Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 13.djvu/404

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
398
TABLE ET SOMMAIRES DES LETTRES
Pages
147. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 15 juillet 1777 
 327
  
Envoi de divers Mémoires pour lui, MM. de Condorcet et de la Place. — Il lui recommande son Addition au Mémoire sur les sphéroïdes. — Il est enchanté du Mémoire de M. de la Place sur l’intégration des équations aux différences partielles. — Le Mémoire de M. Messier paraîtra dans le Volume de 1777. — Regrets de son voyage manqué. — Élection à l’Académie des Sciences de Margraff, qui est dans le même état que Newton à la fin de sa vie. — On est menacé de perdre Sulzer et Lambert. — Il regretterait beaucoup ce dernier. — Observations sur les intégrales particulières.
 
148. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 22 septembre 1777 
 330
  
Observations sur les sphéroïdes. — Il désirerait qu’il donnât une solution du problème de Pétersbourg. — Est-il vrai que le tonnerre soit tombé dans sa maison et tout près de lui ? — Il s’est livré à quelques recherches sur l’attraction des sphéroïdes et la figure de la Terre. — La Géométrie seule l’intéresse. — La littérature n’est pour lui qu’un pis-aller. — Buffon, qu’il appelle le Balzac de la Philosophie, va donner un Volume où les géomètres sont maltraités. — Estime qu’il fait de M. Lambert. — Observations relatives à son Mémoire de 1748. — Programme inintelligible de la classe de Métaphysique de l’Académie de Berlin.
 
149. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 30 octobre 1777 
 332
  
Démonstration du théorème de Mac-Laurin. — Ses regrets de la mort de M. Lambert, dont il fait l’éloge.
 
150. Le même au même. — Berlin, 27 janvier 1778 
 334
  
Commission dont le charge pour lui M. Jourdan, beau-frère de M. Bitaubé. — L’Académie s’est chargée actuellement de l’impression et de la publication de ses Mémoires. — Regrets de n’avoir pu rien envoyer pour le prix des Comètes. — M. Schulze, sujet très laborieux, vient d’être nommé membre de l’Académie. — Lui, Lagrange, n’a eu aucune part au programme de la classe de Métaphysique. — Chaque pays a sa Métaphysique particulière. — Le Roi a fait proposer cette question : S’il est utile de tromper le peuple. — Raisons pour lesquelles il n’a pas cité le Mémoire de d’Alembert de 1748.
 
151. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 30 mars 1778 
 337
  
Le prix des Comètes sera probablement remis en partie ; aussi il l’engage vivement à concourir pour 1780. — Il a écrit au Roi ce qu’il pensait du ridicule programme de la classe de Métaphysique ; et c’est lui qui l’a engagé à faire proposer le sujet : S’il est utile de tromper le peuple. — Lagrange a très bien fait de ne pas parler de son Mémoire de 1748, qu’Euler aurait dû citer. — Envoi de son Discours à l’Académie à la réception de l’abbé Millot. À ses succès littéraires il préférerait la résolution de problèmes difficiles, quand même on n’en parlerait pas.
 
152. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 10 juillet 1778 
 338
  
Il concourra certainement pour le prix des Comètes, puisque ce prix a été remis à l’année 1780. — Il vient de lire l’Ouvrage de d’Alembert sur la Cause des vents, et cette lecture n’a fait qu’augmenter l’idée qu’il avait de sa valeur. — Éloge des Travaux de M. de la Place. — M. de Condorcet a partagé le prix de l’Académie de Berlin. — Craintes de guerre.
 
153. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 14 septembre 1778 
 340