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TABLE ET SOMMAIRES DES LETTRES
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162. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 20 mars 1780. 356 
 356
  
Envoi de divers Ouvrages, et, entre autres, de trois Mémoires de lui, qui doivent figurer dans le Volume de 1778. — Marquis Caraccioli. — M. Bézout. — Projets de voyage.
 
163. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 22 décembre 1780. 
 358
  
Envoi des deux derniers Volumes des Opuscules mathématiques, qui, il le craint bien, montreront sa décrépitude géométrique. — Sa tête s’affaiblit tous les jours.
 
164. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, ier janvier 1781 
 360
  
Compliments et amitiés. — Ses occupations se bornent à faire de la Géométrie tranquillement et dans le silence. — Il vient de lire à l’Académie deux Mémoires sur la libration de la Lune. — La pièce de M. de Condorcet sur les comètes est imprimée. — Marquis Caraccioli.
 
165. Le même au même. — Berlin, 15 avril 1781 
 362
  
Remerciements pour ses deux Volumes d’Opuscules, où il a trouvé beaucoup à profiter, et qui lui ont donné l’occasion de faire de nouvelles recherches sur la théorie du mouvement des fluides. — Il lui communique un théorème qu’il vient de trouver.
 
166. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 11 mai 1781 
 366
  
Ce que Lagrange lui a mandé sur les fluides lui a paru très intéressant : quant à lui, il est presque hors d’état de s’appliquer à la Géométrie, et s’amuse à jeter sur le papier des remarques que lui suggère la lecture de ses anciens travaux. — Le marquis Caraccioli est parti pour sa vice-royauté, désolé de quitter Paris. — Plaintes de d’Alembert sur la perte qu’il fait de ses amis et sur sa santé qui l’empêche de se livrer à ses travaux mathématiques.
 
167. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 21 septembre 1781 
 368
  
Sa Lettre lui sera remise par le baron de Bagge. — Les chaleurs de l’été l’ont empêché de terminer différents travaux. — Réflexions sur l’avenir de la Géométrie. — Le goût du siècle paraît entièrement se tourner du côté de la Physique et de la Chimie. — Envois déjà faits ou encore à faire de divers Volumes. — Lettre de M. de Condorcet. — Il n’a reçu depuis longtemps aucun des Volumes de l’Académie, dont la partie historique l’intéresse beaucoup. — Demande de nouvelles du marquis Caraccioli.
 
168. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 14 décembre 1781 
 370
  
Envoi d’une petite correction à insérer dans le prochain Volume de l’Académie (de Berlin). — Il attend avec impatience ses recherches sur la libration de la Lune. — Il a fait ses commissions auprès de M. de Condorcet. — Le marquis Caraccioli est à Palerme. — Si le nombre des géomètres doit diminuer, comme le dit Lagrange, il suffira pour l’avancement des sciences qu’il y en ait un seul qui lui ressemble. — Sa santé est passable en ce moment.
 
169. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 7 décembre 1781 
 371
  
Cette Lettre lui sera rendue par le violoniste Viotti, qu’il lui recommande. — Envoi du Volume des Mémoires de 1779 et du second Volume des Commentaires de Gœttingue. — Analyse d’un Mémoire sur le mouvement des fluides, qu’il a lu il n’y a pas longtemps. — M. Bitaubé.
 
170. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 1er mars 1782 
 373
  
Il a vu M. Viotti, qu’il a mis au fait du goût musical de Paris. — Il attend avec impatience ses Mémoires sur la libration de la Lune et sur le mouvement des fluides. — Observation sur une équation donnée dans le Tome I de ses Opuscules. — Le Volume de Gœttingue est peu de chose, malgré la grande réputation du très médiocre Kästner. — Le marquis Caraccioli est à Palerme, regrettant toujours ses amis de Paris.