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Lagrange à Lorgna. – 10 juillet 1778
Il a présenté à l’Académie un exemplaire de son Traité De casu irreductibili tertü gradus ; les autres seront, à l’occasion, remis à Bernoulli et à Euler. — Compliments sur ce travail, et observations sur un calcul qu’il a donné et qui présente quelques difficultés. — Le Bailli de Sagramoso. — Le marquis de Rosignan. — L’abbé Bastiani.
Lagrange à Lorgna. – Berlin, 25 mai 1781
Il a reçu les deux Lettres qu’il lui a écrites pour l’inviter à prendre part aux travaux de la Société nouvelle qu’il a fondée, et est soucieux de mériter cet honneur et de se montrer en même temps bon compatriote. Il ne peut que lui promettre quelque chose pour le premier Tome, n’ayant rien de prêt que des Mémoires lus à l’Académie et destinés à son Recueil. Il mettra, le plus tôt possible, la dernière main à quelques petites choses, et, si elles ne sont point indignes de son attention, il aura l’honneur de les lui envoyer pour en faire l’usage qui lui conviendra. Il a vu le prodrome de l’Enciclopedia italiana et en a été assez satisfait, à part les deux articles de Mathématiques qui lui ont semblé trop diffus.
Lagrange à Lorgna. — Berlin, 30 juillet 1782
Lettre de recommandation pour le chevalier de Ribas. On lui avait fait, l’année précédente, quelque proposition pour l’Académie de Naples ; mais il n’a pas été donné suite à ce projet.
Lagrange à Lorgna. — Berlin, 17 juin 1783
Il a reçu tardivement le paquet qu’il lui a envoyé par la voie assez coûteuse de la poste, et les exemplaires du Volume de la Société italienne, à laquelle il voudrait bien apporter son contingent, seront, l’un présenté à l’Académie, le second envoyé à Euler par l’entremise de M. Formey ; quant au troisième, qui lui est destiné, il le gardera avec le Traité de Statique, dant il lui est très reconnaissant.
Lagrange à Lorgna. – Berlin, ier octobre 1786
Il le remercie de l’honneur qu’il lui a procuré en le faisant nommer membre de la Société italienne, et de l’envoi par le prince de Cardite des Mémoires qu’il a lus avec plaisir. — M. Achard. Ses remarques sur l’alcali marin et sur la nature de la magnésie lui paraissent fort curieuses. — Critique de sa nouvelle méthode de Calcul intégral.
Lagrange au Secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences de Paris. — Berlin, 29 juin 1772
Il lui envoie la Lettre qu’il adresse à l’Académie pour la remercier de son élection comme associé étranger.
Lambert à Lagrange. – (Berlin), 19 janvier 1774
Il lui renvoie une pièce destinée au concours pour le prix proposé par l’Académie de Berlin sur la Théorie des comètes. Pièce d’Euler de 1748.
Lagrange à J.-J. de Marguerie. — Berlin, 24 février 1774
Éloge de ses travaux d’Analyse.
