Discussion Livre:Collins - Le Secret.djvu/Diff

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Livre:Collins - Le Secret.djvu

-, • ’ 1 * ’ " i ’ " t L I LE SECRET. CHAPITRE PREMIER. , I * Le
+LIVRE PREMIER. CHAPITRE PREMIER. Le
-1829. » c Ira-t^elle bien
+1829. « Ira-t-elle bien
-de plus qu’elle
+de plus, qu’elle
-les dis premières
+les dix premières
-» Ge dialogue
+» Ce dialogue
-dans là cuisin’e d’iine grande
+dans la cuisine d’une grande
-de Gornouailles. tes interlocuteurs étaient deui des
+de Cornouailles. Les interlocuteurs étaient deux des
-et l? aîné de^ représentante masculins d’une anciènn^ famille
+et l’aîné des représentants masculins d’une ancienne famille
-à Toreille^ sotto voee, sërrék l’un contre l’autre j et
+à l’oreille, sotto voce, serrés l’un contre l’autre, et
-de silence, t Ce
+de silence. « Ce
-peu dé conséquence^ dit
+peu de conséquence, dit
-et dé ténèbres* comptant
+et de ténèbres, comptant
-peine entendu * vous
+peine entendu, vous
-enfance. Avezrvous jamais entendu dite que madame* fut
+enfance. Avez-vous jamais entendu dire que madame fut
-l’épousa monsieur? — Gomment avez-vous su cela? demanda
+l’épousa monsieur ? — Comment avez-vous su cela ? demanda
-k LE SECRET. m — Chut!.,. * s’écria
+— Chut !... » s’écria
-sa chaise Une
+sa chaise. Une
-extérieur. a Est-ce
+extérieur. « Est-ce
-de ce& sonnettes? s’écria
+de ces sonnettes ? s’écria
-cet aristocratique, établissement.
+cet aristocratique établissement.
-qui, -muette déjà,
+qui, muette déjà,
-déserte. * Sarah
+déserte. « Sarah
-demande. > La
+demande. » La
-route. Yite, vite I s’écria
+route. « Vite, vite ! s’écria
-fois. J> Joseph
+fois. » Joseph
-fois on.répondit au
+fois on répondit au
-de mous, et
+de mots, et
-n’avait pa.; fini
+n’avait pas fini
-sa volonté t t.
+sa volonté,
-5 LE SECRET. une
+une
-se fassent tenus
+se fussent tenus
-: <r C’est
+: « C’est
-chambre demistress Treverton; »
+chambre de mistress Treverton ; »
-le . plus
+le plus
-cette mystérieuseper. sonne à
+cette mystérieuse personne à
-: cc Je
+: « Je
-avec plaisir; pauvre
+avec plaisir ; pauvre
-bord fartai, et
+bord fatal, et
-jamais engloutie, a Voilà
+jamais engloutie. » Voilà
-de Dieu* Et,
+de Dieu. Et,
-avait animées; les
+avait animées ; les
-qui leuî donnait
+qui leur donnait
-précoce sur -H ’S.^
+précoce sur-
-j. 6 LE SECRET, venu dans là Gouleur de
+venu dans la couleur de
-celle ; d’une
+celle d’une
-plus frappapt avec les dehors, de
+plus frappant avec les dehors de
-et dè sa
+et de sa
-Si ’blêmes qu’elles
+Si blêmes qu’elles
-sans césse troublée
+sans cesse troublée
-laissa jamais; La
+laissa jamais. La
-lisse comme- celle
+lisse comme celle
-sa naisr sançë. Malgré
+sa naissance. Malgré
-poids des, mauvais
+poids des mauvais
-de sès cheveux
+de ses cheveux
-ici tellement , . que
+ici tellement, que
-avait $insi jeté
+avait ainsi jeté
-l’épuisement sénile? Était-ce
+l’épuisement sénile ? Était-ce
-maladie grave? était-ce
+maladie grave ? était-ce
-qui, d > ailleurs, la
+qui, d’ailleurs, la
-qu’elle av$it de
+qu’elle avait de
-elle-même. .De quelque
+elle-même. De quelque
-fussent pris , leur
+fussent pris, leur
-pu découvrir i si
+pu découvrir, si
-Leeson étai^ «
+Leeson était «
-l’œil, * c’est
+l’œil, » c’est
-on h}i parlait
+on lui parlait
-ses monologues;. et deT puis longtemps ,1a maîtresse
+ses monologues ; et depuis longtemps la maîtresse
-formellement ini tervenue, tant
+formellement intervenue, tant
-mari qrçe de . ses
+mari que de ses
-la per-R sonne que
+la personne que
-moment, iovf i / ,v i’^-iï^ti-fc il :-- r-
+moment, im-
-\ LE SECRET: 7 mobile
+mobile
-effarés et" sur
+effarés et sur
-cheveux grisj touffus, I brillants, hors nature* Elle
+cheveux gris, touffus, brillants, hors nature. Elle
-mains frémissan d’ailleurs
+mains frémissant d’ailleurs
-que r-éteigaoir* mal
+que l’éteignoir, mal
-bougeoir, f exécutait
+bougeoir, y exécutait
-; pui | elle
+; puis elle
-prévenir. A ce "moment, sa
+prévenir. À ce moment, sa
-à l’éniùtion, à
+à l’émotion, à
-trouble manifê&te n’ôtait sien:à la
+trouble manifeste n’ôtait rien à la
-retenue dé ses
+retenue de ses
-la maison* l’avait
+la maison, l’avait
-seul qu*il nè la
+seul qu’il ne la
-cette circonstcmce* si subjugué
+cette circonstance, si bien subjugué
-ce remercient fie bPft goitj: qu-il lui
+ce remercîment de bon goût, qu’il lui
-Elle te rewema ^e nouveau
+Elle le remercia de nouveau
-un sipaple; mouvement (le tête,
+un simple mouvement de tête,
-galerie. lia Qhanabre.où se mourait mîstreâs Tfceverton était
+galerie. La chambre où se mourait mistress Treverton était
-l’étage au;-ïdessôu§. Sarak s’y
+l’étage au-dessous. Sarah s’y
-à frappe?. Le capitaine Trevérton vint lui ouvrir» Au moment qù elle
+à frapper. Le capitaine Treverton vint lui ouvrir. Au moment où elle
-geste n’eût pas
+geste n’eut pas
-vive alarme* Il n ? y avait
+vive alarme. Il n’y avait
-qui ptit faire craindre,: soit
+qui pût faire craindre, soit
-même uiie parole
+même une parole
-la bonté* Les
+la bonté. Les
-sa femmç ruisselaient
+sa femme ruisselaient
-son visage^ f Entres, d}t-il en
+son visage. « Entrez, dit-il en
-de lui-mêmeElle ne
+de lui-même. Elle ne
-sa garde-maladê* Elle vous rédame * et
+sa garde-malade. Elle vous réclame, et
-seule. Faitês-moi prévenir
+seule. Faites-moi prévenir
-le docteur^. » lai la
+le docteur... » Ici la
-fait, , et
+fait, et
-s’éloigna 4’un pas
+s’éloigna d’un pas
-phrase p commencée* Sar&h Leesqn, au
+phrase commencée. Sarah Leeson, au
-sa mak tresse, suivit
+sa maîtresse, suivit
-profonde, v aussi
+profonde, aussi
-vue, $es joues
+vue, ses joues
-blêmirent encore; une
+blêmirent encore ; une
-yeux I * L .
+yeux
-8 LE SECRET. encore
+encore
-l’angle d,e la
+l’angle de la
-: * Le
+: « Le
-aurait-elle dit? »
+aurait-elle dit ? »
-de mi stress Treverton
+de mistress Treverton
-la maison > et,
+la maison, et,
-la mer, La
+la mer. La
-Les cabinets 1 , la garde-robe , la
+Les cabinets, la garde-robe, la
-des objets, épars ça et
+des objets épars çà et
-lointain, ,, le
+lointain, le
-de l’horizon/ Madame,
+de l’horizon. « Madame,
-les tirer.... monsieur
+les tirer... monsieur
-la chambre , où
+la chambre, où
-!... a Le
+!... » Le
-offrait ’ avec
+offrait avec
-posées su* jne table,
+posées sur une table,
-leurs bijoux-
+leurs bijoux.
-9 LE SECRET. dans
+dans
-moment encore , regardant
+moment encore, regardant
-timidité soupçonneuse , et
+timidité soupçonneuse, et
-mistress Treverton , telle
+mistress Treverton, telle
-arrondis naguère , échappaient
+arrondis naguère, échappaient
-riches dentelles , couronné
+riches dentelles, couronné
-Sarah Leeson.elle-même, qui
+Sarah Leeson elle-même, qui
-à peine , la
+à peine, la
-le couvre-pied’du lit, quelques brochures, aux
+le couvre-pied du lit, quelques brochures aux
-leur maîtresse avant
+leur maîtresse, avant
-10 LE SECRET. obscur
+obscur
-la pauvre, enfant.
+la pauvre enfant.
-et, duraiit la
+et, durant la
-en place , Sarah
+en place, Sarah
-sa mat• resse. Sa
+sa maîtresse. Sa
-l’embarras | plutôt qu’une ^iritable douleur,
+l’embarras plutôt qu’une véritable douleur,
-lèvres Tenaient de \ s’entr’ouvrir,
+lèvres venaient de s’entr’ouvrir,
-donner. Poussez
+donner. « Poussez
-verrou t... dit-elle
+verrou !... dit-elle
-avec Cet accent
+avec cet accent
-caractérisé | l’expression
+caractérisé l’expression
-demandait j qiie l’appartement
+demandait que l’appartement
-mieux éclairé*... Poussez
+mieux éclairé... Poussez
-verrou I... j et
+verrou !... et
-ordre. ; —
+ordre. —
-même j le
+même le
-? 1 j —Ni le
+? — Ni le
-ni monsieur.*., personne 1 dit mistress Trei verton, montrant
+ni monsieur... personne ! dit mistress Treverton, montrant
-porte. y> Il
+porte. » Il
-se 1 méprendre stir le
+se méprendre sur le
-impérieux. ! Sarah
+impérieux. Sarah
-le veirrou mis , revint
+le verrou mis, revint
-ses | yeux! inquiets,
+ses yeux inquiets,
-sa maîtresse; après quoi, S se
+sa maîtresse ; après quoi, se
-: | 4 oc Monsieur
+: « Monsieur
-basse. . — Non!... lui fut-il répondu.... Je
+basse. — Non !... lui fut-il répondu... Je
-l’aime d’uu amour
+l’aime d’un amour
-cher I Et,
+cher ! Et,
-de l’enfant.... Sarah! il
+de l’enfant... Sarah ! il
-revenait toujours.... il
+revenait toujours... il
-sans cesse,... J’ai
+sans cesse... J’ai
-me taire, »
+me taire. »
-plus in^ dulgente des
+plus indulgente des
-dans un. fauteuil
+dans un fauteuil
-: c Qu’arrivera-t-il? Que deviendrons-nous maintenant?...* iî- , M
+: « Qu’arrivera-t-il ? Que deviendrons-nous maintenant ?... »
-’Vftr’- .ni’ rsi. s • * | LE SECRET. 11 f Les
+Les
-parlait I dë son mari ét de
+parlait de son mari et de
-inspirait, s’étaient- at| tendris et
+inspirait, s’étaient attendris et
-peu. Elle’demeura quelques instants | silencieuse.
+peu. Elle demeura quelques instants silencieuse.
-qui la’ travaillait
+qui la travaillait
-ne \ s’exprimait
+ne s’exprimait
-sa respiration-saccadée, pénible,
+sa respiration saccadée, pénible,
-Peu après ^ cependant,
+Peu après, cependant,
-côté du* faûtëuil où
+côté du fauteuil où
-: 4 , <r Vôyez.... cette
+: « Voyez... cette
-il mè la faut, a dit-elle. Sarâh se
+il me la faut, » dit-elle. Sarah se
-de l’obéissânce immédiate,
+de l’obéissance immédiate,
-long dé ses joués : Le docteur, dit-elle.... laissez-moi
+long de ses joues : « Le docteur, dit-elle... laissez-moi
-— Non!... c’est là médecine
+— Non !... c’est la médecine
-je veux.,.. La médecine, ï cherchez ! j —
+je veux... La médecine, cherchez ! —
-des dôU^flaoons?... L’ôpiàt ou,*. | —Non,... pas FôpiàtT... l’autre. » \ Sarah
+des deux flacons ?... L’opiat ou... — Non... pas l’opiat !... l’autre. » Sarah
-avec atten) tion les
+avec attention les
-l’heure n’é\ tait pas
+l’heure n’était pas
-administré | de nouveau. ;’ ; I a Donnez-moi
+administré de nouveau. « Donnez-moi
-vous [ en supplie.... Le
+vous en supplie... Le
-a dit1 que
+a dit que
-dose, | équivaut à deTâlcool. » | Les
+dose, équivaut à de l’alcool. » Les
-Treverton comïnen[ çaient à
+Treverton commençaient à
-ses ! joues,
+ses joues,
-réitérer. <r Débouchez
+réitérer. « Débouchez
-J’ai bein de
+J’ai besoin de
-avant tout,... Que je passé dans
+avant tout... Que je passe dans
-ou ns huit
+ou dans huit
-peu importe.... Donnez-moi
+peu importe... Donnez-moi
-injonctions énergiques,... îl y
+injonctions énergiques... Il y
-deux doses.... Attendez , je
+deux doses... Attendez, je
-un ) verre* J> ’ Frt,i Et cômme elle
+un verre. » Et comme elle
-lèvres, répuisa en
+lèvres, l’épuisa en
-gorgées, pûis latfejeta sur
+gorgées, puis la rejeta sur
-convulsif. Elle s’est empoisonnée! s’écria
+convulsif. « Elle s’est empoisonnée ! s’écria
-12 LE SECRET. — Arrêtez !’ dit
+— Arrêtez ! dit
-oreillers. JE> . Sarah
+oreillers. » Sarah
-la porte: —Ici 1... reprit mistress Treverton.... tant
+la porte : — Ici !... reprit mistress Treverton... tant
-exactement. Revenez!...j>Et, tandis
+exactement. Revenez !... » Et, tandis
-hâta dè les
+hâta de les
-cou. — <t Avez-vous
+cou. « Avez-vous
-le verrou? demanda-t-elle ensuite* —
+le verrou ? demanda-t-elle ensuite. —
-ce côté..;. Apportez
+ce côté... Apportez
-de la, croisée. * \ Sarah
+de la croisée. » Sarah
-écrire. <z Apportez,
+écrire. « Apportez,
-verrez, * répondit
+verrez, » répondit
-mistress Trever. ton. La
+mistress Treverton. La
-moment ou sa
+moment où sa
-« Regardez! » dit»elle à
+« Regardez ! » dit-elle à
-sa maîtressq les
+sa maîtresse, les
-l’autre, ltf d’abord : A MON MAKI. € Oh nonl... non.... pour
+l’autre, lut d’abord : {{interligne}} À MON MARI. {{interligne}} « Oh non !... non... pour
-sa maîtresse; mais
+sa maîtresse ; mais
-faire lâcher* \ La
+faire lâcher. La
-lentement, j avec
+lentement, avec
-fallait j de
+fallait de
-ligne, f 1i \ i i [ \ » •
+ligne,
--i•i. 13 LE SECRET. ï elle
+elle
-s’étaient confuf sèment amalgamées. j <rNon!... non!... répétait
+s’étaient confusément amalgamées. « Non !... non !... répétait
-du lit,... ne
+du lit... ne
-lui dire.... Laissez-moi
+lui dire... Laissez-moi
-dès longtemps! Que
+dès longtemps ! Que
-pour • tous,
+pour tous,
-à jamais.... à jamais.... à jamais! —
+à jamais... à jamais... à jamais ! —
-mistress Treverton.... mon
+mistress Treverton... mon
-plus longtemps.... il
+plus longtemps... il
-déjà dû. le
+déjà dû le
-La ’ vue
+La vue
-le service..,. Prenez
+le service... Prenez
-amèrement. Depuis, mon
+amèrement. « Depuis mon
-dernier service?... Tous hésitez?... Insensée,
+dernier service ?... Vous hésitez ?... Insensée,
-yeux, écoutezmoi I... si
+yeux, écoutez-moi !... si
-et risques.... Prenez cette plume; écrivez,
+et risques... Prenez cette plume ; écrivez,
-sera refusé.... Écrivez; ou,
+sera refusé... Écrivez ; ou,
-dressa soudain, c Vous
+dressa soudain. « Vous
-frisson, * murmura-t-elle,
+frisson, » murmura-t-elle,
-de l’autre.... Elle
+de l’autre... Elle
-dernières lectures.... Et
+dernières lectures... Et
-auditoire absent , un
+auditoire absent, un
-: G Écrivez
+: « Écrivez
-plus tragique. ... Écrivez
+plus tragique... Écrivez
-de r^ine, encore
+de reine, encore
-sa jeunesse*
+sa jeunesse.
-14 LE SEGRET. 1 i Pressant
+Pressant
-de l’enfer* Quelques
+de l’enfer. Quelques
-assez dé raison
+assez de raison
-pour voul oir lutter
+pour vouloir lutter
-dans . une
+dans une
-tempes d’ea\i de
+tempes d’eau de
-maîtresse d’elle-même.’ Dans
+maîtresse d’elle-même. Dans
-lorsqu’elle répétas’adressant de
+lorsqu’elle répéta, s’adressant de
-« Écrivez! a elle
+« Écrivez ! » elle
-en se. mettant à dicter* aussitôt après; sur
+en se mettant à dicter, aussitôt après, sur
-vagues supplications , les
+vagues supplications, les
-à s’eïprimer tour
+à s’exprimer tour
-moins décrire, traçant
+moins à écrire, traçant
-l’autre dès lignes
+l’autre des lignes
-irrégulières, jugqtfau moment où lès deux
+irrégulières, jusqu’au moment où les deux
-de lâ feuille
+de la feuille
-devant ellefeetrouvèrent remplies
+devant elle se trouvèrent remplies
-peu près; Mistress
+peu près. Mistress
-reparut sûr ses joues, efy quand
+reparut sur ses joues, et, quand
-sa suivante^ un
+sa suivante, un
-lèvres fiévreuises’. t Signez
+lèvres fiévreuses. « Signez
-mains Sur ses couvertures-.. Signez
+mains sur ses couvertures... Signez
-!... Non.*.: signez
+!... Non... signez
-le mot.... Prenez-en
+le mot... Prenez-en
-vous revient.... Je
+vous revient... Je
-de tout-.. Signez,
+de tout... Signez,
-le veux!... Signez
+le veux !... Signez
-dis I... a> Sarah
+dis !... » Sarah
-mistress Treverton , lui
+mistress Treverton, lui
-montra solennellement^ avec
+montra solennellement, avec
-avait iemnloyée déjà
+avait employée déjà
-intervalle d- égarement. Vous
+intervalle d’égarement. « Vous
-maître, disait-elle.... et
+maître, disait-elle... et
-serai plus*.;. S’il vous intertogè, répondez-lui
+serai plus... S’il vous interroge, répondez-lui
-sî ’ • ? LE SECRET. 15 j r i mme vous
+comme vous
-nous ! mparaîtrons tous
+nous comparaîtrons tous
-mains Tune dans
+mains l’une dans
-la prej mière fois,
+la première fois,
-Pour h j première
+Pour la première
-hésitation. Si
+hésitation. « Si
-mourir, dit-elle..,, oh! combien
+mourir, dit-elle... oh ! combien
-! . —
+! —
-mistress Treverton.... Promettez-le-moi!... ou plutôt;, ; non..,, je
+mistress Treverton... Promettez-le-moi !... ou plutôt, non... je
-la Bible.... celle
+la Bible... celle
-ce matin.... Apportez-la,
+ce matin... Apportez-la,
-ma tombe.... Apportez-la,
+ma tombe... Apportez-la,
-vous retrouver.... » i * ’ En
+vous retrouver... » En
-cette menace ; la
+cette menace, la
-riait convulsivef ment. La
+riait convulsivement. La
-de chambre * à
+de chambre, à
-encore. Oui !... oùi I... la
+encore. « Oui !... oui !... la
-ton distraitj après
+ton distrait, après
-devant elle.... Le? prêtre..un brave homme.... pauvre ! tête.,« Je
+devant elle... Le prêtre... un brave homme... pauvre tête... Je
-une peur!... Il
+une peur !... Il
-: <t Êtes-vous
+: « Êtes-vous
-vos semblables?...:* Et
+vos semblables ?... » Et
-: «Avec tous > excepté un,... JD Vous
+: « Avec tous, excepté un... » Vous
-du capitaine.... oh! madame,
+du capitaine... oh ! madame,
-avec vous!... Mourez
+avec vous !... Mourez
-comme > ceux
+comme ceux
-plus bas , articulant
+plus bas, articulant
-le prêtre.».. Et
+le prêtre... Et
-: «Non. Je
+: « Non. Je
-mon beau-frère.,., a Le
+mon beau-frère... » Le
-tout effarouché.^. Il
+tout effarouché... Il
-pour moiy de, revenir
+pour moi, de revenir
-de moi.v.. Pensea-vous, Sarahqu’il re* vienne? , —
+de moi... Pensez-vous, Sarah, qu’il revienne ? —
-sans doute * répliqua
+sans doute, répliqua
-suivante... ; C’est
+suivante... C’est
-digne homme.. .. Il
+digne homme... Il
-de revenir.... Et alors , toh! alors * dites-lui
+de revenir... Et alors, oh ! alors, dites-lui
-du capitaine,.., Ces. mots
+du capitaine... Ces mots
-ou tard.... Pardonnez-lui donc..,. Avant
+ou tard... Pardonnez-lui donc... Avant
-mourir, pardonnez-lui! a Tout
+mourir, pardonnez-lui ! » Tout
-maîtresse •
+maîtresse
-y 16 LE SECRET. s’en
+s’en
-suprême, pas* sait dans
+suprême, passait dans
-la maip de Sarah., la
+la main de Sarah, la
-main erïait à
+main errait à
-lèvres. crAhl dit-elle,
+lèvres. « Ah ! dit-elle,
-pourquoi j’a* demandé la Bible.... Je
+pourquoi j’ai demandé la Bible... Je
-de moimême, Sarah!... et,
+de moi-même, Sarah !... et,
-me tromper.... DIci elle
+me tromper... » Ici elle
-: a Attends,
+: « Attends,
-attends !» disait-elle
+attends ! » disait-elle
-Non, repriWle, votre
+Non, reprit-elle, votre
-suffit pas.... Un
+suffit pas... Un
-est nécessaire.... A genoux!,.. Voici
+est nécessaire... À genoux !... Voici
-prononcerai ici-bas.... Nous
+prononcerai ici-bas... Nous
-y désobéir, a Sarah
+y désobéir. » Sarah
-les genoux* La
+les genoux. La
-qui allait^ naître , sépara
+qui allait naître, sépara
-se rapprocher» Puis
+se rapprocher. Puis
-sur eux-mêmes; la
+sur eux-mêmes ; la
-jamais. <r Jurez
+jamais. « Jurez
-: <t Jurez
+: « Jurez
-la vie , cet
+la vie, cet
-d’effrayante inconvenance mauvais
+d’effrayante inconvenance, mauvais
-routinière. jSarah sentit
+routinière. Sarah sentit
-la sienne.se lever n instant; elle
+la sienne se lever un instant ; elle
-^ * LE SECRET. 17 diriger vers elle; puis
+diriger vers elle ; puis
-sorte d irritation ^ enveloppa
+sorte d’irritation, enveloppa
-sut . pas
+sut pas
-appel suprême, c Je
+appel suprême. « Je
-Jurez .qu’après ma
+Jurez qu’après ma
-ce papieï avec
+ce papier avec
-maison. t> Sarah
+maison. » Sarah
-vint l’averiir qu’on
+vint l’avertir qu’on
-ses ièvres le
+ses lèvres le
-: Je
+: « Je
-— Jurez.... »
+— Jurez... »
-roidis. Vous
+roidis. « Vous
-en pieds T car
+en pieds, car
-geste désespéré.... Madame,
+geste désespéré... Madame,
-tout bu,... Il
+tout bu... Il
-que l’opiat.... Laissez-moi sortir.... laissez-moi
+que l’opiat... Laissez-moi sortir... laissez-moi
-aller chercher.... a Un
+aller chercher... » Un
-phrase. TJn mouvement
+phrase. Un mouvement
-et pénible,... puis
+et pénible... puis
-par intervalles , quelques
+par intervalles, quelques
-mêlées. <c Ce
+mêlées. « Ce
-pas tout..., il faut jurer,... Plus
+pas tout... il faut jurer... Plus
-plus près.... rapprochez-vous
+plus près... rapprochez-vous
-troisième promesse.... Votre maître..,, jurez
+troisième promesse... Votre maître... jurez
-lui donner.... »
+lui donner... »
-faible murmure.... Les
+faible murmure... Les
-grands cris.... puis
+grands cris... puis
-de reproches; et
+de reproches ; et
-cette exLE SECIŒT. Î \
+cette ex-
-18 LE SECRET. pression
+pression
-tout Ge qui
+tout ce qui
-de là garde-malade
+de la garde-malade
-entra dans^ la
+entra dans la
-: c Allez,
+: « Allez,
-parler. y> Sarah
+parler. » Sarah
-au docteur: or Je
+au docteur : « Je
-monsieur, ditrelle, que
+monsieur, dit-elle, que
-mépris. <r II me
+mépris. « Il me
-d’arriver. ^ —• Tous avez
+d’arriver. — Vous avez
-moment, * ajouta-t-il,
+moment, » ajouta-t-il,
-bras dé Sarah.
+bras de Sarah.
-flambeau. <E Tous feriez
+flambeau. « Vous feriez
-votre chambre.... Attendez,
+votre chambre... Attendez,
-un instant; je
+un instant ; je
-porte "du capitaine
+porte du capitaine
-avec luL — Oh! non.... non.,., pas à présent!... au
+avec lui. — Oh ! non... non... pas à présent !... au
-ciel, non!.,. »
+ciel, non !... »
-la porté, disparut
+la porte, disparut
-mot. _.S
+mot.
-LE SECRET. .19 h c Singulière
+« Singulière
-docteur Adressant a la, garde Suivez-la!.,. Sachez
+docteur s’adressant à la garde. Suivez-la !... Sachez
-va, peur le
+va, pour le
-soyez revenue, i Lorsque
+soyez revenue. » Lorsque
-verrou intérieur, c: Singulière femme I répéta le docteur.... de
+verrou intérieur. « Singulière femme ! répéta le docteur... de
-à elle-mêmej et,
+à elle-même, et,
-d’elle dèa le
+d’elle dès le
-ici. * CHAPITRE II. V L’enfant. k t" Aussitôt
+ici. » CHAPITRE II. L’enfant. Aussitôt
-arme dangereuse; elle
+arme dangereuse ; elle
-lignes quelle y avait ellemême tracées.
+lignes qu’elle y avait elle-même tracées.
-yeux. Bile" y
+yeux. Elle y
-dissiper l ? éblouissement, et
+dissiper l’éblouissement, et
-sorte dé Vie, et ’ ils
+sorte de vie, et ils
-puis, audèssou^, îâ ligne
+puis, au-dessous, la ligne
-Et pourtantr elle de-r t
+Et pourtant, elle de-
-20’ LE SECRET. meurait
+meurait
-si insignifiant*en apparence, lisant > lisant,
+si insignifiant en apparence, lisant, lisant,
-condamné àmorf lirait
+condamné à mort lirait
-qu’une demiheure auparavant
+qu’une demi-heure auparavant
-sa pensé tenait,
+sa pensée tenait,
-de -ses facultés
+de ses facultés
-: <r Comment
+: « Comment
-bon maître.... qui
+bon maître... qui
-bien I... Pourquoi,
+bien !... Pourquoi,
-ce fardeau?... C’est
+ce fardeau ?... C’est
-toute seule, a Et,
+toute seule. » Et,
-table vis-à-vis; boule-* 1 \i
+table vis-à-vis ; boule-
-t\ i * | LE SECRET. 21 | versait
+versait
-droite, tan* | tôt à
+droite, tantôt à
-ordre diffé| rent. Dans
+ordre différent. Dans
-se > retrouvaient
+se retrouvaient
-de travers; sa
+de travers ; sa
-paroles qu elle se
+paroles qu’elle se
-un pei plus
+un peu plus
-confiant espoir- A un moment donné ces
+confiant espoir. À un moment donné, ces
-de force devant
+de force, devant
-restée ouverte, Elle
+restée ouverte. Elle
-pas ’ entre
+pas entre
-étions convenues? Pourquoi
+étions convenues ? Pourquoi
-s’agita légèrement, Sarah
+s’agita légèrement. Sarah
-vengeresse. <r Quelque
+vengeresse. « Quelque
-ici, disait-elle,
+ici, » disait-elle,
-les lèvres,... «
+les lèvres... «
-moi. a Une
+moi. » Une
-sur luimême. Sarah,
+sur lui-même. Sarah,
-toujours \ fixés
+toujours fixés
-porte. c: Est-ce déjà vous?... murmurait-elle,
+porte. « Est-ce déjà vous ?... murmurait-elle,
-la clef,... Vous,
+la clef... Vous,
-soit fa ,% avant
+soit fait ? avant
-soit refroidi?,.. »
+soit refroidi ?... »
-\ 22 tÈ SËCRËÎ. Elle
+Elle
-porte eii disant cês mots, et së glissa dans k corridor.
+porte en disant ces mots, et se glissa dans le corridor.
-un regàfc-d dans
+un regard dans
-chambre. <r Reposez en paix! disait-elle. Soyèz tranquille,
+chambre. « Reposez en paix ! disait-elle. Soyez tranquille,
-la attre. â La
+la lettre. » La
-sur l’escaiier lui
+sur l’escalier lui
-du corri< dor. Puis,
+du corridor. Puis,
-un dès flambeaux
+un des flambeaux
-obtenir de’réponse, elle
+obtenir de réponse, elle
-espérer dé rencontrer
+espérer de rencontrer
-la ohâmbre où
+la chambre où
-lieu mêtne, la
+lieu même, la
-faut I il le faut! i se
+faut ! il le faut ! » se
-bas, èt elle se rëmit ëh chemin , ce
+bas, et elle se remit en chemin, ce
-partie dés escàliérs qu’elle vënait de
+partie des escaliers qu’elle venait de
-porte dé ce
+porte de ce
-la gardè-maladë qui
+la garde-malade qui
-demanda, d’uii ton
+demanda, d’un ton
-l’amenait. <r Je
+l’amenait. « Je
-à mohsiëur. — Cherchëz-lê ailleurs qu’ici. Î1 y
+à monsieur. — Cherchez-le ailleurs qu’ici. Il y
-y à unô demiheure. Maintenant
+y a une demi-heure. Maintenant
-— Savéz-vôûs où
+— Savez-vous où
-— Non.w. Je né fourre pâë le
+— Non... Je ne fourre pas le
-dans lès affaires dés autres, moi.... Je
+dans les affaires des autres, moi... Je
-m’occupe qûe de cé qui iné regardé. »
+m’occupe que de ce qui me regarde. »
-la pdrtë Sarah, sè détournant d’elle* porta
+la porte. Sarah, se détournant d’elle, porta
-regards vêts l’extrémité extériëtire du
+regards vers l’extrémité extérieure du
-porte dé la nursèry dotihàitlà. Ëlle était
+porte de la nursery donnait là. Elle était
-l LE SECRET, 23 . Sarah génétrh dans
+Sarah pénétra dans
-mais .dans un
+mais dans un
-savait, pat la boniie d’enfant
+savait, par la bonne d’enfant
-par Tunique rejeton
+par l’unique rejeton
-Treverton, ï une petite fille^ nommée Rosamond» et
+Treverton, une petite fille, nommée Rosamond, et
-près "de ; binq. ans, cc Sêrait-il là?... Là,
+près de cinq ans. « Serait-il là ?... Là,
-vaste maison? »
+vaste maison ? »
-pensée lui* était-elle
+pensée lui était-elle
-comme elle, l’avait
+comme elle l’avait
-la main; Puis , sur
+la main. Puis, sur
-pointe dés pieds* elle
+pointe des pieds, elle
-glissa Vers le cabinet. Polir complaire,
+glissa vers le cabinet. Pour complaire,
-quelque capïice de l’enfànt, la porte, avait
+quelque caprice de l’enfant, la porte avait
-ouverte eù ogive,
+ouverte en ogive,
-peint eh vives
+peint en vives
-manière à. lui
+manière à lui
-porte dé serre
+porte de serre
-rideaux dé toile perse ; pendus
+rideaux de toile perse, pendus
-l’intérieur dtt treillis,
+l’intérieur du treillis,
-pendant * le
+pendant le
-où dormkit l’enfant.
+où dormait l’enfant.
