une lacune. M. A. de Montaiglon rétablit ainsi ce passage : « du Regnard (& du chien que Neptune & Vulcan avoient féés comme le dit) Julius… « Voyez t. II, p. 259, l. 26, et le Commentaire. Mais là c’est Bacchus, et non Neptune, qui a féé le renard.
L. 9 : Cigne. Ms. : Cinge.
Page 221, l. 5 : Lampades noſtre eſtinguntur. « Nos lampes s’éteignent. » Paroles des vierges folles. Saint Matthieu, XXV, 8.
L. 23, col. 2 : De par ſa femme. Le copiste avait d’abord écrit ma. Il a effacé ce mot et a mis au-dessus ſa. Il y avait probablement ma dans le premier vers de la chanson.
L. 25, col. 2 : Malemaridade. « La maumariée, » la mal mariée. Voyez Chansons du XVe siècle publiées par Gaston Paris (Société des anciens textes français), p. 5, note 1.
Page 222, l. 3, col. 1 : La mouſque de Biſcaye. On serait tenté de croire qu’il s’agit d’une mouche ; il n’en est rien : le premier vers de la chanson, que nous avons dans son entier avec la musique, est :
Vne mouſſe (jeune fille) de Biſcaye.
L. 6, col. 1 : La peronnelle.
Au’ous point veu la Perronnelle ?
L. 6, col. 2 : C’eſt ſimplement donné congé.
C’eſt ſimplement donner congié.
L. 25, col. 2 : Faiſons la faiſons.
Faiſons bon chere, faiſons la, faiſons.
L. 29, col. 1 : A l’ombre d’vn buiſſonnet. Voyez ci-dessus, p. 319, note sur la l. 31 de la p. 30.*
* A l’ombre. Ms. : à l’oree. C’est le commence-