Livre:Du Bellay - La Deffence, et illustration de la langue francoyse.djvu
| Titre | La Deffence, et illvstration de la langue francoyse |
|---|---|
| Auteur | Joachim du Bellay  |
| Maison d’édition | Arnoul l’Angelier |
| Lieu d’édition | Paris |
| Année d’édition | 1549 |
| Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
| Fac-similés | djvu |
| Avancement | À corriger |
Pages
Défense et illustration de la langue française dont le texte commence ici ne pas faire de match et split, notre texte a été modernisé, corriger d'abord et transclure après.
Extraict du privilege.
A Monseigneur le Reverendissime Cardinal du Bellay. S.
Ἰωάννης Αὐρατὸς εἰς ϰελτιϰῆς γλώσσης Ἀπολογίαν.
Liure premier.
I.
l’Origine des langues.
II.
Que la Langue Francoyſe ne doit être nommée barbare.
III.
Pourquoy la Langue Francoyſe n’eſt ſi riche que la Greque, & Latine.
IIII.
Que la Langue Francoyſe n’eſt si pauvre que beaucoup l’eſtiment.
V.
Que les Traductions ne ſont ſuffiſantes pour donner perfection à la Langue Francoyſe.
VI.
Des mauuais Traducteurs, & de ne traduyre les Poëtes.
VII.
Comment les Romains ont enrichy leur Langue.
VIII.
D’amplifier la Langue Francoyſe par l’imitation des anciens Aucteurs Grecz et Romains.
IX.
Reſponſes à quelques obiections.
X.
Que la Langue Francoyſe n’eſt incapable de la philoſophie, et pourquoy les Anciens etoient plus Scauants que les Hommes de notre Aage.
XI.
Qu’il est impoſsible d’egaler les Anciens en leurs Langues.
XII.
Deffence de l’Aucteur.
Liure second.
I.
De l’intention de l’Aucteur.
II.
Des Poëtes Francoys.
III.
Que le Naturel n’eſt ſuffiſant à celuy qui en Poëſie ueut faire oeuure digne de l’Immortalité.
IIII.
Quelz genres de Poëmes, doit élire le Poëte Francoys.
V.
Du long Poëme Francoys.
VI.
D’inuenter des Motz, & de quelques autres choſes que doit obſeruer de Poëte Francoys.
VII.
De la Rythme, & des vers ſans Rythme.
VIII.
De ce mot Rythme, de l’inuention des Vers rymez, et de quelques autres Antiquitez usitées en notre Langue.
IX.
Obſeruation de quelque manieres de parler, Francoyſes.
X.
De bien prononcer les Vers.
XI.
De quelques obſeruations oultre l’Artifice, auecques une Inuectiue contre les mauuais Poëtes Francoys.
XII.
Exhortation aux Francoys d’ecrire en leur langue : auecques les louanges de la France.
Conclusion de toute l’oeuure.
A l’Ambicieux, et avare ennemy des bonnes lettres. Sonnet.
Av lectevr.