-était rélevé. Sarah
+était relevé. Sarah
-vers lâ baie ainsi formée; après atôir pris la > précaution
+vers la baie ainsi formée, après avoir pris la précaution
-sa vuè dans
+sa vue dans
-la boîrnfr, assise ’et profondément
+la bonne, assise et profondément
-son ïhàître assis
+son maître assis
-du . cou
+du cou
-Une à’e seâ ihàins tenait suspendue, pardessus l’épaule
+Une de ses mains tenait suspendue, par-dessus l’épaule
-sa chevelure, L’enfant
+sa chevelure. L’enfant
-épuisée maintenant^ gémissait
+épuisée maintenant, gémissait
-à autre ^ la têtë appuyée
+à autre, la tête appuyée
-le sein, de
+le sein de
-de Sarâh se
+de Sarah se
-les petites; mains
+les petites mains
-pouvait courir\ d’un
+pouvait courir, d’un
-à l’autre* d’être
+à l’autre, d’être
-elle entendit.le capitaine
+elle entendit le capitaine
-de s? voix
+de sa voix
-: f F 30
+:
-31 LE SECRET. Chut, Rosette, ehère enfant 1 Chut,
+« Chut, Rosette, chère enfant ! Chut,
-pauvre maman.,,. Pensez
+pauvre maman... Pensez
-pauvre papa.,, il
+pauvre papa... il
-! a Si
+! » Si
-arrivée. <c Je suis malade.... je
+arrivée. « Je suis malade... je
-trouve mal..., j’ai
+trouve mal... j’ai
-peu distincte.... Ouvrez
+peu distincte... Ouvrez
-jardin 1... laissez-moi sortir! »
+jardin !... laissez-moi sortir ! »
-seule. : Elle
+seule. « Elle
-la hâte.... Maintenant
+la hâte... Maintenant
-autre condition,, Pour
+autre condition. Pour
-de regrets.... Et
+de regrets... Et
-? ». CHAPITRE III. Le
+? » === CHAPITRE III. — Le
-celé. g L’air
+celé. === L’air
-qui con’ duisait sur
+qui conduisait sur
-de soà
+de son
-7•T^YT’TT^’ • • J iL^ N’y" 1 ’" f"- ’ "" -"é V LE SECRET25 j 1 cimetière
+cimetière
-une baie de
+une haie de
-fuchsias, luxu[ \ riants comme
+fuchsias, luxuriants comme
-s’éclairait \ [ presque
+s’éclairait presque
-dont i’P elle
+dont elle
-d’un i siège rustique,
+d’un siége rustique,
-l’étroit ci; metière, s’y
+l’étroit cimetière, s’y
-paix. a Ohl disait-elle, mon cœur.... mon pauvre cœur!... De ; quoi
+paix. « Oh ! disait-elle, mon cœur... mon pauvre cœur !... De quoi
-? • \ Elle
+? » Elle
-comme tout, s’y
+comme tout s’y
-sein j une
+sein une
-mains. a Je
+mains. « Je
-tiens encore.... mes
+tiens encore... mes
-disait-elle, ; regardant
+disait-elle, regardant
-maintenant informe.... Est-ce
+maintenant informe... Est-ce
-après tout?... Si
+après tout ?... Si
-vivait, elle..,. Si
+vivait, elle... Si
-j’ai vu..., entendu
+j’ai vu... entendu
-j’ai entendu.... me
+j’ai entendu... me
-malheureux mari?... » j La
+malheureux mari ?... » La
-d’exprimer ^ainsi parut rendre quell que calme
+d’exprimer ainsi parut rendre quelque calme
-qui | tournait
+qui tournait
-à j \ celle
+à celle
-nord. ’ ’ f iS. . 1 I Depuis
+nord. Depuis
-bâtiments, [ f tout h fait
+bâtiments, tout à fait
-père j du
+père du
-leurs plus, beaux ta; bleaux et
+leurs plus beaux tableaux et
-du i | nord,
+du nord,
-l’aile occiden| taie, la
+l’aile occidentale, la
-appartements suff lisaient, et
+appartements suffisaient, et
-d’un tjuadrangle. De
+d’un quadrangle. De
-survivait encore; une
+survivait encore ; une
-résidence : t
+résidence
-26 LE SECRET. seigneuriale, nommée Porthgenna-Towér. Elle était sitttëë à
+seigneuriale, nommée Porthgenna-Tower. Elle était située à
-façade occidentale* L’aile
+façade occidentale. L’aile
-en coïtiinûns devant
+en communs devant
-en ruine ^ laquelle,
+en ruine, laquelle,
-jardins désertet buissonneux
+jardins déserts et buissonneux
-assez clairement, qu’il
+assez clairement qu’il
-toiles d’àraignée disposées en lohgs festons,
+toiles d’araignée disposées en longs festons,
-des rëbuts de
+des rebuts de
-briques, plâtres* verre
+briques, plâtres, verre
-des fenêtres^ compliquaient
+des fenêtres, compliquaient
-aspect scimbrë et
+aspect sombre et
-matinée d’août i tout
+matinée d’août, tout
-les platesbandes depuis
+les plates-bandes depuis
-d’anciens sentiers* sang qu’èlle sût
+d’anciens sentiers, sans qu’elle sût
-qui s’étâit faite
+qui s’était faite
-où, dans, la nursery^ elle
+où, dans la nursery, elle
-capitaine, poussait, son
+capitaine, poussait son
-nord. En quoi, pourtant* suis-je
+nord. « En quoi, pourtant, suis-je
-entre -les mains de monsieur? se disait-elle > lissant
+entre les mains de monsieur ? se disait-elle, lissant
-* LE SËCRÈÎ. sans iti’âvoiir Ml jurëf cecL Pourvu quê jè tienfae strictement les pfcômëôses jutéës-, GOriïïnent pburrait-ëlle venir me tourmenter? Qu’âi-jë besoin de fâiré plus? Et ûë puis-je
+sans m’avoir fait jurer ceci. Pourvu que je tienne strictement les promesses jurées, comment pourrait-elle venir me tourmenter ? Qu’ai-je besoin de faire plus ? Et ne puis-je
-qui pëut ih’atrivëf de pis; pôûtvu que j’aië rempli
+qui peut m’arriver de pis, pourvu que j’aie rempli
-m’impose là parole donnée* là main
+m’impose la parole donnée, la main
-? * Ainsi
+? » Ainsi
-air, ail grand
+air, au grand
-ses efaintés superstitieuses
+ses craintes superstitieuses
-encore, coiflmë la nuit, danâ sa
+encore, comme la nuit, dans sa
-à défriper; à
+à défriper, à
-la lettre^ elle
+la lettre, elle
-mémoire lés termes
+mémoire les termes
-cet engagement? Elle
+cet engagement ? Elle
-de né pas
+de ne pas
-de në pas
+de ne pas
-En outre* elle
+En outre, elle
-degré 1 L’obligèait-il comme
+degré ! L’obligeait-il comme
-prêté paï celle-ci
+prêté par celle-ci
-Arrivée â cette
+Arrivée à cette
-Ils s’ar^ rêtèrent tbût naturellement
+Ils s’arrêtèrent tout naturellement
-cette façâdë abandonnée
+cette façade abandonnée
-avons déente ;
+avons décrite ;
-des fènêtrës, cëllé du tniliéù, à l’étâgë inférieur ^ plus
+des fenêtres, celle du milieu, à l’étage inférieur, plus
-; uiie rbugëuf légère lui mdnta âux joues, ët elle s’àvânça d’un
+; une rougeur légère lui monta aux joues, et elle s’avança d’un
-murs dû vieux bâtiment; , Les vitrés de
+murs du vieux bâtiment. Les vitres de
-grande fënêtrè, jaunies par là pttuSsiè^è et
+grande fenêtre, jaunies par la poussière et
-par lés toiles
+par les toiles
-sur îiti petit tèrtrè qui
+sur un petit tertre qui
-supporté quèlqùës itiassifs de
+supporté quelques massifs de
-ou d’ârbrisseauxj ùn monceau de platras et
+ou d’arbrisseaux, un monceau de plâtras et
-divers s’ëtàit graduellement ac cumulé. TJiaë bordure
+divers s’était graduellement accumulé. Une bordure
-et di plantes
+et de plantes
-l’ancienne plate-bandè* D’une alliiré encore irrésolue -, Sarah
+l’ancienne plate-bande. D’une allure encore irrésolue, Sarah
-le tour; à
+le tour, à
-la fenêtte sous
+la fenêtre sous
-rapide côiip | * d’œil
+rapide coup d’œil
-: l Je
+: « Je
-l’aventure, a se
+l’aventure, » se
-bref. r L i l i •
+bref.
-28 LE. SECRET. Ces
+Ces
-elle "suivit le
+elle suivit le
-entra résolûment, et
+entra résolument, et
-: a Si
+: « Si
-dévoiler. * Elle
+dévoiler. » Elle
-à ellemême le
+à elle-même le
-sombres /
+sombres
-LE SECRET. 29 portraits
+portraits
-du [ palier
+du palier
-ainsi parvenue , et
+ainsi parvenue, et
-son agitation; ses
+son agitation ; ses
-réussit | pourtant,
+réussit pourtant,
-plus \ épaisse
+plus épaisse
-presque [ au
+presque au
-lettre, dé[ posée un
+lettre, déposée un
-elle { recula,
+elle recula,
-résolution [ lui
+résolution lui
-pas. [ <r II n’y
+pas. « Il n’y
-dédire, * pensa-t-elle
+dédire, » pensa-t-elle
-de I , s’ouvrir l’accès.... I Elle
+de s’ouvrir l’accès... Elle
-trois minutes; | Quand
+trois minutes. Quand
-charge, [ avec
+charge, avec
-Outre l’é| tiquette d’ivoire
+Outre l’étiquette d’ivoire
-indiquant : la
+indiquant la
-aux Myrtes* s , t Donc,
+aux Myrtes. Donc,
-leur mémoire’; un
+leur mémoire ; un
-30 LE SECRET* qui,
+qui,
-Sarah OLeeson, après
+Sarah Leeson, après
-venait d*accomplir. Aussi
+venait d’accomplir. Aussi
-ménagère (boite à
+ménagère (boîte à
-quittait jamiais, et,
+quittait jamais, et,
-clef. Suffiïait-il de
+clef. Suffirait-il de
-détruire f question
+détruire ? question
-le bësoin instinctif
+le besoin instinctif
-précautions. ; Ramassant
+précautions. Ramassant
-soin lès petits
+soin les petits
-tout coçcmae la
+tout comme la
-rouillée quelle avait
+rouillée qu’elle avait
-aux Myrtes * dans
+aux Myrtes, dans
-vide dç son
+vide de son
-regagna lîappartement de
+regagna l’appartement de
-matinée avançait; Sarah
+matinée avançait ; Sarah
-de sé rencontrer
+de se rencontrer
-Aussi s’empressa-t-eile de
+Aussi s’empressa-t-elle de
-de Faurore^ Après Savoir éteint,
+de l’aurore. Après l’avoir éteint,
-lui revint , même
+lui revint, même
-côtés, Finondait. Elle
+côtés, l’inondait. Elle
-traits lafraîcheur matinale. & &unne ou
+traits la fraîcheur matinale. À bonne ou
-Le rrjaret’ fatal
+Le secret fatal
-inconnue. CMtait là,
+inconnue. C’était là,
-premier abordy une
+premier abord, une
-à Ipisir, rassembler
+à loisir, rassembler
-de sein avenir.
+de son avenir.
-condition ac* tueJte, maintenant qu§ mort ^yait rpmpu les
+condition actuelle, maintenant que la mort avait rompu les
-auprès de’son: impérieuse
+auprès de son impérieuse
-que naistr^ss Treverton,
+que mistress Treverton,
-maladie, av^it très-sérigusement recommandé
+maladie, avait très-sérieusement recommandé
-aux bqntés, à
+aux bontés, à
-de cea heures sui . i i
+de ces heures suprê
-LE SECRET. 31 prâmes, se fussent
+mes, ne fussent
-soit jt tout
+soit à tout
-accepter le§ pontés, la
+accepter les bontés, la
-aidé & tromper,
+aidé à tromper,
-trompait encore? La
+trompait encore ? La
-idée d’inné bassesse
+idée d’une bassesse
-soulagement h la, triste
+soulagement à la triste
-la quitter? Fallait-il,
+la quitter ? Fallait-il,
-qui dçvaieut nécessairement
+qui devaient nécessairement
-la confondre? Après
+la confondre ? Après
-elle av^it été l’unique i témoin? Quand
+elle avait été l’unique témoin ? Quand
-se levà comme
+se leva comme
-mur, l et
+mur, et
-écouter h, sa
+écouter à sa
-le corridor? Son
+le corridor ? Son
-bonne heure? Mais
+bonne heure ? Mais
-Cet acte , si
+Cet acte, si
-en lui-même , la
+en lui-même, la
-tout découvrir , ou
+tout découvrir, ou
-la doublé épreuve
+la double épreuve
-larron furtif? Secrètement, s^ns un
+larron furtif ? Secrètement, sans un
-de reçaerç$meiits pour
+de remercîments pour
-si étrange? Elle l avait
+si étrange ? Elle avait
-petit vqlume des
+petit volume des
-: * Êorirai-je? se
+: « Écrirai-je ? se
-et laisserai^ mai lettre
+et laisserai-je ma lettre
-mon départ?» Quelques
+mon départ ? » Quelques
-sa plume» tqu* S*. ’ \ I
+sa plume, toujours
-32 LE SECRET. jours courant,
+courant,
-avait gardé; ajoutant
+avait gardé ; ajoutant
-bonne foi ,• elle
+bonne foi, elle
-de quittersa maison
+de quitter sa maison
-cacheté, , l’adresse
+cacheté, l’adresse
-De nou* veau elle
+De nouveau elle
-dernière fois , les
+dernière fois, les
-Porthgenna-Tower. \ Parvenue
+Porthgenna-Tower. Parvenue
-nursery, . f elle fît halte.
+nursery, elle fit halte.
-belle. | Quelque
+belle. Quelque
-sans | perdre
+sans perdre
-vraiment singulière , elle
+vraiment singulière, elle
-était dévorée , chagrin
+était dévorée, chagrin
-danger * que
+danger que
-vers l’esealier, descendit
+vers l’escalier, descendit
-et j sortit
+et sortit
-elle. j Uije fois
+elle. Une fois
-vers l’église; mais,
+vers l’église ; mais,
-puits .banal creusé
+puits banal creusé
-les pêcheurs, de
+les pêcheurs de
-LE SECRET. 33 ligne
+ligne
-: A LA MÉMOIRE ’ DE
+: À LA MÉMOIRE DE
-POLWHEAL, AGE DE
+POLWHEAL, ÂGÉ DE
-DE LÀ CHUTE
+DE LA CHUTE
-du titre , et
+du titre, et
-: <s Sarah
+: « Sarah
-en pleine’ lande,
+en pleine lande,
-la pochle de
+la poche de
-bruyère. a: Partez
+bruyère. « Partez
-jamais I... partez
+jamais !... partez
-grand chçmin par
+grand chemin par
-son maître, A peine
+son maître. À peine
-recherches LE siiCRET. 3
+recherches
-r.. 34 LE SECRET. immédiates.
+immédiates.
-signalées cKez Sarah
+signalées chez Sarah
-du distnct ne
+du district ne
-le secrèt auquël, dans
+le secret auquel, dans
-revit jamais; jamais
+revit jamais ; jamais
-à pârtir du
+à partir du
-août 1829, ’"* /
+août 1829.
-LIVRE II. •j CHAPITRE PREMIER. * i . Quinze
+== LIVRE II. == === CHAPITRE PREMIER. — Quinze
-après. j1 P, * i ^ Ïj.-•• Long-ËëcMèy ëst un
+après. === Long-Beckley est un
-de cettè cbmmunâute agricole,
+de cette communauté agricole,
-n’en soit1 remarquable nî par
+n’en soit remarquable ni par
-élégance arcHitectùf^Te, ni par sort antiquité,
+élégance architecturale, ni par son antiquité,
-mérite qtie les despotiques Marchands àe Londres
+mérite que les despotiques marchands de Londres
-su dôrinér à ldur jdôble cathédrale
+su donner à leur noble cathédrale
-dégagée dè toutes parts, ët, de
+dégagée de toutes parts, et, de
-aux régards. • : v• Le
+aux regards. Le
-au seîri duquel
+au sein duquel
-route pa?iâè du
+route partie du
-en aligne droite à lâ.principale porté ;
+en ligne droite à la principale porte ;
-commençant auï portés au prëèbytéfe, traverse
+commençant aux portes du presbytère, traverse
-et abojitit, comme
+et aboutit, comme
-raison, 1 â celles âè là sacristie.
+raison, à celles de la sacristie.
-aussi, =à travers chàmps, un
+aussi, à travers champs, un
-tous céux qui 6ht le bonheur dè vivre
+tous ceux qui ont le bonheur de vivre
-auguste yoisinàge peuvent
+auguste voisinage peuvent
-de Tédifiçe sacré, lorsquë lëur humilité
+de l’édifice sacré, lorsque leur humilité
-(encouragée j>ar un b(eau temps’ bien séc) lés È’orté à fâirê célébrer fè (dimanche dans
+(encouragée par un beau temps bien sec) les porte à faire célébrer le dimanche dans
-comme : Jes plus
+comme les plus
-jambes qùë Dieu féur à données.
+jambes que Dieu leur a données.
-une bëlle matinée d’été, en,l’an cle grâce miliuit çenf quaràtfté-quatré, vers lés sept
+une belle matinée d’été, en l’an de grâce mil huit cent quarante-quatre, vers les sept
-un étrange* qui,
+un étranger qui,
-aperçu, së serait glissé dans.quelque coin du. cimetière,
+aperçu, se serait glissé dans quelque coin du cimetière,
-bons yeux , eût
+bons yeux, eût
-eussent dohné à penser. Ï1 âilràit pu: croire
+eussent donné à penser. Il aurait pu croire
-principaux ha* \
+principaux habitants
-* 36 LE SECRET. bitants de
+de
-lui ’un air embarrassé, gagner, le
+lui d’un air embarrassé, gagner le
-la cristie, s’arrêter
+la sacristie, s’arrêter
-franchi seuil,
+franchi le seuil,
-route enant du
+route venant du
-vu, disons nous, s’avancef avec
+vu, disons-nous, s’avancer avec
-de connivence,, et
+de connivence, et
-ces ’deux importants
+ces deux importants
-loger lèurs marchandises] dans
+loger leurs marchandises dans
-vastes entrepôts’qu’ils avaient
+vastes entrepôts qu’ils avaient
-dire amicalement: Une ï>elle journée, Thomas.;., Avez-vous,déjeuné? »
+dire amicalement : « Une belle journée, Thomas... Avez-vous déjeuné ? »
-aurait ’entendu Thomas
+aurait entendu Thomas
-pain dedans, »
+pain dedans. »
-le sentier’à travers champs. . / Se
+le sentier à travers champs. Se
-gentleman âgé ; dont lès traits
+gentleman âgé, dont les traits
-admirablement détournei les
+admirablement détourner les
-une * jeune
+une jeune
-simple cos-
+simple costume
-»"iii Tf* •J•iv,. . LE SECRET. . 37 tame.du matin.
+du matin.
-cela, Hen à
+cela, rien à
-inexplicable. Au, lieu
+inexplicable. Au lieu
-alors seulement , lui
+alors seulement, lui
-se laiss,a introduire
+se laissa introduire
-jeune gentle.man, pour
+jeune gentleman, pour
-la vue?Notre observateur,
+la vue ? Notre observateur,
-par , la
+par la
-vu, contraire* ment à tous ûs et
+vu, contrairement à tous us et
-de moeurs se
+de mœurs se
-était yehq. Sans
+était venu. Sans
-jeunes gens, et
+jeunes gens et
-nous Pavons évoqué, contentonsnous d’accompagner
+nous l’avons évoqué, contentons-nous d’accompagner
-la sal)e à
+la salle à
-en prei \
+en premier
-38 LE SECRET. mier lieu,
+lieu,
-simple convive; puis
+simple convive ; puis
-miss Lotiïsa Chennery (dix ans) , ïniss Àmelia Chennery (neuf : ans), MastérRobert Chennery (hijit ans).
+miss Louisa Chennery (dix ans), miss Amélia Chennery (neuf ans), Master Robert Chennery (huit ans).
-d’une : mère
+d’une mère
-tableau : d’intërieu^. J ’te docteur
+tableau d’intérieur. Le docteur
-était reste’ veuf
+était resté veuf
-la naissance’ de êon dèrhier eûfantl ’ ’ s _ ’ i . 1 Lé convive
+la naissance de son dernier enfant. Le convive
-a ! été
+a été
-était u^ ancien
+était un ancien
-du ministre ^ ét’on : le Supposait établi
+du ministre, et on le supposait établi
-à LongËeokléy raison
+à Long-Beckley par raison
-quelque relief^caractéristique^ [qûij dâns’îe cèrcle où
+quelque relief caractéristique qui, dans le cercle où
-les individualisé et les "distingué. M.
+les individualise et les distingue. M.
-un àutrè, et ce’qui lui
+un autre, et ce qui lui
-titres pârjiiculieïs à
+titres particuliers à
-réputation cominê màrtyr dé la dyspepsie Partout
+réputation comme martyr de la dyspepsie. Partout
-de sôn estomac l’escortaient fîdèlèméïit^ Son
+de son estomac l’escortaient fidèlement. Son
-était public , et
+était public, et
-à luimiêmé êt a son
+à lui-même et à son
-rencontré depuis’cinq minutes,
+rencontré depuis cinq minutes,
-rapports, on. savait
+rapports, on savait
-bonne, ét si son dîiier passaiit bieïi r cfu ; mal.
+bonne, et si son dîner passait bien ou mal.
-digestion coînme on
+digestion comme on
-avec tùitf dôuceur plaintive
+avec une douceur plaintive
-par momeiits/prenait tous
+par moments, prenait tous
-caressante ét despotique,
+caressante et despotique,
-mot très-clier jouait
+mot très-cher jouait
-sans cèssé il faisaitvà l’obligeance
+sans cesse il faisait à l’obligeance
-son prochain/Sa personne 1 n’avait rien dé fdrt attrayant.
+son prochain. Sa personne n’avait rien de fort attrayant.
-grands yeuï gris
+grands yeux gris
-liquide abondant , ét se
+liquide abondant, et se
-côté où d’autre, inouilîës d’admiration
+côté ou d’autre, mouillés d’admiration
-quelque 1 chose ou pbtir quelqu’un.
+quelque chose ou pour quelqu’un.
-et profondémént’ mélancolique semblaitKtKirë vérs la’terre par
+et profondément mélancolique semblait attiré vers la terre par
-sorte d’àccablement sans
+sorte d’accablement sans
-abaissées dés coins,
+abaissées des coins,
-une explosion’ de larges ; f et,’ quant
+une explosion de larmes ; et, quant
-de ; son
+de son
-sa . taillë’ était "pëtîte, sa J tête
+sa taille était petite, sa tête
-ses épaules; sa toilette xm peu
+ses épaules ; sa toilette un peu
-de recherché. Son
+de recherche. Son
-quarante-cinq ans;’sa prôfëssion, célibâtàire. Tel
+quarante-cinq ans ; sa profession, célibataire. Tel
-peut , se figurer"’ d-icrM. Phippen, f le
+peut se figurer d’ici M. Phippen, le
-et l’hôte, duininistïë de Lbng’Beçklèy. ’ : ^r:,:^: J("t •*’ 1 ••" Z1 ’’" ’ /î’T • ’’" . " . • ’ ’ / Ce mot savant sert à masquer, tout en réprimant, l’état pénible d’un.estbmac quî rôhctiohne mair 1 ’’^ ’ ,v »
+et l’hôte du ministre de Long-Beckley.
-H LE SECRET. ; Le
+Le
-miss SturcÏL, l’institutrice,
+miss Sturch, l’institutrice,
-faire | très-r’essetablant ët eft peVde ^ celui
+faire très-ressemblant et en peu de mots, comme celui
-toute I iètmë dàme qui,
+toute jeune dame qui,
-le i dur de sa naissance , n’a
+le jour de sa naissance, n’a
-maille | a partir
+maille à partir
-une idee ni
+une idée ni
-quelconque. ! Petite
+quelconque. Petite
-souriante ëf proprette, cette | paisible
+souriante et proprette, cette paisible
-absorbée dans’ l^accomplissèment Yé1 gulier de
+absorbée dans l’accomplissement régulier de
-certaines heures ? et
+certaines heures, et
-communs àîstilï^â^ 1 à l première réquisition, 7 ’ de
+communs distillés, à première réquisition, de
-lèvres roséV,^toujoiifs de : même l natuïe et en 1 même
+lèvres roses, toujours de même nature et en même
-toute occurténBë ^ quels que ; fussent
+toute occurrence, quels que fussent
-saison dè Tannée. Miss
+saison de l’année. Miss
-Sturch fié pleurait. À mi-clietnîn du
+Sturch ne pleurait. À mi-chemin du
-de là tristëssè, voyageait
+de la tristesse, voyageait
-son perpétuël’soiîrire. Par uhe mâtinée de’janvier, descendant
+son perpétuel sourire. Par une matinée de janvier, descendant
-sa chambre j elle
+sa chambre, elle
-bien froid, * Si
+bien froid. » Si
-mois dé juillet, dëscendant de
+mois de juillet, descendant de
-: V Il fàit bien chaud; » disaitelle. Quand l’ëvëquëV line fois par ah,’venait "rëtidre sa
+: « Il fait bien chaud, » disait-elle. Quand l’évêque, une fois par an, venait rendre sa
-souriait. Quandveriâif rtihe£cbëf sa commandé, tous
+souriait. Quand venait chercher sa commande, tous
-souriait encore/Elle souriait lorsque ’miss Louisa,
+souriait encore. Elle souriait lorsque miss Louisa,
-son coëur, demandait un pëu d’indulgôhcë pour
+son cœur, demandait un peu d’indulgence pour
-; ellé souriait
+; elle souriait
-Master Robert , sautant
+Master Robert, sautant
-ses gëhoux, lui disait eh maître :•k Brossez tiaes cheveux
+ses genoux, lui disait en maître : « Brossez mes cheveux
-quelque événëmëhï’què le prèsbytérè devînt le théâtre ^rien n’aurait jëté miss Stiirch hors de là petite voie biën unié où
+quelque événement que le presbytère devînt le théâtre, rien n’aurait jeté miss Sturch hors de la petite voie bien unie où
-sein d’uné famille
+sein d’une famille
-pendant lës guerres civiles ^Angleterre / elle
+pendant les guerres civiles d’Angleterre, elle
-Charles 1 <F mbnta sut Téchâfaud, mandé
+Charles Ier monta sur l’échafaud, mandé
-Shakspeare, rëssuscité tout exprès , fût1 arrivé
+Shakspeare, ressuscité tout exprès, fût arrivé
-qu’il âvait ën écrivant 1 cette
+qu’il avait en écrivant cette
-nom Hamlét, éllë aurait
+nom Hamlet, elle aurait
-: € G?èst bien intéressant, J& jusqu’à cë que
+: « C’est bien intéressant, » jusqu’à ce que
-eût sonne sept heures: AlorS ellé eût demandé pàrdon au poëtè, et
+eût sonné sept heures. Alors elle eût demandé pardon au poëte, et
-sans écbutër la
+sans écouter la
-de là phrase,’pour aller
+de la phrase, pour aller
-la hohne et
+la bonne et
-de blanchissage/ <r Une
+de blanchissage. « Une
-Sturch I a comme lé disaient
+Sturch ! » comme le disaient
-; <r sachant
+; « sachant
-du ménagé; une
+du ménage ; une
-: juste-’ ment assez
+: justement assez
-assez parlanteet pas PTnr^ -
+assez parlante, et pas
-ko LE SECRET. trop..» Peut-être
+trop. » Peut-être
-fait assez âgée,
+fait assez, âgée,
-à -d’inconvenantes convoitises ; mais , en somme, <r une
+à d’inconvenantes convoitises ; mais, en somme, « une
-bien estimable,là, vraiment,
+bien estimable, là, vraiment,
-il faut» Inutile,
+il faut. » Inutile,
-miss Sturcb. Le côté * faible
+miss Sturch. Le côté faible
-de Pythagore, Tous
+de Pythagore. Tous
-portraits dè famille,
+portraits de famille,
-docteur Ghennery, physiquement
+docteur Chennery, physiquement
-deux poucespesait deux
+deux pouces, pesait deux
-ses paroissiens; jamais,
+ses paroissiens ; jamais,
-possible l’en savoir , et,
+possible d’en savoir, et,
-jamais 4, Le pied anglais n’est que do 304 millimètres. {Note du* traducteur.) TT
+jamais
-•V ï. LE SECRET. W ’ ’r * ^ donné
+donné
-en maj tière de
+en matière de
-ni ( même
+ni même
-de \ cette
+de cette
-des \ apôtres
+des apôtres
-figures auxj quelles le
+figures auxquelles le
-et ; bonne
+et bonne
-seule ^ tare,
+seule tare,
-stabilité . ! qui
+stabilité qui
-l’Église, conviènt plus particulièrement j aux siennes. j | Le
+l’Église, convient plus particulièrement aux siennes. Le
-manger, v [ t que
+manger, que
-voix j | enfantines.
+voix enfantines.
-discipline \ I en
+discipline en
-ponctuellement { \ servis
+ponctuellement servis
-grande : t exception,
+grande exception,
-d’heure. f l <k Bien
+d’heure. « Bien
-dit ^ [: , le
+dit le
-excuse. Ç | —
+excuse. —
-soit .pas question,
+soit pas question,
-miss f Sturch,
+miss Sturch,
-mains grassouillettes.. ^ ; I Comme
+mains grassouillettes... Comme
-ce matinI... Nous
+ce matin !... Nous
-une : l journée de chaleur.... Robert,
+une journée de chaleur... Robert,
-ami, yotre coude est f sur la table.,.. Quelle
+ami, votre coude est sur la table... Quelle
-matinée I... Une
+matinée !... Une
-toujours endommagé?... dites, Phippen! } demanda
+toujours endommagé ?... dites, Phippen ! demanda
-découper lefjambon. } M.
+découper le jambon. M.
-son ; f doigt
+son doigt
-montée .en bague, ] l sur
+montée en bague, sur
-gilet d’été , à
+gilet d’été, à
-verts, \ f jeta
+verts, jeta
-d’un [’ léger
+d’un léger
-paletot ! ;; ouverte
+paletot ouverte
-en v tira une ï charmante
+en tira une charmante
-se ser? vent les
+se servent les
-en f argent
+en argent
-parfait. ; La
+parfait. « La
-un ma\ lade, dit
+un malade, dit
-voisine. .— Devinez,
+voisine. — Devinez,
-quart -
+quart
-kî LE SEC-RET. d’heure
+d’heure
-mains. ’ ’ 1 r —
+mains. —
-miss Sturch? * demanda
+miss Sturch ? » demanda
-docteur Ghenhery. ’ Misk : Sturch
+docteur Chennery. Miss Sturch
-mains i *<•^ *•t comme
+mains comme
-s’éclaircit Jà voix
+s’éclaircit la voix
-une tôtix préliminaire,
+une toux préliminaire,
-sur lâ bouilloire
+sur la bouilloire
-conjecture. "";V.’•* * «c A votre
+conjecture. « À votre
-en retàrd. . ’ ; —
+en retard. —
-bon ami , répliqua Mv Phippen,
+bon ami, répliqua M. Phippen,
-de màin toute fraternelle.... Je
+de main toute fraternelle... Je
-à deviner.... Je
+à deviner... Je
-avez dîïïë hier, et ce~que vous avez bk après
+avez dîné hier, et ce que vous avez bu après
-dîner. Përsbnne, pas
+dîner. Personne, pas
-digestion pareille.... et vous ine demandez
+digestion pareille... et vous me demandez
-a retenu.... Allez’, allez,
+a retenu... Allez, allez,
-que trop.... Vous ayez pris
+que trop... Vous avez pris
-— Non/ grâces à Dieu..., et
+— Non, grâces à Dieu... et
-ne ntfest arrivé,
+ne m’est arrivé,
-docteur Ghenhery, adressant"àii ciel
+docteur Chennery, adressant au ciel
-gratitude. Non..,, vous
+gratitude. Non... vous
-les autres.... Lé fait
+les autres... Le fait
-que jë suis r allé
+que je suis allé
-et quë pênsez-vous que
+et que pensez-vous que
-allais faire?... Prêtez l’oreille,’ miss Sturch!... Petites filles , écoutez bien 1 Notre
+allais faire ?... Prêtez l’oreille, miss Sturch !... Petites filles, écoutez bien ! Notre
-aveugle, Frâhklând, est enfin heureux.... Je
+aveugle, Frankland, est enfin heureux... Je
-matin même/ànôtre chère RosaitiondTreverton. • : — Sans flous avoir prévenues?^ s’écrièreht ensemble
+matin même, à notre chère Rosamond Treverton. — Sans nous avoir prévenues ? s’écrièrent ensemble
-deux pétites filles,
+deux petites filles,
-plus aigrelette.... Et
+plus aigrelette... Et
-le voir! —
+le voir ! —
-son iûfirmîté pâùvrë garçon,
+son infirmité, pauvre garçon,
-sans ènnùi qu’on le Vienne voir
+sans ennui qu’on le vienne voir
-yeux. Cette" idée
+yeux. Cette idée
-Rosamond, eh bonne
+Rosamond, en bonne
-ce q^on respectât jusqu’à la{ moindre
+ce qu’on respectât jusqu’à la moindre
-ses fantaisiesque noué àvoiîc tout
+ses fantaisies, que nous avons tout
-organisé là cérémonie
+organisé la cérémonie
-flâneurs t dans lès envii
+flâneurs dans les environs de la
-I LE SECRET. 43 rons de là’chapelle. J’avais
+chapelle. J’avais
-personne. Mbn clerc, Thomas, s*y était
+personne. Mon clerc, Thomas, s’y était
-hormis nolis deux,
+hormis nous deux,
-la demoiselle , le
+la demoiselle, le
-Treverton, pérsonne au
+Treverton, personne au
-ne savait.... — Treverton! s’écria
+ne savait... — Treverton ! s’écria
-Phippen, tendant’à miss
+Phippen, tendant à miss
-pour Qu’elle la remplît , sa tassé garnie dé gingembre râpé.... Trëvferton !... (Assez dé thé,
+pour qu’elle la remplit, sa tasse garnie de gingembre râpé... Treverton !... (Assez de thé,
-miss ! .^) C’ést singulier
+miss !...) C’est singulier
-ce nom.... De
+ce nom... De
-jusqu’aux bords , s’il vblis plaît.... Dites-rnoi donc, cher docteur.... Mer ci, merci bien;.;, pas de sucre.... il
+jusqu’aux bords, s’il vous plaît... Dites-moi donc, cher docteur... Merci, merci bien... pas de sucre... il
-sur l’estomac.... Cette
+sur l’estomac... Cette
-vous cé matin..*. Non,
+vous ce matin... Non,
-non plus..,, serait-ellé de la fâmillé dè ce
+non plus... serait-elle de la famille de ce
-le Cornouailles? ’ s —
+le Cornouailles ? —
-chef dè la fâmilïe. Ce n’est pàs qu’à présent là famillè soit bien nômbrèùseTIl ne
+chef de la famille. Ce n’est pas qu’à présent la famille soit bien nombreuse. Il ne
-le capitaine^ Rosamond,
+le capitaine, Rosamond,
-son vieil’ original
+son vieil original
-tous lès rëjetdns dé cette vieille racé.... belle
+tous les rejetons de cette vieille race... belle
-ma foij ettôït riche.... Gëns dévouéà a l’Église
+ma foi, et fort riche... Gens dévoués à l’Église
-à l’État..,, gens
+à l’État... gens
-dire, et.... — Permettefc-vôus, monsieur, qii’Amélia mange
+dire, et... — Permettez-vous, monsieur, qu’Amélia mange
-de marmelade? »
+de marmelade ? »
-au ^docteur Chennery,
+au docteur Chennery,
-douter lé inbiiis du môndé qu’elle
+douter le moins du monde qu’elle
-quelque intérêt.’ -’ N’ayant
+quelque intérêt. N’ayant
-pour lés en
+pour les en
-au iribiflent même ôù elles
+au moment même où elles
-du commencettient, du milieu, où de
+du commencement, du milieu, ou de
-à son; àdrësse, bien
+à son adresse, bien
-exprimât W général
+exprimât en général
-plus J bieuveillànte. ’ c Oh I donnez-lui-en
+plus bienveillante. « Oh ! donnez-lui-en
-qu’elle 1 voudra, repartit négligemment-le ministre.
+qu’elle voudra, repartit négligemment le ministre.
-peu importé qu’elle
+peu importe qu’elle
-la nlarmelade ou
+la marmelade ou
-autre chose; — Ah!mon bon
+autre chose. — Ah ! mon bon
-M. Phippen...» voyez
+M. Phippen... voyez
-jeune estomac;’ Quel
+jeune estomac. Quel
-qui màiige plus qu’il lié faut
+qui mange plus qu’il ne faut
-le ’K -X tf ih< îh.
+le
-44 LE SECRET. ~mot grossier
+mot grossier
-au point, de
+au point de
-poudings fa; rineux et
+poudings farineux et
-de mouton; des
+de mouton ; des
-font sourire , rien
+font sourire, rien
-pain sec.... bien
+pain sec... bien
-poids d’uneonce chacun. ctMonsieur Phippen,
+poids d’une once chacun. « Monsieur Phippen,
-vos aliments,. mangez
+vos aliments, mangez
-même quantité , et
+même quantité, et
-sec. d VOUS croyez
+sec. » Vous croyez
-des médecins; des
+des médecins ; des
-gît l’obstrue-: tion qui
+gît l’obstruction qui
-pensez, Amélia , si
+pensez, Amélia, si
-plus appétissant.... J’empiète
+plus appétissant... J’empiète
-point formaliser; mais
+point formaliser ; mais
-j’ai laite de
+j’ai faite de
-à têtes, d’hydre.... Ghennery, cher
+à têtes d’hydre... Chennery, cher
-parlions-nous donc?.,. Ah 1 de
+parlions-nous donc ?... Ah ! de
-du Cornouailles? J’ai
+du Cornouailles ? J’ai
-des années.... Un
+des années... Un
-un original.....Célibataire comme
+un original... Célibataire comme
-petite Amélia.... Je
+petite Amélia... Je
-ressemble guère.... Donc,
+ressemble guère... Donc,
-devenue femme? Une
+devenue femme ? Une
-jeune fille , je
+jeune fille, je
-doute pas.... Charmante
+doute pas... Charmante
-plus jolie , ^répondit le
+plus jolie, répondit le
-Personne vive , énergique , dit
+Personne vive, énergique, dit
-Sturch. .— Comme
+Sturch. — Comme
-me manquer! ajouta
+me manquer ! ajouta
-Louisa. Per51
+Louisa. Personne
-ï S ï"LE SECRET. 45 ! ne n’a
+n’a
-ce ; rnier rhume
+ce dernier rhume
-longtemps. j —
+longtemps. —
-nous donnait! fit
+nous donnait ! fit
-petits garçons..,. Elle
+petits garçons... Elle
-Phippen h " : . ; Ainsi
+Phippen ! » Ainsi
-Master Robert <r Bonté divine! repartit
+Master Robert. « Bonté divine ! repartit
-femme ; pour
+femme pour
-voit pas.... car
+voit pas... car
-de dire-qu’il est aveugle; n’est-cepas , docteur,
+de dire qu’il est aveugle ; n’est-ce pas, docteur,
-l’avez dit?... Et son nom.... comment déjà s’appelle-t-il?... Vous
+l’avez dit ?... Et son nom... comment déjà s’appelle-t-il ?... Vous
-les mau; vaises digestions ont ravage un
+les mauvaises digestions ont ravagé un
-que j le
+que le
-s’en ressentir.... M. Frank.... Frank
+s’en ressentir... M. Frank... Frank
-pas vrai?... Et
+pas vrai ?... Et
-de naissance?... Triste,
+de naissance ?... Triste,
-état. " — NonV non.... Frankland,
+état. — Non, non... Frankland,
-hâta \ d’interrompre le ministre.... Et
+hâta d’interrompre le ministre... Et
-beaucoup j. plus
+beaucoup plus
-moi. . [ —Alors, c’est
+moi. — Alors, c’est
-M. Phippen..,, Vous me [" permettez
+M. Phippen... Vous me permettez
-grand se: ï cours pour
+grand secours pour
-horizontale, pen[ dant l’heure
+horizontale, pendant l’heure
-le repas.... De
+le repas... De
-perdu l la
+perdu la
-bon siège, élasti; l que, moelleux confortable I —Tout au
+bon siége, élastique, moelleux, confortable ! — Tout au
-continua 1 \ le docteur Cheanery. Léonard
+continua le docteur Chennery. Léonard
-fut ’toujours tin en^ faut difficile à élever.... d’une
+fut toujours un enfant difficile à élever... d’une
-sa vie.... Cependant,
+sa vie... Cependant,
-avait | paru
+avait paru
-toujours calme r sérieux, rangé.... exactement
+toujours calme, sérieux, rangé... exactement
-que voici. du
+que voici... du
-s’était mis , en
+s’était mis, en
-à l’horlogerie.... Singulier passetemps pour
+à l’horlogerie... Singulier passe-temps pour
-jeune homme; .mais tout
+jeune homme ; mais tout
-favori. .
