Page:Léonard de Vinci - Traité élémentaire de la peinture, 1803.djvu/469

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En quel endroit il ne peut y avoir de reflets, ibid. ch. lxxvj.
De la couleur des reflets, pag. 63, ch. lxxvij.
De la clarté ou de l’éclat des reflets, pag. 64, chap. lxxviij.
En quel endroit ils paroissent davantage, en quel endroit ils paroissent moins, pag. 65, ch. lxxix.
Quelle partie d’un reflet doit être plus claire, ibid. ch. lxxx.
Des reflets du coloris de la carnation, pag. 67, ch. lxxxj.
En quels endroits les reflets sont plus sensibles, pag. 68, ch. lxxxij.
Des reflets doubles et triples, ibid. ch. lxxxiij.
Que la couleur d’un reflet n’est pas simple, mais mêlée de deux ou de plusieurs couleurs, pag. 70, ch. lxxxiv.
Que les reflets sont rarement de la couleur du corps d’où ils partent, ou de la couleur du corps où ils sont portés, pag. 71, ch. lxxxv.
Des couleurs des reflets, de la vivacité et de la foiblesse de ces couleurs, pag 72, ch. lxxxvj.
Des termes des reflets, pag. 74, ch. lxxxviij.
Relief. Les choses peintes n’ont jamais le même relief que les choses naturelles, et pourquoi, pag. 37, ch. liij.
Quelle lumière peut donner un plus grand relief aux figures, pag. 41, ch. lv.
Moyen pour donner un grand relief aux figures, pag. 57, ch. lxx, et pag. 293, ch. cccxliij.