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Page:Jean Chrysostome - Oeuvres complètes, trad Jeannin, Tome 7, 1865.djvu/619

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TABLE DES MATIÈRES.

ravis en admiration de sa doctrine. Car il les enseignait comme ayant autorité, et non pas comme les docteurs de la Lol. (Chap. vii, 28, 29, jusqu’au verset 5 da chap. VIII.)
Et Jésus étant entré à Capharnaüm, un centenier vint à lui le suppliant, et lai disant : Seigneur, mon serviteur est malade de paralysie dans ma maison, et il est extrêmement tourmenté. (Chap. viii, 5, jusqu’au verset 14.)
Or Jésus étant dans la maison de Pierre, vit sa belle – mère qui était au lit et avait la fièvre. 11 lui toucha la main et la Bièvre la quitta, et, s’étant levée, elle les servait. (Chap. viii, 14, 13.)
Jésus étant entré dans une barque, ses disciples le suivirent ; et aussitôt une grande tempête s’éleva sur la mer, en sorte que la barque était couverte des fois, et lui cependant dormait. (Chap. viii, 23, 24, jusqu’à la fin du chapitre.)
Et Jésus étant entré en une barque passa au-delà de l et vint en sa ville. (Chap. ix, 1, jusqu’au verset 9.)
Et Jésus sortant de là, vit en passant un homme qui était assis au bureau des impôts, nommé Matthieu, auquel il dit : Suivez-moi. Et lui se levant, le suivit. (Chap. IX, 9, jusqu’au verset 19.)
Comme Jésus disait ceci, le chef de la synagogue s’approcha de lui, et il l’adorait en lui disant : Seigneur, ma fille est morte présentement, mais venez lui imposer les mains, et elle vivra. (Chap. ix, 18, jusqu’au verset 27.)
Comme Jésus sortait de ce lieu, deux aveugles le suivirent, criant après lui et disant : Fils de David, ayez pitié de nous. (Chap. IX, 27, jusqu’au verset 16 du chap. x.)
Je vous envole comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme des et simples comme des colombes, (Chap. x, 16, Jusqu’au verset 25.)
Lors donc qu’ils vous persécuteront dans une ville, fuyez dans une autre. Je vous dis en vérité que vous n’aurez pas achevé de parcourir toutes les villes d’Israël, que le Fils de l’homme ne soit venu. (Chap. x, 23, jusqu’au verset 34.)
Ne pensez pas que je sois venu pour apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu pour y apporter la paix, mais l’épée. Car je suis venu pour séparer l’homme d’avec son père, et la fille d’avec sa mère, et la belle-fille d’avec sa belle-mère. Et l’homme aura pour ennemis ceux de sa maison, (Chap. x, 34, 35, 36, jusqu’à la fin du chapitre.)
Jésus ayant achevé de donner ces instructions à ses douze disciples, il partit de là pour s’en aller enseigner et prêcher dans les villes de cette contrée. (Chap. XI, 4, jusqu’au verset 7.)
Mais comme ils s’en allaient, Jésus commença à dire au peuple, en parlant de Jean : Qu’êtes-vous allés voir dans le désert ? Un roseau agité du vent ? Qu’êtes-vous, dis-je, allés voir ? Un homme vêtu avec luxe et avec mollesse ? Vous savez que ceux qui s’habillent de cette sorte sont dans les maisons des rois. (Chap. XI, 7, jusqu’au verset 25.)
En ce temps-là Jésus passait, un jour de sabbat, à travers les blés ; et ses disciples, ayant faim, se mirent à rompre des épis et à manger. Ce que voyant les pharisiens, ils lui dirent : Voilà vos disciples qui font ce qu’il n’est point permis de faire au jour du sabbat. (Chap. XI, 4, 3, jusques sa verset 9.)
Alors Jésus dit ces paroles : Je vous rends gloire, mon Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que vous avez caché ces choses aux sages et aux prudents, et que vous les avez révélées aux simples et aux petits. Oui, mon Père, parce qu’il vous a plu ainsi. (Chap. XI, 25, 26, jusqu’à la fin du chapitre.)
Jésus étant parti de là, vint en leur synagogue. Et comme il s’y trouva un homme qui avait la main desséchée, ils lui demandèrent s’il était permis de guérir le jour du sabbat, pour avoir un sujet de l’accuser, (Chap. XII, 9, 10, jusqu’au verset 25.)
Jésus, connaissant leurs pensées, leur dit : Tout royaume divisé contre lui-même sera ruiné ; et toute ville ou toute maison divisées contre elle-même ne pourra subsister. Que si Satan chasse