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Hachette, 1863, tome II, p. 354). |
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que ci-dessus, p. 180, aux mots « ''{{lia|Commentaire historique et critique|P31_L25|je dors|240}}'' ». |
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consultée par Binet, le titre ''Discours I en forme d’Elegie'', et s’adresse |
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à Genèvre, laquelle fut une des maîtresses de Ronsard vers 1561. Elle |
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à l’épître datée du 24 février 1586, que Binet avait écrite en tête |
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des ''Derniers vers de P. de Ronsard'' (édition ''princeps'', Paris, G. Buon, |
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qui ne contient ni le ''Discours de la Vie'', ni le ''Tombeau de Ronsard'', Bibl. |
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Mazarine, n° 10.849) : « Si la diligence des ouvriers l’eust permis, |
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le papier tant honoré du beau nom de Ronsard eust tesmoigné |
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des plus choisis personages de nostre France, que |
''des plus choisis personages de nostre France, que j’ay prié de ce devoir'', |
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et des principaux points du cours de sa vie que nous avons |
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dressé, ''non pour illustrer sa mémoire davantage, ains pour n’obscurcir'' |
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''la nostre, si nous faisions autrement.'' » (Cf. Marty-Lav., ''Notice'' |
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''sur Ronsard'', p. {{rom|ciii.|103}}) |
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on est tenté de lire dessous ses fleurs. Cependant nous croyons |
on est tenté de lire dessous ses fleurs. Cependant nous croyons |
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devoir conserver la leçon de toutes les éditions, considérant que Binet |
devoir conserver la leçon de toutes les éditions, considérant que Binet |
Version du 27 mai 2020 à 01:55
nal des Débats du 3 octobre 1902, article reproduit avec illustrations dans les Annales Fléchoises de janv. 1903 ; Hallopcau, La Chapelle du prieuré de St-Gilles, Annales Fléch. de septembre 1907.
P. 31, l. 11. — le lendemain. Ronsard a donc séjourné à Montoire pour la dernière fois du 28 octobre au 2 novembre 1585.
P. 31, l. 25. — je dors. Pièce publiée dans la plaquette posthume qui a pour titre Derniers vers de P. de Ronsard (février 1586 ; v. ci-dessous, p. 180, au mot « autrement »), mais non recueillie dans les éditions posthumes des Œuvres, sauf dans celles de Blanchemain (VII, 315) et de Marty-Lav. (VI, 304). Binet et Galland jugèrent sans doute qu’il suffisait qu’elle fût reproduite in extenso dans la Vie de Ronsard, laquelle était imprimée au tome X de l’édition de 1587, immédiatement après les Epitaphes et les Derniers vers.
P. 31, l. 28. — plus chrestiennement qu’il n’est. Il s’agit d’une épigramme de l’empereur Hadrien, qu’il fit à Baia quelques jours avant de mourir :
Animula vagula, blandula,
Hospes comesque corporis,
Quae nunc abibis in loca
Pallidula, rigida, nudula,
Nec, ut soles, dabis jocos…
V. l’Anthologie grecque, traduite sur l’édition de Fr. Jacobs (Paris, Hachette, 1863, tome II, p. 354).
P. 32, l. 6. — soit à la terre. Bl. VII, 315 ; M.-L. VI, 303. Même remarque que ci-dessus, p. 180, aux mots « je dors ».
P. 32, l. 15. — Or qu’il ait satisfait = Bien qu’il ait satisfait. Ces mots ont pour corrélatifs : « toutefois plusieurs sçavans… »
P. 32, l. 19. — cela te suffise. Bl. IV, 228 ; M.-L. IV, 16. Ce vers tronqué est extrait d’une pièce qui portait en effet dans l’édition de 1584, consultée par Binet, le titre Discours I en forme d’Elegie, et s’adresse à Genèvre, laquelle fut une des maîtresses de Ronsard vers 1561. Elle avait paru pour la première fois en 1563 dans le troisième livre du Recueil des Nouvelles Poësies, sous ce titre : Discours amoureux de Genevre.
P. 32, l. 23. — autrement. Ces lignes sont empruntées presque textuellement à l’épître datée du 24 février 1586, que Binet avait écrite en tête des Derniers vers de P. de Ronsard (édition princeps, Paris, G. Buon, qui ne contient ni le Discours de la Vie, ni le Tombeau de Ronsard, Bibl. Mazarine, n° 10.849) : « Si la diligence des ouvriers l’eust permis, le papier tant honoré du beau nom de Ronsard eust tesmoigné son dueil, et accompaigné voz regretz de la noire teinture des vers des plus choisis personages de nostre France, que j’ay prié de ce devoir, et des principaux points du cours de sa vie que nous avons dressé, non pour illustrer sa mémoire davantage, ains pour n’obscurcir la nostre, si nous faisions autrement. » (Cf. Marty-Lav., Notice sur Ronsard, p. ciii.)
P. 33, l. 3. — assemble. Le texte dessus ses fleurs paraît d’abord fautif : on est tenté de lire dessous ses fleurs. Cependant nous croyons devoir conserver la leçon de toutes les éditions, considérant que Binet