Page:Victor Alfieri, Mémoires, 1840.djvu/521

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Chapitre XIII. Peu de temps après mon retour dans ma patrie, je retombe une troisième fois dans les filets de l’amour. — Premiers essais de poésie. 
 195
Chapitre XIV. Maladie et retour à la santé. 
 201
Chapitre XV. Véritable délivrance. — Mon premier sonnet. 
 214



VIRILITÉ. Elle embrasse plus de trente années, pendant lesquelles je compose, je traduit et me livre à diverses études

Chapitre Ier. Mes deux premières tragédies, Philippe II et Polynice, conçues et tentes en prose française — Chemin faisant un déluge de mauvaises rimes. 
 245
Chapitre II. Je reprends un maître pour expliquer Horace. — Premier voyage littéraire en Toscane. 
 262
Chapitre III. Je m’obstine a me livrer aux études les plus ingrates. 
 274
Chapitre IV. Second voyage littéraire en Toscane. Je le gâte par un sot luxe d’équipage Je me lie d’amitié avec Gandellini. Travaux accomplis ou ébauches à Sienne. 
 280
Chapitre V. Un amour digne de moi m’enchaîne enfin pour toujours. 
 289
Chapitre VI. Donation entière de mes biens à ma sœur. — Nouvel accès d’avarice. 
 295
Chapitre VII. Études poursuivies avec passion à Florence. 
 307
Chapitre VIII. Accident qui me force a retournera Naples et à Rome, ou je me fixe. 
 313
Chapitre IX. Je reprends mes études a Rome, ou je les pousse vivement. J’achève mes quatorze premières tragédies. 
 320
Chapitre X. L’Antigone est représentée a Rome. — J’imprime mes quatre premières tragédies — Séparation bien douloureuse — Voyage en Lombardie. 
 327