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TABLE ET SOMMAIRES DES LETTRES
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141. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 25 mars 1776 
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Le bruit court qu’il viendra cette année à Berlin. — M. Beguelin lui envoie ses remerciements. — Le Roi a ordonné à l’Académie d’attirer à Berlin un grand chimiste suédois dont on ignore le nom. — Il lui enverra une copie, avec les réponses, des objections contre son Mémoire sur les ressorts. — Il est très impatient d’avoir son jugement sur la théorie des intégrales particulières. — Marquis de Condorcet.
 
142. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 26 avril 1776 
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Le prix des Comètes a été remis, malgré les plaintes qu’on pourra en faire à Pétersbourg. — Envoi du prospectus pour le nouveau concours. — Il ne peut plus espérer d’aller à Berlin cette année ; la rigueur de l’hiver a encore affaibli sa santé, et il passe ses journées près d’une ancienne amie mourante (Mlle Lespinasse). — Le Roi a fait confusion et a pris pour M. Weguelin la recommandation qu’il lui avait faite pour M. Beguelin. — C’est lui qui a désigné au Roi le chimiste suédois, M. Scheele. — Il travaille, de loin en loin, au septième Volume de ses Opuscules.
 
143. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 10 mai 1776 
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Envoi : 1o du Mémoire sur les intégrales particulières, qu’il le supplie d’examiner avec toute la rigueur possible, car dans ses travaux il n’a qu’un but : l’avancement des sciences ; 2o d’un Mémoire sur le mouvement des nœuds. — Il concourra pour le prix des Comètes. — Rien de nouveau pour la succession de M. Margraff, qui ne fait que languir. — Discussion sur les ressorts. — Marquis Caraccioli. — Publication du cinquième Volume de Turin, où il y a deux Mémoires de lui.
 
144. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 16 août 1776 
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Il est accablé par la perte qu’il vient de faire de Mlle Lespinasse. — Le Roi lui a écrit une Lettre pleine de bonté, et il fera son possible pour l’aller remercier l’année prochaine. — M. de Condorcet lui a parlé avec grand éloge du Mémoires de Lagrange sur les intégrales particulières ; mais, pour lui, en ce moment, il n’entendrait pas les Éléments d’Euclide. — Il fera ce qu’il pourra pour M. Beguelin. — Maintenant il demeure au Louvre, comme secrétaire perpétuel de l’Académie française. — Il lui annonce que M. de Condorcet vient d’être nommé secrétaire de l’Académie des Sciences, à la place « de notre imbécile Fouchy ». — La retraite de M. de Malesherbes l’a empêché de rendre près de lui le service que demandait M. Borelly.
 
145. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 25 septembre 1776 
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Envoi de divers Volumes pour lui, M. de la Place et M. de Condorcet, au suffrage duquel il a été fort sensible. — Il l’engage fort, pour se remettre, à venir à Berlin, et là il serait à même de rendre de grands services à l’Académie et à lui (Lagrange), soit auprès du Roi, soit auprès de son futur seigneur, à qui il pourrait dire quelques mots en sa faveur. — Rectification d’une réponse qu’il a faite à une de ses objections, relative aux ressorts. — Le Roi a donné des pensions à divers académiciens, et M. Beguelin a été laissé de côté.
 
146. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 14 février 1777 
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Il est enchanté de son Mémoire sur les intégrales particulières, et s’est remis un peu à la Géométrie. — Il espère être à Berlin dans les premiers jours de juin. M. Beguelin. — Il voudrait que la première place d’associé étranger fût donnée à M. Margraff. — Il a été satisfait des réponses de Lagrange à ses objections sur la théorie des ressorts. — Observations sur un Mémoire d’Euler, de 1756. — Mémoire de Clairaut.