+favori.
-46 LE SECRET. J’ai ^ouvent dit
+J’ai souvent dit
-ses parents, : <c Otez-lui ce tabouret, çasseamoi toutes ses loupes , : envoyez-le-moi,
+ses parents : « Ôtez-lui ce tabouret, cassez-moi toutes ses loupes, envoyez-le-moi,
-son âge.... »
+son âge... »
-connaissaient mieux, que moi ,t disaient
+connaissaient mieux que moi, disaient
-sans enconibre, pendant quelque temps , jusqu’à
+sans encombre, pendant quelque temps, jusqu’à
-atelier d’horlogerie.... Tput .cela devait
+atelier d’horlogerie... Tout cela devait
-rhabillage <l’ùnë montre
+rhabillage d’une montre
-moi fui à
+moi fut à
-dernier travail.,., là VQiçi...,, elle
+dernier travail... la voici... elle
-à vapeur.... Ëlle n’était
+à vapeur... Elle n’était
-mon goussetlorsque j’appris
+mon gousset, lorsque j’appris
-ressentait dé rives douleurs
+ressentait de vives douleurs
-la régira postérieure
+la région postérieure
-qu’il yoyait passer
+qu’il voyait passer
-ses y<*ux toutes
+ses yeux toutes
-Je conseillai, le
+Je conseillai le
-trois h&ures;,syr le dôs d’un
+trois heures, sur le dos d’un
-tenir a^ môri ordonnance,
+tenir à mon ordonnance,
-parents envoyèrent’ quérir
+parents envoyèrent quérir
-médecins tqui le couvrirent (f emplâtres vésicànts, et
+médecins qui le couvrirent d’emplâtres vésicants, et
-oreilles, ét entre les épaules , et vous Fimbibèrent .de mercure, et TOUS l’emprisonnèrent
+oreilles, et entre les épaules, et vous l’imbibèrent de mercure, et vous l’emprisonnèrent
-une ôhambre o Ù le
+une chambre où le
-pas. Aucun.; résultat. Là vue
+pas. Aucun résultat. La vue
-vacillante côinmè la lumière d’uné bougie
+vacillante comme la lumière d’une bougie
-s’éteindre. S|a mère
+s’éteindre. Sa mère
-pour elle , pauvre femme j £vant que
+pour elle, pauvre femme ! avant que
-désastre fSt complet.
+désastre fût complet.
-avait k moitié
+avait à moitié
-la tête, fl lé’menait tantôt aux’oculistes de
+la tête. Il le menait tantôt aux oculistes de
-aux I* , * m • , 4 Ii-» oculistes
+aux oculistes
-savoir le mat dé son
+savoir que le mal de son
-qu’on tentérâit vamemeni une
+qu’on tenterait vainement une
-Quelques-uns assûraient <fué c’était le résultat’ dès longues faiblêssès dont
+Quelques-uns assuraient que c’était le résultat des longues faiblesses dont
-deux niataàiès Avaient étésuivies.^ parlaient d’un épanchemëïit apoplectique
+deux maladies avaient été suivies. D’autres parlaient d’un épanchement apoplectique
-de ja tète quând on leur parîaiïj dé ses irâvaux en horlogerie. Bref , ils lé rëïivôyèrerit chez
+de la tête quand on leur parlait de ses travaux en horlogerie. Bref, ils le renvoyèrent chez
-bien décidémént aveuglé, ét ayèuglé iî deiâeurëra , té pâuvrë diablejusqu’à la-fin dè ses jours, — Tous m’ém6tiônnéz , ohër Ôheflnery.,.. Je
+bien décidément aveugle, et aveugle il demeurera, le pauvre diable, jusqu’à la fin de ses jours. — Vous m’émotionnez, cher Chennery... Je
-M. Phippen..., plus partic ulièrëmënt éïL me
+M. Phippen... plus particulièrement en me
-que lés maladies gravés peuvent
+que les maladies graves peuvent
-après eïîès. tiïâis, mon Uïëu, je lès ai épràniês, môï, ces aifai’ ’ > ..tftUi,, tJIr;Vi.• .4, VQIÛJAt-.-— *.1 •
+après elles. Mais, mon Dieu, je les ai éprouvés, moi, ces affaiblissements
-’s1 LE SECRET. 47 i blissements.interminables. Encore aujourd’hui ; je
+interminables. Encore aujourd’hui, je
-ressens tien. Il
+ressens bien. Il
-à phoque, instant de ces, tachés, de
+à chaque instant de ces taches, de
-qui dansent; noires, bilieuses > sautillantes.... Ma
+qui dansent, noires, bilieuses, sautillantes... Ma
-d’honneur, Ghennery, on
+d’honneur, Chennery, on
-moi ; , aussi mes sympâthiés ont^eîlës éie.des plus vives.... Cette
+moi : aussi mes sympathies ont-elles été des plus vives... Cette
-d’aveugle m’aété aucœur. Je
+d’aveugle m’a été au cœur. Je
-penser. —.En lev regardant, c’està peine
+penser. — En le regardant, c’est à peine
-que tëonard n’y voit plus i dit miss Lduisa, qui se mêlai tout
+que Léonard n’y voit plus, dit miss Louisa, qui se mêla tout
-à .la conversation,
+à la conversation,
-charitable ,but de
+charitable but de
-un t peu
+un peu
-de phippené.,. À
+de Phippen... À
-qu’ils .étaient et
+qu’ils étaient et
-qu’ils sont; Quel
+qu’ils sont. Quel
-miss Sturch , ce. personnage
+miss Sturch, ce personnage
-à là façon
+à la façon
-Léonard EranXland^ sans
+Léonard Frankland, sans
-s’en douter? —Milton, ma-chère enfani Je
+s’en douter ? — Milton, ma chère enfant. Je
-de jvous rappèler, à as sujet,
+de vous rappeler, à ce sujet,
-en Angleterre,- le
+en Angleterre, le
-des poètes épiques, répliqua miss, Sturch^ du
+des poëtes épiques, répliqua miss Sturch, du
-son .état, çau§é, ditril, ,par une
+son état, causé, dit-il, par une
-cela d^ns vos lectures r qhère Louisa.
+cela dans vos lectures, chère Louisa.
-ce maiin, fait
+ce matin, fait
-un peii de MiHÔh.... Taisez-vous,
+un peu de Milton... Taisez-vous,
-parler .votre père. • : :,, . . •i • vi • „-7 -v . * . t’ " * . * — Pâuyrè jeune
+parler votre père. — Pauvre jeune
-qui s’animait.*.. Cette
+qui s’animait... Cette
-et tèndre et
+et tendre et
-d’en haut*... S’il
+d’en haut... S’il
-y réussir a, j’en suis, certain. ,, —
+y réussira, j’en suis certain. —
-s’est gacrifiée, dit M. Phippen.... mais
+s’est sacrifiée, dit M. Phippen... mais
-l’en a’imè davantage, m’étant sacrifié,, moi
+l’en aime davantage, m’étant sacrifié, moi
-devoir. Comment , en bohne con1 , \ „" »i ht iIci -- •»’’" r tscience ,( aurais-je pu infliger, des. digestions ^uSsi pénibles
+devoir. Comment, en bonne conscience, aurais-je pu infliger des digestions aussi pénibles
-les miennes , à
+les miennes, à
-sexe le, plus
+sexe le plus
-et lé plus
+et le plus
-Je àuis ^ pourrait-on
+Je suis, pourrait-on
-et èn os. J’éprouve <lonc un
+et en os. J’éprouve donc un
-le .même eihploi.... Çleurait-elle beaucoup , Cïiènnety, q.uaiLd vous
+le même emploi... Pleurait-elle beaucoup, Chennery, quand vous
-— Pleurer? répéta lis ministre
+— Pleurer ? répéta le ministre
-poupée pleurnicheuse^ C’est une, belle’, fille,
+poupée pleurnicheuse. C’est une belle fille,
-qu’elle t i
+qu’elle
-48 , LE SECRET» fait
+fait
-quand elle- dit
+quand elle dit
-ne •uieût été
+ne lui eût été
-d’elle f; d’épouser,
+d’elle d’épouser,
-bien ’des mois,
+bien des mois,
-préféré. Il s ^ , 1 étaient
+préféré. Ils étaient
-cette • cruelle
+cette cruelle
-un ; brave
+un brave
-sa { parole à Rosamond.,.. La
+sa parole à Rosamond... La
-cette occa’ sion , Phippen,
+cette occasion, Phippen,
-auriez eù plaisir
+auriez eu plaisir
-la lire.... Je ne rou[• gis pas
+la lire... Je ne rougis pas
-lorsqu’on ’ me
+lorsqu’on me
-de cause.,.. r Or
+de cause... Or
-de i f nouveaux délais.... Mais
+de nouveaux délais... Mais
-n’auraient £ pas
+n’auraient pas
-infirme L et
+infirme et
-: <r Si
+: « Si
-tristesse n’ap- , k prochera plus
+tristesse n’approchera plus
-seul instant; aussi
+seul instant, aussi
-que | nous
+que nous
-disait 1 ’au moment
+disait au moment
-chapelle. <r Je
+chapelle. « Je
-entends, [ Rosamond,;» lui
+entends, Rosamond, » lui
-— Eh
+— « Eh
-me réponditI elle plus
+me répondit-elle plus
-» j Là-dessus,
+» Là-dessus,
-un baiser,... un
+un baiser... un
-vous t auriez
+vous auriez
-petite. .Nous boirons
+petite. Nous boirons
-sa • santé
+sa santé
-le dîner ^ miss Sturch,... Nous
+le dîner, miss Sturch... Nous
-à là santé
+à la santé
-deux, Phippen.... et
+deux, Phippen... et
-meilleur .vin. ! . —
+meilleur vin. —
-d’eau panée-, pour
+d’eau panée, pour
-vous j voulez
+vous voulez
-M. Phippen.... Mais
+M. Phippen,... Mais
-à Long-Beçkley, dans
+à Long-Beckley, dans
-de voisinage?... Or,
+de voisinage ?... Or,
-le Gornouailles. >t ri
+le Cornouailles.
-*p’ LE SECRET. 49 —’ Oui,
+— Oui,
-depuis qu’èlle’est morte^ce- qui advint, |e crois^ en Tannée mil
+depuis qu’elle est morte, ce qui advint, je crois, en l’année mil
-cent vingt-neuf; il
+cent vingt-neuf ; il
-en mil-huit cent quarante-quatre.... Voyons un peu*:.. y> 1 Et
+en mil huit cent quarante-quatre... Voyons un peu... » Et
-compter, regardant;du côté
+compter, regardant du côté
-Sturch. ~ XV a: Il
+Sturch. « Il
-bien l mistress
+bien ! mistress
-y à quinze ans~ et,
+y a quinze ans, et,
-mines, pêcheries tout,
+mines, pêcheries, tout,
-livres sterling, —
+livres sterling. —
-bien possible? dit
+bien possible ? dit
-se récriant.... Est-ce que T air en
+se récriant... Est-ce que l’air en
-la civilisation?... Mais
+la civilisation ?... Mais
-ce domaine? —Le père
+ce domaine ? — Le père
-répondit lé ministre.
+répondit le ministre.
-Porthgenna-Tower, fit les
+Porthgenna-Tower, et les
-elle seule , toute
+elle seule, toute
-de jardin , Phippen,
+de jardin, Phippen,
-en fumant, mon
+en fumant mon
-ces allées.,.. Petites,
+ces allées... Petites,
-leçons L,. Bob,
+leçons !... Bob,
-que .j’ai une
+que j’ai une
-de toilette.;.. Allons,
+de toilette... Allons,
-fauteuil deimalaâe.... Un tour* de
+fauteuil de malade... Un tour de
-si TOUS voulez
+si vous voulez
-répondit f Mi Phippen.
+répondit M. Phippen.
-d’août, ét je
+d’août, et je
-à r autre.... Dès;que jeme sens
+à autre... Dès que je me sens
-miss Sturch , 3’ouvre; ce tabouret; pliant, et .m’assois n’importe
+miss Sturch, j’ouvre ce tabouret pliant, et m’assois n’importe
-douillet qùe cela
+douillet que cela
-donne I;;.. Chennery,
+donne !... Chennery,
-prêt à: tout,
+prêt à tout,
-bon ami.,., à
+bon ami... à
-cette vente.... Yous dites,
+cette vente... Vous dites,
-fort curieuse? —
+fort curieuse ? —
-dignes d’intérêty répondit le ministre; et,
+dignes d’intérêt, répondit le ministre ; et,
-entendue, ; LE SECRET. 4 *
+entendue,
-+-,t^T ’> 50 LE SEÇJtET> sans doute- vous
+sans doute vous
-Partons : vous
+Partons ! vous
-vestibule, à. côté
+vestibule, à côté
-moi de,parasols à choisir, J> ; A ces mots,*le docteur
+moi de parasols à choisir. À ces mots, le docteur
-et précéda:son hôte hors, delà salle h manger, i - \ : tr. Vifi;1 . JL v : :„ ,CB*PH»; H. • h t < * ’ :’ .; La
+et précéda son hôte hors de la salle à manger. === CHAPITRE II. — La
-de Porthgenna-Tpvçer. ; " ’ »• *• ’• • ’ •, ? > ’ s » • • ’ Hf 1 . ,, Charmant
+de Porthgenna-Tower. === « Charmant
-pastoral !..admirable calmant .pour les nerfs, dit1 KE. : ’Phippen, examinant les ; gazons boisés* qui s’étendaient dèrrière :1e presbytère, mais ? sans
+pastoral !... admirable calmant pour les nerfs, dit M. Phippen, examinant les gazons boisés qui s’étendaient derrière le presbytère, mais sans
-de s’iabriter sous roMbreîlë la
+de s’abriter sous l’ombrelle la
-eût ’su trbuver. Trois; années
+eût su trouver. Trois années
-sont écoûléek ,’Gheniiery j Hrois années
+sont écoulées, Chennery ; trois années
-sur lesq\iêllës : iï -est f inutile de;"revenir ^depuis qhe , pour,la derrière fôis, j’ai^adïniré cè^s : beaux tapis’de verdure.’..! Voici la ; fenêtre^ lie > votte ancien ’cabinet où f eus cette 7 attaque de cardiargiê, cette pendant
+sur lesquelles il est inutile de revenir, depuis que, pour la dernière fois, j’ai admiré ces beaux tapis de verdure... Voici la fenêtre de votre ancien cabinet où j’eus cette attaque de cardialgie, cette asodès, pendant
-saison des.fraisés.... Voua vous 1 la râppéléz’v sans douté.;.. Ah het’voici la salle d’études..... Je r à’olïblîéM jamais
+saison des fraises... Vous vous la rappelez, sans doute... Ah ! et voici la salle d’études... Je n’oublierai jamais
-Sturch sortaht par cette: porte,
+Sturch sortant par cette porte,
-d’eau .de-soude au gingèmbré.;.. ! si
+d’eau de soude au gingembre... si
-mixtion Salutaire. si
+mixtion salutaire... si
-affligée qu’il-n’y eût pas; de
+affligée qu’il n’y eût pas de
-dans 1 là maison..;;*-Si voussaviezr.Chenner#, comme un"souvenir pareil- fait du: bieiû,.. ; C’est mon/ cigare^ à inoi.,.. Vôuftriez-votré passer de Vautre côté,:cher ami?:j’aime l’odeur du^tabac, mais la’fumée e^t un
+dans la maison... Si vous saviez, Chennery, comme un souvenir pareil fait du bien... C’est mon cigare, à moi... Voudriez-vous passer de l’autre côté, cher ami ? j’aime l’odeur du tabac, mais la fumée est un
-forte pou^ma tête.... Merci bienL^vEt maintenant, -l’histoire..;, la curieuse, histoire.,.: Quel
+forte pour ma tête... Merci bien !... Et maintenant, l’histoire... la curieuse histoire... Quel
-tout ài*heure ^ ce vieux domaine?.^ 11* me
+tout à l’heure à ce vieux domaine ?... Il me
-par Pprthgenna-Tdtver, 1 dit le : ministre. • ’ 1,, ^— C’est bien’cela, dit
+par un P. — Porthgenna-Tower, dit le ministre. — C’est bien cela, dit
-sur l’autre.... Et
+sur l’autre... Et
-motif ^péur lequélie capitainé Treverton
+motif pour lequel le capitaine Treverton
-vendre PorthgennaTower? f ::-;i. ~ r Je
+vendre Porthgenna-Tower ? — Je
-ne f pouvait plus s?y supporter-après la * jnort de sa feinmey répondit
+ne pouvait plus s’y supporter après la mort de sa femme, répondit
-docteur Ghennery. Le domaine >y àTT
+docteur Chennery. Le domaine n’
-V •< v rit^LT. » . m*m -v iIvo W^ P ,,,,-4; ^, V -fLrr-i* LE SECRET. 51 u’avait jamais
+avait jamais
-savez peut-être.... Le
+savez peut-être... Le
-sauf pdurtant celle dje trouver
+sauf pourtant celle de trouver
-son frère? demanda
+son frère ? demanda
-Andrew Treverton? —
+Andrew Treverton ? —
-le ministre.Un misérable avare", çans dignité, cynique, égoïste...Oh !
+le ministre... Un misérable avare, sans dignité, cynique, égoïste... Oh !
-la grimace.,.. Je
+la grimace... Je
-d’Andrew Treverton..*. Je
+d’Andrew Treverton... Je
-traité $vec la
+traité avec la
-de collège qui" se
+de collége qui se
-plus hohteuse...; Je
+plus honteuse... Je
-cela. Mais.un exemple d’ingratitude né justifie
+cela. Mais un exemple d’ingratitude ne justifie
-pour s’dsoler’de la société, • se
+pour s’isoler de la société, se
-comme indignés de
+comme indignes de
-aux pieds.,,. J’ai,
+aux pieds... J’ai,
-mes oreilles ^entendu ce
+mes oreilles, entendu ce
-plus gèand bienfait1 à
+plus grand bienfait à
-notre généra- ^ : tion serait
+notre génération serait
-autre * ne
+autre ne
-tenir des* propos
+tenir des propos
-nom d’aihi, de
+nom d’ami, de
-a lé moindrë respect
+a le moindre respect
-son espèce?..*. " — Mon ’ami, dit M. Phippen / prenant
+son espèce ?... — Mon ami, dit M. Phippen, prenant
-bras -du ministre
+bras du ministre
-la voix,..vMon cher,’mon vénérable ami,,,, j^àâmire votre indignation contre’l’homme qui’a émis
+la voix... Mon cher, mon vénérable ami... j’admire votre indignation contre l’homme qui a émis
-vous cotïfie céci sous
+vous confie ceci sous
-du secret; il est dés heures, surtout lé matin , où
+du secret, il est des heures, surtout le matin, où
-digestion "se fait
+digestion se fait
-Andrew Trevèrton. Je më/réveillais, la
+Andrew Treverton. Je me réveillais, la
-un iftorceSu de coke..,. Je
+un morceau de coke... Je
-ma £lace pour m’y rëgardér; et
+ma glace pour m’y regarder, et
-de dire; êïî’ces héures découiagéés r a: Eh bien:, périsse ïa race humainë , plutôt que l’endurer plusiorigtéïnps : ûn ; pareil supplice I * • —
+de dire, en ces heures découragées : « Eh bien, périsse la race humaine, plutôt que d’endurer plus longtemps un pareil supplice ! » —
-très-bon t ’ sMcria le ministre , r accueillant
+très-bon ! s’écria le ministre, accueillant
-gros rire^fort peu ïé vérënêiëux la
+gros rire fort peu révérencieux la
-M. Phippen..., La première fôfë que yô’trë’langue’sera dans
+M. Phippen... La première fois que votre langue sera dans
-avalez tin verre
+avalez un verre
-vous souhai< terez après
+vous souhaiterez après
-portion dé la
+portion de la
-à "Pôrthgenna-Tower, ou
+à Porthgenna-Tower, ou
-mon histoire/Lorsque le
+mon histoire. Lorsque le
-fut \
+fut
-52 LE SECRET, une
+une
-son domaine , je
+son domaine, je
-la famille, Andrew
+la famille. Andrew
-déjà plus..,. C’est
+déjà plus... C’est
-frères. , —
+frères. —
-M. Phippen , ouvrant
+M. Phippen, ouvrant
-de soie , à
+de soie, à
-du parasol.... Avant
+du parasol... Avant
-laissez-moi m’asseoir,... Cette
+laissez-moi m’asseoir... Cette
-me fatiguer.... Continuez,
+me fatiguer... Continuez,
-vous prie.*.. Je
+vous prie... Je
-le gazon.... Je
+le gazon... Je
-si léger.... un vrai squelette.,.. Mais continuez! —
+si léger... un vrai squelette... Mais continuez ! —
-une comédienne.,., une
+une comédienne... une
-bon sens; et
+bon sens ; et
-accusation dégradante..., une
+accusation dégradante... une
-que j’aurais.honte de
+que j’aurais honte de
-fatales parole^, rapportées
+fatales paroles, rapportées
-le capi-
+le capitaine
-| i.1 !- tm. ->i S.;. Vpi"’ ijg^iia^ V LE SECRET. 53 l • T taine déclara
+déclara
-qu’il | était
+qu’il était
-plus simple, mouf vement de sympathie..,, Andrew
+plus simple mouvement de sympathie... Andrew
-jamais, vi| vaut, il
+jamais, vivant, il
-se | quittèrent.
+se quittèrent.
-puis, qmxii vint à | mourir
+puis, quand vint à mourir
-frère aï.ué écrivit
+frère aîné écrivit
-duretés d^langage que,
+duretés de langage que,
-de Porthgenna-Tower?-» Bien
+de Porthgenna-Tower ? » Bien
-dans l’attentioù de
+dans l’attention de
-Après quel: ques vigoureuses
+Après quelques vigoureuses
-cigare plul sieurs fois
+cigare plusieurs fois
-: Donc
+: « Donc
-mistress Treverton; mais
+mistress Treverton ; mais
-usines . pouvait
+usines pouvait
-le [ t recouvrement
+le recouvrement
-lui ^ dît,
+lui dît,
-un séiour
+un séjour
-hk LE SECRET. qui
+qui
-devenu odieux, il aimait
+devenu odieux. Il aimait
-sa féïfimé qu’il
+sa femme qu’il
-aimé (Telle, et
+aimé d’elle, et
-une parenté de
+une parente de
-avait prise comme
+avait prisé comme
-vint s’établir,dans notre
+vint s’établir dans notre
-joli cottage ,tlà-bas, dans
+joli cottage, là-bas, dans
-aurez reiharqùé les
+aurez remarqué les
-hautes murailles ^ près
+hautes murailles, près
-route dé Londres.
+route de Londres.
-par lés père
+par les père
-Il eh résulta
+Il en résulta
-entre leè deux houvëàux voisins
+entre les deux nouveaux voisins
-élevés ëhsëmblé les
+élevés ensemble les
-que j’ai.mariés ce
+que j’ai mariés ce
-la touté première
+la toute première
-tabliers d’enfants; —
+tabliers d’enfants. —
-pas 1’èiFet d’être
+pas l’effet d’être
-d’un côté? s’écria
+d’un côté ! s’écria
-vous interrdmpre.... mais
+vous interrompre... mais
-d’un mou!... Un
+d’un mou !... Un
-de mdn tabouret
+de mon tabouret
-en minute.*., je
+en minute... je
-mon ami.... j’enfonce
+mon ami..., j’enfonce
-vue d’œil..„ Bonté divine 1 je
+vue d’œil... Bonté divine ! je
-m’en aller.... Sur
+m’en aller... Sur
-vie, Chenrtery, je
+vie, Chennery, je
-disparaître I — Laissez donc! cria lë ministre, sotxlévant; d’une mâiii vigoureuse,
+disparaître ! — Laissez donc ! cria le ministre, soulevant, d’une main vigoureuse,
-et ènsuite le
+et ensuite le
-le soi; tout d’un côté.... Par ici!.;. Tènez-vods sur le . chemin sablé.... je
+le sol, tout d’un côté... Par ici !... Tenez-vous sur le chemin sablé... je
-de trous.... Eh bien, qu’avèz-vods éncorë? Des
+de trous... Eh bien, qu’avez-vous encore ? — Des
-dit M, Phi{)fiéû j laissant
+dit M. Phippen, laissant
-main sut son codth\..; dès palpitations
+main sur son cœur... des palpitations
-de bile.... Je lés revois; cès tâches noires, ces * ’ infernales
+de bile... Je les revois, ces taches noires, ces infernales
-mes yeux.,.. Chennery, vous devriez- consulter
+mes yeux... Chennery, vous devriez consulter
-de vbs amis
+de vos amis
-votre gazon.... Croyez^m’ën sur
+votre gazon... Croyez m’en sur
-qu’elle né devrait l’êtrë.... Une prairie; cela?*.; répéta
+qu’elle ne devrait l’être... Une prairie, cela ?... répéta
-se parlânt à lui-môme, au
+se parlant à lui-même, au
-son parasol.... c’est
+son parasol..., c’est
-tourbière. 1 * t* * — "Voyons dîme* asseyez-vous
+tourbière. — Voyons donc, asseyez-vous
-dit lé ministre, et hé faites pas aiix palpitations,
+dit le ministre, et ne faites pas aux palpitations,
-pas aui tâches noirâtres
+pas aux taches noirâtres
-occuper d’elles.... Voulez-vous
+occuper d’elles... Voulez-vous
-quelque S;• JV
+quelque
-LE SECRET. 55 i / remède;?.,préférez-vous une
+remède ?..., préférez-vous une
-de bière? /Vpul^zryouSîautre chose?. . i. ;l. ’* . •• | ;.^f^r£)&>! wiiii,;.: nûru.; je
+de bière ? Voulez-vous autre chose ? — Oh ! non... non... je
-si contrarié; quand jfe dérângë, f - répondit M. Phippen..j’aime bien mieux souffrir ôùi:, T \ certes^ infiniment" mieux..Il:me semblé, Chennery^ que,
+si contrarié quand je dérange, répondit M. Phippen... j’aime bien mieux souffrir... oui, certes, infiniment mieux... Il me semble, Chennery, que,
-continuer ;votre iiistoire : cela^ me calmerait Ail! ’ ’ ’ " _ 7 i un.peu..,,. Je. ne sais, pas
+continuer votre histoire, cela me calmerait un peu... Je ne sais pas
-comment vous, yaviezéte conduit, mais 11 me; jspmblft que vôUS; disiez - quelque
+comment vous y aviez été conduit, mais il me semble que vous disiez quelque
-les tablièrs .de.ces jeunes amoureux/> < ^ ; -T-rJolii... "dit le docteur Chennery.,.* Je
+les tabliers de ces jeunes amoureux. — Joli !... dit le docteur Chennery... Je
-tout .bonnement.de Rattachement précoce derôes deux enfants ^depuis lors
+tout bonnement de l’attachement précoce de ces deux enfants, depuis lors
-et femme; j’allais.ajouter, que. le
+et femme ; et j’allais ajouter que le
-Treverton, peiï après è’être établi
+Treverton, peu après s’être établi
-reprit î’çxprçice actif
+reprit l’exercice actif
-femme adorée, j En, bonnes relations:. avec.rAmi..rauté, il;n’a qu’à demander,un commsmdémentipour l’obtenirt; et; jusqu’à- présent sauf. quelques,,;iritervalles/::bièn courts, l passés
+femme adorée. En bonnes relations avec l’Amirauté, il n’a qu’à demander un commandement pour l’obtenir ; et jusqu’à présent, sauf quelques intervalles bien courts, passés
-naviguer, Jrien^u’il soit un : peu
+naviguer, bien qu’il soit un peu
-pour le, métier qu’il fait , au
+pour le métier qu’il fait, au
-de -sa..fillë; et> de ses,amis.. N’ayez donc..pas , l’air,.intrigué, Phippen.-,. . ije ne
+de sa fille et de ses amis... N’ayez donc pas l’air intrigué, Phippen... je ne
-que TOUS, pouvez.le penser^.. Ces dé| tails sont
+que vous pouvez le penser... Ces détails sont
-était indispensable; de vous,donner au f préalable.... Et
+était indispensable de vous donner au préalable... Et
-je m’jen suis débarrassé / je puis .aborder tde front ma principale-histoire .1 célle de yentev..; Eh bien^ qu’est-ce qui:vous prend?. 1 ,. Avëz-vous>èii^ core besoin, de vous lever? . .: ^ .-, G.:!; Oui; o’qt^itj justement; là
+je m’en suis débarrassé, je puis aborder de front ma principale histoire... celle de la vente... Eh bien, qu’est-ce qui vous prend ?... Avez-vous encore besoin de vous lever ? » Oui, c’était justement là
-M. Phippeîvcar é venait
+M. Phippen, car il venait
-manière dexalmer ses pal" pit&tions, de
+manière de calmer ses palpitations, de
-ses taches,noirâtres, pourrait bien êti un
+ses taches noirâtres, pourrait bien être un
-avec -ménagements.. ; A Dieu ne: plaise qu’il focçasionnât le moindre , dérangement I mais : sison digne . amj Çjhennery, #vant, de, continuer Jie.redit. duv • plus- palpitant .intérêt^ voulait : bien lui/donner lé bias-, seicharger du tabouret pliant,, et ^avancer lentement duxôtafie la.fenêtrede la
+avec ménagement... À Dieu ne plaise qu’il occasionnât le moindre dérangement ! mais si son digne ami Chennery, avant de continuer ce récit du plus palpitant intérêt, voulait bien lui donner le bras, se charger du tabouret pliant, et s’avancer lentement du côté de la fenêtre de la
-d’études, on/seraikain&ià même de héler, miss Sturch, danslfe \ cas
+d’études, on serait ainsi à même de héler miss Sturch, dans le cas
-il : serait
+il serait
-d’une ioisson, calmante,
+d’une boisson calmante,
-pareille fîirconstanoe; :; :v ru Le ministr^i ïônt ^inépuisable.bonté était &4’épi?euvé"<iie ’iouç les ensuis .que lui
+pareille circonstance. Le ministre, dont l’inépuisable bonté était à l’épreuve de tous les ennuis que lui
-les infirmités- % s ^ peptiques de M; Phippen,
+les infirmités dyspeptiques de M. Phippen,
-faire adroit- à ses i
+faire droit à ses
-56 LE - SECRET. diverses requêtes^ et
+diverses requêtes, et
-bonne humeur,’ qui cherche de:son mieux
+bonne humeur, qui cherche de son mieux
-enfant gâté, /. Je
+enfant gâté. « Je
-capitaine .Treverton vivaient
+capitaine Treverton vivaient
-vieux Frankland , sans
+vieux Frankland, sans
-vieux Frankland , parti
+vieux Frankland, parti
-contre. Ati retour,
+contre. Au retour,
-: Treverton,
+: « Treverton,
-vous avëz donné
+vous avez donné
-délai. y> Le
+délai. » Le
-ce fai$ en
+ce fait en
-quasi féodal; son
+quasi féodal ; son
-cet emploi; mais,
+cet emploi ; mais,
-sont élevés.chez nous,
+sont élevés chez nous,
-de ^orthgenna, s’il
+de Porthgenna, s’il
-LE SECRET. 57 ^ — i f deux ; fois le
+deux lois le
-le [ capitaine.. Le
+le capitaine. Le
-cela, | et
+cela, et
-avait, d’aill leurs, - dans
+avait, d’ailleurs, dans
-avec ï . ses
+avec ses
-la : propriété,
+la propriété,
-merveilleusement J. avec les proj ets de
+merveilleusement avec les projets de
-conçus l pour
+conçus pour
-après lui y changer r le
+après lui, changer le
-leur ; autorité
+leur autorité
-souveraine, s’exerceraitl’industrie de plusieurs ) centaines
+souveraine, s’exercerait l’industrie de plusieurs centaines
-entassées \ dans
+entassées dans
-une perspecJ tive bien tentante; et
+une perspective bien tentante ; et
-brillants résuL ; tats sans
+brillants résultats sans
-dix ) mille
+dix mille
-Frankland n’a-j vait pensé
+Frankland n’avait pensé
-ancien } négociant
+ancien négociant
-le \ disais,
+le disais,
-nullement \ étonnés
+nullement étonnés
-se • rendre
+se rendre
-capitaine Tre* verton, de
+capitaine Treverton, de
-profiter ; d’une
+profiter d’une
-de ’ mains
+de mains
-là-bas, ! avec
+là-bas, avec
-de Lon’ dres, afin
+de Londres, afin
-les pêcheries; sans compter j un
+les pêcheries ; sans compter un
-tout ; = l’air
+tout l’air
-direction du1 l quel on
+direction duquel on
-comble, i | sur
+comble, sur
-du ! moyen
+du moyen
-qu’ils aboutirent? j — Ahl mon
+qu’ils aboutirent ? — Ah ! mon
-dites-le-moi : » telle
+dites-le-moi » : telle
-M. Phippen.... <r J’ignore si mistress. f Sturch
+M. Phippen... « J’ignore si mistress Sturch
-bouteille t de
+bouteille de
-camphre : » telle
+camphre » : telle
-pensée f qui
+pensée qui
-le dire? s’écria le ministre.... Eh bien! naturellement j et
+le dire ? s’écria le ministre... Eh bien ! naturellement, et
-qu’elle *fût, ce
+qu’elle fût, ce
-58 LE SÈCRET. pas
+pas
-race cornôuàillaise^ et dès lors;* à
+race cornouaillaise, et dès lors, à
-yeux, éllê n’avait
+yeux, elle n’avait
-les TreVerton, Notais pas
+les Treverton, mais pas
-d’eux lie se fût, piour les
+d’eux ne se fût, pour les
-montra imbue du
+montra imbue, du
-qui animait les
+qui armait les
-la sùrface du
+la surface du
-de frais; Les
+de frais. Les
-la prà. tique, un
+la pratique, un
-d’extravagance. Frahkland, en
+d’extravagance. Frankland, en
-brouiller aésez à
+brouiller assez à
-moyen âge* qui
+moyen âge, qui
-un prêtïe catholique
+un prêtre catholique
-de Porthgehnà tout
+de Porthgenna tout
-qu’il éût, sans
+qu’il eût, sans
-et rëdécorer toute
+et redécorer toute
-dans le^ même état d’ab’andon. Pour
+dans le même état d’abandon. Pour
-à Porthgënnà plus
+à Porthgenna plus
-vieux Frankland^ dégoûté ën fin de compte;. laissa
+vieux Frankland, dégoûté en fin de compte, laissa
-d’un intendant; chargé
+d’un intendant, chargé
-un farthirig, et
+un farthing, et
-mauvais niârché, la
+mauvais marché, la
-rien dè plus
+rien de plus
-et Porthgënnà et ses hâbitahts. Ceci
+et Porthgenna et ses habitants. Ceci
-pour l’autre^ et. une
+pour l’autre, et une
-complète s’ëh fût peutrêtre suivie
+complète s’en fût peut-être suivie
-les enfants , qui n’entendaient pas- se
+les enfants, qui n’entendaient pas se
-et qui; en
+et qui, en
-cette vo* lontébien arrêtée,
+cette volonté bien arrêtée,
-parents, t tout Simplement parce
+parents, tout simplement parce
-le curieux-dë l’histoire. Dës intérêts
+le curieux de l’histoire. Des intérêts
-importants démandaient, pour
+importants demandaient, pour
-convenablement réglés j que
+convenablement réglés, que
-et, choseiherveilleuse !
+et, chose merveilleuse !
