Page:Condorcet - Œuvres, Didot, 1847, volume 1.djvu/840

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Chapitre xi. De quelle manière deux lois diverses peuvent être comparées 
 369
Chapitre xii. Que les lois qui paraissent les mêmes sont réellement quelquefois différentes 
 371
Chapitre xiii. Qu’il ne faut point séparer les lois de l’objet pour lequel elles sont faites. — Des lois romaines sur le vol 
 Ib.
Chapitre xiv. Qu’il ne faut pas séparer les lois des circonstances dans lesquelles elles ont été faites 
 372
Chapitre xv. Qu’il est bon quelquefois qu’une loi se corrige elle-même 
 373
Chapitre xvi. Choses à observer dans la composition des lois 
 374
Chapitre xvii. Mauvaise manière de donner des lois 
 376
Chapitre xviii. Des idées d’uniformité 
 Ib.
Chapitre xix. Des législateurs 
 381
Discours prononcé dans l’Académie française, le jeudi 21 février 1782, à la réception de M. le marquis de Condorcet 
 389
Discours lu à l’Académie française, lorsque la Comtesse et le Comte du Nord (depuis Paul Ier) y vinrent prendre séance, le 6 juin 1782 
 416
Discours prononcé par M. de Condorcet, à la séance publique de l’Académie des sciences, le 12 novembre 1783 
 426
Discours de M. de Condorcet, en réponse à celui de M. Bailly, le jeudi 26 février 1784 
 429
Discours de M. de Condorcet, en réponse à celui de M. le comte de Choiseul-Gouffier, le jeudi 26 février 1784 
 435
Discours prononcé par M. de Condorcet, à l’ouverture de la séance de l’Académie royale des sciences, du 4 septembre 1784 
 446
Discours sur les sciences mathématiques, prononcé au Lycée, le 15 février 1786, par M. de Condorcet 
 453
Discours sur l’astronomie et le calcul des probabilités, lu au Lycée en 1787 
 482