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Chapitre premier. Comment Socrate était utile aux jeunes gens en éprouvant leur naturel, et en leur donnant des conseils appropriés à leur caractère et à leurs vues
Chapitre II. Socrate force Euthydème, jeune homme qui se croyait très-sage, à faire l’aveu de son ignorance
Chapitre III. De la piété envers les dieux : pourquoi ils méritent la reconnaissance des hommes et comment il faut les honorer
Chapitre IV. Respect de Socrate pour les lois de son pays. La justice consiste dans l’obéissance à la loi civile et à la loi naturelle
Chapitre V. Funestes effets de l’intempérance ; avantages de la vertu contraire
Chapitre VI. Avantages de la dialectique ; définition de la justice, de la sagesse, du bien, du beau, du courage, de la royauté et de la tyrannie
Chapitre VII. Mépris de Socrate pour toute science inutile dans la pratique : ce qu’il faut savoir en géométrie, en astronomie, en arithmétique et en médecine ; utilité de la divination
Chapitre VIII. La condamnation de Socrate ne prouve rien contre la voix intérieure dont il disait recevoir les conseils. Résumé et conclusion des Mémoires
Chapitre premier. Principes de l’économie : c’est l’art de gouverner sa maison ou celle d’un autre ; mais cette science ne suffit pas pour faire un bon père de famille, il faut encore être libre des mauvaises passions
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Chapitre II. Socrate démontre, en raillant, à Critobule qu’il est pauvre dans sa richesse, et que lui, Socrate, est riche dans sa pauvreté. Critobule le prie de lui enseigner l’art d’augmenter sa fortune. Socrate répond qu’il ne le connaît pas, mais qu’il lui désignera ceux auprès desquels il peut l’apprendre
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Chapitre III. Socrate conseille à Critobule d’examiner la conduite de ceux qui gèrent bien ou mal leurs affaires. Principes qu’il doit tirer de cet examen
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Chapitre IV. Suite du précédent. — Épisode de Cyrus et de Lysandre
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Chapitre V. Éloge de l’agriculture : elle procure de douces jouissances, augmente la fortune, prépare le corps aux travaux guerriers, enseigne la justice et la libéralité, enfante et nourrit les arts. — Réfutation d’une objection de Critobule
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