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- Vie de Richard et de Cosima Wagner à Tribschen. — L’accueil fait à Nietzsche. — L’amitié-poème. — Ce qu’a pu être le sentiment de Nietzsche pour Mme Cosima Wagner. — Influence de cette amitié sur l’œuvre de Nietzsche. — Synthèse de Schopenhauer et de Wagner. — Identification du drame wagnérien et de la tragédie grecque. — Conférences sur le Drame musical grec et sur Socrate et la tragédie. — Importance vraie de ces essais. — Désaccords menaçants entre Nietzsche et Wagner. — Reprise des travaux philologiques : Diogène Laërce, Ménippe, Certamen Homeri et Hesiodi.
- Le patriotisme allemand de Nietzsche. — Sa campagne ; sa maladie. — La Commune. — Ce que les événements de 1870 enseignent à Nietzsche.
Chapitre II. — Amitiés proches et lointaines
- Le besoin d’amitié chez Nietzsche. — Effacement des amitiés de Naumburg.
- Conversion de Deussen au schopenhauérisme. — Nietzsche lui doit en partie son érudition indoue.
- Son livre sur Kant et Empédocle. — Romundt, commensal de Nietzsche à Bâle.
- Un hobereau cultivé. — Préjugés communs entre les deux amis. — Leur intimité jusqu’en 1876.
- La correspondance de Nietzsche et de Rohde. — Ce qui les dégrise de la victoire allemande après 1870. — Leur accord sur Schopenhauer et Richard Wagner. — La doctrine de Rohde. — Nuance de son pessimisme. — Sa notion des rapports entre le conscient et l’inconscient. — Sa critique de Schopenhauer. — Sa théorie de la tragédie grecque et du tragique. — Sa théorie de l’art.