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Page:Jean Chrysostome - Oeuvres complètes, trad Jeannin, Tome 7, 1865.djvu/620

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TABLE DES MATIÈRES.
Satan, il est divisé contre lui-même. Comment donc son royaume subsistera-t-il ? (Chap. XII, 25, 26, jusqu’au verset 33.)
Ou dites que l’arbre est bon et que le fruit aussi en est bon, ou dites que l’arbre est mauvais et que le fruit aussi en est mauvais. Car c’est par le fruit que l’on connaît l’arbre. (Chap. xii, 33, jusqu’en verset 38.)
Alors des docteurs de la loi et des pharisiens lai dirent : Maître, nous voudrions bien que vous nous fissiez voir quelque prodige. Mais il leur répondit : Cette race méchante et adultère demande ua prodige, et on ne lui en accordera point d’autre que celui du prophète Jonas. (Chap. XII, 38, 39, jusqu’au verset 48.)
Comme il parlait encore au peuple, sa mère et ses frères étaient dehors qui demandaient à lui parler. Et quelqu’un lui dit : Voilà votre mère et vos frères qui sont là dehors et qui vous demandent. Mais il répondit à celui qui disait cela : Qui est ma mère et qui sont mes frères ? EL étendant sa main sur ses disciples : Voici, dit-il, ma mère, et voici mes frères. (Chap. XII, 46, 47, 48, 40, jusqu’au verset 10 du chap. XIII.)
Ses disciples s’approchant de lui, lai dirent : Pourquoi leur parlez-vous ainsi en paraboles ? Il leur répondit : Parce qu’il vous est donné de connaître les mystères du royaume des cieux, mais pour eux il ne leur est pas donné. (Chap. XIII, 10, 14, jusqu’au verset 24.)
Jésus leur proposa une autre parabole en disant : Le royaume des cieux est semblable à un homme qui avait semé du bon grain dans son champ. Mais pendant que les hommes dormaient, son ennemi vint et sema de l’ivraie parmi le blé et s’en alla. (Chap. xiii, 24, 25, jusqu’au verset 54.)
Jésus dit toutes ces choses au peuple en paraboles, et il ne leur parlait point sans paraboles, afin que celle parole du prophète fût accomplie : J’ouvrirai ma bouche pour parler en paraboles ; je des choses qui out été cachées depuis la création du monde. (Chap. x, 54, 35, jusqu’au verset 53.)
Jésus ayant achevé ces paraboles, partit de là, et étant veou dans s00 pays, il les instruisait dans leur synagogue, etc. (Chap. xiii, 55, jusqu’au verset 13 du chap. XIV.)
Jésus donc ayant appris ce qu’Hérode croyait de lai, partit de ce lieu dans une barque, et se retira en particulier dans un lieu désert : et le peuple, l’ayant su, le suivit à pied de diverses villes. (Chap. XIV, 13, jusqu’au verset 25.)
Et Jésus ayant renvoyé le peuple, monta tout seul sur la montagne pour prier, et le soir étant venu, il était là seul. Cependant la barque était fort battue des flots au milieu de la mer, parce que le vent était contraire. (Chap. XIV, 25, 24, jusqu’à la fin du chapitre.)
Alors des docteurs et des pharisiens de Jérusalem vinrent, et lui dirent : Pourquoi vos disciples, etc. (Chap. xv, 1, jusqu’au verset 21.)
Après, Jésus s’en allant de ce lieu se retira du côté de Tyr et de Sidon. Et une femme chananéenne qui était sortie de ce pays-là, s’écria en lui disant : Seigneur, Fils de David, ayez pitié de moi, ma fille est misérablement tourmentée du démon. (Chap. xv, 21, jusqu’au verset 32.)
Or, Jésus, appelant ses disciples, leur dit : J’ai grande compassion de ce peuple, parce qu’il y a déjà trois jours qu’ils demeurent continuellement avec moi, et ils n’ont rien à manger ; et je ne veux pas les renvoyer sans avoir mangé, de peur qu’ils ne tombent en défaillance sur les chemins. (Chap. xv, 38, jusqu’au verset 13 du chap. xvi.)
Or, Jésus étant venu aux environs de Césarée de Philippes, interrogeait ses disciples en leur disant : Que disent les hommes de moi ? Qui disent-ils qu’est le Fils de l’homme ? (Chap. xvi, 13, jusqu’au verset 24.)
Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à soi-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive. (Chap. xvi, 24, jusqu’au verset 28.)
Je vous dis en vérité qu’il y en a quelques-uns de ceux qui sont ici présentement qui ne mourront point qu’ils n’aient vu le Fils de l’homme venir en son règne. (Chap. XVI, 28, jusqu’au verset 10 du chap. XVII.)