[Que flors et pieres en fait jus craventer.]
Je supplée ce vers, omis sans doute par le compilateur, et qui se retrouve textuellement dans presque tous les récits de combats.
P. 235, v. 1 : raviser. (Huon de Bordeaux, p. 131.)
P. 237, v. 27 : Qu’il espenisse le mesfait.
Desor paiens là t’espenéiras.
P. 239, v. 3 : ma vie aler querant, ou mieux peut-être : m’en aler mendiant.
P. 239, v. 18 : entrencontré. (Gaydon, p. 46, v. 4.)
P. 239, v. 19 : Naimes et Isorés. Je substitue le nom bien connu d’Isorés à celui de Salatré qui reparaît au vers suivant.
De deus vassals, sol à sol, en un pré.
Otinel, p. 8 et 9 :
Mès car alons le matin en ces prez,
Tout seul à seul.
P. 245, v. 4 : d’aler ou champ. V. Huon de Bordeaux, p. 50, v. 34, et 51, v. 1.
P. 245, v. 12 : Qui la fera ? — Faire la bataille est une locution habituelle. Voir cette expression à la page 244, vers 4, où je l’ai rejetée parce qu’elle ne s’adaptait pas à la mesure du vers.
Par foi, dist ele, vos estes fos provés.
On peut lire aussi : vos estes forsenés, en restant