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Correspondance littéraire, philosophique et critique, éd. Garnier/Tome 15/1787/Mars-Décembre

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Correspondance littéraire, philosophique et critique
revue sur les textes originaux, comprenant outre ce qui a été publié à diverses époques, les fragments supprimés en 1813 par la censure, les parties inédites conservées à la bibliothèque ducale de Gotha et à l'Arsenal à Paris
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Texte établi par Maurice Tourneux, Garnier frères.

1787

Mars. — Lettre du marquis de Louvois à Champcenetz et réponse de Champcenetz. — Représentation à la Comédie-Italienne du Comte Albert et de sa Suite, par Sedaine et Grétry. — Saint-Preux et Julie d’Étanges, comédie, par Aude. — Les Auteurs de qualité, comédie, par Pompigny. — Découverte par Droz, de Neufchâtel, d’un nouveau procédé pour la frappe de la monnaie. — Proverbes dramatiques, par le vicomte de Ségur. — Éloge de Frédéric II, par Laureau. — Voyage philosophique d’Angleterre, par Lacoste. — Lettre d’un avocat à un de ses confrères, par Condorcet. — Caricature relative à l’assemblée des notables. — Térée, tragédie, par Lemierre ; épigramme sur cette pièce. — Voyage en Syrie et en Égypte, par Volney. — Almanach de la Samaritaine 
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Avril.Dénonciation de l’agiotage au roi et à l’assemblée des notables, par Mirabeau. — Portrait des maris, chanson. — Inscription donnée par Marmontel à La Fayette pour le buste de Washington. — Une année de la vie du chevalier de Faublas, par Louvet. — Vers d’un officier d’artillerie (Chauderlos de La Clos.) — Conte vrai, par Rulhière. — Épître aux Romains, sur le rôle de Didon joué par Mme Saint-Huberty (attribuée à Napoléon Bonaparte.) — Épitaphe de mon voisin, par l’abbé de La Reynie. — Requête au baron de Breteuil, par Denis Topineau, bourgeois de Paris. — Le Mensonge officieux, paroles de Piccini fils, musique de Piccini père. — Toinette et Louis, divertissement, paroles de Patrat, musique de Mlle Grétry. — Compliments de clôture : au Théâtre-Italien, par Beffroy de Reigny et à la Comédie-Française, par Palissot. — Réclamation d’un citoyen contre la nouvelle enceinte de Paris, par Dulaure. — La Religion considérée comme l’unique base du bonheur et de la véritable philosophie, par Mme de Sillery, ci-devant Mme de Genlis 
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Mai.Fellamar et Tom Jones, comédie, par Desforges. — Correspondance familière et amicale de Frédéric II, roi de Prusse, avec U. F. de Suhm. — Suite de l’examen du Voyage de Volney en Égypte et en Syrie. — Logogriphe sur le nom de Calonne. — Inscription latine pour le marché des Innocents, par Lemierre. — Alcindor, opéra, paroles de Rochon de Chabannes, musique de Dezède. — Reprise du Nouveau Robinson, de La Chabeaussière et Dalayrac, sous le titre d’Azémia ou les Sauvages. — Observations fondamentales sur les langues anciennes et modernes, par Le Brigant. — Les Amants d’autrefois, par Mme de Beauharnais. — Épigraphe de Massillon proposée pour le livre de Mme de Genlis. — Lettre d’un Anglais à Paris, attribuée à C.-P. Lebrun ou à Le Hoc. — Le Mode français, par J.-F. Sobry. — Confession du comte de C***. — Chanson à Mme de *** pour le jour de sa fête, par Pierre Rousseau, architecte. — Chanson impromptu à la reine des Lanturelus (Mme de La Ferté-Imbault) par le comte d’Albaret. — Allusions à Mme de Genlis relevées dans un passage de l’Éloge de Guettard, par Condorcet. — Couplets contre Beaumarchais sur l’air de Tarare : Povero Calpigi
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Juin.Hercule au mont Œta, tragédie, par La Fèvre. — Mémoire sur la dernière année de la vie de Frédéric II, par le comte de Hertzberg. — Essai sur la religion des anciens Grecs, par Leclerc de Sept-Chênes. — Récit du portier de M. de Beaumarchais, parodie du récit de Théramène, par Champcenetz, Rivarol et compagnie. — Épigrammes et couplets contre le même. — L’École des pères, comédie, par Pieyre. — Épigramme sur la réponse de Beaumarchais au mémoire de Kornmann, par l’abbé de La Salle. — Le Minutieux, comédie, par de La Lande. — Réception de Rulhière à l’Académie française. — De la France et des États-Unis, par Brissot de Warville et Clavière. — Éloge du roi de Prusse, par de Guibert. — Lettre de Pitra à un de ses amis, à Lyon, sur l’opéra de Tarare. — Apologue adressé à Beaumarchais par Gudin de La Brenellerie. — Avis aux voyageurs (épigramme contre Rivarol et Champcenetz), par Beaumarchais. — Inscription latine du nouveau kiosque astronomique du Jardin des Plantes et traduction par Piis. 
