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Que plus ce tuyau est long, plus il augmente l’image, et qu’il fait le même que si la nature avait fait l’œil d’autant plus long
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Que la prunelle de l’œil nuit au lieu de servir lorsqu’on se sert d’un tel tuyau.
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ibid. |
Que ni les réfractions du verre qui contient l’eau dans ce tuyau, ni celles des peaux qui enveloppent les humeurs de l’œil ne sont considérables.
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ibid. |
Comment on peut faire le même par le moyen d’un tuyau séparé de l’œil que par un qui lui est joint.
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En quoi consiste l’invention des lunettes d’approche.
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Comment on peut empêcher que la force des rayons qui entrent dans l’œil ne soit trop grande.
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ibid. |
Comment on la peut augmenter lorsqu’elle est trop faible et que les objets sont accessibles.
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Et comment, lorsqu’ils sont inaccessibles et qu’on se sert de lunettes d’approche.
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De combien on peut faire l’ouverture de ces lunettes plus grande que n’est la prunelle, et pourquoi on la doit faire plus grande.
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Que pour les objets accessibles on n’a point besoin d’augmenter ainsi l’ouverture du tuyau.
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ibid. |
Que pour diminuer la force des rayons, lorsqu’on se sert de lunettes, il vaut mieux étrécir leur ouverture que la couvrir d’un verre coloré.
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ibid. |
Que pour l’étrécir il vaut mieux couvrir les extrémités du verre par dehors que par dedans.
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A quoi il est utile de voir plusieurs objets en même temps-, et ce qu’on doit faire pour n’en avoir pas besoin.
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ibid. |
Qu’on peut acquérir par exercice la facilité de voir les objets proches ou éloignés.
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D’où vient que les gymnosophistes ont pu regarder le soleil sans gâter leur vue.
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