-au déjeunèr; ce fut exactëméht ce
+au déjeuner, ce fut exactement ce
-firent. Àmoûr fet mariage vraiment singuliers} eii bë qu’ils se trouvéi
+firent. Amour et mariage vraiment singuliers, en ce qu’ils se trouvè
-LE SECRET. 59 rent
+rent
-en points à
+en point, à
-semé .de traverses
+semé de traverses
-jamais pn ne
+jamais on ne
-celui .de ce
+celui de ce
-de Léonard , la
+de Léonard, la
-étant fille, unique,, le prix d’achat,de. Porthgënnà, que
+étant fille unique, le prix d’achat de Porthgenna, que
-comme de; l’argent
+comme de l’argent
-trouvera . être maintenant , à la mort, du
+trouvera être maintenant, à la mort du
-dot de, mistress
+dot de mistress
-la jeune.... Je
+la jeune... Je
-vous pensez,.Phippen, du
+vous pensez, Phippen, du
-le moins,, doit
+le moins, doit
-mariés de, ce matin?» Avant
+mariés de ce matin ? » Avant
-chambre d’étudeset • voyant
+chambre d’études, et, voyant
-sur eux,son invariable
+sur eux son invariable
-: . . .... , . ; ... . <r Je
+: « Je
-Pythagore. . . . : ... . —
+Pythagore. —
-est-il resté? demanda le docteur, _ ’ • J j •• ’ . m-t i •— A sept
+est-il resté ? demanda le docteur. — À sept
-huit, monsieur j répliqua miss Sturch.. r , — BobI cria
+huit, monsieur, répliqua miss Sturch. — Bob ! cria
-ministre par.la fenêtre.,.. Sept fois huit?.^ — Quarante-trois^ répliqua
+ministre par la fenêtre... Sept fois huit ?... — Quarante-trois, répliqua
-Bob. , ..... . ’ t —Vous ayez encore
+Bob. — Vous avez encore
-j’aie recourra ma
+j’aie recours à ma
-le docteur.... Ainsi donc, atteiitionh.. Sept fois.... , iJ„,’ , V...J . 1i. —
+le docteur... Ainsi donc, attention !... Sept fois... —
-vous hattez cet
+vous battez cet
-il pleurera, très-certainement.
+il pleurera très-certainement.
-ce luatin* ont
+ce matin, ont
-épreuve ,à l’occasion
+épreuve à l’occasion
-Donnez-moi le.temps de
+Donnez-moi le temps de
-que j’épâpgne à
+que j’épargne à
-Sturch la triste
+Sturch le triste
-au .camphre,, ce
+au camphre, ce
-pour .nous tenir loin d’ici.... En
+pour nous tenir loin d’ici... En
-ce remède.... mais
+ce remède... mais
-moindre scru!S. v t
+moindre scrupule,
-60 LE SECRET. pule, autant
+autant
-pauvres nerfs..,. Avez vous, miss,Sturch, du
+pauvres nerfs... Avez-vous, miss Sturch, du
-au camphre? Pour
+au camphre ? Pour
-» ~ Tandis
+» Tandis
-pu dbnner les
+pu donner les
-seul avec,ses sœurs
+seul avec ses sœurs
-huit. Vous
+huit. « Vous
-Amélia. ’ — Pour sûr?ditBob. —
+Amélia. — Pour sûr ? dit Bob. —
-doute, J> dit
+doute, » dit
-erreurs arithmétiques, La
+erreurs arithmétiques. La
-nerfs. a Dénoûment
+nerfs. « Dénoûment
-mes nerfs, sont
+mes nerfs sont
-votre déli-
+votre délicieuse
-LE SECRET. * 61 Vh / cieuse histoire,
+histoire,
-interruption do* ! mestique?. ^ : —
+interruption domestique ? —
-la route-de Saint-Swithin-sur-Mer,
+la route de Saint-Swithin-sur-Mer,
-demain. lia reçu
+demain. Il a reçu
-de déj part, et
+de départ, et
-Treverton ! a
+Treverton a
-notre j jeune
+notre jeune
-sa ; résidence
+sa résidence
-tenant compté du
+tenant compte du
-du monde.... -Quelle heureuse existence , Phippen,
+du monde... Quelle heureuse existence, Phippen,
-jeunes gens!... Il
+jeunes gens !... Il
-notre espèce.... mais,
+notre espèce... mais,
-4 \ ta 62 " LE SECRET t —
+—
-serrant affectueu-’ sement la
+serrant affectueusement la
-du ministre,... Quel
+du ministre... Quel
-vous I enténdré patter ainsi liV. ’Quël bien
+vous entendre parler ainsi !... Quel bien
-bonheur, vos’iïïusioks riantes sûr le compte dé cette
+bonheur, vos illusions hautes sur le compte de cette
-— Pëhsériéfc-vous Çue j’ai tort;... surtout éft ce^qui concerne
+— Penseriez-vous que j’ai tort... surtout en ce qui concerne
-Frankland ét sa féïhme t demanda le mihistre. —
+Frankland et sa femme ? demanda le ministre. —
-me démandez mon
+me demandez mon
-et là calme gràvité d’un philosophe , je
+et la calme gravité d’un philosophe, je
-qu’une chose , c’est
+qu’une chose, c’est
-voir dé chaque
+voir de chaque
-mot, dè ses sécrétions..,. Vos
+mot, de ses sécrétions... Vos
-bilieuses sefohtbién, cher
+bilieuses se font bien, cher
-et Vous voyez
+et vous voyez
-en bèâu.... Les miennes séfôntmâl, et
+en beau... Les miennes se font mal, et
-récent hyménée , et vous ïi’y voyez
+récent hyménée, et vous n’y voyez
-un nuage.... Je
+un nuage... Je
-de côntëster’ cette appré^ ciation, n’ayant’le bonheur
+de contester cette appréciation, n’ayant le bonheur
-aucun dès deux époux.’.-.. Mais jë regarde lé’ciël étendu
+aucun des deux époux... Mais je regarde le ciel étendu
-je nie souviens qu’à nôtre ’entrée dans
+je me souviens qu’à notre entrée dans
-pas ùïi seul"nuage..;, je’vois maintenant, justëmènt au-dëssus dé ces dehx arbres
+pas un seul nuage... je vois maintenant, justement au-dessus de ces deux arbres
-une grosse’nuée vënue : à l’improvisté de je né sais où.... et
+une grosse nuée venue à l’improviste de je ne sais où... et
-une coriclùsiôn à mon usage.... Vôilà, continua
+une conclusion à mon usage... Voilà, continua
-Phippen , montant
+Phippen montant
-au logis.... voilà ma philosophie.... C’est
+au logis... voilà ma philosophie... C’est
-philosophie atrabilaire, je le veux*bieri..V; mais c’est dela philosophië. —
+philosophie atrabilaire ? je le veux bien... mais c’est de la philosophie. —
-je suis quë Léonard
+je sais que Léonard
-heureux ; avenir, i M.
+heureux avenir. » M.
-que xe docteur ! eût rejoint,
+que le docteur l’eût rejoint,
-plus amicalemeht du monde. cc Vous
+plus amicalement du monde. « Vous
-historiette charmanteî et
+historiette charmante ; et
-non nioins charmant qu’elle; mais,
+non moins charmant qu’elle ; mais,
-imagination isainé et
+imagination saine et
-une J digestion
+une digestion
-deux arbres^... Eh! tenèz.... regardez-le maintenant; il
+deux arbres... Eh ! tenez..., regardez-le maintenant ; il
-plus gtôs. JI l if
+plus gros. »
-LE SECRET^ 63 CHAPITRE NI. Le
+=== CHAPITRE III. — Le
-la mariée, *• \ < r Miss
+la mariée. === Miss
-bénéfice d’i^n petit
+bénéfice d’un petit
-finalement à^échanger contre
+finalement à l’échanger contre
-de • sa
+de sa
-un éçriteau annonçant
+un écriteau annonçant
-Il pétait à
+Il l’était à
-depuis £uit jours,
+depuis huit jours,
-satisfait dp leur
+satisfait de leur
-récemment mariés * qui viendraient eu prendre
+récemment mariés, qui viendraient en prendre
-personnage en,noir, d’aspect
+personnage en noir, d’aspect
-capitaine Treverton; les
+capitaine Treverton ; les
-des appartements’retenus, étaient
+des appartements retenus, étaient
-mistress Franklànd. • V - L’intérêt
+mistress Frankland. L’intérêt
-plus se&timentalè £vec laquelle
+plus sentimentale avec laquelle
-où .M. et’mistrëss Frankland
+où M. et mistress Frankland
-le ; seuil
+le seuil
-cette étudie ardemment
+cette étude ardemment
-dans la, journée
+dans la journée
-Lorsque Fheu-
+Lorsque l’heureux
-*’ • . •ï 64 LE SECRET. r-eux couple eat passé
+couple eut passé
-miss Mowlem. avait
+miss Mowlem avait
-Samuel Pepys Mais
+Samuel Pepys. Mais
-amène unhesoin, sans „ cesse
+amène un besoin, sans cesse
-de Science, qui
+de science, qui
-porte dû salon.
+porte du salon.
-de M* et
+de M. et
-Frankland. Que
+Frankland. « Que
-à présent? s’écria
+à présent ? s’écria
-une ’ promptitude
+une promptitude
-genoux !.*. Dites
+genoux !... Dites
-jeunes gens.... et
+jeunes gens... et
-si étroitement —
+si étroitement... —
-ces choses!... je
+ces choses !... je
-croire. $ Et
+croire. » Et
-de fauteuils; il
+de fauteuils ; il
-table .de ce
+table de ce
-les Antiquités de \. Le Dangeau bourgeois de la cour de Charles II, pendant les premières aimées de la restauration des Stuarta. —TS
+les ’’Antiquités de
-LE. SECRET. 65 Saint-Suoithin^ les
+Saint-Swithin, les
-en prose~anglaise. Mistress Erankland aurait
+en prose anglaise. Mistress Frankland aurait
-niente absolu, et
+niente ’’absolu, et
-un peu^ releva
+un peu, releva
-figure .du jeune aveugle. ce Lenny,
+figure du jeune aveugle. « Lenny,
-Si TOUS voulez
+Si vous voulez
-— Est-cè que,
+— Est-ce que,
-je pense? demanda
+je pense ? demanda
-pensez-vous, dites?... A moi ? , • —
+pensez-vous, dites ?... À moi ? —
-Tant pis.... et
+Tant pis... et
-devriez rougir.... Huit
+devriez rougir... Huit
-de moi?... Je
+de moi ?... Je
-installés ici.... Ah! vous riez!,... Je
+installés ici... Ah ! vous riez !... Je
-tant, LennyI comment
+tant, Lenny ! comment
-pas TOUS?.... Oh! non, non.... ]e ne TOUS embrasserai pas..., je
+pas vous ?... Oh ! non, non... je ne vous embrasserai pas... je
-n’y Tois-plus.... Ah! vraiment?... je croyais
+n’y vois plus... Ah ! vraiment ?... Je croyais
-je pensais* —
+je pensais. —
-embrasser, Lenny* quand
+embrasser, Lenny, quand
-vos pauyres yeux perdus.... Oh! dites-moi,
+vos pauvres yeux perdus... Oh ! dites-moi,
-un peu?.... Êtesvous plus heureux maintenant?..,, et,
+un peu ?... Êtes-vous plus heureux maintenant ?... et,
-ce bonheur? »
+ce bonheur ? »
-de Rpsamond. ^ j"c Yous pleurez? lui
+de Rosamond. « Vous pleurez ? lui
-Moi, pleurer? répondit-elle,
+Moi, pleurer ? répondit-elle,
-retour LE SECRET. &
+retour
-66 LE SECRET. de gaieté* Eh bien! non,
+de gaieté, Eh bien ! non,
-un instàûtde silence.
+un instant de silence.
-de TOUS tromper, cher amour.... Mes
+de vous tromper, cher amour... Mes
-n’est-ce pas? Vous comptez sur
+n’est-ce pas ? Vous compter sur
-que TOS mains ne TOUS peuvent
+que vos mains ne vous peuvent
-cette mission; de confiance ?.... Je pleurais; c’êst vrai,
+cette mission de confiance ?... Je pleurais, c’est vrai,
-si peu.... I je
+si peu... je
-la Tie je ne ! me
+la vie je me
-pour TOUS autant
+pour vous autant
-à l’heure.,.* N’y
+à l’heure... N’y
-pas garde.... voilà
+pas garde... voilà
-est j fini.... Continuez,
+est fini... Continuez,
-que TOUS alliëz dire. f — J’allais TOUS dire,
+que vous alliez dire. — J’allais vous dire,
-vois j. plus,
+vois plus,
-moi Un assez singulier symptôme/ Je j rêve
+moi un assez singulier symptôme. Je rêve
-ne rêTe de
+ne rêve de
-il m’arriTe de
+il m’arrive de
-que jë suis
+que je suis
-réveil, . je
+réveil, je
-Je passe , dormant,
+Je passe, dormant,
-toute L sorte
+toute sorte
-éclairer ma. route.
+éclairer ma route.
-pour ^ moi
+pour moi
-d’y voir;, et
+d’y voir, et
-endroit où j pour
+endroit où, pour
-avec lés arbres
+avec les arbres
-et lesbtànches de
+et les branches de
-le toutdàhs ce
+le tout dans ce
-descendait pairmi lés épais
+descendait parmi les épais
-au inilieu du vallon, j’âi rëvti la boue piétinee par
+au milieu du vallon, j’ai revu la boue piétinée par
-çà ët là
+çà et là
-les fëmmes du vil- ! ’ làge avaient
+les femmes du village avaient
-là, perchéés sur
+là, perchées sur
-ferrés. \ i J’ai rev-u l’eau
+ferrés. J’ai revu l’eau
-après l’a pluie, dés deùi \ j côtés
+après la pluie, des deux côtés
-en pente; et
+en pente ; et
-Rosamond, pe!: tite fille
+Rosamond, petite fille
-mouchetée dè terre (. humide,
+mouchetée de terre humide,
-vous vis en
+vous vis, en
-salissant
+salissant votre
-£E ’ • LE SECRET. 6? ;/ rotre belle-jpâlisâë1 bleue
+belle pelisse bleue
-que TOUS façonniez
+que vous façonniez
-l’eau cou* rante, et yous moquant
+l’eau courante, et vous moquant
-ôter dé là pbur vbûs ramener au logis.;.. Enfin,
+ôter de là pour vous ramener au logis... Enfin,
-tout cela ; comme
+tout cela, comme
-; maiscirconstance assez
+; mais, circonstance assez
-pas fevu petit
+pas revu petit
-j’étais stlbrs.;., Yous étiez
+j’étais alors... Vous étiez
-avait Son ancienne physionomie inculte; ët moi, au iriiliëu dé ce
+avait son ancienne physionomie inculte ; et moi, au milieu de ce
-suis maintenant.... je
+suis maintenant... je
-gêne, âvéc mè& alluréà ët ïïïës pensées d’homme fait.... bref,
+gêne, avec mes allures et mes pensées d’homme fait... bref,
-vôtre, sîmi, pour
+vôtre, ami, pour
-ces înille détails
+ces mille détails
-pleuvait dàîls le petit vallon!Comme vous
+pleuvait dans le petit vallon ! Comme vous
-que j’étais!.., Yous souvenéz-voûs aussi tien de
+que j’étais !... Vous souvenez-vous aussi bien de
-un an,... lorsque vous ûié vîtes;*;., oh! Lehny, que
+un an... lorsque vous me vîtes... oh ! Lenny, que
-triste !.. lorsque
+triste !... lorsque
-me vîtes- pour
+me vîtes pour
-je nfëÊt soutiens, Rosàmond?... le
+je m’en souviens, Rosamond ?... le
-dans là mémoire,
+dans la mémoire,
-aucun dû même
+aucun du même
-et du’ riiême relief.
+et du même relief.
-de moi.... Il
+de moi... Il
-que jè vous
+que je vous
-quelque chôsë qûi consolé? Qiïâttd lès ànnéës auront pàssé sur nos dëux têtes,
+quelque chose qui console ? Quand les années auront passé sur nos deux têtes,
-quand lé temps
+quand le temps
-vous Uê vrihs direz pôiht ; i lÊTà Rosamond commencé à sé flétrir.... elle ressemble ’de moins en môihs à mâ jolie fiancée d’autrëfdis.... a Jaxàâià je ne vieillirài pbuï voiis, mon a&fcoûr.... Ôuahdj’aufai des
+vous ne vous direz point : « Ma Rosamond commence à se flétrir... elle ressemble de moins en moins à ma jolie fiancée d’autrefois... » Jamais je ne vieillirai pour vous, mon amour... Quand j’aurai des
-dans mgs bandeaux,
+dans mes bandeaux,
-beau jiorttâiï de
+beau portrait de
-restera lé même eh vos âouvehirs. — Toujours lë mêïnë; tbùjoiirâ jeuiié; et si viétix" que je Soià devenu.
+restera le même en vos souvenirs. — Toujours le même, toujours jeune, et si vieux que je sois devenu.
-bien terminé?... N’a-t-il pas, ça et
+bien terminé ?... N’a-t-il pas, çà et
-contour inachevé?... jDepuis que
+contour inachevé ?... Depuis que
-un ah.... Et si jè voué dëmar-
+un an... Et si je vous demandais
-J•• ^68 LE SECRET. dais de
+de
-vous tromper? — Essayez 1 —
+vous tromper ? — Essayez ! —
-puis-je réellement?... Eh bien! préparez-vous
+puis-je réellement ?... Eh bien ! préparez-vous
-complet L.. Je
+complet !... Je
-ainsi surxvos genoux?.., Voyons; première
+ainsi sur vos genoux ?... Voyons ; première
-comment suis-jegranété? —
+comment suis-je grande ? —
-mes cheveux? — Brun foncé.... et très-abondants.... Au
+mes cheveux ? — Brun foncé... et très-abondants... Au
-certaines gens...? A votre goût , est-ce
+certaines gens... ? À votre goût, est-ce
-Certainement non..,, j’aime,
+Certainement non... j’aime,
-qu’ils avancent.... j’aime
+qu’ils avancent... j’aime
-votre front.... je
+votre front... je
-vos joues.... par-dessus
+vos joues... par-dessus
-très-bonne mémoire.... Descendons
+très-bonne mémoire... Descendons
-vos sourcils.... Dans
+vos sourcils... Dans
-— Oui.... mais
+— Oui... mais
-un défaut.... Et lequel? Dites,
+un défaut... Et lequel ? Dites,
-pourraient l’être.... —
+pourraient l’être... —
-éveillés, chercheurs.... des
+éveillés, chercheurs... des
-tantôt très-brillants.... des
+tantôt très-brillants... des
-raison, * jetteront
+raison, jetteront
-tout prés entement, de s’animer aiûsi.*.. Au-dessous
+tout présentement, de s’animer ainsi... Au-dessous
-yeux, que, trouvons-nous
+yeux, que trouvons-nous
-grands yeux.... un
+grands yeux... un
-un p’eu.... —
+un peu... —
-mot anglais*— épargnez
+mot anglais... épargnez
-LE SECRET. 69 ma
+ma
-d’une traduction.... Dites ; retroussé,
+d’une traduction... Dites : retroussé,
-la per* fection absolue.
+la perfection absolue.
-un co| loris de
+un coloris de
-expression irrésistible.... Dans I mon
+expression irrésistible... Dans mon
-moment. | —
+moment. —
-bien louées?... Ma I petite
+bien louées ?... Ma petite
-d’arrêter I là mon catéchisme.... Si
+d’arrêter là mon catéchisme... Si
-si quelqûe chose
+si quelque chose
-ou m’irrite; si
+ou m’irrite ; si
-va-t-on riposter.... Tous aimez,
+va-t-on riposter... Vous aimez,
-les f couleurs voyantes.... »
+les couleurs voyantes... »
-de moi.... Je
+de moi... Je
-cher portrait.... Amour
+cher portrait... Amour
-à Vos souvenirs.... et
+à vos souvenirs... et
-porte envie.... Après
+porte envie... Après
-» * /• Tandis
+» Tandis
-dans ùn coin du salon.... Se
+dans un coin du salon... Se
-faisait k rougir
+faisait rougir
-mélancolique. Petite malheureuse!... comment
+mélancolique. « Petite malheureuse !... comment
-sans frapper? 3 s’écria
+sans frapper ? » s’écria
-impétueuse colère,
+impétueuse colère.
-t 7=0 LE SECRET. Miss
+Miss
-la tête. $ux pieds soùs ce
+la tête aux pieds sous ce
-en part.... Elle der vint très-pâle,
+en part... Elle devint très-pâle,
-bien fâchée..., r Fâchée! »
+bien fâchée... « Fâchée ! »
-plus outrée* encore-de cette
+plus outrée encore de cette
-son hôtesse; et
+son hôtesse ; et
-fois. <c Qui
+fois. « Qui
-non fâchée?.» je
+non fâchée ?... je
-vos doléances.... Épargnez-les-moi.... Je
+vos doléances... Épargnez-les-moi... Je
-ma vie..*, jamais, çntendez-vous, vile petite espionne!... — Rosamond!,.. Rosamond!... je
+ma vie... jamais, entendez-vous, vile petite espionne !... — Rosamond !... Rosamond !... je
-ne .vous oubliez
+ne vous oubliez
-puis rien.... Cette
+puis rien... Cette
-d’un saint-... Depuis
+d’un saint... Depuis
-nous guetter.... Oui,
+nous guetter... Oui,
-guettez, mal-, apprise, grossière
+guettez, malapprise, grossière
-vous êtes.... Je
+vous êtes... Je
-soupçonnais déjà.... maintenant
+soupçonnais déjà... maintenant
-suis sûre,... Faut-il
+suis sûre... Faut-il
-fermer sa porte
+fermer la porte
-se gai^r de
+se garer de
-? NQUS n’en gommes pas là..’.: -Montez votre not§L.. Nous
+? Nous n’en sommes pas là... Montez votre note !... Nous
-donnons congé!... M.
+donnons congé !... M.
-donne congé.... N’est-ce
+donne congé... N’est-ce
-Lenny Je
+Lenny ?... Je
-vos paquets.., Elle
+vos paquets... Elle
-un, , mon cher coeur.... Descendez,
+un, mon cher cœur... Descendez,
-votre note; signifiez
+votre note ; signifiez
-votre mère! M.
+votre mère ! M.
-à l’improviste; et
+à l’improviste, et
-les portes.,.. Il
+les portes... Il
-non plus.,.. Posez
+non plus... Posez
-la table.... à
+la table... à
-la lire.... Rosez-la, vous disje, impertinente petite flllé..(1 Apportez
+la lire... Posez-la, vous dis-je, impertinente petite fille... Apportez
-la ; maison. » . A cette
+la maison. » À cette
-curieuse, se. tordit
+curieuse, se tordit
-nous voyez!... s’écriart-elle, dans
+nous voyez !... s’écria-t-elle, dans
-allocution déchirante.... Que’dira ma
+allocution déchirante... Que dira ma
-que yais-je dèvenir? Q "mam 1 1 l’ai cru
+que vais-je devenir ? Ô mam ! j’ai cru
-j’avais frappé.... je
+j’avais frappé... je
-sans mentir.... Ohl mam,’je vous
+sans mentir... Oh ! mam, je vous
-être indiscrète.... 0 mam! ma
+être indiscrète... Ô mam ! ma
-est Contraction du mot madam*Prononcez même* / >
+est
-LE SECRET. 71 veuve..*, et
+veuve... et
-en garni.... i et
+en garni... et
-tout nptre-pauvre argent..:, et.... ï 0 maria, màm !.... comment
+tout notre pauvre argent... et... Ô mam, mam !... comment
-vous quittez? s h • * » 1 " ’ | Ici les - paroles
+vous quittez ? » Ici les paroles
-sanglots | convulsifs
+sanglots convulsifs
-la place.... ’ | */tf !Rosamorid!’..i y dit M. Frankland , et
+la place... « Rosamond !... » dit M. Frankland, et
-voix I exprimait un "vrai -chagrin, en
+voix exprimait un vrai chagrin, en
-un | accent 1 de reproche. ’ !;1L ’" l L’oreille
+un accent de reproche. L’oreille
-nuance. ï)ès | qu’elle
+nuance. Dès qu’elle
-jeté lés yeux
+jeté les yeux
-son côté/elle’ changeade couleu/, \ baissa nn péû là tête,
+son côté, elle changea de couleur, baissa un peu la tête,
-son attitude-fut modifiée à [ l’instant même. Elle-se glissa doucement ’auprès., deson mari, \ avec
+son attitude fût modifiée à l’instant même. Elle se glissa doucement auprès de son mari, avec
-et attristé , puis po&âht près
+et attristé, puis posant près
-son | oreille des "lèvres qui
+son oreille des lèvres qui
-la caresser. : : *i Lenny, lui difcelle tout "bas.... est-ce que j e vous ai fâ; ché? " : """-’ rl ’ " ’ —.Rosamond , vous
+la caresser : « Lenny, lui dit-elle tout bas..., est-ce que je vous ai fâché ? — Rosamond, vous
-avec calmë^C. J’aurais
+avec calme... J’aurais
-désiré : qtie vous vêtis Ifussiez contenue ; un *pëù plus tôt; 4 : • ’ •ï — J’entai tant> tant de Tegret !
+désiré que vous vous fussiez contenue un peu plus tôt. — J’en ai tant, tant de regret !
-oreilles où;ils tombaient; et une petitemainrusëe, se
+oreilles où ils tombaient ; et une petite main rusée, se
-derrière lé’côu du
+derrière le cou du
-se jauer dans ses cheveux,... * J’ai tant dé regret et jejsuiâ si hôhfeuse!.^ Mais
+se jouer dans ses cheveux... « J’ai tant de regret et je suis si honteuse !... Mais
-de "quoi s’emporter tout d’abord?... Pourtant, Lenny, vous me-’pardonnerez, ii’êst-il pas vrai?.^ surtout
+de quoi s’emporter tout d’abord ?... Pourtant, Lenny, voue me pardonnerez, n’est-il pas vrai ?... surtout
-promis dé ne
+promis de ne
-m’emporter aînSî* ; Ne
+m’emporter ainsi ?... Ne
-pas : attention < -à cette
+pas attention à cette
-pleurnicheuse ïjui geint là bas derrière porte,... ajouta
+pleurnicheuse qui geint là-bas derrière la porte... ajouta
-se laissant-distraire de ses remords; par Ta vue ; dë miss Mowlem qui; Gontihuait ’à pleurer , appuyée
+se laissant distraire de ses remords par la vue de miss Mowlem qui continuait à pleurer, appuyée
-blancheur • douteuse.... Je xne chbrgé d’elle, ^è sécherai ses * larmes,
+blancheur douteuse... Je me charge d’elle, je sécherai ses larmes,
-l’emmènerai d’iei,.*. Je’la consolerai
+l’emmènerai d’ici... Je la consolerai
-vous ine pardonniez. , —
+vous me pardonniez. —
-mots dé politesse,
+mots de politesse,
-n’en fatut pas dafc vantage.w.. un 1 ou >! deux: mots^ et
+n’en faut pas davantage... un ou deux mots, et
-dit [ M. Frankland ; très^frôidement et
+dit M. Frankland très-froidement et
-air ,contraint." —
+air contraint. —
-! ï dit
+! dit
-miss Mowlem; et
+miss Mowlem ; et
-le mouchoir’d’un ? blanc douteux.,. Allons,
+le mouchoir d’un blanc douteux... Allons,
-vous eix aller, n’est-ce pas?
+vous en aller, n’est-ce pas ?
-72 LE SECRET. Je
+Je
-de m’êtrs mise en colère.... bien
+de m’être mise en colère... bien
-sans frapper.... Je
+sans frapper... Je
-faire delà peine.... et
+faire de la peine... et
-ne TOUS dirai
+ne vous dirai
-avant d’entrer.... pourvu
+avant d’entrer... pourvu
-de "pleurer, maintenant.,.. Allons,
+de pleurer, maintenant... Allons,
-créature I... Nous
+créature !... Nous
-quittons ?as la maison.... Nous
+quittons pas la maison... Nous
-votre mère , ni Canote, ni rien.... Si TOUS VOUS consolez
+votre mère, ni la note, ni rien... Si vous vous consolez
-un cadeau.... Tenez,
+un cadeau... Tenez,
-de cou.,., je
+de cou... je
-supposiez endormie.... Soyez
+supposiez endormie... Soyez
-veux pas.... Prenez ce ruban.,,, prenez-le
+veux pas... Prenez ce ruban... prenez-le
-comme cadeau.... Prenez donc.... c’est-à-dire, non.... ayez
+comme cadeau... Prenez donc... c’est-à-dire, non..., ayez
-le prendre..,. Là,
+le prendre... Là,
-l’attache moi-même.... Et,
+l’attache moi-même... Et,
-de mains.... nous
+de mains... nous
-bonnes amies;... Montez
+bonnes amies... Montez
-glace. * Tout
+glace. » Tout
-les genoux.de son
+les genoux de son
-: / a Eh
+: « Eh
-laide comme..#, Ici
+laide comme... » Ici
-: c Lênny, lui
+: « Lenny, lui
-m’en vouiez encore
+m’en voulez encore
-cher amour,... Yous savez
+cher amour... Vous savez
-impossible. ’ —
+impossible. —
-vivacités. —Je suis
+vivacités. — Je suis
-; ’mais ne
+; mais ne
-Aux excuse s que
+Aux excuses que
-Mowlem. , —
+Mowlem. —
-fait assez?.:. Je
+fait assez ?... Je
-de remords; je, ferai
+de remords ; je ferai
-me demanderez,, ;sauf l’embrasser.
+me demanderez ; sauf l’embrasser.
-pourrai jamais.... Je
+pourrai jamais... Je
-LE SECRET. 73 | —
+—
-à j certains
+à certains
-bien assez,... et plus qu’assez.... si
+bien assez... et plus qu’assez... si
-cette remarque; j’ajouterai
+cette remarque ; j’ajouterai
-de \ cœur
+de cœur
-vis-à-vis ) de
+vis-à-vis de
-vous i lui ayez fait
+vous lui avez fait
-trop fa[ milièrement offert; mais
+trop familièrement offert ; mais
-entendu, î que
+entendu, que
-façon ) de
+façon de
-arranger. , i —
+arranger. —
-et vous...; —
+et vous... —
-cher Lenny; mais
+cher Lenny ; mais
-et, : une
+et, une
-d’avoir ! effrayé
+d’avoir effrayé
-elle , eût
+elle eût
-vous, ; Lenny
+vous, Lenny
-trop ! comment,
+trop comment,
-appellent <r une radicale. > —
+appellent « une radicale. » —
-au ! monde,
+au monde,
-distinctions Hiérarchiques \ sur
+distinctions hiérarchiques sur
-social. \ — Vraiment!... en est-il ainsi?... Pourtant,
+social. — Vraiment !... en est-il ainsi ?... Pourtant,
-ne \ me
+ne me
-ayons été^ créés
+ayons été créés
-si *| différentes.
+si différentes.
-de jambes; nous
+de jambes ; nous
-et de^ boire
+et de boire
-rions j quand
+rions quand
-quelque { chose
+quelque chose
-près ! de
+près de
-la joie , que
+la joie, que
-et Je ne
+et je ne
-une ’i simple
+une simple
-— Yous n’êtes
+— Vous n’êtes
-vous ; * -
+vous
-74 LE ’SECRET. n’êtes
+n’êtes
-le croire.... Bien dès dames
+le croire... Bien des dames
-belle généalogie" que’ la
+belle généalogie que la
-votre père•, ma Rosaïûond, compte
+votre père, ma Rosamond, compte
-du pays.;.; C’est
+du pays... C’est
-des "noms de
+des noms de
-moindre notoriété.... Aussi, est-il prësquè ridicule
+moindre notoriété... Aussi, est il presque ridicule
-à vousthême Tépithèté de radicale. i. —
+à vous-même l’épithète de radicale. —
-mon Lenny.... seulement
+mon Lenny... seulement
-me faîtes plus
+me faites plus
-mine sérieuse...» Je mé déclaré même
+mine sérieuse... Je me déclare même
-sur Vos genoux. » Lë sérieux
+sur vos genoux. » Le sérieux
-M. Erànfcland ne
+M. Frankland ne
-dans lés opinions politiques dë’sa femme,
+dans les opinions politiques de sa femme,
-il së mit
+il se mit
-Rosamond ellemême. c A propos, dit-il; lorsqu’un
+Rosamond elle-même. « À propos, dit-il, lorsqu’un
-ses pensées; ne
+ses pensées ; ne
-miss Mowiém de
+miss Mowlem de
-la tableî... Est-elle
+la table ?... Est-elle
-vous bu pour
+vous ou pour
-lettre î Ah
+lettre ? — Ah
-Rosamond, ^courant vers là table.
+Rosamond, courant vers la table.
-est à’votre adresse, Lenny.... et, quel bonheur!.., elle
+est à votre adresse, Lenny... et, quel bonheur !... elle
-de Porthgënnà. : -^-Elle doit êtré, alors,
+de Porthgenna. — Elle doit être, alors,
-l’entrepreneur qué j’ai
+l’entrepreneur que j’ai
-homme. y> Rosamond
+homme. » Rosamond
-mari, efy s’àcëoudant sur
+mari, et, s’accoudant sur
-: : ^ / ’ ’"’ ^ ; ; >’: A LtOtiÂKD PHATOCLANB, ESQUIRE. Conformément
+: À LÉONARD FRANKLAND, ESQUIRE, Conformément
-suis veiïu à Porthgentia-’fowéf pûur constater
+suis venu à Porthgenna-Tower pour constater
-l’édifice eri ; géfiéral, èVle^pavttlon nord
+l’édifice en général, et le pavillon nord
-avoir besoin./ L’extérièur né réclàîne qu’un léger néttbyage, et, içà et
+avoir besoin. L’extérieur ne réclame qu’un léger nettoyage, et, çà et
-quelques ravalements; Ms murs
+quelques ravalements. Les murs
-fondations Semblent feits pbup l’éternité.
+fondations semblent faits pour l’éternité.
-travail d’une,solidité pareille, : Je
+travail d’une solidité pareille. Je
-parler dç Tiritérieur en termesh apssi f^vp]:ab|es. Les
+parler de l’intérieur en termes aussi favorables. Les
-capitaine Trey^rton, et tenus, bien dos, depuis
+capitaine Treverton, et tenus bien clos, depuis
-chargées dè garaer la maison*, sont
+chargées de garder la maison, sont
-assez "bon étajt. Deux cent livre?’sterling, tout
+assez bon état. Deux cents livres sterling, tout
-j’aurais â yïàire potiir les re \
+j’aurais à y faire pour les remettre à
-1 LE SECRET, 75 j l mettre à neuf.
+neuf.
-de j l’escalier oiïëst, qui à cédé
+de l’escalier ouest, qui a cédé
-de ’ses parties,
+de ses parties,
-les j rampes,
+les rampes,
-aucune ! sécurité.
+aucune sécurité.