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Juillet. — Reprise des Deux Morts, de Patrat et Propiac, sous le titre d’Isabelle et Rosalvo. — La Négresse, par Radet et Barré. — Discours sur les avantages ou les désavantages qui résultent pour l’Europe de la découverte de l’Amérique, par Chastellux. — Lettre remise à Frédéric-Guillaume II le jour de son avènement au trône, par Mirabeau. — Lettre du prince de Ligne à Grimm et relation d’un voyage de Catherine II en Crimée. 
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Août.Les Amis à l’épreuve, comédie, par Pieyre. — Les Promesses de mariage ou la suite de l’Épreuve villageoise, par Desforges, musique de Berton fils. — Considération sur les richesses et le luxe, par Sénac de Meilhan. — Essai sur la nature champêtre, par Lezay-Marnésia. — Zoroastre, Confucius et Mahomet comparés comme sectaires, législateurs et moralistes, etc., par Pastoret. — De la décadence des lettres et des mœurs, par Rigoley de Juvigny. — Renaud d’Ast, opéra-comique, paroles de Radet et Barré, musique de Dalayrac. — Lanlaire ou le Chaos perpétuel, parodie de Tarare. — Mémoire pour la dame Kornmann, facétie attribuée au marquis de Luchet. — Antigone, tragédie, par Doigny du Ponceau. — Pauline et Valmont, comédie, par Bodard. — Séance annuelle de l’Académie française : prix décerné à Terrasse-Desmareille, lecture d’une ode de l’abbé Noël. — Lettre à M*** sur le cirque qui se construit au milieu du Palais-Royal, par Dulaure. — Cécile fille d’Achmet III, par La Vallée. — Lettres de Mlle Aissé à Mme Calandrin, publiées par Mlle Rieu. — Mémoire de sultan Faithful, attribué à Ronesse. — Prospectus de l’Histoire de la monarchie prussienne sous Frédéric le Grand, par Mirabeau. — Vénus blessée par Diomède, poëme par Menoux. — Mémoire justificatif de Calonne. 
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Septembre.Le Prix académique, comédie, par Pariseau. — La Fille garçon, opéra-comique, paroles de Desmaillot, musique de Saint-Georges. — Panegyrique de Trajan par Pline, nouvellement retrouvé (par Alfieri). — Mémoires de Goldoni. — Recueil de comédies nouvelles, par la marquise de Gléon. — Impromptu à Mlle Clairon le jour de sa fête. — Le Roi Théodore à Venise, paroles traduites de l’italien de Casti par Moline, musique de Paësiello. — Billet (en vers) à l’abbé Delille, par Artaud. 
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Octobre.Les Gens de lettres ou le Poëte de province à Paris, comédie, par Fabre d’Églantine. — Élégie sur la mort de Mlle Olivier. — Lettres à l’empereur sur l’atrocité des supplices qu’il a substitués comme adoucissement à la peine de mort, par Brissot de Warville. — Vers au marquis Ducrest, à l’occasion de son Mémoire présenté au roi ; couplets sur le même sujet. — Salon de 1787 : Vien, La Grenée l’aîné, de Turpin, Doyen, Brenet, La Grenée le jeune, Suvée, Vincent, Vernet, Roslin, Hubert Robert Mme Vallayer-Coster, Weyler 
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Novembre.Augusta, tragédie, par Fabre d’Églantine. — Célestine, drame mêlé d’ariettes, paroles de Magnitot, musique de Bruni. — Représentation de la Maison de Molière, par Mercier. — Vie de saint Vincent de Paul, par l’abbé Bégat. — Couplets de Mlle Clairon à Mme Drouin. — Suite du Salon de 1787 : Callet, Van Spaendonck, Hue, Sauvage, Mme Le Brun, Mme Guyard, David, Regnault, Taillasson, Le Barbier l’aîné. — Couplets sur Linguet et Morellet. — L’Indiscrète sans le savoir, comédie, par Mayan. — Berthe et Pépin, drame, par Pleinchesne, musique de Deshayes. 
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Décembre. — Parodie du songe d’Athalie [contre Mme de Genlis] par Rivarol et Champcenetz. — Reprise de Pénélope, opéra de Marmontel et Piccini. — Rosaline et Floricourt, comédie, par le vicomte de Ségur. — Vers au duc d’Orléans. — Impromptu de Le Brun. — Quatrain sur Mmes de Noailles et de Sillery. — Charade, par le chevalier de Lomont. — L’Amant à l’épreuve, opéra-comique, paroles de Moline, musique de Berton. — Représentation de Nathalie, drame, par Mercier. — Mémoires sur le mariage des protestants, par Malesherbes. — Discours à lire au conseil… sur le projet d’accorder aux protestants l’état civil en France. — Mort de Gluck, hommage que lui rend Piccini. — Salon de 1787 (fin) : Vestier, Peyron, Lespinasse, Perrin, Valenciennes, Taunay, Hall, Robin, Wille fils, Julien, Demarne, Nivard, Merlin, Bilcoq, Giroust, Mosnier, Monsiau, Roland, Pajou, Caffieri, Bridan, Mouchy, Lecomte, Boizot, Houdon, Dejoux, Stouf, Roland, Moitte, Millot, Deseine, Delestre, Blaise, Monot, Porporati, Moreau le jeune, Klauber. 
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