvais et des dangers auxquels les Chrétiens sont exposés dans un temps de prospérité. Ils doivent veiller et prier sans cesse, avoir entre eux des conversations spirituelles et édifiantes, pour se défendre contre les dangers du monde. 
 186
Chap. XIX. Les pèlerins ont encore une conversation avec Ignorant ; celui-ci parle le langage des hommes qui ne sont Chrétiens que de nom, c’est-à-dire qui professent de croire, en Christ et de se confier en. lui, bien qu’ils n’aient jamais connu leur état de condamnation, et le besoin qu’ils ont d’être pardonnés et gratuitement justifiés par sa grâce. — Leur entretien avec Temporaire contient des leçons et des avertissements dignes de l’attention sérieuse du lecteur. 
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Chap. XX. Les pélerins parcourent le beau pays de Beulak ; ils traversent heureusement le fleuve de la Mort, et sont admis dans la glorieuse cité de Dieu
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LE PÉLÉRINAGE
DU CHRÉTIEN
A LA CITÉ CÉLESTE,


DÉCRIT
SOUS LA SIMILITUDE D’UN SONGE.




A PARIS,
CHEZ J. J. RISLER, LIBRAIRE,
RUE DE L'ORATOIRE, n° 6.
1831.



Note de Wikisource

Cette traduction du Pilgrim’s Progress de John Bunyan est proche du « texte reçu » de l’ouvrage pour les églises évangéliques des pays francophones. Elle ne contient pas le poème initial ni les passages en vers de l’original anglais.