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TABLE DES MATIÈRES
LXII. — 
Comme j’expliquais ce que réellement 
 90
LXIII. — 
Je cherche, au sujet d’un suicide 
 92
LXIV. — 
Comme nous parlions de ce canon qui a sauté 
 93
LXV. — 
Je ne sais si la pitié est aussi bonne qu’on le dit 
 94
LXVI. — 
Zadig, dans Voltaire, devient amoureux de la Reine 
 96
LXVII. — 
Si je fais le compte de ceux que j’ai connus 
 97
LXVIII. — 
Il y a, dit le psychologue, des sentiments troubles 
 98
LXIX. — 
Au sujet de ces exhibitions de femmes nues 
 100
LXX. — 
Platon raconte qu’un certain Gygès 
 101
LXXI. — 
Quand un jardinier veut faire un jardin 
 102
LXXII. — 
Tout change et même assez vite 
 103
LXXIII. — 
Il est assez connu que notre Raison 
 104
LXXIV. — 
Le grand maître de l’Université 
 105
LXXV. — 
Il faut savoir un métier, c’est évident 
 106
LXXVI. — 
Un ami des « Jardins d’Enfants » 
 108
LXXVII. — 
Il y a un livre stupide entre tous 
 109
LXXVIII. — 
Tous les petits garçons regardent avidement les locomotives 
 110
LXXIX. — 
Un petit garçon demandait 
 111
LXXX. — 
On voit maintenant Vénus le soir au couchant 
 113
LXXXI. — 
Pour un gamin de Dieppe ou du Havre 
 114
LXXXII. — 
Les écoliers étaient au bord de l’eau 
 115
LXXXIII. — 
La plupart des enfants dessinent avant d’écrire 
 117
LXXXIV. — 
Maître Aliboron, c’est ainsi que l’élégant Barrès 
 118
LXXXV. — 
Ce ne sont que des querelles byzantines 
 119
LXXXVI. — 
Vous savez ce que c’est qu’un taupin ? 
 121
LXXXVII. — 
Le polytechnicien m’attire et me repousse 
 122
LXXXVIII. — 
Il y a à peu près deux mois 
 123
LXXXIX. — 
Il y a deux familles d’esprit 
 125
XC. — 
Tous ces pédagogues en robe 
 126
XCI. — 
Un professeur me disait hier 
 127
XCII. — 
« Il faut définir la culture 
 128
XCIII. — 
Platon a dit des choses merveilleuses 
 130
XCIV. — 
Toute vertu est courage 
 131