-faudrait, pour’ce travail,
+faudrait, pour ce travail,
-trente livrés* > \ Dans lès appartenants ouverts
+trente livres. Dans les appartements ouverts
-complète } qu’elle
+complète qu’elle
-comble. Dè tout
+comble. De tout
-tirer ; au clair^ il
+tirer au clair, il
-personne n’apI prochait de
+personne n’approchait de
-Les • gardiens actuëls de la m aison semblent
+Les gardiens actuels de la maison semblent
-temps r qui s’est écoulé, depuis qu’un* être
+temps qui s’est écoulé depuis qu’un être
-ne lès a franchies! Personne ne î paraissait
+ne les a franchies. Personne ne paraissait
-m’accompagner d^ns-mes recherches, et peri sonne n’a
+m’accompagner dans mes recherches, et personne n’a
-à ouyrir chaque
+à ouvrir chaque
-grande surprisé, les
+grande surprise, les
-pendues pêle-mêle’ à un-grand anneau, lequel à une
+pendues pêle-mêle à un grand anneau, lequel a une
-vous expliquér pourquoi
+vous expliquer pourquoi
-nécessaire. perdu
+nécessaire. J’ai perdu
-essayant [ au hasard, }es slefs qup j’avais; détachéçs de
+essayant au hasard, les clefs que j’avais détachées de
-j’ai dtl .consacrer enpore quelques heures d J Ufte autre jouruée à marquer : chaque porte d’|m numéro
+j’ai dû consacrer encore quelques heures d’une autre journée à marquer chaque porte d’un numéro
-l’étiquette dé la
+l’étiquette de la
-correspondante, replacéé, "apréç cette addition nécessaire , dans
+correspondante, replacée, après cette addition nécessaire, dans
-perte dé temps. : " J ^ Comme
+perte de temps. Comme
-état ;; estimatif
+état estimatif
-à j reprendre
+à reprendre
-vous j dire
+vous dire
-ces travaux. demanderont
+ces travaux demanderont
-temps, ( et
+temps, et
-exécutés j sur I4 plus grands, échelle. La charpenté de
+exécutés sur la plus grande échelle. La charpente de
-parquet Su 1 premier étage soat absolument vertaoulus.’ ^’humidité dans certaine? \ pièces,
+parquet du premier étage sont absolument vermoulus. L’humidité dans certaines pièces,
-rats d^s d’autres,
+rats dans d’autres,
-les lambris .QÙatredes J manteaux de phèïmnéé se’ sont
+les lambris. Quatre des manteaux de cheminée se sont
-du mur , et
+du mur, et
-les plafoxihages i sont
+les plafonnages sont
-grandes placés: Les
+grandes places. Les
-moins mauvais’ état
+moins mauvais état
-l’avais préSgïïaS : f mais lës yolëts et
+l’avais présumé : mais les volets et
-trop déjetés, pour
+trop déjetés pour
-les emf ployer à nouveau,;.Il faut tionc reconnaître
+les employer à nouveau. Il faut donc reconnaître
-exposer pour. i remettre
+exposer pour remettre
-les Appartements habitables §t bien et ljss Hvr:er au tapjssier, feront, de néi cessité, fort
+les appartements habitables et bien clos, et les livrer ainsi au tapissier, seront, de nécessité, fort
-se prévoir’ vous éprouvez guelgue surorisç et
+se prévoir, vous éprouvez quelque surprise et
-élevé dô’mbn’aéyîs^ je
+élevé de mon devis, je
-liberté dé vous
+liberté de vous
-le "choix d’irn dé vos ainïs, possédant
+le choix d’un de vos amis, possédant
-confiance, ’et 7 qufycedevïis éh main, pârcoùrrait avec
+confiance, et qui, ce devis en main, parcourrait avec
-appartements nord.’ Je me chargé dè uii prouver
+appartements nord. Je me charge de lui prouver
-chaque dépense s indiquée séparémentt ; est 1 absolu-
+chaque dépense, indiquée séparément, est absolument
-^ >* 76 LE SECRET. ment inévitable , et
+inévitable, et
-personne compétente, et
+personne compétente et
-Votre humble-serviteur, THOMAS HORLOCK. c C’est
+Votre humble serviteur, THOMAS HORLOCK. « C’est
-que devront’ coûter les réparations? —
+que devront coûter les réparations ? —
-Ennuyeux argentI... on
+Ennuyeux argent !... on
-projets I... Si
+projets !... Si
-en ont.... Comptez-vous
+en ont... Comptez-vous
-à Porthgënnà pour
+à Porthgenna pour
-M. Horlock? En
+M. Horlock ? En
-je sais’ bien
+je sais bien
-Qui donc? —
+Qui donc ? —
-vous plaît.... et
+vous plaît... et
-Lenny l... je
+Lenny !... je
-cet Horlock..., je
+cet Horlock... je
-s’y prendre.... On
+s’y prendre... On
-les fenêtres.... De
+les fenêtres... De
-petit agenda.... de
+petit agenda... de
-un mètre.... de
+un mètre... de
-— A merveille, Rosamond! Yoilà encore
+— À merveille, Rosamond ! Voilà encore
-faire preuve.... Aussi,
+faire preuve... Aussi,
-LE SECRET. 77 aider
+aider
-à Porthgennat maintenant
+à Porthgenna, maintenant
-d’être habités; —
+d’être habités. —
-sera l Comme
+sera ! Comme
-quitté Porthgënnà, et
+quitté Porthgenna, et
-mienne \ Savez-vous
+mienne ! Savez-vous
-au nord?... moi
+au nord ?... moi
-mes découvertes.... Je
+mes découvertes... Je
-bruits mystérieux.... Et
+bruits mystérieux... Et
-nous !..*Pouf I... j’en
+nous !... Pouf !... j’en
-de Porthgënnà, Rosamond,
+de Porthgenna, Rosamond,
-vrai plaisir.... Je
+vrai plaisir... Je
-et d’âme....* Ici
+et d’âme... Ici
-: r Continuez,
+: « Continuez,
-lui dit-elle; et
+lui dit-elle ; et
-oreille. <r Rosamond,
+oreille. « Rosamond,
-ciel étoilé.... a Tandis
+ciel étoilé... » Tandis
-naguère. c Continuez,
+naguère. « Continuez,
-la tendre&se. Tous
+la tendresse. Vous
-» ïiE SECRET. i disiez que vous- hé faisiez
+disiez que vous ne faisiez
-avec moi;... Quel sené particulier donhez-votté à ces paroles?... C’est
+avec moi... Quel sens particulier donnez-vous à ces paroles ?... — C’est
-du mêïne cœur ijue Vous, dans
+du même cœur que vous, dans
-votre pèré qu’après
+votre père qu’après
-dernier voyage il n’ën dort plus èntrepréfidrë d’autre; et
+dernier voyage, il n’en doit plus entreprendre d’autre, et
-finir pâisiblemënt sês jours à Pdrthgennà; parmi
+finir paisiblement ses jours à Porthgenna, parmi
-nous donhërâit à
+nous donnerait à
-assez înôdifier Taspèct du
+assez modifier l’aspect du
-comporte dè pénibles rëàsouvehances ;
+comporte de pénibles ressouvenances ;
-trouver quelqùe. agrément à cëttè résidence,
+trouver quelque agrément à cette résidence,
-la dépense’comme fâitè très
+la dépense comme faite très
-Mais, àvant dé mettre
+Mais, avant de mettre
-vous croyëz-vôùs sûre de réussir? Avez-vous
+vous croyez-vous sûre de réussir ? Avez-vous
-pressenti vôtre père
+pressenti votre père
-sujet i de Porthgënnà ?
+sujet de Porthgenna ?
-ai dit; mon Lenny, què jamais je iie serais
+ai dit, mon Lenny, que jamais je ne serais
-auprès d^è nous, ët il a répondîï qii’il lé voulait
+auprès de nous, et il a répondu qu’il le voulait
-ni M noh plus,
+ni lui non plus,
-à Porthgënnà ; mais il. sait
+à Porthgenna ; mais il sait
-bien qiie là
+bien que là
-être notice établissement, ët il û? a mis auôûné condition à là promësse de vehir habité? où
+être notre établissement, et il n’a mis aucune condition à la promesse de venir habiter où
-— Là perte
+— La perte
-seul sotivènit triste
+seul souvenir triste
-en lui? — Pas précisément- Il
+en lui ? — Pas précisément. Il
-de èecréts pour
+de secrets pour
-Ma inère avait
+Ma mère avait
-de chàmbre favorite
+de chambre favorite
-son mariage,- et
+son mariage, et
-hasard, Èiè trouvà lé s’éul témoin
+hasard, se trouva le seul témoin
-Je më ràppelM avoir entendu pàrlër de cette fémme, dé son extétietir bizârré, de ises façons
+Je me rappelle avoir entendu parler de cette femme, de son extérieur bizarre, de ses façons
-l’espèce d’àntipaihie qu’elle
+l’espèce d’antipathie qu’elle
-sa maîtresse’ èïceptée. Eh biéh l le
+sa maîtresse exceptée. Eh bien ! le
-même bù ïfrourftt ma mèrë, dans la matinée; elle
+même où mourut ma mère, dans la matinée, elle
-la mâiàoh de la inahiêfe la
+la maison de la manière la
-un billét mystérieui à
+un billet mystérieux à
-mon père^ Il
+mon père. Il
-secret cpié ma ihère lùi aurait confié; à
+secret que ma mère lui aurait confié, à
-de lé communiquer â sôhmâîtreVdèë qùé sa maîttësse ne
+de le communiquer à son maître, dès que sa maîtresse ne
-ce secrët lùi coûtait
+ce secret lui coûtait
-et qtiei pour
+et que, pour
-à tôut : interrogatoire elle Quittait à
+à tout interrogatoire, elle quittait à
-la ihâistih. Lôrsquë là lettre
+la maison. Lorsque la lettre
-déjà paître depuis
+déjà partie depuis
-heures, ët, à
+heures, et, à
-LE SECRET79 jour, ôû né l’a
+jour, on ne l’a
-on îi’arien su
+on n’a rien su
-une » impression
+une impression
-la rnort de sâ femme.
+la mort de sa femme.
-de cette, créature
+de cette créature
-mais ’ mon
+mais mon
-qu’il n’à ni
+qu’il n’a ni
-Rosamond 1... Je
+Rosamond !... Je
-était folle.... Folle
+était folle... Folle
-leur légende; voilà
+leur légende ; voilà
-des années; et,
+des années ; et,
-dis (c faire
+dis « faire
-» Donnezlui, pour
+» Donnez-lui, pour
-jamais peutêtre il
+jamais peut-être il
-présent. A quand notre visite? et
+présent. À quand notre visite ? et
-Horlock ï ’ —
+Horlock ? —
-ici, Rôsamond. —
+ici, Rosamond. —
-à Long-Beckley, J’ai
+à Long-Beckley. J’ai
-ici, ,Rosamond ?
+ici, Rosamond ?
-— Ecrivez donc à M.TIorlock, chère
+— Écrivez donc à M. Horlock, chère
-vieux manoir.... Diteslui en
+vieux manoir... Dites-lui en
-du couchant.*.. Pendant
+du couchant... Pendant
-» I* 80 LE SECRET t Rosamond
+Rosamond
-triomphal. <r Dans
+triomphal. « Dans
-vieille maison!...D’ici à
+vieille maison !... D’ici à
-nord 1 i •k f
+nord !
-LIVRE III. uga *I CHAPITRE PREMIER. Timon de Londres, Timon
+== LIVRE III. == === CHAPITRE PREMIER. — Timon de Londres. === Timon
-la mer; Timon
+la mer ; Timon
-en yers magnifiques; Timon
+en vers magnifiques ; Timon
-: <r Monseigneur.
+: « Monseigneur.
-Treverton. * A tant
+Treverton. » À tant
-dédaigneusement c d’excentricité, * Qn a
+dédaigneusement « d’excentricité. » On a
-l’homme <r un
+l’homme « un
-imitatif, * et
+imitatif, » et
-surtout justifiée^par la
+surtout justifiée par la
-vaste troupeau: malheur
+vaste troupeau : malheur
-couleur ordinaire! Il
+couleur ordinaire ! Il
-reste boit; partir
+reste boit ; partir
-Si LE SECRET. 6
+Si
-r* • P ’_’ ’•’ ’’ •• ’ -t82 LE SECRET. par
+par
-il n’a, pas
+il n’a pas
-sa ongueur, le
+sa longueur, le
-du mondé, sans
+du monde, sans
-son chapeau; et allez-vous-en f demander
+son chapeau ; et allez-vous-en demander
-chef * couvert
+chef couvert
-est fou? et
+est fou ? et
-autre preuve que
+autre preuve, que
-tête . nue.
+tête nue.
-plus ; que oet; Eômiffie ’aBbrdé ^Miment, un
+plus : que cet homme aborde poliment, un
-leur explique, ce
+leur explique ce
-libre qu^nd il esj;, décoiffé ;, combien de s^ se^la^jes, si
+libre quand il est décoiffé ; combien de ses semblables, si
-prime abprd, consentiront
+prime abord, consentiront
-changer d’ayis après [’avoir entendu
+changer d’avis après l’avoir entendu
-ses motifs?.Pour l’immense
+ses motifs ? Pour l’immense
-excellente confîmatiqu ;<|u verdict porté coutre l’intelligence
+excellente confirmation du verdict porté contre l’intelligence
-l’homme sa^s cjaapeau! i Parti
+l’homme sans chapeau. Parti
-le .reste âé- ses i contempqraiijs,.4n drew Treverton
+le reste de ses contemporains, Andrew Treverton
-pas loijgterûpi. à bir la
+pas longtemps à subir la
-de pette irrégularité d’allure/ gui faisait
+de cette irrégularité d’allure, qui faisait
-colonne. Ii passa
+colonne. Il passa
-une "espèce de
+une espèce de
-la nursery; à l’école, iliutun souffre-douleurs; au collège, une viçtime. L’içnprantp bonne l’av^ij; déclaré <r un drôle d’enfant;» le pédant isu^âlierne^ usànt plus
+la nursery ; à l’école, il fut un souffre-douleurs ; au collége, une victime. L’ignorante bonne l’avait déclaré « un drôle d’enfant ; » le pédant subalterne, usant d’une locution plus
-garçon excentrique; »
+garçon excentrique ; »
-tour lé même
+tour le même
-une ardoise, ne
+une ardoise ne
-infailliblement yie finit par Jorhber. pans le
+infailliblement elle finit par tomber. Dans le
-négligence fapile à comprendre.; si
+négligence facile à comprendre ; si
-le toU d’une cervelle , humaine,
+le toit d’une cervelle humaine,
-fort étonnés, et fort çhoqués,. ne sachant à’qui la faute. V Délaissés à
+fort étonnés et fort choqués, ne sachant à qui la faute. Délaissée à
-certains autres/ les
+certains autres, les
-pu se,développer j chez
+pu se développer chez
-luttèrent vainepaent pour arriver |t une organi^ * * » * ’ t ,^ vtfté’:-*-, -. ’. _’ -ta
+luttèrent vainement pour arriver à une organisation définitive.
-*-1 ’ J ’ ’ . " ». _ t.1 "f,’rH ’LE SECRET. 83 satipç dé^nijiiye. Ce
+Ce
-son exçqntriçifé avait de meilleur pçit laforine de
+son excentricité mit de meilleur prit la forme de
-s’attacha pa^sipunément à
+s’attacha passionnément à
-de se? camarades
+de ses camarades
-garçon qui? C0 Prï n ? acÇ° r 4a ^ beaucoup dîégards, §t, daiis la
+garçon qui, dans la cour, ne lui accordait pas beaucoup d’égard, et, dans la
-que pçr-* sonne pût dopnçp de qg phénomène
+que personne pût donner de ce phénomène
-explication quelconque* : il
+explication quelconque, il
-notoire que-^argent de ppqhe d’ Andrçw était taujours au servie ;de. ce- cajnara.de ; qn’:Anàreyï Usuivait partou$ à la piste; et que)(maiïit§§ et
+notoire que l’argent de poche d’Andrew était toujours au service de ce camarade ; qu’Andrew le suivait partout à la piste ; et que, maintes et
-fois, A^rewprenait à, son
+fois, Andrew prenait à son
-punitions corp orelles ou autres qu’avai^’inéritées son aini.: Lorsque çet ami,
+punitions corporelles ou autres qu’avait méritées son ami. Lorsque cet ami,
-années p|us tard, fu| envoyé dajis un collège, A^dre^ sollicita
+années plus tard, fut envoyé dans un collége, Andrew sollicita
-et la, .plus que jamais,-s^ttaclia au
+et là, plus que jamais, s’attacha au
-choisi, qu’il, àvaîtadopté dès l’école. lin pareil
+choisi, qu’il avait adopté dès l’école. Un pareil
-aurait touçJi£: un
+aurait touché un
-moindre générosité; il
+moindre générosité ; il
-impression ?ur l’âme
+impression sur l’âme
-l’ami d^Ând^ew. Après; trois
+l’ami d’Andrew. Après trois
-au collège, intimité tout ’4gPÏsme d’une
+au collége, intimité tout égoïsme d’une
-tout sacrifice . le
+tout sacrifice, le
-aux mams de
+aux mains de
-ami, .lorsq^’ii eutf de
+ami, lorsqu’il eut de
-signature ppur;ïui venir
+signature pour lui venir
-adopté comnie frère,
+adopté comme frère,
-admiration, ^abandonna tout
+admiration, l’abandonna tout
-coup $ux embarras,
+coup aux embarras,
-à l’isQlement, sans
+à l’isolement, sans
-seul mot> qui attesté le
+seul mot qui attesta le
-remords, sans même une
+remords, une
-parole ^d’adieu. An^ew rentra che? son
+parole d’adieu. Andrew rentra chez son
-aigri d£?le début delà vie
+aigri dès le début de la vie
-abreuvé reproche? à
+abreuvé de reproches à
-mêmes Jettes qui
+mêmes dettes contractés pour celui qui
-sans pu<|eur,-outragé sans .scrupule. Il
+sans pudeur, outragé sans scrupule. Il
-une ^aigre annuité pour allçr, yoyager lqixi. du. toit; paternel.
+une maigre annuité, pour aller voyager loin du toit paternel.
-comme ils; font ;souventj, par une, expatriation
+comme ils font souvent, par une expatriation
-vie qu’iï mena,, les
+vie qu’il mena, les
-pendant sa. longue
+pendant sa longue
-hors du. pays j. lui ’firent un
+hors du pays, lui firent un
-revint en; Angleterre, ce fat pomvy. 4^ner la" spectre le
+revint en Angleterre, ce fut pour y donner le spectacle le
-ne or,oit plus à rien, :Ajee moment
+ne croit plus à rien. À ce moment
-chance devenir lui
+chance d’avenir lui
-frère aîné?. Ils
+frère aîné. Ils
-liens 4’enfançe, lorsque
+liens d’enfance, lorsque
-à çoup les
+à coup les
-à j%?iis. Dès çet.instantv An^e.W: fat t
+à jamais. Dès cet instant, Andrew fut
->*Uf „ JK 84 LE SECRET. un
+un
-bien prèndre encore
+bien prendre encore
-: <t Mon
+: « Mon
-que voulezvous que
+que voulez-vous que
-boire, dormir.... et
+boire, dormir... et
-est vanité; j’en
+est vanité ; j’en
-après , cette
+après cette
-il ré^ sulta qu’il
+il résulta qu’il
-acheté, sajis y
+acheté, sans y
-son domestiqué avait
+son domestique avait
-ne nuirai* plus
+ne nuirait plus
-sa a: respectabilité
+sa « respectabilité
-de so—s- —• Y
+de sophisme
-LE SECRET. phisme et
+et
-au soir; ses yeux attes taient toute
+au soir ; ses yeux attestaient toute
-en balance,, dans
+en balance, dans
-qui né ; ressemblait, en
+qui ne ressemblait en
-caractères velus? La
+caractères velus ? La
-nos lecteurs; mais
+nos lecteurs ; mais
-du rasoir? Le
+du rasoir ? Le
-de dépenser, sa fortune très-rondelette , non
+de dépenser sa fortune très-rondelette, non
-son isolément même,
+son isolement même,
-des autres; vrai
+des autres ; vrai
-l’était. , La
+l’était. La
-boire, M, Treverton
+boire, M. Treverton
-et auiv sous
+et qui, sous
-ii, I 86 LÉ SECRET. 1 ( abominablement.
+abominablement.
-qu’il avait derrière
+qu’il mit derrière
-de Londres* cultivant
+de Londres, cultivant
-passer dè fruitier.
+passer de fruitier.
-y fairè pousser
+y faire pousser
-été Son propre
+été son propre
-meunier ét le
+meunier et le
-de la^ farine,
+de la farine,
-les mains" : de
+les mains de
-même principe; la
+même principe, la
-le permettait; puis
+le permettait ; puis
-le reste^ êt en
+le reste, et en
-M. Treverton. Shrowl
+M. Treverton, Shrowl
-liqueurs fermentées; nos
+liqueurs fermentées, nos
-vie axi dedans,
+vie au dedans,
-que les* fournisseurs
+que les fournisseurs
-dehors. t r , S’ils
+dehors. S’ils
-à l’ëtat de
+à l’état de
-blanc, dëù£ chaises,
+blanc, deux chaises,
-deux iriknteaux longs.
+deux manteaux longs.
-importuner l’.autre de
+importuner l’autre de
-ou Tâutrè s’àpercevait-il que
+ou l’autre s’apercevait-il que
-aussi Un peu
+aussi un peu
-un eeau d’eau,
+un seau d’eau,
-un chenil- Et enfih^ quand l’un ôu l’autre
+un chenil. Et enfin, quand l’un ou l’autre
-se livrër au
+se livrer au
-4 ’ ’ ••’ ’ -.â LÉ SECRET. é7 manteau,
+manteau,
-des câhapés, et
+des canapés, et
-il âVâit besoin, le ïnatiit d’kù&âî Bonne heure, ë( : le
+il avait besoin, le matin d’aussi bonne heure, et le
-convenir. ; N’avaient-ils
+convenir. N’avaient-ils
-ni â brasser,
+ni à brasser,
-ni [ à
+ni à
-ces ’ deux hommes s’âsseyàieht ën face
+ces deux hommes s’asseyaient en face
-de l’autre; et fumaient’ dés heûrés entières, le jilus souvent
+de l’autre, et fumaient des heures entières, le plus souvent
-seul ihot. Que
+seul mot. Que
-rompaient lé | silence,
+rompaient le silence,
-se ’quereller. Leur diâ| logue le
+se quereller. Leur dialogue le
-sorte dé lulîte comme celle | de
+sorte de lutte comme celle de
-boxeurs qui* après certains témoigiïà&éé sournois I d’une feinte. bienveillance* finissent
+boxeurs qui, après certains témoignages sournois d’une feinte bienveillance, finissent
-détériorer, dé tout F cœur,
+détériorer, de tout cœur,
-que Dieù a
+que Dieu a
-visage. îls commèn[ paient par
+visage. Ils commençaient par
-et ônïsskiënt par \ s’adresser
+et finissaient par s’adresser
-plus violehtes. N’ayant pâs à lutterv comme son maître ^ contre
+plus violentes. N’ayant pas à lutter, comme son maître, contre
-habitudes iuyëtëréès d’un
+habitudes invétérées d’un
-résultat infâilliblè’d’une’ Certaine éducation^ Shrowl,
+résultat infaillible d’une certaine éducation, Shrowl,
-de làûgue, avait Un avantagé marqué. Et; au
+de langue, avait un avantage marqué. Et, au
-quoique nominâlémënt le doniëstiquè, il
+quoique nominalement le domestique, il
-singulier ihéi nage, ayant
+singulier ménage, ayant
-maître uné influence
+maître une influence
-par feela seul
+par cela seul
-à ïë dëyâncer. La
+à le devancer. La
-aigre dés deux ; lës direà de Shrjowl étaient
+aigre des deux ; les dires de Shrowl étaient
-barbe dé Shrowl
+barbe de Shrowl
-accusé M* Trevérïoh â’uhë sé^ crête déférence
+accusé M. Treverton d’une secrète déférence
-son vâlêt, où d’hit sé’cret sentiment
+son valet, ou d’un secret sentiment
-avec jfcoute sorté de
+avec toute sorte de
-n’en réstait pas
+n’en restait pas
-vrai qué Shrowl
+vrai que Shrowl
-maison, ët ^uë, sur
+maison, et que, sur
-ou tâtd, celle dè son
+ou tard, celle de son
-de cé monde,
+de ce monde,
-qui së targue
+qui se targue
-haut sbn ihdépeù dance absolue : :quànd vint lë châtiment dè cette fanfârôiïnadey ce
+haut son indépendance absolue ; quand vint le châtiment de cette fanfaronnade, ce
-Shrowl, ët s’appela
+Shrowl, et s’appela
-beau matin’,:environ trois
+beau matin, environ trois
-de Porthgennâ-Tower pour
+de Porthgenna-Tower pour
-elle ët son
+elle et son
-descendit, avéc sa
+descendit, avec sa
-plus àigrë et
+plus aigre et
-de feôh cottage à, l’une
+de son cottage à l’une
-rez-de-chaussée, cëllë que ’
+rez-de-chaussée, celle que
-88 LE SECRET des
+des
-bien fait; mais
+bien fait ; mais
-au moins, vingt
+au moins vingt
-; c’està-dire que
+; c’est-à-dire que
-baril dè bière
+baril de bière
-quelqu’un qurn’avait pas
+quelqu’un qui n’avait pas
-robe de, chambre
+robe de chambre
-avait obéi, t Shrowl
+avait obéi. Shrowl
-• < LE SECRET. 89 d’un
+d’un
-laissait | pousser,
+laissait pousser,
-deux I pointes inégales. Importait un
+deux pointes inégales. Il portait un
-à lon* gues basques,
+à longues basques,
-dans Petticoat-Lane 4 , une
+dans Petticoat-Lane, une
-longs, re| troussés à
+longs, retroussés à
-la BluI cher, qui
+la Blucher, qui
-en vieux* Son teint ; était
+en vieux. Son teint était
-vivacité malsaine; ses
+vivacité malsaine ; ses
-rebroussant ! par
+rebroussant par
-ses : yeux,
+ses yeux,
-quelconque, j chargé
+quelconque, chargé
-la | grossièreté,
+la grossièreté,
-même | individu, u’aurait pu,
+même individu, n’aurait pu,
-un ^ modèle
+un modèle
-première vue , ni
+première vue, ni
-se j, parler,
+se parler,
-moindre atten| tion. Shrowl,
+moindre attention. Shrowl,
-une f nonchalante
+une nonchalante
-lard [ sur
+lard sur
-à dé| jeûner. Après
+à déjeuner. Après
-condescendit f à
+condescendit à
-endormis èt avides. et Que signifie ceci? demanda M. Treverton: avec
+endormis et avides. « Que signifie ceci ? demanda M. Treverton avec
-chemise blanche? — Yraiment charmé,
+chemise blanche ? — Vraiment charmé,
-d’excessive humilité L’occasion
+d’excessive humilité... L’occasion
-vous imaginiez-yous que
+vous imaginiez-vous que
-maître I ce
+maître ! ce
-pareil anniveri \. Quartier général de la friperie, à Londre».
+pareil anniversaire en
-^ . . _ ^ , . , . 90 LE SEGË.ET. / ’ ’ y* •• sairë efi oubli i.. • Qûelâgëavéz-votls maintenant ? monsieur?... Ce’n’est pas précisémëtit hier, 1 monsieur, que TOUS étiez un gïôè marifiot^ôuriânt,: nné collerette SOUS le înenton, des Mlés dans f oà pbèhès, gilet et culotter du
+oubli... Quel âge avez-vous maintenant, monsieur ?... Ce n’est pas précisément hier, monsieur, que vous étiez un gros marmot souriant, une collerette sous le menton, des billes dans vos poches, gilet et culotte du
-et rëcè^âiit dë pàpâ ët de mamàn* d’oncle éf de
+et recevant de papa et de maman, d’oncle et de
-baisers ët fordé câreésesj le jour’de votrënaissanceU a N’ayez
+baisers et force caresses, le jour de votre naissance... N’ayez
-peur, cëpeMâiit, que j’Use cette* chëmisë à
+peur, cependant, que j’use cette chemise à
-de là blanchir, non. Jë la iîiettrâi dans tin- tiroir,
+de la blanchir, non. Je la mettrai dans un tiroir,
-force lavande; jusqu^à Votre prôéhâin anniversaire ou dit moins juéqu’à votre
+force lavande, jusqu’à votre prochain anniversaire, ou du moins jusqu’à votre
-ce dèïnier précède l’autre; ce qûi n’â rien d’àbsolumënt imf>6ssiblè; à
+ce dernier précède l’autre, ce qui n’a rien d’absolument impossible ; à
-âge, sojigez-y donc\ — Ne^ vous mettes pas ëh peine d’une chëmisë propre
+âge, songez-y donc ! — Ne vous mettez pas en peine d’une chemise propre
-le jou? de mon enterrement ; repartit M. Treverton..i. Jë ne
+le jour de mon enterrement, repartit M. Treverton... Je ne
-couché sûr mon testament ^ honnête Shrowl.... Quand jè m’en
+couché sur mon testament, honnête Shrowl... Quand je m’en
-route vèrs la maièofl dé travàil. ^ :— Eët-ce que , bien réëllëïhent, vous
+route vers la maison de travail. — Est-ce que, bien réellement, vous
-fini j>àr accoucher dë Votre testament ? demandâ ShrowlT s’arrêtant côhifaie dominé
+fini par accoucher de votre testament ? demanda Shrowl, l’arrêtant comme dominé
-grand intérêt * atï moment de détachër son mbrcéâù dë lard.... Jë vous dëmande bien humblement; pardôhf mais jë m’étais
+grand intérêt, au moment de détacher son morceau de lard... Je vous demande bien humblement pardon, mais je m’étais
-imaginé quë vous aviez peui 1 de le fâirë. * , C’était
+imaginé que vous aviez peur de le faire. » C’était
-que lé serviteur
+que le serviteur
-M. Treverton; atteint
+M. Treverton, atteint
-écrasa srfr là’tâble son : ïnoiufeau de pain, ët jeta
+écrasa sur la table son morceau de pain, et jeta
-Shrowl : uh re^ gard irrité* ir Peur de tester * moi ^ imbécile? Si
+Shrowl un regard irrité. « Peur de tester, moi, imbécile ? Si
-mon tésliârhèhi, et mon intentioh est
+mon testament, et mon intention est
-le faire ; c’est
+le faire, c’est
-aucune crainte- »
+aucune crainte. »
-scier sâ tranché dé lard ët à sifflër en niêiné tëirips un jbëtit aii?, ’ —
+scier sa tranche de lard et à siffler en même temps un petit air. —
-répéta M; Treverton. tes riches qui lâiéâènt de
+répéta M. Treverton. Les riches qui laissent de
-qui fhïhént le richë lerrâih dé la
+qui fument le riche terrain de la
-Lorsqu’un homifte cdhsërVô en Itii quëlqûë étincelle
+Lorsqu’un homme conserve en lui quelque étincelle
-? fàitës^ëh votre
+? faites-en votre
-S’il tohs faut réunir uh groupé ? d’hommes
+S’il vous faut réunir un groupe d’hommes
-sur urië lài^é éôhéllè’, la c&rrûptioh et l’oppréssioh traditionnelles^ créez
+sur une large échelle, la corruption et l’oppression traditionnelles, créez
-qu’ils sëront chargés d’administrer. Désirë^vous procurer à , une femme là plus
+qu’ils seront chargés d’administrer. Désirez-vous procurer à une femme la plus
-ait .au monde
+ait au monde
-méchant mari? léguez-lui
+méchant mari ? léguez-lui
-S’agit-il dë vouer
+S’agit-il de vouer
-LE SECRET, Ô1 perdition* ou
+perdition, ou
-des vieillards.autant debuts aimantés,, où
+des vieillards autant de buts aimantés, où
-l’humaine nature?... S’agitai! d’armer .les uns,contre les/autres parents eit çn^ants, maris
+l’humaine nature ?... S’agit-il d’armer les uns contre les autres parents et enfants, maris
-et sç&urs? laissezleur votre
+et sœurs ? laissez-leur votre
-Tester, moi? J’ai
+Tester, moi ? J’ai
-antipathie ^prononcée., Shrovyl, mais; je
+antipathie prononcée, Shrowl, mais je
-parmi eut uirpareil brandon. ,, ,: Terminant
+parmi eux un pareil brandon. » Terminant
-mots ;sa violente, diatribe, M. Treyerton décrocha
+mots sa violente diatribe, M. Treverton décrocha
-pots d’étaio Jbosselés, et
+pots d’étain bosselés, et
-par voie,de rafraîchissement
+par voie de rafraîchissement
-bière. ; Shrowl
+bière. Shrowl
-les charbons, incandescents, et;,, sgiis rjépoixdre autrement,, exprima
+les charbons incandescents, et, sans répondre autrement, exprima
-rebelle. . A qui,diable ^oulez-vous que
+rebelle. « À qui diable voulez-vous que
-mon argent? s’écria M. Treverton , qui
+mon argent ? s’écria M. Treverton, qui
-à demi-mot.. A, mon frère ^ qui maintenant , me croit . complètement .abruti,.. et • me
+à demi-mot. À mon frère, qui maintenant me croit complètement abruti, et me
-fait insensé? à mon frèjçe, qui d’ailleurs enT couragerait les
+fait insensé ? à mon frère, qui d’ailleurs encouragerait les
-comédiens errants,?, Ou^bien sera-ce
+comédiens errants ? Ou bien sera-ce
-de l’actrice? à
+de l’actrice ? à
-enfant -, ^, ,. 1T *>-H •. i-•l, , _ . *-, ii. < que
+enfant que
-à me, haïr,
+à me haïr,
-ferait semblant.de p|eurer ma mort? Ou
+ferait semblant de pleurer ma mort ? Ou
-à y,ous* n’est-ce
+à vous, n’est-ce
-la veuve t de Forpheli^, des malheureux,* tajat que^ vous , en, trouveriez* à 4évqr.çr ?.. Portez-vous
+la veuve, de l’orphelin, des malheureux, tant que vous en trouveriez à dévorer ?... Portez-vous
-monsieur ShrowlI... Je.pu.is m’égayer
+monsieur Shrowl !... Je puis m’égayer
-comme vqus.... Et
+comme vous... Et
-surtout eii songeant
+surtout en songeant
-pence. : Ce
+pence. » Ce
-sentir atteint*. La
+sentir atteint. La
-place au? manières 1d ou rru0 s qui M: étaient habituelles, .et, avec ’ cette espèce ,de grognement . dont lg nature l’avajt -pourvu en^guisç àe voix : . ff,Finirez-vous par melaisser tranquille?.,, dit-il, s’as seyant devant
+place aux manières bourrues qui lui étaient habituelles, et, avec cette espèce de grognement dont la nature l’avait pourvu en guise de voix : « Finirez-vous par me laisser tranquille ?... dit-il, s’asseyant devant
-assez plaisaitté ce matin i et je suppose, vpus en êtes ÎÀ, TOUS .aussi.... Que.jser. de
+assez plaisanté ce matin, et je suppose vous en êtes là, vous aussi... Que sert de
-ainsi à.propos de votre argent?... Il
+ainsi à propos de votre argent ?... Il
-à quelqu’un; —
+à quelqu’un. —
-je youâ l’ai
+je vous l’ai
-venu ,que je
+venu que je
-pas, ï l:t.
+pas,
-r 92 LE SECRET. pour
+pour
-trouver richô tout
+trouver riche tout
-grommela ShrowL —
+grommela Shrowl. —
-maître. ^ Mais
+maître. — Mais
-à quelqu’un.... Bon
+à quelqu’un... Bon
-— Croyez-vous? dit M. Treverton..*. Je
+— Croyez-vous ? dit M. Treverton... Je
-en bank-noies, et
+en bank-notes, et
-dans notte appareil
+dans notre appareil
-qu’il n’est,,., pensée
+qu’il n’est... pensée
-assure. * Avant
+assure. » Avant
-cottage. Allez! dit impérieusement M; Treverton.,.. Allez
+cottage. « Allez ! dit impérieusement M. Treverton... Allez
-face d’épouyantail pour
+face d’épouvantail pour
-en fuite.... Si
+en fuite... Si
-une visit mâle.... —
+une visite mâle... —
-interrompit Slirowl, je
+interrompit Shrowl, je
-je déjeune, a Pendant
+je déjeune. » Pendant
-un homme,... or Lui
+un homme... « Lui
-par le. nez? demanda
+par le nez ? demanda
-Treverton. —Non, répondit Shrowl; j’ai
+Treverton. — Non, répondit Shrowl ; j’ai
-son reste.... Voici
+son reste... Voici
-» ; La
+» La
-grosse ronde , comme
+grosse ronde, comme
-les documents, légaux.
+les documents légaux.
