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Les Consolations (Sainte-Beuve)

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les

CONSOLATIONS


On ne hait les hommes et la vie que faute de voir assez loin. Étendez un peu plus votre regard, et vous serez bientôt convaincu que tous ces maux dont vous vous plaignez sont de purs néants.
René.


Credo ego generosum animum, præter Deum ubi finis est noster, præter seipsum et arcanas curas suas, aut præter aliquem multa similitudine sibi conjunctum animum, nusquam acquiescere.
Petrarca, de Vita solitaria, lib. I, sect. 1.


(MARS 1830)



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XI. 
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XIII. 
Sonnet, imité de Wordsworth. C’est un beau soir 
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XIV. 
Sonnet, de Wordsworth. Les passions, la guerre 
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XV. 
Sonnet, du même. Quand le Poëte en pleurs 
 53
XVI. 
 54
 55
 69
XXI. 
Sonnet à Boulanger. Ami, ton dire est vrai 
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XXII. 
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XXIII. 
Sonnet à V. H. Votre génie est grand 
 73
XXIV. 
Sonnet à madame L. Madame, vous avez 
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XXVII. 
À Victor Pavie. La Harpe Éolienne. Traduit de Coleridge 
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XXVIII. 
À mon ami Paul Lacroix. Les Larmes de Racine 
 84
POÉSIES DIVERSES
Faisant suite aux Consolations.





Sonnets à la duchesse de Rauzan. I. Au Thil où vous aimez 
 181
Sonnet à madame P. Heureux loin de Paris 
 190