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Page:Chateaubriand - Œuvres complètes, éd. Garnier, 1861, tome 4.djvu/523

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6e. — page 222.

Partout où ils se glissent, ils font naître des troubles.

Voilà les véritables armes des sophistes. Ils combattent leurs adversaires en les dénonçant.


7e. — page 222.

Comme le sabot circule, etc.

Comparaison employée par Virgile et par Tibulle.


8e. — page 223.

Auguste, César, etc.

Ce début est celui de l’Apologie de saint Justin le philosophe.


9e. — page 224.

Toutefois, l’effet d’une religion…

On a trouvé cela adroit : cela n’est que juste.


10e. — page 224.

Nous ne sommes que d’hier…

Beau mot de Tertullien : Sola relinquimus templa.


11e. — page 224.

Tout se borne à savoir, etc.

Eudore va droit au but, parce qu’il parle devant un prince politique qui réduit là toute la question.


12e. — page 224.

La raison politique de l’établissement.

Voyez ci-dessus, note 4e.


13e. — page 225.

Publius, préfet de Rome.

Ce mot sur Publius, jeté en passant, n’est pas inutile. Il amène en scène un personnage déjà nommé dans le quatrième livre, et qui va bientôt jouer un rôle important.