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LIVRE II. — initiation et communion.
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I. — La maison du berger
Que peut-on sur la femme dans la société ? Rien. Dans la solitude ? Tout. — Il en sera autrement dans une société meilleure. — Solitude relative d’une dame de commerce en plein public. — L’amour veut, cependant, au début, quelque recueillement. — Ce que sera la petite maison.
(En droit romain.) Mariage, c’est consentement. — La nouvelle épouse est-elle suffisamment garantie par l’Église, l’État, la Famille ? Elle ne se confie qu’à lui.
Il doit être le protecteur de la jeune épouse contre lui-même. — La fille moderne est peu sanguine. — Prédominance du tempérament nerveux. — Méprises et défiances injustes. — Le trouble la rend souvent malade. — Il doit la soigner avant tout.
IV. — Le réveil. — La jeune maîtresse de maison
On doit lui ménager le repos et la solitude. — Elle visite la maison, l’ameublement, le jardin, préparés pour elle.
V. — Resserrer le foyer
Plus on est près et plus on s’aime. — Nos appartements sont trop divisés en petites pièces. — Les intérieurs de Rembrandt. — La présence de la jeune femme ne distrait nullement du travail.
VI. — La table
Ménager avec soin son changement de régime. — Il la nourrit, elle le nourrit. — Ils vivent l’un de l’autre.
VII. — Ils se serviront eux-mêmes
Tout au plus une bonne fille de campagne. — Du mari comme serviteur de la femme. — Pour celui qui aime, les réalités de la nature ne font nul tort à l’idéal.
VIII. — Hygiène
Combien il importe qu’au début il s’empare de celle qui va tellement s’emparer de lui. — Suivre attentivement le détail de sa vie physique. — La soigner discrètement, sans blesser ce qui lui reste des timidités de la jeune fille. — Vie des campagnes, etc.
IX. — De la fécondation intellectuelle
Elle désire appartenir encore plus, être possédée moralement. — Difficulté d’enseigner une femme. Il ne faut pas lui donner