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TABLE DES MATIÈRES.


Chap. XXVI. Toute la religion des païens se réduisait à adorer des hommes morts.
XXVII. De l’espèce d’honneurs que les chrétiens rendent aux martyrs.
Chapitre premier. Du point où en est la discussion et de ce qui reste à examiner.
II. Si parmi les démons, tous reconnus pour inférieurs aux dieux, il en est de bons dont l’assistance puisse conduire les hommes à la béatitude véritable.
III. Des attributions des démons, suivant Apulée, qui, sans leur refuser la raison, ne leur accorde cependant aucune vertu.
IV. Sentiments des Péripatéticiens et des Stoïciens touchant les passions.
V. Les passions qui assiégent les âmes chrétiennes, loin de les porter au vice, les exercent à la vertu.
VI. Des passions qui agitent les démons, de l’aveu d’Apulée qui leur attribue le privilége d’assister les hommes auprès des dieux.
VII. Les Platoniciens croient les dieux outragés par les fictions des poëtes, qui les représentent combattus par des affections contraires, ce qui n’appartient qu’aux démons.
VIII. Comment Apulée définit les dieux, habitants du ciel, les démons, habitants de l’air, et les hommes, habitants de la terre.
IX. Si l’intercession des démons peut concilier aux hommes la bienveillance des dieux.
X. Les hommes, d’après les principes de Plotin, sont moins malheureux dans un corps mortel que les démons dans un corps éternel.
XI. Du sentiment des Platoniciens, que les âmes des hommes deviennent des démons après la mort.
XII. Des trois qualités contraires qui, suivant les Platoniciens, distinguent la nature des démons de celle des hommes.
XIII. Si les démons peuvent être médiateurs entre les dieux et les hommes, sans avoir avec eux aucun point commun, n’étant pas heureux, comme les dieux, ni misérables, comme les hommes.
XIV. Si les hommes, en tant que mortels, peuvent être heureux.
XV. De Jésus-Christ homme, médiateur entre Dieu et les hommes.
XVI. S’il est raisonnable aux Platoniciens de concevoir les dieux comme éloignés de tout commerce avec la terre et de toute communication avec les hommes, de façon à rendre nécessaire l’intercession des démons.
XVII. Pour acquérir la vie bienheureuse, qui consiste à participer au souverain bien, l’homme n’a pas besoin de médiateurs tels que les démons, mais du seul vrai médiateur, qui est le Christ.
XVIII. De la fourberie des démons, qui en nous promettant de nous conduire à Dieu ne cherchent qu’à nous détourner de la voie de la vérité.
XIX. Le nom des démons ne se prend jamais en bonne part, même chez leurs adorateurs.
XX. De la science qui rend les démons superbes.
XXI. Jusqu’à quel point le Seigneur a voulu se découvrir aux démons.
XXII. En quoi la science des anges diffère de celle des démons,
XXIII. Le nom des dieux est faussement attribué aux dieux des Gentils, et il convient en commun aux saints anges et aux hommes justes, selon le témoignage de l’Ecriture.


Chapitre premier. Les Platoniciens tombant d’accord que Dieu seul est la source de la béatitude véritable, pour les anges comme pour les hommes, il reste à savoir si les anges, que ces philosophes croient qu’il faut honorer en vue de cette béatitude même, veulent qu’on leur fasse des sacrifices ou qu’on n’en offre qu’à Dieu seul.
II. Sentiment de Plotin sur l’illumination d’en haut.
III. Bien qu’ils aient connu le créateur de l’univers, les Platoniciens se sont écartés du vrai culte de Dieu en rendant les honneurs divins aux bons et aux mauvais anges.
IV. Le sacrifice n’est dû qu’à Dieu seul.
V. Des sacrifices que Dieu n’exige pas et qui ont été la figure de ceux qu’il exige effectivement.
VI. Du vrai et parfait sacrifice.
VII. Les saints anges ont pour nous un amour si pur qu’ils veulent, non pas que nous les adorions, mais que nous adorions le seul vrai Dieu.
VIII. Des miracles que Dieu a daigné opérer par le ministère des anges à l’appui de ses promesses, pour corroborer la foi des justes.
IX. Des incertitudes du Platonicien Porphyre touchant les arts illicites et démoniaques.
X. De la théurgie, qui permet d’opérer dans les âmes une purification trompeuse par l’invocation des démons.
XI. De la lettre de Porphyre à l’égyptien Anébon, où il le prie de l’instruire touchant les diverses espèces de démons.
XII. Des miracles qu’opère le vrai Dieu par le ministère des saints anges.
XIII. Invisible en soi, Dieu s’est rendu souvent visible, non tel qu’il est, mais tel que les hommes le pouvaient voir.
XIV. Il ne faut adorer qu’un seul Dieu, non-seulement en vue des biens éternels, mais en vue même des biens terrestres qui dépendent tous de sa Providence.
XV. Du ministère des saints anges, instruments de la Providence divine.
XVI. Si nous devons, pour arriver à la vie bienheureuse, croire plutôt ceux d’entre les anges qui veulent qu’on les adore que ceux qui veulent qu’on n’adore que Dieu.
XVII. De l’arche du Testament et des miracles que Dieu opéra pour fortifier l’autorité de sa loi et de ses promesses.
XVIII. Contre ceux qui nient qu’il faille s’en fier aux livres saints touchant les miracles accomplis pour l’instruction du peuple de Dieu.
XIX. Quel est l’objet du sacrifice visible que la vraie religion ordonne d’offrir au seul Dieu invisible et véritable.
XX. Du véritable et suprême sacrifice effectué par le Christ lui-même, médiateur entre Dieu et les hommes.
XXI. Du degré de puissance accordé aux démons pour procurer, par des épreuves patiemment subies, la gloire des saints, lesquels n’ont pas vaincu les démons en leur faisant des sacrifices, mais en restant fidèles à Dieu.