-où M* Treverton
+où M. Treverton
-était assis; l’autre
+était assis ; l’autre
-LE SECRET. 93 ’ r les
+les
-commencèrent antonr du
+commencèrent autour du
-inusité. H n’y
+inusité. Il n’y
-bas àe la
+bas de la
-de .nouveau la
+de nouveau la
-bouche. <r Shrowl! dit-il fort iranquillement.... Mon
+bouche. « Shrowl ! dit-il fort tranquillement... Mon
-fragment imprimé.... Je
+fragment imprimé... Je
-remarqua Shrowl.-.. S’il
+remarqua Shrowl... S’il
-tirer d’affaire.... Et
+tirer d’affaire... Et
-moindre pensée.... Il
+moindre pensée... Il
-et bien, mort, * i ^ Ayant
+et bien mort. » Ayant
-du matin Au
+du matin. « Au
-la comédienne!... a murmura
+la comédienne !... » murmura
-serrèrent i’une contre
+serrèrent l’une contre
-jusqu’alors impénétré; qu’il
+jusqu’alors impénétré ; qu’il
-il là fit à t t i\
+il la fit à voix
-94 LE SECRET* vpi:x haute et t^s-lentemçnt r coname pour
+haute et très-lentement, comme pour
-séparément Skns sa méfittoire chacun 4es mots qu’U prononçait ainsi. r Monsieur*, à
+séparément dans sa mémoire chacun des mots qu’il prononçait ainsi. « Monsieur, à
-votre famille , imstress Frankland; née Treverton ; désire
+votre famille, mistress Frankland, née Treverton, désire
-je vouïtrâiismetté la
+je vous transmette la
-nouvelle du*décès de= votre frèïe. Ce
+nouvelle du décès de votre frère. Ce
-eu lien à hprd du
+eu lieu à bord du
-qu’il commsuoidait, pendant un putagân qui
+qu’il commandait, pendant un ouragan qui
-navire syr.un banc de rochers,’en avant d’Antigua. Vbusrtrouverez ci-iixclus im récit
+navire sur un banc de rochers, en avant d’Antigua. Vous trouverez ci-inclus un récit
-du Times> Il
+du Times. Il
-dans 1 accomplissement de
+dans l’accomplissement de
-devoirs envêrs son étçt-major et son étpiipage. Je
+devoirs envers son état-major et son équipage. Je
-aussi extràit d’un foiïmal du Cornouàjlfês’7 ’ renfermant- stir le défunt unô notice’^êèrolôgiqiïé.’ ’ r p^’ : •-! ^ ’ y-l ’J:: Avant
+aussi extrait d’un journal du Cornouailles, renfermant sur le défunt une notice nécrologique. Avant
-les recherchas les
+les recherches les
-on ft-a pas
+on n’a pas
-les papierg ^Seu le capitaine^evertqn. Il
+les papiers de feu le capitaine Treverton. Il
-disposé, comniê vous lç save$r 4 e Porthgenna
+disposé, comme vous le savez, de Porthgenna
-lui rgstait dpnc plus, ,au mpraenÇ 4e son
+lui restait donc plus, au moment de son
-fortune mobilière", provenant
+fortune mobilière, provenant
-la vente’de ce
+la vente de ce
-de mort ab intestat7 échoit
+de sa mort ab intestat, échoit
-fille, la’plus proçhéhéritière dû’sang, ’ ^ 1: Je sùis, Monsieur, votre frès-ôbéisâarit serviteur, y ; f . *,’-t" t --(Il J t • " ( ’ ALEXATOEH NIXON. j1 ’•<: ••- „ ’ h ’ ’._•.’ ’’>’ • 11 ’i0-!V4 Le
+fille, la plus proche héritière du sang. Je suis, Monsieur, votre très-obéissant serviteur, ALEXANDER NIXON. » Le
-la table, renfermait
+la table renfermait
-du journ^ de pprnouailles, qpe .Shrowl ava|t ramfçsè sur le parquet,, ijopssë par
+du journal de Cornouailles, que Shrowl avait ramassé sur le parquet, fut poussé par
-de déT férénce passagère, sous/le.s, 4e (son; maître, Aussitôt après
+de déférence passagère, sous les yeux de son maître, aussitôt après
-eut jris lecture/îŒ. Treverton
+eut pris lecture, M. Treverton
-s’inquiéta m de
+s’inquiéta ni de
-ni âë l*aut?e/|l démeurâif âssi^, lès yeux .toujours arrêtés
+ni de l’autre. Il demeurait assis, les yeux toujours arrêtés
-l’avoir Jije.à trois reprises., :. ’ <t Pourquoi ne dpnnez-yoiis pjas UQ coup d’oeil à la> page
+l’avoir lue à trois reprises. « Pourquoi ne donnez-vous pas un coup d’œil à la page
-qu’à fçuilleécrite Pourquoi’’ nevoulez-vous pas ^voir quel grand îiomme p’étaitque vQtre. ïrère,’et quelle npbïp vie
+qu’à la feuille écrite ? demanda Shrowl... Pourquoi ne voulez-vous pas savoir quel grand homme c’était que votre frère, et quelle noble vie
-fille admïrabremént belle’ il
+fille admirablement belle il
-après lui \ et
+après lui, et
-elle fait,
+elle a fait,
-propriétaire .de votre domaine d^^famille ?... Qe n’est /pas tà^ a
+propriétaire de votre domaine de famille !... Ce n’est pas elle, toujours, qui a
-de voire argent...,. L^ tempête
+de votre argent... La tempête
-perdu .corps et biens, ,1e vaisseau
+perdu corps et biens, le vaisseau
-a souïflf dans ?pngiron qû^aijë. j^onneg piUe livres.sterling..,. Pourquoi pe’l^çz-vous pas |but ceci?.!. Elle ét son mari possèdent,’ en’pprpbiiaiÏÏès,. uiie bien pliis belle
+a soufflé dans son giron quarante bonnes mille livres sterling... Pourquoi ne lisez-vous pas tout ceci ?... Elle et son mari possèdent, en Cornouailles, une bien plus belle
-celle OÏL yoijs logez ici.... pela ne vous fait^il pas plaisir.Ils étaient
+celle où vous logez ici... Cela ne vous fait-il pas plaisir ?... Ils étaient
-de fpnd en
+de fond en
-venir v vivre avec /
+venir y vivre avec
-LE SECRET. 9SF eux,
+eux,
-dès qu’i] gurait, quitté le service, Qui
+dès qu’il aurait quitté le service. Qui
-pour TOUS attirer?... Faut-il
+pour vous attirer ?... Faut-il
-nièce , vous
+nièce vous
-vieux ma1 ;:[’’ j. -. ’ i ... ,ji ’ if J.•i i» , it . ’t A* noir, maintenant,
+vieux manoir, maintenant,
-vous alliez* pn grande toilette , l’en
+vous alliez, en grande toilette, l’en
-? i> Après cçtte $erni$re question,
+? » Après cette dernière question,
-mais parce. que
+mais parce que
-la première,fois depuis qu’ils £a^§ient ménage ensemble, !} ayait essayé,
+la première fois depuis qu’ils faisaient ménage ensemble, il avait essayé,
-faisait sembl^nf, sans
+faisait semblant, sans
-invariable expression, ta seule
+invariable expression. La seule
-fini, f,ut ceHe-ci : K Sortez ! y Shrowl
+fini, fut celle-ci : « Sortez ! » Shrowl
-pas hommp à s^émouvoir facilement; m?tis il
+pas homme à s’émouvoir facilement ; mais il
-quand i} s’entendait mettre ^ la
+quand il s’entendait mettre à la
-de cérémonie? c Sortez
+de cérémonie ? « Sortez
-répéta Treverton. |St, une
+répéta M. Treverton. Et, une
-pour $qutes, bouche
+pour toutes, bouche
-compte de,mon frère
+compte de mon frère
-Taisez-vous 1... Laissez-moi en repos!... Sortez î —
+Taisez-vous !... laissez-moi en repos !... Sortez ! —
-fermé JA porte,
+fermé la porte,
-parlant k. lui-même.
+parlant à lui-même.
-la .comédienne qui
+la comédienne qui
-cruel soula!.. , . _ ’ ’ J ’ 1 » gement à
+cruel soulagement à
-le mécontentement,qu’il éprouvait de §a propre
+le mécontentement qu’il éprouvait de sa propre
-en ambres invectives
+en amères invectives
-femme qu’i} ayait, naguère
+femme qu’il avait naguère
-fille perpétuait
+fille qui perpétuait
-temps, le? accents
+temps, les accents
-sa yoix s’éteignirent
+sa voix s’éteignirent
-par lé trou de là serrure,.le vit
+par le trou de la serrure, le vit
-et le^ détails
+et les détails
-biographique coûsapr’ée à
+biographique consacrée à
-allusion k quelques-uues çje ce? particularités
+allusion à quelques-unes de ces particularités
-de Lpn^Becîdey ayaiteptretenu
+de Long-Beckley avait entretenu
-96 LE SECRET. son
+son
-en détailles travaux
+en détail les travaux
-au tempa de
+au temps de
-famille étai’ aussi
+famille était aussi
-avaient traiv à
+avaient trait à
-jours * écoulés pour jamais» »
+jours « écoulés pour jamais. »
-la Yierge, furent
+la Vierge, furent
-ce soupir , frappant
+ce soupir, frappant
-s’éloigna delà porte,
+s’éloigna de la porte,
-l’avenir. > / il • — • —i. •••••.— A m CHAPITRE II. Viendront-ils? La
+l’avenir. === CHAPITRE II. — Viendront-ils ? === La
->,iy* LE SÈGRÉT. 97 ïi1 ne
+ne
-à lai domestique placée soùs ses
+à la domestique placée sous ses
-ni conviés , visiteurs,
+ni conviés, visiteurs,
-s’écoulèrent, et’ là femme
+s’écoulèrent, et la femme
-leurs tenanciers; Parfois aussiquand ses
+leurs tenanciers. Parfois aussi, quand ses
-famille Treverton^En groupant
+famille Treverton. En groupant
-Treverton, T et
+Treverton, et
-moment eh voyage , et
+moment en voyage, et
-ainsi disponible, ils avaient
+ainsi disponible. Ils avaient
-année ’ était
+année était
-premiers , jours \ de
+premiers jours de
-singulièrement v travailler
+singulièrement travailler
-traduire ;par l’achat
+traduire par l’achat
-la npke-à4oyer d’une nourrice , le
+la prise à loyer d’une nourrice, le
-du printemj^p^jfe. d^l^S^de l’été* En bon anLE SECRET. FÀ>/ ^A P 7 .1 1 . * *ir
+du printemps ou le début de l’été. En bon anglais
-t " * \ t , ’ / \ ^ ’ . . ’ v V . 98 ^ LE SECRET. glais ceci
+ceci
-dire que,, parmi
+dire que, parmi
-prochain . trimestre,
+prochain trimestre,
-trouverait sans, doute
+trouverait sans doute
-le nqm\de frankland, et
+le nom de Frankland, et
-du douane de Porthgënnà, auquel* cas
+du domaine de Porthgenna, auquel cas
-au mondg manquerait
+au monde ne manquerait
-de produire, une certaine sénsation d^ng tout le Gqrnou^illes occidental. Au mpis suivant ^ au mois d’avril , alors
+de produire une certaine sensation dans tout le Cornouailles occidental. Au mois suivant, au mois d’avril, alors
-à Porthgënnà une
+à Porthgenna une
-ses apparitions’toujours bienvenues,
+ses apparitions toujours bienvenues,
-de mistresjs Frankland. Le yisage.de la
+de mistress Frankland. Le visage de la
-si longtemps, différée,
+si longtemps différée,
-définitivement lieu, dans
+définitivement lieu dans
-Du 1 er au 10, oh pouvait tous, les
+Du 1er au 10, on pouvait tous les
-jeune < ménage
+jeune ménage
-motifs .qui avaient
+motifs qui avaient
-particularités . dont
+particularités dont
-Voici en, somme
+Voici en somme
-des voya- , geurs dont il$ occupaient
+des voyageurs dont ils occupaient
-sagement propose de
+sagement proposé de
-à Long-Peckley , non-seuloment à
+à Long-Beckley, non-seulement à
-à laquelle, les
+à laquelle les
-argument, .au lieu
+argument, au lieu
-mistress .Frankland, était
+mistress Frankland, était
-qu’on eût. pu
+qu’on eût pu
-pour la. prémunir
+pour la prémunir
-avait toujpurs inspiré
+avait toujours inspiré
-respectable, ’ elle
+respectable, elle
-; .mais elle
+; mais elle
-il J ne
+il ne
-vie l’Obligerait à
+vie l’obligerait à
-mais mi^ i
+mais mistress Frankland,
-LE SECREt. 99 tress Êrankland, contre
+contre
-absolument laissé; ce qu’ayant obtenu , elle
+absolument laissé ; ce qu’ayant obtenu, elle
-immédiatement, à, la
+immédiatement, à la
-mari coxnme de
+mari comme de
-pour Porthgënnà. Elle, avait formé cet. étrange projet; elle l’exécutais maintenant,
+pour Porthgenna. Elle avait formé cet étrange projet ; elle l’exécutait maintenant,
-plus tard^ dans
+plus tard, dans
-les .petites; infirmités
+les petites infirmités
-elle-même sons sa direction,, résidait
+elle-même sous sa direction, résidait
-à Porthgënnà, et
+à Porthgenna, et
-d’ancienne dajte et,
+d’ancienne date et,
-longues années,, s’étaient
+longues années, s’étaient
-échiquier. Quand- les événements dérangeaient, cette
+échiquier. Quand les événements dérangeaient cette
-entre eux,, chaque année,.à la Noël; et,
+entre eux, chaque année, à la Noël ; et,
-mort du.capitaine était
+mort du capitaine était
-de sympathique, condoléance,,;où. iL lui
+de sympathique condoléance, où il lui
-en termes, qu’elle n’avait pu* oublier.
+en termes qu’elle n’avait pu oublier.
-et paternels* vieillards
+et paternels vieillards
-les jeunes-femmes: aiment particulièrement à: se
+les jeunes femmes aiment particulièrement à se
-justement emsa faveur
+justement en sa faveur
-qui 1!éloignait; da médecin, dë Long-Beckley; et,
+qui l’éloignait du médecin de Long-Beckley ; et,
-il arrive...toujours, aus jeunes
+il arrive toujours aux jeunes
-époux qui; les
+époux qui les
-fini, empoiv tant la. question,
+fini, emportant la question,
-à sa-guise^ Le 1" mai, les, appartements; du: pavillon: occidental
+à sa guise. Le 1er mai, les appartements du pavillon occidental
-la maîtresse, du
+la maîtresse du
-les tapis, battus y les: sofas
+les tapis battus, les sofas
-leurs housses,. La femme.de charge
+leurs housses. La femme de charge
-marchait, suivie, d’un
+marchait, suivie d’un
-de service* habillée de mérinos.brun, et pavoisée. de rubans roses; et
+de service, habillée de mérinos brun et pavoisée de rubans roses ; et
-de charge, La journée s’écoula, la soirée aussi* l’heure
+de charge. La journée s’écroula, la soirée aussi ; l’heure
-100 LE SECRÈT. l’on se couche.*.; et
+l’on se couche... et
-l’intendant ; et
+l’intendant : et
-de ,charge ajouta
+de charge ajouta
-croire désap’ pointés, alors
+croire désappointés, alors
-ne seraien pas
+ne seraient pas
-la file; et
+la file ; et
-à l’horizon; l’obscurité vint, quiobligea les
+à l’horizon ; l’obscurité vint, qui obligea les
-tendues versla grande
+tendues vers la grande
-ils n’entendaien rien
+ils n’entendaient rien
-à Exeter; puis,
+à Exeter ; puis,
-de Gornouailles jusqu ’ Porthgenna.
+de Cornouailles jusqu’à Porthgenna.
-était-elle parti d’Exeter? première
+était-elle partie d’Exeter ? première
-des chevaux? voilà
+des chevaux ? voilà
-en secom lieu.
+en second lieu.
-ces deu;, points
+ces deux points
-sur Tau tre. Mais
+sur l’autre. Mais
-femme do charge
+femme de charge
-la tiendrai* infailliblement
+la tiendrait infailliblement
-brisants, çàet là^varié par quelqu’un
+brisants, çà et là varié par quelqu’un de
-LE SECRET. 101 le ces
+ces
-édifices. L’inrendant s’était engourdi; la
+édifices. L’intendant s’était engourdi ; la
-l’influence les cantiques
+l’influence des cantiques
-et tenait^ ses
+et tenait ses
-yeux ou verts du
+yeux ouverts du
-à au tre, comme
+à autre, comme
-grands événements Au
+grands événements. Au
-chaise, écoute; fort
+chaise, écouta fort
-l’intendant. <t Nous
+l’intendant. « Nous
-l’intendant. —Non. Je
+l’intendant. — Non. Je
-logement. Yoilà la
+logement. Voilà la
-à présent? Peut-être
+à présent ? Peut-être
-terreur superstitieuse.... Si
+terreur superstitieuse... Si
-maison. a CHAPITRE III. •k Mistress Jazeph. Au
+maison. » === CHAPITRE III. — Mistress Jazeph. === Au
-102 LE SECRET. eût
+eût
-à .peu près
+à peu près
-cette partie, du
+cette partie du
-l’aide dû râilway, lorsque
+l’aide du railway, lorsque
-halte àla station
+halte à la station
-du Somèrsetshire. Le
+du Somersetshire. Le
-devait <c accroître là responsabilité domestique i de
+devait « accroître la responsabilité domestique » de
-monde uh mois
+monde un mois
-le Magnifique château
+le magnifique château
-ville dè West-Winston
+ville de West-Winston
-enregistrer -dans ses
+enregistrer dans ses
-aussi Saisissant què la
+aussi saisissant que la
-gare du. chemin de fer; et,
+gare du chemin de fer ; et,
-l’hôte ét l’hôtesse Tigre
+l’hôte et l’hôtesse de la Tête de Tigre
-même dë faire,
+même de faire,
-leur ^auberge, un
+leur auberge, un
-y fëgher lorsque je valèt et
+y régner lorsque le valet et
-en pabriolet, de
+en cabriolet, de
-à West-Winstoh, n’iavait senti
+à West-Winston, n’avait senti
-riche, * laquelle,
+riche, » laquelle,
-sur le’chemin de
+sur le chemin de
-mistress Frankland, Il
+mistress Frankland. Il
-de la. jeune
+de la jeune
-le dé~ jplôrable état
+le déplorable état
-en airrivant à
+en arrivant à
-laquelle ’M. Orridge
+laquelle M. Orridge
-dès quil avait
+dès qu’il avait
-mode, * h / i
+mode, » que
-LE SECRET. 103 •, " 1 ^ , -què le
+le
-inexpérimentées. A huit ïieureè seulement,
+inexpérimentées. À huit heures seulement,
-la "soirée, l’esprit
+la soirée, l’esprit
-tiré dë peine,
+tiré de peine,
-et ï’kîrivéè d’un
+et l’arrivée d’un
-l’émotion ïi’etvëusé dont
+l’émotion nerveuse dont
-été d’âbord saisi
+été d’abord saisi
-cet accidentIfôrïuhé. Le joui* d’après,
+cet accident fortuné. Le jour d’après,
-marqué par. une
+marqué par une
-serait ihcâpàble de
+serait incapable de
-de plûs simple
+de plus simple
-West-Winston, ce. n’était pàs une
+West-Winston, ce n’était pas une
-que Ûe dénicher,
+que de dénicher,
-embarras d’ë la
+embarras de la
-trouver un femme offrant toutès les
+trouver une femme offrant toutes les
-mistress Fràhklând, quelque
+mistress Frankland, quelque
-parla dë demander
+parla de demander
-de .ses amis,
+de ses amis,
-par là voie ( du télégraphe. Mais,, pour
+par la voie du télégraphe. Mais, pour
-d’une raisoh, le
+d’une raison, le
-puis /du temps
+puis du temps
-à West-Winston; de
+à West-Winston ; de
-n’employer iqu’uné femme
+n’employer qu’une femme
-tour, .de laisser
+tour, de laisser
-le ^oisinage. Si
+le voisinage. Si
-l’idée dë M. Fràhklàhd, et se. concerterait
+l’idée de M. Frankland, et se concerterait
-sur Londres» Les
+sur Londres. Les
-livra sur-lechamp lui
+livra sur-le-champ lui
-bonne d’enfant; mais
+bonne d’enfant ; mais
-J• 1 104 LE SECRET. » maladroites,
+maladroites,
-demi-heure. * Peut-être,
+demi-heure. « Peut-être,
-du monde , pendant
+du monde, pendant
-surnommer de
+surnommer « de
-petites mères, a Son
+petites mères. » Son
-pensa qu*après tout,
+pensa qu’après tout,
-de WestWinston. En
+de West-Winston. En
-Tigre. G Yous voulez savoir, lui, répliqua
+Tigre. « Vous voulez savoir, lui répliqua
-abordant résolûment l’anglais
+abordant résolument l’anglais
-parler dé cette
+parler de cette
-LE SECRET 105 i t douleurs
+douleurs
-à 11/> l’auberge? Voilà
+à l’auberge ? Voilà
-grâce | au
+grâce au
-West-Winston. Gomment £ va la dame? qui est-elle? Son
+West-Winston. Comment va la dame ? qui est-elle ? Son
-bien portant? Pauvre femme I a-t-elle
+bien portant ? Pauvre femme ! a-t-elle
-son état? : Pourrais-je lui’ envoyer
+son état ? Pourrais-je lui envoyer
-ce soit? ’ * ’ ] — Tous feriez
+ce soit ? — Vous feriez
-emploi. -• ! —
+emploi. —
-restée : sans
+restée sans
-jusqu’à présent? s’écria mistress Norbury, —
+jusqu’à présent ? s’écria mistress Norbury. —
-grand : des
+grand des
-mieux entendus; et
+mieux entendus ; et
-est Frankland? demanda
+est Frankland ? demanda
-ce capi-j taine Treverton
+ce capitaine Treverton
-an, } dans
+an, dans
-oublié ! ce
+oublié ce
-ce naufrage? —
+ce naufrage ? —
-tout jeûne homme,
+tout jeune homme,
-l’une £ à
+l’une à
-là, commment résoudre
+là, comment résoudre
-de garde* malade? Qui
+de garde-malade ? Qui
-mistress Frankland? —
+mistress Frankland ? —
-est perpétuellet; ment réclamée
+est perpétuellement réclamée
-le télégraphe , et d’appeler I
+le télégraphe, et d’appeler
-T*» -V . T» 106 LÉ SECRET. ici
+ici
-de fer.... —
+de fer... —
-naturellement "un, certain
+naturellement un certain
-sans ’compter que
+sans compter que
-ou un^ voleuse, ou péut-être à
+ou une voleuse, ou peut-être à
-l’aurez àppeleé ici,
+l’aurez appelée ici,
-avec ce;laisser-aller de
+avec ce laisser-aller de
-était habituel.... Miséricordel... ne
+était habituel... Miséricorde !... ne
-imaginer quelqûe chose
+imaginer quelque chose
-que cela? Je
+que cela ? Je
-demande, "très-sincèrement, qu’à
+demande, très-sincèrement, qu’à
-pour vènir en
+pour venir en
-mistress Frankland.,.. Ëhl tenez,
+mistress Frankland... Eh ! tenez,
-crois què nous
+crois que nous
-de charge..,. C’est
+de charge... C’est
-me dir;ëz-vous. Mais
+me direz-vous. Mais
-vit iôi avec
+vit ici avec
-moi. y> Ceci
+moi. » Ceci
-sonna "sans plus, attendre,
+sonna sans plus attendre,
-venu, èlle l’envoya dire â mistress
+venu, elle l’envoya dire à mistress
-minutes, oh frappà doUciemént à la ’ porte,
+minutes, on frappa doucement à la porte,
-femme dé charge entra. M; Orridge la regarda^ dès
+femme de charge entra. M. Orridge la regarda, dès
-rendre compté. A vue
+rendre compte. À vue
-regard dè médecin
+regard de médecin
-appelle <r le
+appelle « le
-nerveux, a mistress
+nerveux, » mistress
-prit hôte de
+prit note de
-tension musculaire( qui
+tension musculaire qui
-de cêtte rougeur fiévréiise qui
+de cette rougeur fiévreuse qui
-le ëaîoh, elle f eut
+le salon, elle y eut
-encore lorsque^ par
+encore lorsque, par
-le resté dé la
+le reste de la
-de câline : <r Cette fenùhe a çertàinéihèht passé
+de calme : « Cette femme a certainement passé
-grand e&oi, quelque
+grand effroi, quelque
-mal prganique, pensait-il éh lui-même.... Je
+mal organique, pensait-il en lui-même... Je
-bien sàvoir lequel,
+bien savoir lequel,
-in pêlîo. * — ifoici M. Orridge, lé médecin hôûveUeînènt établi â WestWinston, dit mistress Notbury, s’àdressaht à là femmé da charge.
+in petto. — Voici M. Orridge, le médecin nouvellement établi à West-Winston, dit mistress Norbury, s’adressant à la femme de charge.
-à nôtre station,
+à notre station,
-pour Se rendre /
+pour se rendre
-I LE SECRET. 107 ?• j« dans
+dans
-la \ Tête
+la Tête
-Tigre. Yôus avez
+Tigre. Vous avez
-cette histoire? a kistïess Jàzeph, debout sûr le
+cette histoire ? » Mistress Jazeph, debout sur le
-de là porté, jeta un [ regard
+de la porte, jeta un regard
-docteur, ét répondît affirmati: vement à
+docteur, et répondit affirmativement à
-: c Oui, inadamè, »
+: « Oui, madame, »
-du monde,. M.
+du monde, M.
-jeune feinme. Après qu’elle eût pàrlié, il
+jeune femme. Après qu’elle eut parlé, il
-détourner sôïi regard
+détourner son regard
-ces mihuties, il
+ces minuties, il
-pu décrite le
+pu décrire le
-qui Shècouvràit correctement
+qui recouvrait correctement
-avec soin , ét cette î-obe brunë, d’une
+avec soin, et cette robe brune, d’une
-d’elle eji plis
+d’elle en plis
-réguliers. L’èspêeé de
+réguliers. L’espèce de
-ainsi dévisàgéè par
+ainsi dévisagée par
-gaucherie d’attitudè ou
+gaucherie d’attitude ou
-de là réteùûe, i> cette
+de la retenue, » cette
-moindres mou\ vements de
+moindres mouvements de
-qui àccompâgnait ses * •pieds glissant
+qui accompagnait ses pieds glissant
-mistress Jàzeph se
+mistress Jazeph se
-de mis*tress Norbury ; tétait elle
+de mistress Norbury ; c’était elle
-mouvement dè sà main
+mouvement de sa main
-l’appuya bieh légèrement sur Une table
+l’appuya bien légèrement sur une table
-sa pôrtée, alors
+sa portée, alors
-pour mïëùx èntêndrë la question iju’où jlui adressait. Sachez, continua lîiiStïéSs Nôrbury, que
+pour mieux entendre la question qu’on lui adressait. « Sachez, continua mistress Norbury, que
-vue d’oeil, lorsque j ôë matin
+vue d’œil, lorsque, ce matin
-la gârde qtii la
+la garde qui la
-trouvée gravëihënt indisposée. Yoici donc
+trouvée gravement indisposée. Voici donc
-qu’elle né connaît point, éû face
+qu’elle ne connaît point, en face
-et sâiis l’aide
+et sans l’aide
-et d’expériénce pour
+et d’expérience pour
-délicate créa* I ture, si
+délicate créature, si
-ce quélqû’un-là.
+ce quelqu’un-là.
-V 108 LE SECRET. Je
+Je
-en aide? Là-bas
+en aide ? Là-bas
-quelque -douceur de
+quelque douceur de
-ensuite trèsrespectueusement, mais
+ensuite très-respectueusement, mais
-services. c: Pensez-y
+services. « Pensez-y
-le naufrage.... * À
+le naufrage... » À
-baissa . pour
+baissa pour
-d’importance. c Peste
+d’importance. « Peste
-la femme!... quelle
+la femme !... quelle
-l’a prise?... s’écria mistress Norbury, Le
+l’a prise ?... s’écria mistress Norbury. Le
-de mal.... remettez-le en place!.,. Voici
+de mal... remettez-le en place !... Voici
-une maladresse.... Et
+une maladresse... Et
-compliment, j’imagine,... Donc,
+compliment, j’imagine... Donc,
-du capitainé Treverton,
+du capitaine Treverton,
-que possible.... Encore
+que possible... Encore
-ordre f »
+ordre ? »
-ijt1 <; LE SECRËT. 109 J ’E parler,
+parler,
-Une f rougeur
+Une rougeur
-peignait ane certaine
+peignait une certaine
-serrait Tune contre
+serrait l’une contre
-sorte • de
+sorte de
-mécanique ; a Voilà,
+mécanique : « Voilà,
-à essayer.... a Et
+à essayer... » Et
-crispées. a Pensez-y encore! répéta mistress Norbury.*.. Je
+crispées. « Pensez-y encore ! répéta mistress Norbury... Je
-désigner, mais.... »
+désigner, mais... »
-précipités. * Mais, quoi? demanda
+précipités. « Mais, quoi ? demanda
-laisser . ’; cette
+laisser cette
-fait dépourvue.... et
+fait dépourvue... et
-grand inté\ rêt que
+grand intérêt que
-pour elle.... je consentirais.... si pourj tant vous
+pour elle... je consentirais... si pourtant vous
-de moi.... oui, je consentirais.... —>Quoi donc? vous seriez sa"garde-malade vous?... s’écria
+de moi... oui, je consentirais... — Quoi donc ? vous seriez sa garde-malade ?... vous ?... s’écria
-bien I sur
+bien ! sur
-et détours^ vous
+et détours, vous
-le ; plus
+le plus
-désir d’oi bliger et d’être utile.... Pour
+désir d’obliger et d’être utile... Pour
-vous, e ne
+vous, je ne
-de charge.... La
+de charge... La
-bon vouloir.... Avez-vous
+bon vouloir... Avez-vous
-mon mariage....» A ces
+mon mariage... » À ces
-pâleur habituelle.,.. <r J’eus
+pâleur habituelle... « J’eus
-mari. 1 ’i i
+mari.
-110 LE SÉGREÎ. Je prends 4OAG, sur
+Je prends donc sur
-monsieur, continuat-elle? s’adressant
+monsieur, continua-t-elle, s’adressant
-plus ^érieuxr pourvu
+plus sérieux, pourvu
-pouvant s$ryir de
+pouvant servir de
-suis. —. Qu’en
+suis. — Qu’en
-monsieur Qrçidge? * demanda
+monsieur Orridge ? » demanda
-son tourr avait
+son tour, avait
-: Je
+: « Je
-un dputç $rès, que
+un doute près, que
-mistress Ja* zeph de
+mistress Jazeph de
-reconnaissance. a * ILes yeux timides; de mistress’ Joseph: restaient’ fixés
+reconnaissance. » Les yeux timides de mistress Jazeph restaient fixés
-lui, taudis qu’il parlait, ett ils
+lui, tandis qu’il parlait, et ils
-pénible. •Mistress Norbury,,avec sa
+pénible. Mistress Norbury, avec sa
-s’agissait. Je
+s’agissait. « Je
-pas l’intima conviction,
+pas l’intime conviction,
-un médeciû), ’soit assez forte et,assez maîtresse
+un médecin), soit assez forte et assez maîtresse
-ses nerfs, pour
+ses nerfs pour
-se charger, a Malgré
+se charger. » Malgré
-été donnée,t mistress Jazeph en, parut
+été donnée, mistress Jazeph en parut
-et tou£e geinée. Une
+et toute peinée. Une
-calme et: résignée, très-tour chante à
+calme et résignée, très-touchante à
-porte. a Attendez un peu!.., luiKsria la bonne mistress,Nprbury.... ou, si vous, vous
+porte. « Attendez un peu !... lui cria la bonne mistress Norbury... ou, si vous vous
-de retpujn. dans cinq ^minutes!... Je
+de retour dans cinq minutes !... Je
-aurons quelgjup autre
+aurons quelque autre
-dire. J> ’ S É * f ’. .1 * . La
+dire. » La
-un r;er gard,, et
+un regard, et
-regard fut. si
+regard fut si
-des larmes,n’allaient pas
+des larmes n’allaient pas
-Mais, avant, qu’elle
+Mais, avant qu’elle
-pu vérifier, le
+pu vérifier le
-et s’était.silencieusement éclipsée. Maintenant que^nou&ivoilà seuls, monsieur Orridge;,.dit mistress
+et s’était silencieusement éclipsée. « Maintenant que nous voilà seuls, monsieur Orridge, dit mistress
-dois vous^dire* en
+dois vous dire, en
-déférence pouf votre jugepaent, que vous. vpus: exagérez un peu. la,débilité nerveuse de, mistress Jazeph., Ell£: n’a, point
+déférence pour votre jugement, que vous vous exagérez un peu la débilité nerveuse de mistress Jazeph. Elle n’a point
-après Qinq ans
+après cinq ans
-je puis. vousile dire,
+je puis vous le dire,
-ji f ’ ’ ’ ; LE SECRET1U ! » j • plus
+plus
-qu’elle n’eu a
+qu’elle n’en a
-vrai serviee à
+vrai service à
-plus affêctueuse que
+plus affectueuse que
-devoir. N*e vous
+devoir. Ne vous
-me suis, trouvée
+me suis trouvée
-ma "femme de
+ma femme de
-et .bien disgracieux
+et bien disgracieux
-quelques crises?... — Jamais. , —
+quelques crises ?... — Jamais. —
-nerveuses ?* —
+nerveuses ? —
-depuis qu’elle,est chez
+depuis qu’elle est chez
-quelque chose..,. • ’ ’ ’ —
+quelque chose... —
-première -fois. Mais
+première fois. Mais
-n’a p*is, je
+n’a pas, je
-jeunesse trèsheureuse. La
+jeunesse très-heureuse. La
-très-expressément, J m’a
+très-expressément, m’a
-: ^ J au
+: au
-naturellement. a M, Orridge
+naturellement. » M. Orridge
-nuance d’irritatïo’n ; dans ces derniers, mots
+nuance d’irritation dans ces derniers mots
-homme avisé; il
+homme avisé ; il
-pu conce-
+pu concevoir
-112 LE SECRET. voir sur
+sur
-à remplir; ceci valait mieu^ que’de risquer
+à remplir ; ceci valait mieux que de risquer
-pays, alors~ qu’il
+pays, alors qu’il
-West-Winston. ’ Après
+West-Winston. « Après
-je ne" saurais vrai* ment hésiter.
+je ne saurais vraiment hésiter.
-et h proposition
+et la proposition
-de ’charge, et
+de charge, et
-que TOUS. me
+que vous me
-femme dp charge
+femme de charge
-ainsi, n’étaitril pas
+ainsi, n’était-il pas
-son -égard ? <r M.
+son égard ? « M.
-Je l’^i convaincu que vous’n’étiez ni
+Je l’ai convaincu que vous n’étiez ni
-supposait. * Un
+supposait. » Un
-la voyaitelle osa
+la voyait, elle osa
-provoquée. Quand
+provoquée. « Quand
-service, monsieur? lui demanda4-elle. —
+service, monsieur ? lui demanda-t-elle. —
-possible, s répondit
+possible, » répondit
-allures ordinaires! Partez
+allures ordinaires ! « Partez
-à faire? 1 —
+à faire ? —
-d’une demiheure, répliqua
+d’une demi-heure, répliqua
-Jazeph. ; —
+Jazeph. —
-le doc* fr \ -1
+le docteur,
-LE SECRET. 113 * leur, prenant
+prenant
-mille remer ciment s. —
+mille remercîments. —
-votre malade f cher
+votre malade, cher
-monsieur, i répéta
+monsieur, » répéta
-accents. CHAPITRE IV u ! La
+accents. === CHAPITRE IV. — La
-garde. * Comme
+garde. === Comme
-sonnait sépt heures,
+sonnait sept heures,
-mit sonchapeau pour
+mit son chapeau pour
-la Tète de
+la Tête de
-d’une opéra tion irrémissible.
+d’une opération irrémissible.
-Tigre. EIJ entrant
+Tigre. En entrant
-la nour velle garde
+la nouvelle garde
-Frankland. c A-t-elle
+Frankland. « A-t-elle
-la malade? demanda M, Orridge. LE SECRET. *
+la malade ? demanda M. Orridge.
