Les Consolations (Sainte-Beuve)
Apparence
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Poésies de Sainte-Beuve, Michel Lévy frères., .
les
CONSOLATIONS
On ne hait les hommes et la vie que faute de voir assez loin. Étendez un peu plus votre regard, et vous serez bientôt convaincu que tous ces maux dont vous vous plaignez sont de purs néants.
René.
Credo ego generosum animum, præter Deum ubi finis est noster, præter seipsum et arcanas curas suas, aut præter aliquem multa similitudine sibi conjunctum animum, nusquam acquiescere.
Petrarca, de Vita solitaria, lib. I, sect. 1.
(MARS 1830)
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II.
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VII.
Sonnet. L’autre nuit, je veillais
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VIII.
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IX.
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XI.
Sonnet. Un grand chemin ouvert
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XII.
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XIII.
Sonnet, imité de Wordsworth. C’est un beau soir
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XIV.
Sonnet, de Wordsworth. Les passions, la guerre
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XV.
Sonnet, du même. Quand le Poëte en pleurs
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XVI.
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XVII.
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XVIII.
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XIX.
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XX.
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XXI.
Sonnet à Boulanger. Ami, ton dire est vrai
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XXII.
Sonnet. À Francfort-sur-le-Mein
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XXIII.
Sonnet à V. H. Votre génie est grand
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XXIV.
Sonnet à madame L. Madame, vous avez
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XXV.
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XXVI.
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XXVII.
À Victor Pavie. La Harpe Éolienne. Traduit de Coleridge
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XXVIII.
À mon ami Paul Lacroix. Les Larmes de Racine
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POÉSIES DIVERSES
Faisant suite aux Consolations.
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135
174
Sonnets à la duchesse de Rauzan. I. Au Thil où vous aimez
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Sonnet à madame P. Heureux loin de Paris
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