NOTES
Nous avons déjà dit que ce recueil avait été publié par M. Guichard dans le Journal des Savants de Normandie (1844, p. 371.) Quelques-unes de ces mêmes ballades se trouvent également reproduites dans divers ouvrages que nous devons indiquer ici.
Christine consent à la prière de quelques amis à composer aucuns beaulz diz. Cette ballade a été publiée par Mlle de Kéralio mais d’une façon fort incorrecte (Collection des meilleurs ouvrages composés par des dames. Paris, 1787, in-8o, III, p. 52.)
L’auteur s’est évidemment inspiré des Épitres XVIII et XIX des Héroïdes d’Ovide. Ce poète lui était d’ailleurs très familier, comme nous aurons souvent l’occasion de le constater.
Ces ballades sont consacrées à la douleur de la veuve et à l’inconstance de la Fortune. La XIIe a été publiée par M. Poujoulat (Collection des Mémoires relatifs à l’Histoire de France, I, p. 584) et par Mlle de Kéralio (Op. cit., III, p. 53) et la XIXe par la même (III, p. 54).
Publiée par M. Paulin Paris (Manuscrits françois, V, p. 152).
