Page:Ostwald - L’Évolution d’une science, la chimie, 1909.djvu/371

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Valence des éléments. — La théorie de la structure de Kékulé. — Ses suppositions fondamentales. — Combinaisons non saturées et combinaisons moléculaires. — Les formules dans l’espace. — L’utilité de la stéréochimie. — Le sort commun des théories. — La transformation de Walden. — Peut-on, sans recourir à l’hypothèse atomique, exposer la question de la constitution. — L’énergie intérieure. — Tautomérie. — La fonction existence.
 
Les phénomènes galvaniques. — Volta. — Ritter fonde l’électrochimie. — La pile de Volta. — Décompositions chimiques par le courant. — Les trois directions dans lesquelles se développe l’électrochimie. — Les découvertes de H. Davy. — Les métaux alcalins. — Berzélius et Hiésinger.
 
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Conduction du courant accompagnant la décomposition. — Théorie de Grotthuss. — Lois de Faraday. — Électrolytes et ions. — Daniell. — La migration des ions. — W. Hittorf. — Les mesures de conductibilité faites par Kohlrausch. — L’indépendance de la vitesse de migration des ions. — Considérations de Clausius. — La théorie des ions libres d’Arrhénius. — Ses conséquences. — La nature des ions.
 
Les forces électromotrices. — L’expérience fondamentale de Volta et sa théorie. — La théorie chimique. — Le conflit entre les deux théories. — Il est tranché par la loi de l’énergie. — W. Thomson et Helmholtz. — Application de la théorie des ions, faite par Nernst. — Coup d’œil d’ensemble.
 
CHAPITRE XII. — Affinité 
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