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—XVIII. — Que la formation d’Adam ne fut point en dehors des causes primordiales.
—XIX. — Le corps d’Adam tel que Dieu le forma, n’était pas spirituel, mais animal.
—XX. — Formé d’abord avec un corps animal, Adam a-t-il revêtu un corps spirituel dans le Paradis.
—XXI. — Réfutation de cette hypothèse.
—XXII. — On ne peut soutenir qu’Adam après le péché a été condamné à la mort de l’âme plutôt qu’à celle du corps.
—XXIII. — Nouvelle réfutation de l’hypothèse précédente.
—XXIV. — Comment l’homme en se régénérant recouvre-t-il le privilège perdu par Adam ?
—XXV. — Le corps d’Adam était à la fois mortel et immortel.
—XXVI. — Différence du corps d’Adam au nôtre.
—XXVII. — Comment pouvons-nous retrouver les privilèges qu’Adam a perdus.
—XXVIII. — Adam, quoique spirituel à l’extérieur, eut un corps animal, même dans le Paradis.
—XXIX. — Sujet du livre suivant.
LIVRE VII.
l’âme humaine.
Chapitre premier. — Préliminaires de ce livre.
—II. — La substance de l’âme n’est pas la même que celle de Dieu.
—III. — Suite du même sujet.
—IV. — Dieu n’a fait sortir l’âme ni de son essence, ni des éléments.
—V. — L’âme est-elle tirée du néant ?
—VI. — Y a-t-il eu pour l’âme une substance préexistante, de même que pour le corps ?
—VII. — Qu’il est impossible de déterminer les qualités de cette force primitive.
—VIII. — Que cette matière de l’âme était incapable de bonheur.
—IX. — Que cette matière ne peut être une âme dépourvue de raison.
—X. — L’analogie des mœurs entre l’homme et l’animal n’est pas une preuve en faveur de la métempsycose.
—XI. — Des illusions qui font croire à la métempsycose. L’erreur des Manichéens plus impie que celle des Philosophes.
—XII. — L’âme n’a point pour principe un élément matériel.
—XIII. — De l’opinion des médecins sur le corps de l’homme.
—XIV. — L’âme est distincte des éléments
—XV. — L’âme est immatérielle.
—XVI. — Du sens des expressions : « l’homme fut fait âme vivante. »
—XVII. — Pourquoi Dieu souffla-t-il sur la face de l’homme ?
—XVIII. — Des trois parties principales du cerveau.
—XIX. — Supériorité de l’âme sur la matière.
—XX. — Distinction de l’âme et des organes.
—XXI. — L’âme ne peut sortir de la matière, ni être un corps.
—XXII. — La cause virtuelle de l’âme a-t-elle été créé dans la période des six jours ?
—XXIII. — La cause virtuelle de l’âme humaine a-t-elle été disposée dans les esprits angéliques ?
—XXIV. — L’âme a-t-elle été créée avant d’être associée aux organes ?
—XXV. — L’âme, en supposant qu’elle ait existé hors du corps, s’est-elle spontanément associée aux organes ?
—XXVI. — L’âme volontairement unie au corps n’a-t-elle eu aucune connaissance de l’avenir ? — Du libre arbitre.
—XXVII. — Du penchant naturel qui attache l’âme au corps.
—XXVIII. — Des objections contre l’opinion selon laquelle l’âme et le corps d’Adam ont été simultanément créés.
LIVRE II.
le paradis terrestre.
Chapitre premier. — Le Paradis terrestre est tout ensemble une réalité et un symbole.
—II. — Pourquoi des explications allégoriques dans le traité de la Genèse contre les Manichéens ?
—III. — De la création des arbres dans le Paradis. Retour sur la création des plantes le troisième jour.
—IV. — De l’arbre de vie : qu’il est tout ensemble un arbre réel et le symbole de la sagesse.
—V. — Suite du chapitre précédent.
—VI. — L’arbre de la science du bien et du mal.
—VII. — Des fleuves qui arrosaient le paradis terrestre.
—VIII. — L’homme placé dans le Paradis terrestre pour s’y livrer à l’agriculture.
—IX. — Enseignement que donne la culture de la terre.
—X. — Sur le sens attaché aux mots cultiver et garder.
—XI. — L’autorité de Dieu rappelée à l’homme.
—XII. — De impuissance de l’homme à faire le bien sans le secours de Dieu.
—XIII. — Pourquoi l’arbre de la science du bien et du mal a-t-il été interdit à l’homme.
—XIV. — Du mal : L’homme en a fait l’expérience en violant le précepte de Dieu.
—XV. — Pourquoi l’arbre de la science du bien et du mal a-t-il été appelé ainsi ?
—XVI. — L’homme a pu avoir l’idée du mal avant de le connaître en réalité.
—XVII. — La défense fut-elle faite à Adam et à Eve en même temps ?
—XVIII. — Comment Dieu a-t-il parlé à l’homme ?
—XIX. — De l’activité divine dans la créature, et d’abord de Dieu même.
—XX. — Le corps se meut dans le temps et l’espace, l’âme ne se meut que dans le temps : Dieu est en dehors de cette double modification.
—XXI. — Comment Dieu est-il à la fois immuable et principe du mouvement ?
—XXII. — Dieu est sûrement et absolument immuable.
—XXIII. — Que Dieu fait tout sortir de son repos.
—XXIV. — Des créatures soumises aux Anges.
—XXV. — Des lois générales et particulières selon les-quelles Dieu gouverne tout.