Page:Angellier - À l’amie perdue, 1920.djvu/229

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Pages
VI. 
Nous étions arrivés, le soir, dans le vieux port 
 126
VII. 
Au bord du quai désert nous vînmes nous asseoir 
 127
VIII. 
Le brouillard s’épaissit sur la mer lourde et molle 
 128
IX. 
Lorsque nous revenons par la rude falaise 
 129
X. 
Lorsqu’après de longs mois qui nous ont séparés 
 130
XI. 
Dans le jour affaibli des grises cathédrales 
 131
XII. 
Nous avons fait de nos deux cœurs un seul tissu 
 132
XIII. 
Notre amour a vécu de tant de sacrifices 
 133
XIV. 
Sans doute notre amour ne vainc pas le destin 
 134
XV. 
Des nuages pesants glissent sur le ciel gris 
 135
XVI. 
Sur les dunes là-bas, sur le cap orageux 
 136
XVII. 
Un fanal vert s’allume, au bout de la jetée 
 137
XVIII. 
Nous suivions les flots gris, mélancolique amie 
 138
XIX. 
La nuit froide descend ; l’immense baie est vide 
 139
XX. 
Une tempête souffle, et sur l’immense plage 
 140


VII



I. 
Nous pensions à la fin avoir fléchi le sort 
 143
II. 
Nous sentons sous nos pieds s’abimer notre espoir 
 144
III. 
Si nos cœurs en avaient l’égoïste courage 
 145