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Pages
Lagrange au Père Gherli. – Berlino, 5 juglio 1776 
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Il le remercie de l’envoi de son Cours de Mathématiques dont il fait grand éloge, avec quelques observations. — J. Cardan. Bombelli. — Lagni. Il attend avec impatience le dernier Volume où il espère trouver la majeure partie deys méthodes concernant le Calcul intégral et surtout celles qui ont été découvertes dans ces derniers temps. Il a lu, l’année passée, à l’Académie un Mémoire contenant une addition importante au Calcul intégral ; il est actuellement sous presse. Il lui enverra un exemplaire du tirage à part.
  
Beausobre à Lagrange. — (1776) 
 273
   
Il le prie de lui communiquerson Mémoire sur l’établissement pour le fonds des veuves.
  
Lagrange à …. — Berlin, 11 juillet 1778 
 273
   
Il lui envoie par M. Verney deux paquets, dont l’un contient quatre portraits gravés du roi (de Prusse), et l’autre l’Histoire diplomatique universelle, de M. Wegelin. Regrets sur la disgrâce de leur ami Denina. Réflexions sur les Ouvrages qui ont attiré des persécutionsà leurs auteurs L’Encyclopédie, les Dialogues de Galilée, dont maintenant on ne peut plus soutenir la lecture. — Envoi d’une médaille de l’impératrice de Russie. — Le docteur Cigna. — Richeri.
  
Lagrange à Bézout. — Berlin, 12 juillet 1779 
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Il lui doit des remerciements infinis pour l’envoi de sa Théorie des équations, dont il fait le plus grand éloge. Observations sur quelques points de sa méthode d’élimination.
  
Lagrange au marquis Caraccioli. – Berlin, 13 octobre 1781 
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Il a reçu ses deux lettres de Naples.- Réponse à ses questions sur la théorie des plans inclinés. Galilée. — Newton. Euler. Sujet de prix proposé pour 1782 par la classe de Mathématiques de l’Académie de Berlin. — Le capitaine Tempelhof. — Il ne peut songer à quitter Berlin, où il jouit de sécurité, de repos et de liberté, pour aller s’établir Naples, sur l’Académie de laquelle il ne possède aucun renseignement. — Détails sur sa vie, ses goûts et ses habitudes. — Il n’en conserve pas moins son attachement pour l’Italie, et il éprouverait une grande consolation s’il pouvait se rapprocher de lui, près de qui il a passé les heures les plus heureuses de sa vie.
  
Lacroix à Lagrange. — (Besançon), 9 septembre 1789 
 282
   
Il le remercie de la part qu’il a prise à sa nomination comme Correspondant de l’Académie des Sciences.
  
Lagrange au Prince …. – Paris, 24 octobre 1791 
 283
   
Il s’excuse de ne pas lui avoir écrit ; la cause en est à l’agitation dans laquelle il a vécu pendant les troubles, où, quoique simple spectateur, il n’en a pas moins été affecté ; mais il ne regrette pas d’avoir assisté à un spectacle le plus intéressant pour les philosophes, celui d’une grande nation qui se crée un nouveau gouvernement, non par la force des armes, mais par celle de la parole et de l’opinion publique. — L’Assemblée nationale lui a conservé la pension que le roi lui avait donnée. Détails à ce sujet. — Mirabeau. — Il a été très flatté de l’invitation qu’on lui avait faite de venir s’établir en Toscane, mais sa répugnance à entreprendre une nouvelle carrière l’a empèché d’en profiter. – Agréments du séjour de Paris et de ses environs.