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Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu/187
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188
L’HONNEUR DE SOUFFRIR
LXXV
Il m’apparaît soudain que vous aimiez la vie
119
LXXVI
J’ai regardé d’un œil content
121
LXXVII
Hier, j’ai traversé, comme je fais souvent
122
LXXVIII
J’ai tant souffert, je souffre tant
123
LXXIX
Les tombeaux. Tout l’oubli du monde épars
125
LXXX
Jadis je m’aimais
127
LXXXI
L’homme s’attache à l’espérance
128
LXXXII
Chère ombre à qui je parle bas
129
LXXXIII
Ils sont morts, et mon cœur, secret de ma raison
130
LXXXIV
L’enfance est une route ardue
132
LXXXV
Tout est, et pourtant tout n’est rien
133
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