-• • *~ ’ ’ " ’ " ’ ^ ^ ’ ’ ’ . ’ * L 114 LE SECRET. * i • < ’ r y * Oui’, monsieur, répliqua Tliôtes’sè, ét elle’ m’a sémblé uu pëd chagf rnèé quànd je
+— Oui, monsieur, répliqua l’hôtesse, et elle m’a semblé un peu chagrinée quand je
-de yoûlëif bîéii attendre que TOUS fussiez LÀ;T Voulez-vous Faller trouver, monsieur? Montez
+de vouloir bien attendre que vous fussiez là. Voulez-vous l’aller trouver, monsieur ? Montez
-pièce àu fond
+pièce au fond
-le ’coin le plus . r • ,* j h ^ | f— f . Jéloigné- dé la fenêtre; Il
+le coin le plus éloigné de la fenêtre. Il
-un peii surpris de là voir
+un peu surpris de la voir
-son r voile au Moment Ôù elle erîtendit là porté s’ouvrir. <r Je
+son voile au moment où elle entendit la porte s’ouvrir. « Je
-dit-il, maté j’ai ét^ïnàiidé près
+dit-il, mais j’ai été mandé près
-malade. Be plus,
+malade. De plus,
-dit, veuil1ëi voiis ;ëii s’duveriir, ëntte sept
+dit, veuillez vous en souvenir, entre sept
-huit heurés..,. Or
+huit heures... Or
-heures. * —
+heures. —
-monsieur, * dit
+monsieur, » dit
-M. Orridge^-et le jeta daçs quelque
+M. Orridge, et le jeta dans quelque
-craindre que’, nofl-senlemènt sà voix,
+craindre que, non-seulement sa voix,
-Quel sentimeM âvait^ëlîedonc à déguiser? Était-ce,
+Quel sentiment avait-elle donc à déguiser ? Était-ce,
-de quarântaïïië qiï’ort lùi avait tfâittfâiré dans
+de quarantaine qu’on lui avait fait faire dans
-de ÏËÔ» t’èsse? r ^ 1 Si vous ^voulë2 bien în’actfôfffipagner, dit
+de l’hôtesse ? « Si vous voulez bien m’accompagner, dit
-Orridge, je, vais’ mf-l&bh&mp TOUS conduire
+Orridge, je vais sur-le-champ vous conduire
-mistress Fràïiklâild. i Mistresâ .Jazeph se
+mistress Frankland. » Mistress Jazeph se
-posa uù instant là mâin sut une
+posa un instant la main sur une
-Ce gesté, si
+Ce geste, si
-qu’il durât , servit
+qu’il durât, servit
-offerte. Vous
+offerte. « Vous
-devançant hots la chambré.... Bieii certainement,
+devançant hors la chambre... Bien certainement,
-à pied? — Non, monsieur; madame
+à pied ? — Non, monsieur ; madame
-bonté d!e me
+bonté de me
-conduire idâns la pony-cham 1 .» Sa
+conduire dans la pony-chaise. » Sa
-était toujoùré contrainte,
+était toujours contrainte,
-qu’elle répond âit ainsi, êi elle
+qu’elle répondait ainsi, et elle
-montant l’escaliér de
+montant l’escalier de
-M. drridgé prit-il,
+M. Orridge prit-il,
-premiers •• • , • • • ’ . • • » J • J ^ :* 4, Pelïï char à fbancs attelé de chevaux nains qu’on appelle ponUs» » r
+premiers
-LE SECRET. 115 soins
+soins
-garde dè Londres,
+garde de Londres,
-tout a® fond dè là maison, èt on
+tout au fond de la maison, et on
-l’auberge. Là seule rehêtrë qui l’éclâirât donnait
+l’auberge. La seule fenêtre qui l’éclairât donnait
-desquels s’étendàieht les
+desquels s’étendaient les
-du Soihërsétshire, bornés
+du Somersetshire, bornés
-de coteàux chargés
+de coteaux chargés
-les éternèls rideaux
+les éternels rideaux
-chambre, dé manière
+chambre, de manière
-droite là porte,
+droite la porte,
-la fenêtre , les
+la fenêtre, les
-la porte* ils
+la porte, ils
-personne frâhchissànt le
+personne franchissant le
-du lit, oc Comment vous sentez-vouis aujourd’hui, mistress Frankland? demanda. M. Qrridge, portant
+du lit. « Comment vous sentez-vous aujourd’hui, mistress Frankland ? demanda M. Orridge, portant
-qu’il a^it écarter. Redouteriez-v.ous qti’oh dorihât à
+qu’il allait écarter. Redouteriez-vous qu’on donnât à
-peu jilus d’accès
+peu plus d’accès
-aise, répbn<iit-on..v Mais
+aise, répondit-on... Mais
-peu de’bon sens,
+peu de bon sens,
-votre estinie , en
+votre estime, en
-je m’occiipe depuis uflë heure. J> M. Orridge Sourit en
+je m’occupe depuis une heure. » M. Orridge sourit en
-les rideàUx, ët sè mit
+les rideaux, et se mit
-sa mére. Mistrëss Frankland, éprise dès coùleûrâ voyahtëg, s’était àrttttèée, pendaht que
+sa mère. Mistress Frankland, éprise des couleurs voyantes, s’était amusée, pendant que
-fait fr 1 » ’** ** " ’ *• àd baby dn collier, des noeuds d’épaule,
+fait au baby un collier, des nœuds d’épaule,
-; et,, pour
+; et, pour
-petit boiinet boquét dé sà mère
+petit bonnet coquet de sa mère
-chauve <lë l’enfant,
+chauve de l’enfant,
-son nûùveau-né, avâit uh léger
+son nouveau-né, avait un léger
-sur là poitrine
+sur la poitrine
-en festons* Des
+en festons. Des
-le înatir
+le matin
-n -vv\ m i. 1»< I 116 LE SECRET. même,
+même,
-rappelée. Vraiment,
+rappelée. « Vraiment,
-demander pardon..-. Vraiment
+demander pardon... Vraiment
-que faire.... Je
+que faire... Je
-petite fille.... Personne
+petite fille... Personne
-que vous?».. Lenny, êtes-vous là? Avez-vous
+que vous ?... Lenny, êtes-vous là ? Avez-vous
-mon chéri?,.. Et
+mon chéri ?... Et
-de l’accouchée?.... —
+de l’accouchée ?... —
-le docteur.... Mais
+le docteur... Mais
-avec moi.... Ah! mon Dieu!... Qu’est-elle devenue?... mistress Jazeph! a La
+avec moi... Ah ! mon Dieu !... Qu’est-elle devenue ?... mistress Jazeph ! » La
-même fenêtre; son
+même fenêtre ; son
-décrivions naguère; elle
+décrivions naguère ; elle
-blanche courte* pointe ;
+blanche courtepointe ;
-l’enfant. Bonté
+l’enfant. « Bonté
-! Qu’est-ce-ci? s’écria Rosamond.... une
+! Qu’est-ce-ci ? s’écria Rosamond... une
-ces pa* rôles. Ses
+ces paroles. Ses
-les chagrinr 4
+les chagrins
-] J I L LE STSCRET. 11’ et
+et
-voulait pasl laisser apercevoir. <r Très-probablement,
+voulait pas le laisser apercevoir. « Très-probablement,
-disait-il, quelqub aifection du
+disait-il, quelque affection du
-sa maîtresse; mais
+sa maîtresse ; mais
-Qui êtes-vous? répétait cependant Rosamond.... Pourquoi,
+Qui êtes-vous ? répétait cependant Rosamond... Pourquoi,
-possible. <r N’avez-vous
+possible. « N’avez-vous
-cette aprèsmidi? demanda
+cette après-midi ? demanda
-docteur, s’adresssant à
+docteur, s’adressant à
-Un trèsaimable message,
+Un très-aimable message,
-d’excellentes nouvelles; une
+d’excellentes nouvelles ; une
-voici I dit
+voici ! dit
-Pas possibleI s’écria Rosamond.... Il
+Pas possible ! s’écria Rosamond... Il
-cela soit..,. Sans
+cela soit... Sans
-avec vous?... J’aurais
+avec vous ?... J’aurais
-de suite.... venez
+de suite... venez
-vous prie.... Docteur,
+vous prie... Docteur,
-nom I... Joseph, n’estce pas?.,. Non.... Jazeph? Approchez
+nom !... Joseph, n’est-ce pas ?... Non... Jazeph ? Approchez
-bonne composition..,. C’est
+bonne composition... C’est
-bien précaire.... Docteur,
+bien précaire... Docteur,
-m’en vou* loir, je
+m’en vouloir, je
-d’une garde, »
+d’une garde. »
-parsemé. Votre
+parsemé. « Votre
-Frankland, eut » _ .. i • , __ __ ____
+Frankland, dit
-118 t LE SECRET. M. Orridge; mais
+M. Orridge ; mais
-a coûte la
+a toute la
-aussi bieii qu’elle
+aussi bien qu’elle
-a lq, bonne
+a la bonne
-tous cps cytises? demanda
+tous ces cytises ? demanda
-garde. Voila une bonne pensée.... le
+garde. Voilà une bonne pensée... le
-trouviez là chambre
+trouviez la chambre
-prenne cç soin,
+prenne ce soin,
-service, a» dit
+service, » dit
-celui dé Rosamond
+celui de Rosamond
-de couleur, c Quelle
+de couleur. « Quelle
-! * dit-elle.
+! » dit-elle.
-la fenêtre, et J’espère
+la fenêtre. « J’espère
-habitude de’ dire
+habitude de dire
-la tête.... Et
+la tête... Et
-effrayait où yous était pénible.... Veuillez
+effrayait ou vous était pénible... Veuillez
-mon caractère; et
+mon caractère ; et
-bonnes amies; puis.,.. j> Au moment où. mistress
+bonnes amies ; puis... » Au moment où mistress
-ces paots : d’accord ët bonnes amies, a> la
+ces mots : « d’accord et bonnes amies, » la
-quitta là croie, et
+quitta la croisée, et
-se trou^ ait à
+se trouvait à
-qui elle’allait exprimer son étonnement; mais
+qui elle allait exprimer son étonnement ; mais
-caché
+caché dans
-l . LE SECRET. 119 . flrans ses deux ma?ns. Ayant qu’il
+ses deux mains. Avant qu’il
-rendre compté si
+rendre compte si
-elles çhan\ gèrent d§ position,
+elles changèrent de position,
-nouvelle venup, Quandelle l’eut posé, avectson châle L et £es gants, sur uné "chaise placée
+nouvelle venue. Quand elle l’eut posé, avec son châle et ses gants, sur une chaise placée
-coin Àe la chambre , f elle
+coin de la chambre, elle
-mille i r ’ j_«i’ ,. *i 1 - ** ^ [ ’petits objets (£ui s’y
+mille petits objets qui s’y
-en [• ibon ordre,
+en bon ordre,
-un gojfrt remarquables,
+un goût remarquables,
-aussi [, avec
+aussi avec
-devaient f servir
+devaient servir
-la flj; très-favorable ^ ment juger
+la fit très-favorablement juger
-M. Orridge., Il
+M. Orridge. Il
-le soii} avec lëquel elle
+le soin avec lequel elle
-d’eux, ét plaçant d’ûn côté dë la
+d’eux, et plaçant d’un côté de la
-requis dans’ le
+requis dans le
-la nuit* de
+la nuit ; de
-dont prn n’aurait
+dont on n’aurait
-de toiletté, pour
+de toilette, pour
-sortir , des
+sortir des
-moindre mbjave’r* d ment de
+moindre mouvement de
-étalage, l’œil* à
+étalage, l’œil à
-passait d’uix bout ^e/ 3â chambre
+passait d’un bout de la chambre
-semblaient naître,Vqnlre le
+semblaient naître l’ordre le
-parfait, là propreté
+parfait, la propreté
-minutieuse. Àussi3 lorsque
+minutieuse. Aussi, lorsque
-reprit sâ placg au
+reprit sa place au
-était tranquillé au
+était tranquille au
-ne pas. commettre
+ne pas commettre
-moindre bévu^. Une
+moindre bévue. « Une
-bien ôriginalë î murmurait Rosamond,; —
+bien originale ! murmurait Rosamond. —
-M. Ôrridgç ;
+M. Orridge ;
-qu’elle n’qn veuille
+qu’elle n’en veuille
-et soigneuse, il n’y
+et soigneuse. Il n’y
-une uuit..,. c’est-, ^-dire pourvu
+une nuit... c’est-à-dire pourvu
-Elle m’inçpire une sorta d’intérêt.
+Elle m’inspire une sorte d’intérêt.
-je né puis
+je ne puis
-me lionne le
+me donne le
-d’en savoir, plus
+d’en savoir plus
-fasse jaser^ et
+fasse jaser, et
-a àe si
+a de si
-reste, que. je
+reste, que je
-cette ennuye^sç chambré d’hôpital.
+cette ennuyeuse chambre d’hôpital.
-en bas; tenant
+en bas, tenant
-boire tout,seul. HÏ,i (nf^nnnm H C L! J
+boire tout seul.
-S* t * 1 120 LE SECRET. Allez
+Allez
-avec lui.,.. Allez
+avec lui... Allez
-un peu.... Pauvre garçon 1... il
+un peu... Pauvre garçon !... il
-m’a plus.... et
+m’a plus... et
-vous apris en
+vous a pris en
-monsieur Orridge....Vraiment, vous
+monsieur Orridge... Vraiment, vous
-plaisez beaucoup.... XJn instant 1 avant
+plaisez beaucoup... Un instant ! avant
-au baby.-’Ne va-t-il
+au baby. Ne va-t-il
-de sommeil?... Encore
+de sommeil ?... Encore
-monsieur Orridge.... Quand
+monsieur Orridge... Quand
-pas ?» Après
+pas ? » Après
-de besoin , le
+de besoin, le
-bien àe lui
+bien de lui
-personne %è disposant
+personne se disposant
-vol. Je
+vol. « Je
-après lé départ
+après le départ
-que "la chambre
+que la chambre
-Ff* LE SECRET, lâl le
+le
-bon cœur , de
+bon cœur, de
-docteur, y cette
+docteur, cette
-bons | rapports,
+bons rapports,
-pauvre père.... Elle
+pauvre père... Elle
-ma naissance..,. Quoi
+ma naissance... Quoi
-pour moit et
+pour moi, et
-autres. Voyons.... ne
+autres. Voyons... ne
-la fenêtre.... Venez
+la fenêtre... Venez
-moi. * Mistress
+moi. » Mistress
-cheminée. c Venez
+cheminée. « Venez
-asseoir I... répéta
+asseoir !... répéta
-avoir â faire
+avoir à faire
-fois s ? inj terposer entre
+fois s’interposer entre
-ces pres^ santés invitations. La
+ces pressantes invitations. « La
-n’est | pas
+n’est pas
-— Oh! pas encore, pasencorel... fermez
+— Oh ! pas encore, pas encore !... fermez
-la persienne; aussi
+la persienne ; aussi
-souvenirs d’enfant.... Connaissez-vous
+souvenirs d’enfant... Connaissez-vous
-mistress Jazeph? i — J’èn ai
+mistress Jazeph ? — J’en ai
-parler. » Après
+parler. Après
-s’arrêta court; elle
+s’arrêta court ; elle
-à fairu mouvoir l’espagnolette. c Que
+à faire mouvoir l’espagnolette. « Que
-assez ma:
+assez mal
-V" 122 LE SECRET. peuplé,
+peuplé,
-de pliis belle
+de plus belle
-cette fenêtre? dit Rpsamond. Ma
+cette fenêtre ? dit Rosamond. Ma
-de peiné ;
+de peine ;
-arrive ; je
+arrive : je
-faut, d’ailléurs, qu’elle
+faut, d’ailleurs, qu’elle
-cheveux, e qu’elle
+cheveux, et qu’elle
-de Cologn coupée
+de Cologne coupée
-Jazeph, quitput à
+Jazeph, qui tout à
-son problèine.-.. Si
+son problème... Si
-voulez J bien lé pérmettré, jè serai
+voulez bien le permettre, je serai
-nuit confortable.... et
+nuit confortable... et
-plus -singulières. Pendant
+plus singulières. Pendant
-le paysage’ extérieur,
+le paysage extérieur,
-la bhàmbre." . Ne
+la chambre. « Ne
-une bougie? insinua Rosamond. . — Jé fie crois
+une bougie ? insinua Rosamond. — Je ne crois
-madame, Repartit aussitôt mistress Jazeph.... J’y vois éhcore à
+madame, repartit aussitôt mistress Jazeph... J’y vois encore à
-Parlant ’ainsi, elle se mit" à brosser lés cheveux
+Parlant ainsi, elle se mit à brosser les cheveux
-mistress / r • • i Frankland; et
+mistress Frankland ; et
-Charmée dé voir
+Charmée de voir
-point dé prendre
+point de prendre
-gardait dë son
+gardait de son
-rendre ràfëon de ce phénomène , le
+rendre raison de ce phénomène, le
-mistress Jazëph7 de
+mistress Jazeph, de
-quelques minutes il
+quelques minutes, il
-et de’répondre autrement
+et de répondre autrement
-plus laconiques Ces rnains erraient avéc une
+plus laconiques. Ces mains erraient avec une
-et ën même
+et en même
-visage pâlo efcflétri de
+visage pâle et flétri de
-du sién, un
+du sien, un
-ne sémblait indispensable. Aussi ùnë Vague sensation
+ne semblait indispensable. Aussi une vague sensation
-dont èlle n’aurait pu préciser ni
+dont elle n’aurait pu préciser, ni
-le siège particulier,
+le siége particulier,
-position j ’ • ! i * !
+position
-LË SECRET, m dans
+dans
-réponses éçourr tées et décourageantes. A la
+réponses écourtées et décourageantes. À la
-Jazeph. A peiné ce
+Jazeph. À peine ce
-lit. Ne
+lit. « Ne
-dit-elle ensuite* continuant
+dit-elle ensuite, continuant
-bien malapprise..,. Vous
+bien malapprise... Vous
-talent remarquable; mais,
+talent remarquable ; mais,
-le *emps, que
+le temps, que
-plus folles.... Je
+plus folles... Je
-rire encore.... Vraiment,
+rire encore... Vraiment,
-j’en rie...» Savez-vous
+j’en rie... Savez-vous
-qu’une pu deux
+qu’une ou deux
-mien, que...* que
+mien, que... que
-de m’embrasser?..* Avezvous jamais
+de m’embrasser ?... Avez-vous jamais
-imaginations Il
+imaginations ?... Il
-dont là longueur
+dont la longueur
-mistress Jàzeph; aussi voulutelle l’apaiser,
+mistress Jazeph ; aussi voulut-elle l’apaiser,
-étaient faites; mais il Ji’y avait
+étaient faites ; mais il n’y avait
-son ccent aucune
+son accent aucune
-de resMl«IHl» un
+de ressentiment
-124 LE SECRET, sentiment ou
+ou
-nouveau-né qu’el les admirèrent
+nouveau-né qu’elles admirèrent
-baiser fut’ tout
+baiser fut tout
-mistress Jazeph; après
+mistress Jazeph ; après
-caressé. <r Yous devez
+caressé. « Vous devez
-si délicate...; Mais,
+si délicate... Mais,
-pour vous.... Je
+pour vous... Je
-trop pénible.... si
+trop pénible... si
-à déplorer.... Mais
+à déplorer... Mais
-et s’y. cramponna
+et s’y cramponna
-appuya si^fort, que
+appuya si fort, que
-craqua. Sa tête
+craqua. Sa, tête
-vers spn fils
+vers son fils
-de l’enfant , ses
+de l’enfant, ses
-mouiller l’enfant; mais
+mouiller l’enfant ; mais
-chérubin, n’y: trouvèrent
+chérubin, n’y trouvèrent
-tombée .sur la
+tombée sur la
-lit, torït éveillée,
+lit, tout éveillée,
-/ LE SECRET. 125 qu’une
+qu’une
-clair. —Mistress Jazeph,
+clair. — Mistress Jazeph,
-la persienne; je
+la persienne ; je
-vous savez.... — Tous aimez
+vous savez... — Vous aimez
-Cornouailles, madame? demanda
+Cornouailles, madame ? demanda
-lumière. j —
+lumière. —
-flambeaux... N*avez-yous pas
+flambeaux... N’avez-vous pas
-la boite d’allumettes
+la boîte d’allumettes
-tentative réussitmieux:mais un
+tentative réussit mieux : mais un
-l’aller poster sur
+l’aller poser sur
-lit. * Pourquoi
+lit. « Pourquoi
-trouvé interrompu?... TJn voyage
+trouvé interrompu ?... Un voyage
-n’est-ce pas?... »
+n’est-ce pas ?... »
-pût rencontrer; mais
+pût rencontrer ; mais
-sa chambre; et
+sa chambre ; et
-mistress Jazep\, ce
+mistress Jazeph, ce
-jamais. Vraiment, non...Ce n’était
+jamais. « Vraiment, non... Ce n’était
-rendions faut droit
+rendions tout droit
-vieux ma-
+vieux manoir
-126 LE SECRET. ~ . r * ~ noir où
+où
-Il âppartiéîît maintenant
+Il appartient maintenant
-l’âge dé cinq
+l’âge de cinq
-et croulant.... Yous qui
+et croulant... Vous qui
-la sauvagerié, ét dè l’aspect
+la sauvagerie et de l’aspect
-du Corhbuailles.... là seule idée d’habïter Porthgenna-Tower
+du Cornouailles... la seule idée d’habiter Porthgenna-Tower
-ferait horreur, a Pendant
+ferait horreur. » Pendant
-de Rôsamônd, le
+de Rosamond, le
-de robe
+de la robe
-portait ihistress Jazeph
+portait mistress Jazeph
-de éë faire entendre aïitôùr delà toilette.
+de se faire entendre autour de la toilette.
-nom dé Porthgenna-Tower fiit prbnbûcé, ce bruit s’àrrêtâ soudain,
+nom de Porthgenna-Tower fut prononcé, ce bruit s’arrêta soudain,
-de mdrt régna
+de mort régna
-la éhâmbïe. à Yous qui,
+la chambre. « Vous qui,
-avez probablemëht hàbité des ïhàisons bien efltretëuues, vous né vôué figurez pis liii ëhdroit coîhntë ëélùi où nous fions rendrons dès qùë je
+avez probablement habité des maisons bien entretenues, vous ne vous figurez pas un endroit comme celui où nous nous rendrons dès que je
-grand bâtimëht dont
+grand bâtiment dont
-une )DôrtiOn est
+une portion est
-plus dë soixântë tiu soixante èt diy ans? Ûéci seul vous donné une
+plus de soixante ou soixante et dix ans ? Ceci seul vous donne une
-proportions dePorthgènna-To^er... Il
+proportions de Porthgenna-Tower... Il
-une âile oueét que
+une aile ouest que
-existent dë vieux âpparteiùèntà délabrés
+existent de vieux appartements délabrés
-pouvoir reihettre en bpn état.... Pensez dohc un
+pouvoir remettre en bon état... Pensez donc un
-vieilleries, plùs étranges
+vieilleries, plus étranges
-que les,autres, que
+que les autres, que
-anciennes chaihbreâ désertes.... Jë veux
+anciennes chambres désertes... Je veux
-ses gàhts, pour
+ses gants, pour
-de là câvé au grenier. Gomnië là ïemme déchargé sera
+de la cave au grenier. Comme la femme de charge sera
-j’irai â Prirthgerina lui
+j’irai à Porthgenna lui
-» ÎTn cri contenu, lë bruit
+» Un cri contenu, le bruit
-la toiletté, suivirent
+la toilette, suivirent
-de mistféss Fraiiltland. Elle en trèssaillit au
+de mistress Frankland. Elle en tressaillit au
-y aVait. c Rien
+y avait. « Rien
-mistress Jàzëph, retenant
+mistress Jazeph, retenant
-semblait parleï a l’oreille
+semblait parler à l’oreille
-Rien, madame.... Rien, jë vous assure.... Je
+Rien, madame... Rien, je vous assure... Je
-cette table.... Veuillez
+cette table... Veuillez
-aucune sraintë. (delà ne
+aucune crainte. Cela ne
-y prerihe garde. — Yous parlez,
+y prenne garde. — Vous parlez,
-Non, non.... ce n’est rien.... Aucun mal, aucun.... vraiment aucun, * Pendant
+Non, non... ce n’est rien... Aucun mal, aucun... vraiment aucun. » Pendant
-LE SECRET127 fait
+fait
-docteur entra, frayant
+docteur entra ; frayant
-M. Frankland, Nous
+M. Frankland. « Nous
-mistress Franldand, mais Bous allons voué donner tout lé temps
+mistress Frankland, mais nous allons vous donner tout le temps
-préparer â bien iormir, » dit M, Orridge. il s’ârrêta là-dessus,
+préparer à bien dormir, » dit M. Orridge. Il s’arrêta là-dessus,
-que $teint de Rosâmond était
+que le teint de Rosamond était
-que vouà ne
+que vous ne
-peu trop.... Si
+peu trop... Si
-permettez dé hasarder
+permettez de hasarder
-monsieur Frankland. je
+monsieur Frankland, je
-et miéux nous
+et mieux nous
-? * Mistress
+? » Mistress
-était assise, lë dos toùriié à
+était assise ; le dos tourné à
-lumière, âu moment
+lumière, au moment
-M. Frânkland un
+M. Frankland un
-ce hârdi coup
+ce hardi coup
-personne. c Je
+personne. « Je
-garde né se
+garde ne se
-convenir, x dit
+convenir, » dit
-le coude son
+le cou de son
-arrivé, në put
+arrivé, ne put
-à là troubler beaucoup; il
+à la troubler beaucoup ; il
-effectivement, toutës les
+effectivement, toutes les
-la huit, la
+la nuit, la
-erraient » , ^ * du
+erraient du
-causaient ehsemble. En
+causaient ensemble. En
-personne dû monde
+personne du monde
-impertinente curiosité; pourtant,
+impertinente curiosité ; pourtant,
-scrupules. Lë docteur
+scrupules. Le docteur
-de recoprir à
+de recourir à
-écouté. c Et
+écouté. « Et
-128 LS SECRET. Jazeph,
+Jazeph,
-absolument nécessaire, t L’insinuation était transparente; M.
+absolument nécessaire. » L’insinuation était transparente ; M.
-ne fallait, pas
+ne fallait pas
-d’effet, alora même
+d’effet, alors même
-du ôa&y, qui
+du baby, qui
-sans brait M.
+sans bruit M.
-mistress Jazeph, Si
+mistress Jazeph. « Si
-viendront. * Mistress
+viendront. » Mistress
-de là mère
+de la mère
-de l’enfant: c Ce
+de l’enfant : « Ce
-reconduisant M, Frankland
+reconduisant M. Frankland
-de l’escalier.... Il
+de l’escalier... Il
-battit
+battit en
-LE SECRET. 129 tn retraite,
+retraite,
-d’un s’anglot, bas
+d’un sanglot, bas
-lit. € Qu’y a-t-il? s’écria-t-elle.
+lit. « Qu’y a-t-il ? s’écria-t-elle.
-que j’allais, succomber
+que j’allais succomber
-voici installée; et,
+voici installée ; et,
-involontaire. * La
+involontaire. » La
-: a: L’excuser ? s’écria-t-elle.... J’espère
+: « L’excuser ? s’écria-t-elle... J’espère
-pourra prescrire.... Oh! ne
+pourra prescrire... Oh ! ne
-d’être guérie.... et,
+d’être guérie... et,
-de m’instaUer.définitivement pour la nuit.... Pour
+de m’installer définitivement pour la nuit... Pour
-vous êtes.... Je
+vous êtes... Je
-Loin dé rendre
+Loin de rendre
-lui adressai^, sur
+lui adressant, sur
-jeunes mariés Après
+jeunes mariés. « Après
-l’émotion LE SECRKT. ®
+l’émotion
-130 LE SECRET. singulière
+singulière
-avec ^indifférence de
+avec l’indifférence de
-attitude, peutêtre, quand
+attitude, peut-être, quand
-vous parliez.... J’aurais
+vous parliez... J’aurais
-fâcheuses. ? —Ma curiosité
+fâcheuses. — Ma curiosité
-braver de;bien autres inconvénients.... et
+braver de bien autres inconvénients... et
-voir * les
+voir les
-merveilles j du monde.... En
+merveilles du monde... En
-nous établis: sions pas
+nous établissions pas
-que : nous
+que nous
-longtemps. * \ A cette
+longtemps. » À cette
-brusquement f et
+brusquement et
-elle -passa quelques
+elle passa quelques
-la nuit; mais
+la nuit ; mais
-aussi l soudainement
+aussi soudainement
-perpétuel \ remuement,
+perpétuel remuement,
-la mettre.mal à l?aise, surtout
+la mettre mal à l’aise, surtout
-mistress Jàzeph se
+mistress Jazeph se
-avec une.persistance incroyable,
+avec une persistance incroyable,
-sujet ; Porthgenna1 Tower.-Les minutes
+sujet : Porthgenna-Tower. Les minutes
-là quelt ques fparoles-obscures, et le -malaise de Rosamond devenait; par
+là quelques paroles obscures, et le malaise de Rosamond devenait par
-sa conduite,était étrange,
+sa conduite était étrange,
-cela de,la manière
+cela de la manière
-relever qùelques?unes de
+relever quelques-unes de
-qu’elles appartinssent^-un monologue. , .c.Que disiez-vous dono? x demanda
+qu’elles appartinssent à un monologue. « Que disiez-vous donc ? » demanda
-adresser cettec question,
+adresser cette question,
-élevée qu&d^ordinaire, permettait
+élevée que d’ordinaire, permettait
-Jazeph se• tut
+Jazeph se tut
-la ^tête d’un
+la tête d’un
-LE ; SEGRET. W distrait,
+distrait,
-d’un <c- Jet içroyais., continua
+d’un sommeil profond. « Je croyais, continua
-me pârlië2 en<core de^noire antique manoir»;., il me
+me parliez encore de notre antique manoir... Il me
-dire ou, que
+dire ou que
-pas aller , \ou que vous-même iie voudriez
+pas aller, ou que vous-même ne voudriez
-mettre lë pieçl; ou je né’saîs qtioi dauts ce genre. ». • ^’" r *"v •; ’ ;[Mistress. Jazephrougit comme
+mettre le pied ; ou je ne sais quoi dans ce genre. » Mistress Jazeph rougit comme
-jeune fille 1 . ’•1 ’ jr;Je crois,
+jeune fille. « Je crois,
-vous userez trompée,^ dit^lle ; et dë .nouveau elle
+vous serez trompée, » dit-elle ; et de nouveau elle
-sur sôn fàuteiïil-cânapér fiîsis .Rosamond, qui maintenant 4a guettait
+sur son fauteuil-canapé. Mais Rosamond, qui maintenant la guettait
-manœuvrant cë -meuble compliqué,
+manœuvrant ce meuble compliqué,
-le préparait’ nullement à(l-ûsage : qu r etle semblait.enfdevoir;faire. Que signifiait-ceci? Que
+le préparait nullement à l’usage qu’elle semblait en devoir faire. Que signifiait ceci ? Que
-dire : toute
+dire toute
-depuis une-demi-heure-? Comine mistréés Erankland s’adressait ces questions ,-un soupçon terrible, venant
+depuis une demi-heure ? Comme mistress Frankland s’adressait ces questions, un soupçon terrible venant
-passer ’ un froid de~ glace
+passer un froid de glace
-de sesichevê&x. Jamais
+de ses cheveux. Jamais
-idée .ne s’était Shcbre offerte à elle; mais , sous
+idée ne s’était encore offerte à elle ; mais, sous
-sensation subite , elle
+sensation subite, elle
-que là garde^n’avait plus
+que la garde n’avait plus
-exercice de;$esiacultésT mentales/ ^ ’ ± .* Par
+exercice de ses facultés mentales. Par
-: c Elle est folle’! $ s’expliquait à’ ; l’instant .même :tout ce
+: « Elle est folle ! » s’expliquait à l’instant même tout ce
-sa conduite-âvâit eu d’incôhéïént et d^équivoque. :
+sa conduite avait eu d’incohérent et d’équivoque :
-les rideatix du > lit
+les rideaux du lit
-la fots furtives ët plus quefamiliëres qu’elle
+la fois furtives et plus que familières qu’elle
-brossant les’éhëveux de ]histress jPrahklan T d;son silence ipar moments’ Obstiné; suivi de^bavardsépanchémëhts ;
+brossant les cheveux de mistress Frankland ; son silence par moments obstiné, suivi de bavards épanchements ;
-; - ses ; apd¥ié ses feintés ; ôcchpàfipns auxquelles
+; ses aparté ; ses feintes occupations auxquelles
-pas ;-href ^ l tdutes des éîretagës/ façons
+pas ; bref, toutes ces étranges façons
-incompréhensibles) s’éclàicissaiënt du mcM : ment {rikon: admettaitrqii?ellèn’avait plû^^ : Si
+incompréhensibles) s’éclaircissaient du moment où on admettait qu’elle n’avait plus sa tête à elle. Si
-qu’elle -pût être, Rosamohdconservatôuté kf ; présence d’esprit.wUh de ses bràs alla ; comme *^ar instinct, entourer^enfant endormi; ët * déjà- ëlïë avait
+qu’elle pût être, Rosamond conserva toute sa présence d’esprit. Un de ses bras alla, comme par instinct, entourer l’enfant endormi ; et déjà elle avait
-moitié soulève F autre’; pour-saisir le
+moitié soulevé l’autre pour saisir le
-de là sonnette
+de la sonnette
-pendait à’ la
+pendait à la
-tourner vers’ elle et la,regarder-en face. : • ’ H Une
+tourner vers elle et la regarder en face. Une
-eu ; que la ’fermeté de
+eu que la fermeté de
-à | son sexe v n’eût
+à son sexe, n’eût
-ce moment ; que 1 son ! effroi,
+ce moment, que son effroi,
-Rosamond eut. au
+Rosamond eut, au
-assez dé sang-froid
+assez de sang-froid
-les ; conséquent probables
+les conséquences probables
-mouvement irréfléchi;" Elle
+mouvement irréfléchi. Elle
-132 LE SECRET. rendit
+rendit
-compte quô mistress
+compte que mistress
-fermer ia porte
+fermer la porte
-dit pourquoi sa
+dit pourquoi, sa
-lui permît de
+lui permit de
-de • chambre.
+de chambre.
-l’esprit. . Elle
+l’esprit. Elle
-ambassade auprès: de
+ambassade auprès de
-fut <ïe se jeter, sur
+fut de se jeter sur
-Rosamond, entr’ouvrant les
+Rosamond, entrouvrant les
-garde arrêtée.à mi-chemin,
+garde arrêtée à mi-chemin,
-Rien d’égaré ou
+Rien d’égaré, ou
-sa physionomie L’agitation
+sa physionomie. L’agitation
-la peur; elle
+la peur ; elle
-du désespoir; ainsi
+du désespoir ; ainsi
-vive ; Endormie?... Pas
+vive : « Endormie ?... Pas
-si tôt? $ Rosamond
+si tôt ? » Rosamond
-le yif battement
+le vif battement
-s’assurer qu?il n’y
+s’assurer qu’il n’y
-à parler-
+à parler,
-LE SECRET. 133 hésitasse pencha
+hésita, se pencha
-de Rosamond,. .murmura ces
+de Rosamond, murmura ces
-: <r Quand
+: « Quand
-brisèrent 1;out à
+brisèrent tout à
-liens dé la
+liens de la
-violemment. t < * • <r Oh I de grâce, silence! ... $ cria
+violemment. « Oh ! de grâce, silence !... » cria
-Jazeph, tombait à
+Jazeph, tombant à
-effrayé. * •• Rosamond
+effrayé. Rosamond
-sur l’esca lier des
+sur l’escalier des
-heures : personne
+heures ; personne
-se releva , reculant loin, du
+se releva, reculant loin du
-ses côtés./Lesteintes blêmes
+ses côtés. Les teintes blêmes
-venait v i * • i l’hôtesse. v :: > ,: ^ «
+venait l’hôtesse. «
-moindre délai..,..’ Vous, co.ntinua-t-élle, faisant signe,à la femme^de .chambre, restez
+moindre délai... Vous, continua-t-elle, faisant signe à la femme de chambre, restez
-auprès ;de moi,
+auprès de moi,
-que vôtre maître soit arrivé!.,. Je viens d’ayoir une peur affreuse*..• Pas
+que votre maître soit arrivé !... Je viens d’avoir une peur affreuse... Pas
-point l » ; La
+point ! » La
-étonnement pro« fond ; puis’elle lança
+étonnement profond ; puis elle lança
-M. Franklands’était un
+M. Frankland, s’était un
-tout entier, De
+tout entier. De
-angoisse d’attente, qui
+angoisse d’attente qui
-disait rien* Elle-même
+disait rien. Elle-même restait muette,
-ïm LE SÉCRËT, têtâii : absorbée-’ sW côîtemplàtiotf f né prënân* garde èi quoi
+absorbée dans sa contemplation, ne prenant garde à quoi
-ne tressaillit,^ éllé ië’Bôu^ea pà^, âtL^ttmenîT où fentïà 1? hôtesse, amenant
+ne tressaillit, elle ne bougea pas, au moment où rentra l’hôtesse, amenant
-Rosamond. ,: , i • * * •• ’i liéùnf 11 dit
+Rosamond. « Lenny ! dit
-son m f àri par ïe bras, Lëhii/l^ . rfe vous 1 le dtemandëéii gr"âcè:.;, ne Mss ez pas cette féifitûfe ici’ cette
+son mari par le bras, Lenny !... je vous le demande en grâce... ne laissez pas cette femme ici cette
-» ; " 1 1 : f , , . Averti par le- tremWém!ènt des main^ tlèJ sà femme, M.Franklaftdproittënà l’égèrëm^ht sés doigts Sur âës 1 teiiapes k èt^ur : son cœuri j ...... . ï©rântf Dieu’ 1 RosamoMt... ^est-iï^aïmélaissé calme ët dans ’ ùn bien-être- coinplét..., piïis’ ïna&té— J’ai été effrayée.... horriblement,effrayée^ éhér ami 1 ,’ par laiiouvélle gardé.... Nelâr rudoyez pas 1 , au ïù’oîns’!... Lapàufïtë ôr^^ren’est pas
+» Averti par le tremblement des mains de sa femme, M. Frankland promena légèrement ses doigts sur ses tempes et sur son cœur. « Grand Dieu ! Rosamond !... qu’est-il arrivé ?... Je vous laisse calme et dans un bien-être complet..., puis maintenant... — J’ai été effrayée... horriblement effrayée, cher ami, par la nouvelle garde... Ne la rudoyez pas, au moins !... La pauvre créature n’est pas
-son B’oii sënà.i.Vfèn àniè’pâriPadt^ fiient sûré.... Qtf ôti Fémmène sans
+son bon sens..., j’en suis parfaitement sûre... Qu’on l’emmène sans
-scandale !.-. QVôti’ la
+scandale !... Qu’on la
-est venue!..; Si éllé! rôste-ici, j^niôfarrâî die petit..;. Elle’ s’ést si étrângëméiit conduite.... Elle à proàêm dW t0èâ"piêôîès:. LenSy; Léniïy lUW lâchez ^Ms m?âirisl.r. Elle s’ést glîéséë vers- m’ôî; et’de quel àïrf... juâile S rtâmw^vcm elle s’e^^aèentoée MsvïbuAsv.^Aïïî queîléà p^Mes 1 !"’ 11 ^SMéW! Méttce f ma! chërfé; dit M. FraiiKIànâ V que la sérieus^ ^tàtibhJ dte Matnoiîd cbn^feriçait; r à1 înq[uMètl ffè rëp^étfez^ias cetepârolésmaïntènànl!!... Attendez quevousi soyez îffd^enïïeufiL pèu ckfinfe ^ voù^éff pirié’-ét Vciïà en ètipjliè,; attendez
+est venue !... Si elle reste ici, je mourrai de peur... Elle s’est si étrangement conduite... Elle a prononcé de telles paroles... Lenny, Lenny !... ne lâchez pas mes mains !... Elle s’est glissée vers moi, et de quel air !... juste à l’endroit où vous êtes... elle s’est agenouillée là... et, tout bas, tout bas... Ah ! quelles paroles !... — Silence ! silence ! ma chérie, dit M. Frankland, que la sérieuse agitation de Rosamond commençait à inquiéter. Ne répétez pas ces paroles maintenant !... Attendez que vous soyez redevenue un peu calme !... Je vous en prie et vous en supplie, attendez
-Tout ceguevous voudrez,
+Tout ce que vous voudrez,
-ferai, pouryu seùfèmexft que votis dëmetiïié^ couchée bien tranquillemeii% et Qu’avant dé proiïoticeï un
+ferai, pourvu seulement que vous demeuriez couchée bien tranquillement, et qu’avant de prononcer un
-de plus/vous éss’âyiez dë prèndfe sur votis. Il mè suffit parfaitement dë sa#6ir que, ùlap J cjî^é cbminënt : , ; - cette fëmnïë votis’ a effr&yéë, et
+de plus, vous essayiez de prendre sur vous. Il me suffit parfaitement de savoir que, n’importe comment, cette femme vous a effrayée, et
-vous Souhaitez là’Voir partir à’ici, : âans pltiâ\ dê1 ftgûetir’: Nous rémettrons à
+vous souhaitez la voir partir d’ici, sans plus de rigueur. Nous remettrons à
-toute âutrë’ èxplicà^îoK Je’ regrette Vïyenïëtttdë ifàvpi? pas tenu miéux à
+toute autre explication. Je regrette vivement de n’avoir pas tenu mieux à
-qui HèSS d’écrirèiLon®êàr! p6ui? avoir une’ garde ctmvëtiable. 0ïï êèîl&ihkmëëéê Àè~ (sinnarï : < :: ’ • 1! -L’ïïôtë^é Vint 1 se placët à éôfé ’dë H- Fi*ànklarid, * f Est-ÏFbien tard ? lui: dëmànda^îL : : ^Nbiy mônsiéùr.... A çeiîré dïr bMres. • :• Veuille^ commander
+qui était d’écrire à Londres pour avoir une garde convenable. Où est la maîtresse de céans ? » L’hôtesse vint se placer à côté de M. Frankland. « Est-il bien tard ? lui demanda-t-il. — Non, monsieur... À peine dix heures. — Veuillez commander
-qu’on àmènerà lé plus H&tpossible à votre port^^ Où’ est là garde?
