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TABLE DES MATIÈRES.
150.
Quatrain sur le maréchal de Saxe
151.
Inscriptions mises sur la nouvelle porte de Nevers, en l’honneur de Louis XV. (1740.)
152.
À M. Clément de Dreux. (1746.)
153.
Couplets chantés par Polichinelle, et adressés à M. le comte d’Eu, qui avait fait venir les marionnettes à Sceaux. (1746.)
154.
À madame Dumont, qui avait adressé des vers à l’auteur, en lui demandant d’entrer avec sa fille aux fêtes de Versailles pour le mariage du dauphin. (1747.)
155.
Sur ce que l’auteur occupait à Sceaux la chambre de M. de Saint-Aulaire, que Mme la duchesse du Maine appelait son berger. (1747.)
156.
À madame la duchesse du Maine
157.
À madame la marquise du Châtelet, le jour qu’elle a joué à Sceaux le rôle d’Issé. (1747.)
158.
À la même. Parodie de la sarabande d’Issé. (1747.)
159.
À madame du Châtelet, qui dînait avec l’auteur dans un collége, et qui avait soupé la veille avec lui dans une hôtellerie
160.
À un bavard
161.
Impromptu écrit sur la feuille du suisse de M. le duc de La Vallière, à qui l’auteur allait demander la romance de Gabrielle de Vergy
162.
À madame la duchesse d’Orléans, qui demandait des vers pour une de ses dames d’atour
163.
À madame de Pompadour
164.
Sur le serin de Mlle de Richelieu
165.
À M. de La Popelinière, en lui envoyant un exemplaire de Sémiramis (1748.)
166.
Vers récités par une pensionnaire du couvent de Beaune avant la représentation de la Mort de César, pour la fête de la prieure
167.
Épigramme sur Boyer, théatin, évêque de Mirepoix, qui aspirait au cardinalat
168.
Impromptu à madame du Châtelet, déguisée en Turc, et conduisant au bal Mme de Boufflers, déguisée en sultane
169.
Au roi Stanislas
170.
À M. de Pleen, qui attendait l’auteur chez Mme de Graffigny, où l’on devait lire la Pucelle
171.
À madame du Châtelet
172.
Étrennes à la même, au nom de Mme de Boufflers
173.
À madame de Boufflers
174.
Compliment adressé au roi Stanislas et à Mme la princesse de La Roche-sur-Yon, sur le théâtre de Lunéville, par Voltaire, qui venait d’y jouer le rôle de l’assesseur dans l’Étourderie
175.
Chanson composée pour la marquise de Boufflers
176.
Au roi Stanislas, à la clôture du théâtre de Lunéville
177.
À madame du Bocage
178.
À la même, sur son Paradis perdu
179.
Épitaphe de Mme du Châtelet
180.
À madame de Pompadour, qui trouvait qu’une caille servie à son diner était grassouillette
181.
À M. d’Arnaud, qui lui avait adressé des vers très-flatteurs
182.
À madame de Pompadour, dessinant une tête
183.
À la même, après une maladie
184.
Impromptu à la même, en entrant à sa toilette, le lendemain d’une représentation d’Alzire au théâtre des petits appartements, où elle avait joué le rôle d’Alzire
185.
Vers faits en passant au village de Lawfelt. (1750.)