+qu’on amènera le plus tôt possible à votre porte. Où est la garde ?
-LE SECRET. 135 t —
+—
-derrière vous ., tout contré le mur, a répondit la. femme
+derrière vous, tout contre le mur, » répondit la femme
-charge. Gomme Léonard
+charge. Comme Léonard
-tournait dfr ce côté î <r Soyez dbux poutf êller Lerihyl r lui dit Rosaihond, La
+tournait de ce côté : « Soyez doux pour elle, Lenny ! » lui dit Rosamond. La
-mistress JàzëpÉ âvetf une méprisante- curiosité, vit’ sa phySiohomïé, au momëhtf où
+mistress Jazeph avec une méprisante curiosité, vit sa physionomie, au moment où
-D’abondantes larmes-montèrent aux
+D’abondantes larmes montèrent aux
-la ihàlheurëhsë bïéature et
+la malheureuse créature et
-mortuaire étehdué, commet un môsque dë pierre, sur son- pâl’e visage; fut
+mortuaire étendue, comme un masque de pierre, sur son pâle visage, fut
-un clin’ d’oeil. Eïlë recula
+un clin d’œil. Elle recula
-alla s’adôësër à la muraille , comme
+alla s’adosser à la muraille, comme
-auparavant. <r Soyez
+auparavant. « Soyez
-de chambré l’entendait
+de chambre l’entendait
-rien comprendre.;.* «Soyez doux pour ellèK.. Qh! mon Dieul.-... cela
+rien comprendre... « Soyez doux pour elle !... Oh ! mon Dieu !... cela
-elle Fa- dit aveô bonté.... JOreb quelle
+elle l’a dit avec bonté... Avec quelle
-elle Fa dit!.... . —
+elle l’a dit !... —
-ni dë voïïs mortifier
+ni de vous mortifier
-M. Franfclahd, qui ne-distingué paé ces
+M. Frankland, qui ne distingua pas ces
-à demi-vbix.... Je
+à demi-voix... Je
-de cé qui est arrivé; partant,
+de ce qui est arrivé ; partant,
-vous accusé de rien. trouvé mistress
+vous accuse de rien. Je trouve mistress
-très-agitée, ét dans un.trouble extrême. Ce troublé, je
+très-agitée, et dans un trouble extrême. Ce trouble, je
-Au liéu de vous fairé entendre lés rëproches que
+Au lieu de vous faire entendre les reproches que
-j’aime niieux laisser
+j’aime mieux laisser
-sens dé juger
+sens de juger
-continuer encore.... Je
+continuer encore... Je
-immédiatement cheî votre maîtresse.... ét je
+immédiatement chez votre maîtresse... et je
-sans riëfr ajouter, .si cë n’est
+sans rien ajouter, si ce n’est
-circonstances particuliereé nous
+circonstances particulières nous
-vos services; — Yous venez dé me
+vos services. — Vous venez de me
-égards qhë j-àpprécîë, monsieur,
+égards que j’apprécie, monsieur,
-Jazeph dît ton lé plus posé; et
+Jazeph du ton le plus posé, et
-fois très-dotxcës ettrèsKBèïës.*. Je
+fois très-douces et très-fières... Je
-des ménâgëmefits dbht vous ; usez, ne
+des ménagements dont vous usez, en ne
-d’excuse. * Elle
+d’excuse. » Elle
-chambre, s’arrêta
+chambre, et s’arrêta
-Rosamond. De fois
+Rosamond. Deux fois
-lui faillit; à troisième
+lui faillit ; à un troisième
-à së rendre maîtresse d’elle-mêm <r Avant
+à se rendre maîtresse d’elle-même. « Avant
-aucun ressen-
+aucun ressentiment...
-’^JJ» .-ri*> 136 LE SECRET. s timent.... Je ne snis nullement
+Je ne suis nullement
-plainte. * Sur
+plainte. » Sur
-tel découragement^ il
+tel découragement, il
-fasciné. Pourquoi
+fasciné. « Pourquoi
-peur î demanda-t-elle,
+peur ? demanda-t-elle,
-demi. —Tous effrayer, moi?... Et
+demi. — Vous effrayer, moi ?... Et
-se pourrait-il?»..’ Hélas
+se pourrait-il ?... Hélas
-si, moi} je
+si, moi, je
-effraye ?» , Parlant
+effraye ? » Parlant
-mains amaigries; et
+mains amaigries ; et
-allant ver3 la
+allant vers la
-d’adieu. Dieu,
+d’adieu. « Dieu,
-bénédictions l puisse-rt-il vous
+bénédictions ! puisse-t-il vous
-votre filsl... Vous
+votre fils !... Vous
-aucun ressentiment.... Si
+aucun ressentiment... Si
-sans m’irriter..., ni
+sans m’irriter... ni
-plaindre. * Un
+plaindre. » Un
-un recueillement» silencieux.
+un recueillement silencieux.
-s’éloigna d’elles, <ëg§>
+s’éloigna d’elles.
-,•V -y LE SECRET. 137 f<, i; * * v CHAPITRE V. Nr Un
+=== CHAPITRE V. — Un
-trois. i • p Le
+trois. === Le
-déjeuner. Gomme elle
+déjeuner. Comme elle
-fut . rencontré
+fut rencontré
-établissement. <r Je vous apportais , monsieur,, un
+établissement. « Je vous apportais, monsieur, un
-vrai, * répondit
+vrai, » répondit
-notre di,î gnité. M..Orridge se
+notre dignité. M. Orridge se
-simples \ égards? En
+simples égards ? En
-moment, il, était
+moment, il était
-Orridge senf tait vaciller
+Orridge sentait vaciller
-la richesse; jamais
+la richesse ; jamais
-toute •
+toute
-138 LE SECRET. * impartialité,
+impartialité,
-l’appartement <ïe M. FranklandV <r Qui est là? demanda
+l’appartement de M. Frankland. « Qui est là ? demanda
-s’ouvrir. \> —M. Orridge,
+s’ouvrir. — M. Orridge,
-dit ïë gàrçoh. —
+dit le garçon. —
-familière, oif pesait désir
+familière, où perçait le désir
-M. Frankïânfr était1 assis’ dans
+M. Frankland était assis dans
-fauteuil, e’nes : jaihbës crôiôéës Tune : sur rairtré/Mv Orridge
+fauteuil, et les jambes croisées l’une sur l’autre. M. Orridge
-un fânitéûil tSut pareil^ et dë #y installer
+un fauteuil tout pareil, et de s’y installer
-un s.ans^gêne : parfaitement âââlôguë à cëM; de ; U\ Frankland.
+un sans-gêne parfaitement analogue à celui de M. Frankland.
-ce d&râiër étalant fotirrées tos le^p^ches de
+ce dernier étaient fourrées dans les poches de
-robe de-chambre ; Mv Orridgéy qtii n’avait Aé pochés que dans les- pans,de son hàbity et’n’y jibuvâïtr a^Seihdre commodément ; mit les: pouces
+robe de chambre ; M. Orridge, qui n’avait de poches que dans les pans de son habit, et n’y pouvait atteindre commodément, mit les pouces
-les ëhtôuTnùres èe : son gilet ,; et
+les entournures de son gilet, et
-son thfôùï, c ôiitrë Fins’oîèiïtë aisance des-gens à coffre-fort. Il; oubliait
+son mieux, contre l’insolente aisance des gens à coffre-fort. Il oubliait
-portée d’un* esprit préoccupé pat lés • éouffrafocés de la, vanité bléssée !)> il
+portée d’un esprit préoccupé par les souffrances de la vanité blessée !), il
-M. Frankland j- privé dé la- vue,
+M. Frankland, privé de la vue,
-douter ài de
+douter ni de
-ces : manbeu^sié^r ni dé Fin dépendance morale quelles attestaient.
+ces manœuvres ni de l’indépendance morale qu’elles attestaient.
-aux y eux , de M. OrïMge, et «ela lui suffisait. c Je suis chariaéi docïeur, que Vô1is soyez
+aux yeux de M. Orridge, et cela lui suffisait. « Je suis charmé, docteur, que vous soyez
-de foift pëu «gréablé..;. J’ai 1 été
+de fort peu agréable... J’ai été
-la minute * — Ah! vraimeiït? dit
+la minute. — Ah ! vraiment ? dit
-M. FrânMSûdi pâr ùit semblant défensif dé complète indifférence.. .v II a failli la rëiivôyerAh ah!... Si j’avais éu ie temps de vbus envoyer
+M. Frankland par un semblant défensif de complète indifférence... Il a fallu la renvoyer ?... Ah ah !... — Si j’avais eu le temps de vous envoyer
-prendre vôtre âvrs, j’eusse
+prendre votre avis, j’eusse
-continua Léo-; Mais
+continua Léonard... Mais
-à hésiter..* Nohs avons
+à hésiter... Nous avons
-été alarrbésy à riïûp^ôviste, p 7 âr plusieurs
+été alarmés, à l’improviste, par plusieurs
-de sonnette , vetihs i té la chambre dé ma femme* Conduit auprès êmè\ jë l’âi ffdïïvéë daftè lâ plttsr grande agitation ét le
+de sonnette, venus de la chambre de ma femme. Conduit auprès d’elle, je l’ai trouvée dans la plus grande agitation et le
-grand ëfffoi.v; Elle më déclara" que la hauvéllé garde
+grand effroi... Elle me déclara que la nouvelle garde
-une hôrribîë pëûr,* ajciutânt que , selôn elle,
+une horrible peur, ajoutant que, selon elle,
-avait pe’Mû Fes£¥ity et më’ suppliant de F en débarrasser
+avait perdu l’esprit, et me suppliant de l’en débarrasser
-vite ét aiveè lé plus 1 dë dohcetir possible. Eh pareilles circon-* sÈarièes, j qiiô fàiïë? VçfuS pouvez me reproche* de
+vite et avec le plus de douceur possible. En pareilles circonstances, que faire ? Vous pouvez me reprocher de
-pas . , *
+pas conservé tous
-s?• I’ VÉ SECRET; 1*39 eoriseVvé 1 les
+les
-en pïèiiàtit la cliqué sbtîs^Ma sëûiy rëspbnéaBilité ; maïs’ iiiîstress Frankland; étaî^ dàns’ ûn troubles! grànd qûe j^ n’aurâié paé’ osé’ garantir fes Gon^équëncés, olid’iin refus
+en prenant la chose sous ma seule responsabilité ; mais mistress Frankland était dans un trouble si grand que je n’aurais pas osé garantir les conséquences, ou d’un refus
-ou ïnêMe d v un sinigfô dêl࣠Gr;ûiïéMk’l’afl^ sbuffrîr qtie l’on sé përmît dè Votis dérâîigër en Vous ihafiddant , ici.;.. "Né dois L je gâs 1 ëéperer, dôétëût,-^éTOUs à’ccëpfërez cës explicitions- aussi franchement qii*elîés : voiïs ; sont offerte^... i M.
+ou même d’un simple délai... Or, une fois l’affaire réglée, elle n’a jamais voulu souffrir que l’on se permît de vous déranger en vous mandant ici... Ne dois-je pas espérer, docteur, que vous accepterez ces explications aussi franchement qu’elles vous sont offertes ?... » M.
-quelque peu^ confus.^ £ë: solfdë sôubaâsei^enl 1 djé: Sà Virile mdëpëhdàùrâ^ par dëgréâ’ èt allait màn’qu’ér ëôus lui. Ilr a^rïfâit à peirsér (p’èhseï est béàtlcattp^âi^ë, mais
+quelque peu confus. Le solide soubassement de sa virile indépendance s’ameublissait par degrés et allait manquer sous lui. Il arrivait à penser (penser est beaucoup dire, mais
-à ^eu pïèà cela), cfue les dliasses i fes plWI fïéîlès soiïtcelies où on trouve- lés meilleures’ ïaçoûs; d^âglr ét de diie. S’es pbiites, glissant mkchiùalemeit dëW ëntournû^ : dë^soir giiét’, se
+à peu près cela), que les classes les plus riches sont celles où on trouve les meilleures façons d’agir et de dire. Ses pouces, glissant machinalement des entournures de son gilet, se
-position 1 bàbxMelïe, èt, vivant dë s’éir êïré bien
+position habituelle, et, avant de s’en être bien
-compte, il’’éifétœit, én Voié : dàâs f lès àiiéaridres? ïës plus éïfaB/duï^lés , des- ’civiles l l és^ôlii’s réS^ëctiïeTî’séS;: ’’* 1 ;VôiiffMsivët i^réMei^^ r^rt^Mj:Frà&kj^ savoiifce qtre îà’nouvèîïé’a pfr^frë : ôti Ïàiïè ftêf sï^effiàyant aûi yeux
+compte, il cherchait, en bégayant, sa voie dans les méandres les plus embrouillés des civilités les plus respectueuses. « Vous désirez naturellement, reprit M. Frankland, savoir ce que la nouvelle garde a pu dire ou faire de si effrayant aux yeux
-ma femme; mais
+ma femme ; mais
-dans àtfcun d’ëtaiïV" Msffifesâ frankfeWd était liiëf ati sôxr da’ns un tel 1i • • état d’excitation: nér reusé’ qùë f ai’redouté dër lui demander* la moindréf explication: J’ai
+dans aucun détail. Mistress Frankland était hier au soir dans un tel état d’excitation nerveuse que j’ai redouté de lui demander la moindre explication. J’ai
-toute en quête à ce mâtin, et ééci précisément
+toute enquête à ce matin, et ceci précisément
-que vôuâ 1 fussiez àMVé pour m’accompagner là-hâut.• Vëuliprié’tânt de sùuci pôur nous procurer dette déplorable ôi&atturè, que
+que vous fussiez arrivé pour m’accompagner là-haut. Vous aviez pris tant de souci pour nous procurer cette déplorable créature, que
-avez biëtf lë dïoit, mainténant (fû’éïïé1 âj été fëô^dyé^ 7 de connaître" t’ôùt: cè qu’on péftt; al&î guër contré’ elle. A tout prendre, mistress’ Franïl^nd ri’eàt pas cè matin aussi màï ^ue jé pouvais Te craindre^ Éllèr sait
+avez bien le droit, maintenant qu’elle a été renvoyée, de connaître tout ce qu’on peut alléguer contre elle. À tout prendre, mistress Frankland n’est pas ce matin aussi mal que je pouvais le craindre. Elle sait
-vous âete£ fnonrâr avec nioî, et si vôua yôÏÏêz f&ë dônner le bras....* ; : i&. Orridge àëééêM ^s •jaicffiéS; ïèVa : ffîï S la Mtë* èt alla môme, d^înstiâctV fiiSqtfà là; téïëtéiicV là £ïùs- àccùsée. N’àllëi pas imagitiéîr qui’éû’ agissant âiïïàllë dlôètéur coiiùproffiît son indepeÏÏflafeôëy ét qu’il eût trô^) âi’séîàent* dônné sa complète apprôbation àuï probédés dë là ricÏÏés^e. Noh: tôut en saluant ; d’uâ sàlut machlùàl M. Frânklatïd , ôïlbl’ietfs des circon^ V stances qui
+vous devez monter avec moi, et si vous voulez me donner le bras... » M. Orridge décroisa ses jambes, se leva fort à la hâte, et alla même, d’instinct, jusqu’à la révérence la plus accusée. N’allez pas imaginer qu’en agissant ainsi le docteur compromît son indépendance, et qu’il eût trop aisément donné sa complète approbation aux procédés de la richesse. Non : tout en saluant d’un salut machinal M. Frankland, oublieux des circonstances qui
-cet hommàgè routxûiërT ^ il pënsait tout simplement, âbstractfôif piire dô toiït calf ciil, i finÉtièricë du sàûg, à Teépècë dë ptilitessè innée qu ; ëx^ ’ pliquë ûîië noblë origine,
+cet hommage routinier, il pensait tout simplement, abstraction pure de tout calcul, à l’influence du sang, à l’espèce de politesse innée qu’explique une noble origine,
-140 LE SECRET. h sait, donner
+sait donner
-telle où,telle parole,
+telle ou telle parole,
-commune ,qui préserve
+commune qui préserve
-de laisser, prendre
+de laisser prendre
-infirmités il
+infirmités ; il
-compter, sqnt sujets
+compter, sont sujets
-changements regrèttables que les événements,de la
+changements regrettables que les événements de la
-encore tranquillisée • Elle
+encore tranquillisé. Elle
-aux questions/purement médicales qu’il, lui
+aux questions purement médicales qu’il lui
-d’elle-même, presque.immédiatement, amena
+d’elle-même, presque immédiatement, amena
-compte de. mistress Jazeph. c Je
+compte de mistress Jazeph. « Je
-poltronnerie que, j’ai montrées. 11 est déjà bien^ffreux de
+poltronnerie que j’ai montrées. Il est déjà bien affreux de
-nous l’ayons fait,
+nous l’avons fait,
-femme .si malheureuse
+femme si malheureuse
-mal protêt gée; lui
+mal protégée ; lui
-arraché des, larmes si amères,... lui avoir, in^ fligé une
+arraché des larmes si amères... lui avoir infligé une
-ai trouvée; certainement
+ai trouvée ; certainement
-raison d’être*.. Rappelez-vous _aussi, combien
+raison d’être... Rappelez-vous aussi combien
-peu dé temps,
+peu de temps,
-rendue perplexe.... Je ne puis.la chan, ger. J’ai
+rendue perplexe... Je ne puis la changer. J’ai
-LE SECRET 14Ï de détraqué:dans l’intelligence
+de détraqué dans l’intelligence
-m’être utile , je
+m’être utile, je
-puis zp’empêcher de
+puis m’empêcher de
-mes soupçons..,, je
+mes soupçons... je
-puis pénser qu’avec
+puis penser qu’avec
-suis causé..;. Voyons,
+suis cause... Voyons,
-Jazeph, n’avez vous rien
+Jazeph, n’avez-vous rien
-bon sens? —
+bon sens ? —
-mistress Frankland... , et
+mistress Frankland..., et
-ici. Tous ne
+ici. Vous ne
-hors d’elle-même; mais
+hors d’elle-même ; mais
-serais trompée?;., s’écria
+serais trompée ?... s’écria
-tour k tour,
+tour à tour,
-son iiiàri; promenait
+son mari, promenait
-et chagrin.... Lehriy! Lenny! si
+et chagrin... Lenny ! Lenny ! si
-je né me
+je ne me
-chère amtie, ce
+chère amie, ce
-? J> insinua
+? » insinua
-hésita ; «Certaines choses,
+hésita : « Certaines choses,
-pensée de-très-grandes proportions,
+pensée de très-grandes proportions,
-peu importantes.... Je
+peu importantes... Je
-prendre pem\... Et,
+prendre peur... Et,
-pauvre gardé. -— Dites
+pauvre garde. — Dites
-Frankland. : —
+Frankland. —
-M. Orridge , que
+M. Orridge, que
-mistress Jazeph, Je
+mistress Jazeph. Je
-pas èu le
+pas eu le
-que lés miennes.
+que les miennes.
-et simple1 ment tout
+et simplement tout
-moment où*, fermant
+moment où, fermant
-TTV. ; * lII I ^f^ 1 142 LJK SECRET. ^Pourquoi YÇ^S arrêter •. ’• Je me fpip to^n^Qiue^itrp^Iée^iÉpiy^ rien
+« Pourquoi vous arrêter ? demanda M. Frankland. — Je me sens toute nerveuse et troublée, Lenny, rien
-pensant i; ceque venait
+pensant à ce que venait
-garde, àu moment même oùKso^i. . L;r- Qu’avàit^e dit?... Est-.ee quelque.choseiçpi-arons-coûte à.répeter.?’ . : . ,•:• ! .; -iij’ ;.. : Npn, toutou çQitfra}re,,...-n .ça© larde .de wonscraTûiif :redit, "et de
+garde, au moment même où je sonnai. — Qu’avait-elle dit ?... Est-ce quelque chose qui vous coûte à répéter ? — Non, tout au contraire... Il me tarde de vous l’avoir redit, et de
-cela signifiée..; Ainsi
+cela signifie... Ainsi
-je vpjis le eppt^is, Lenny, .nous avions ^parlé de .Porthgénnaï et du.projet que j’ai déplorer le(sJ^pparjt_eni.ents :dnaiord> ;aussit^î^Jnpfls y èfffl&g Mriy^-.-. iElle,m’abattrait beaucoup de questions}au sujet du yieuimanoir....;iEt je,dois,dire que J?in~ téi^qû^îb-J s^i^ïait prendre pieisei^ÎjlAitriiicpncévable cliëz Qne^è^Ôi^^^aii^e.a notre famille,...,.. ;; ,^î^h,- Qui,?..,. ,.; .,...; ;•7:0, — Lors’ donc
+je vous le contais, Lenny, nous avions parlé de Porthgenna, et du projet que j’ai d’explorer les appartements du nord, aussitôt que nous y serons arrivés... Elle m’avait fait beaucoup de questions au sujet du vieux manoir... Et je dois dire que l’intérêt qu’elle y semblait prendre me semblait inconcevable chez une personne étrangère à notre famille... — Ah, oui ?... — Lors donc
-auprès i&ïiittt,- «lie .s’agenouilla, ses^rçs ;touohant presque^mpnipreillej ^ .tout dîuncoupi à Yqix : t< Quand vous içe? 4 Pprthgennai me iditwflej n’^trez pas • dan$. ,là chambre aux Mortes; ! » : . ’/. "’M..•• ’ v! X .Eortlige^,. iine^ ch.amlîre: ainsi ;désignéetf*de’ manda^Uayec trçù&javiîte curiosité; p — 1 Je ne ,î’ai jamais entendu dire;, répondit Rosamond. ,^^tes TQjis^n p,ertaine-?f3> .demanda M. Orridge A son Jjïëgu’do^s ie 4ppt«li? ^yaife gapde à ;part: lui le-.seujpçon • qjjg ^s^^^^jdanii- fort .bien. pu .a’endonmr immé. dïatetnent après spn départ, et q&e lje récit qtf elle faisait maintenant; pji tQut^ gjb$rit& était celui . des,impressions baissées en eUe par quelque cauchemarj. ; : •.:.; ,je jamais^ eritendu inentiqiiner iinè chaçîbre , de ce noçoréponditiRosamond. Je n’avais .que ,,ç}nq :jns. .lorsque je quittai fPoîthgenna, et jusqu’alors .qëjo^jtf’^it jamais frappé ^psa oreille» Dans les années;, qui sûmrent, .mon père me^pafk spuyent de
+auprès du lit, elle s’agenouilla, ses lèvres touchant presque mon oreille, et, tout d’un coup, à voix très-basse : « Quand vous irez à Porthgenna, me dit-elle, n’entrez pas dans la chambre aux Myrtes ! » M. Frankland tressaillit. « Y a-t-il à Porthgenna une chambre ainsi désignée ? demanda-t-il avec une avide curiosité. — Je ne l’ai jamais entendu dire, répondit Rosamond. — En êtes vous bien certaine ? » demanda M. Orridge à son tour. Jusqu’alors le docteur avait gardé à part lui le soupçon que mistress Frankland avait fort bien pu s’endormir immédiatement après son départ, et que le récit qu’elle faisait maintenant en toute sincérité, était celui des impressions laissées en elle par quelque cauchemar. « Je suis parfaitement sûre de n’avoir jamais entendu mentionner une chambre de ce nom, répondit Rosamond. Je n’avais que cinq ans lorsque je quittai Porthgenna, et jusqu’alors ce nom n’avait jamais frappé mon oreille. Dans les années qui suivirent, mon père me parla souvent de
-ancienne maispn; m4iSj jamais il n’en,désignait,, :j ? en suis .bien,certaine, aucun ^s ;apparïfments par^jin.n.Qm particuliers J’en; puis dir£;antânt cU v$çë père, Jgaprès qu’il eut,acheté le, doma’ine. Ne yous xappêle^-vous, pas,
+ancienne maison ; mais jamais il n’en désignait, j’en suis bien certaine, aucun des appartements par un nom particulier. J’en puis dire autant de votre père, Lenny, après qu’il eut acheté le domaine. Ne vous rappelez-vous pas,
-lettre ; du maître maçpp. çnyoyé^pour^ lettreoù il: se plaigû^^^ il sfétaifcaru, ne pour vant retrouver
+lettre du maître maçon envoyé pour examiner l’édifice, lettre où il se plaignait précisément de la difficulté où il s’était vu, ne pouvant retrouver
-chaque \porte, faute/d’étiquettes;es / i
+chaque porte, faute d’étiquettes et
-LE SECRET. aussi iaute de .rpuseignemen|s:? .car personne
+aussi faute de renseignements ? car personne
-en étai de
+en état de
-aurait .eu besoin.... • • ,^ w ~ J+ s kl* 1 , ».• » . .. .li. Comment ^paç aura^-je entendu
+aurait eu besoin,... Comment donc aurais-je entendu
-aux Myrtes? Qui
+aux Myrtes ? Qui
-ce nom?... * v M.
+ce nom ?... » M.
-si certaip que mistre§s Eranjdaxidcfût la
+si certain que mistress Frankland fût la
-mauvais rêve, :<r Depuis
+mauvais rêve. « Depuis
-ces p^ots ouM^S prononces, continua.Rosamand à l’oreillede son iuari, jejnep§pse;pius.à autre chpAe^.. Ils ne me: sortent,pas,de l’esprit,
+ces mots ont été prononcés, continua Rosamond à l’oreille de son mari, je ne pense plus à autre chose... Ils ne me sortent pas de l’esprit,
-que jei§sge,ppur les chasser..^ Posez la main, sur mpn, cœur, Lenny.... -vous -le sentirez battre * # ^ , ___ » 1 y-II•. I J mm. ’’V i--* ._ plus
+que je fasse pour les chasser... Posez la main sur mon cœur, Lenny..., vous le sentirez battre plus
-qu’à l’ordinale, rien ; que .pour vpus les :^vQir répétés.... N’est-ce
+qu’à l’ordinaire, rien que pour vous les avoir répétés... N’est-ce
-étranges ;et saisissants,?... Quel.sensleur donnez-vous, mon.ami ? : ’ 1 . r. .h . t </’ • ’ — • • " ’" —
+étranges et saisissants ?... Quel sens leur donnez-vous, mon ami ? —
-émanent ?.„ ypilà Ja^uestion la .plus essentielle .à vidern àit JErankland. —
+émanent ?... Voilà la question la plus essentielle à vider, dit M. Frankland. —
-venir me>dire* à moi, ces: paroles? ^oilâiCë que
+venir me dire, à moi, ces paroles ? Voilà ce que
-voudrais savoir.... vpilà:^,qu?il.£aut que je sâchfe ;
+voudrais savoir... voilà ce qu’il faut que je sache ;
-retrouverai çertaineiïigntpas,ma tranquillité
+retrouverai certainement pas ma tranquillité
-mistress (Frankland, calmez-vous LditM.Orridge. Pour l!amour :de votre
+mistress Frankland, calmez-vous ! dit M. Orridge. Pour l’amour de votre
-et d’enyisager sans
+et d’envisager sans
-peuvent jeter.quelque lumière
+peuvent jeter quelque lumière
-étrange ,_et.sa conduite .plus étrange
+étrange et sa conduite plus étrange
-ne les, épargnerai pas, Je vais, aujourd’hui
+ne les épargnerai pas. Je vais aujourd’hui
-enfant .malade:; soyez
+enfant malade ; soyez
-que je^m’iy prendrai 4emanière, à provoquer lés explications àe mistress ^Ja.zeph, Sa maîtresse saura,tout ce^que vous
+que je m’y prendrai de manière à provoquer les explications de mistress Jazeph. Sa maîtresse saura tout ce que vous
-de me;dice, à
+de me dire, à
-vous le-garantir, . elle est Justement de; ces femmes ;franches et
+vous le garantir, elle est justement de ces femmes franches et
-tout éclairoir^ ià^ne .rien .tolérer d’équivoque.
+tout éclaircir, à ne rien tolérer d’équivoque.
-sur-le-champ. * Lès yeux fatigués dgiRosamond reprirent; leur jéclatà cette
+sur-le-champ. » Les yeux fatigués de Rosamond reprirent leur éclat à cette
-docteur. .* Le. baby} va rbien, moi aussi; -nous-ne .vous iretiendrons^pas, une minute, dit-relle. p£ plus, .monsieur Orridge,
+docteur. « Le baby va bien, moi aussi ; nous ne vous retiendrons pas une minute, dit-elle. De plus, monsieur Orridge,
-conciliant gue possible
+conciliant que possible
-que tje n’aurais
+que je n’aurais
-tenir compte, de rien.... Dites-lui
+tenir compte de rien... Dites-lui
-j’ai fait.... Dites-lui
+j’ai fait... Dites-lui
-I Ikk LE SECRET, raison,
+raison,
-tant d’excuses? interrompit
+tant d’excuses ? interrompit
-sa maîtresse et
+sa maîtresse, et
-nos excuses, —Partez !...
+nos excuses. — Partez !...
-causeries 1... Je vo us en
+causeries !... Je vous en
-partez vite! s’écria
+partez vite ! s’écria
-mari. —Ne craignez rien.... il
+mari. — Ne craignez rien... il
-sa mission , vous
+sa mission, vous
-prit congé, Lorsque
+prit congé. « Lorsque
-aux Myrtes! répéta
+aux Myrtes ! répéta
-pensif. Yoilà, Rosamond,
+pensif. Voilà, Rosamond,
-peut-elle être? Nous
+peut-elle être ? Nous
-avertissement, Lenny?... cet
+avertissement, Lenny ?... cet
-mystérieusement donné , non
+mystérieusement donné, non
-Oh l si
+Oh ! si
-docteur l... —N’allez pas,
+docteur !... — N’allez pas,
-sera éclairci.... Cette
+sera éclairci... Cette
-toute explioation à
+toute explication à
-mon Lenny.... Je
+mon Lenny... Je
-l’interroger moimême. —
+l’interroger moi-même. —
-à redouter , après
+à redouter, après
-par nous* mêmes. * —
+par nous-mêmes. —
-LE SECRET. Ikb —
+—
-s’animait de. sa
+s’animait de sa
-qui s’ensuivra?... Ne
+qui s’ensuivra ?... Ne
-pas femme?... Ne
+pas femme ?... Ne
-aux Myrtes?... Àh! Lenny* Lenny,
+aux Myrtes ?... Ah ! Lenny, Lenny,
-découverte ?,.. Eh 1 mon bien chéri,
+découverte ?... Eh bien ! mon chéri,
-de soi.... j’y
+de soi... j’y
-minute même* » ’ s t CHAPITRE VI. Autre surprise. ; , , t > Si grand’ hâte qu’il
+minute même. » === CHAPITRE VI. — Autre surprise. === Si grand’hâte qu’il
-M. Orridgè de partir dams son
+M. Orridge de partir dans son
-faire. II? pressa
+faire. Il pressa
-mistress Norbury.,Le valet
+mistress Norbury. Le valet
-accueillit lë docteur par-un sourire: où
+accueillit le docteur par un sourire où
-narquoise. , c Eh
+narquoise. « Eh
-le vestibule.... vous
+le vestibule... vous
-de charge? —
+de charge ? —
-; maïs nous
+; mais nous
-repartie. LE SECRET 10
+repartie. — Repartie ?... Qu’entendez-vous
-146 ;LË-SBGRËT. ^Rëparti®?^^: Qa’éhtôflaez^vôùs par . : ^Qû’ellb Vôn ëst Wéë , nlBtisiëîif >, êt pàâ â^tre 6hS§et Elle
+par là ?... — Qu’elle s’en est allée, monsieur, et pas autre chose. Elle
-là s*l>lacey et cHert&ê Mîntenânt fdttuhê ôS elle -Le^Valét ^ totit en fëpôld^ll r ainâi’v«ôtif luit ifle- :plUS• ’belle ;
+là sa place, et cherche maintenant fortune où elle peut. » Le valet, tout en répondant ainsi, souriait de plus belle ;
-qui, descendit m’ornent, âvàit entënâu r sôn ;! tiâmâradené ^pu-t s ; empêcher de -ssrffiî^^U’ssi^Bieii^idenîaiéritV:mis1ffesâ Ïa2ïe|hftfiïmaib p’as conquis
+qui, descendant l’escalier au même moment, avait entendu son camarade, ne put s’empêcher de sourire aussi. Bien évidemment, mistress Jazeph n’avait pas conquis
-livrée. . : t:{ S...... r i’ëbâhiBsèment dù il? était çhwtp eiaapôclSB M? GmE|e d’ajouter une ’Seulë pâàsblë, Le valet j qu’il ; ne /questionnait .plus, ouvrit la^ pdfte dfe^la^salle à ^an^erV’èt.le-doctetir-^Tentria, Mistress ^cstBury:, assise p^èâ - dé &; cfcoiséëv dàns- larigide - attitude dtt - devoiî - qui .s^com^lit y Surveillait td’ : tfn\oeil in* ^flexible’ i son> ; ;enfaht - malià^&ui |ïriseSi >avec-^une^tasse de WefHea’. •--’•/ , _ ’ ••/. î r levant quéi vous ouvri’ea *1®. bouché; je * sâisi déjà/tôiit ce
+livrée. L’ébahissement où il était plongé empêcha M. Orridge d’ajouter une seule parole. Le valet, qu’il ne questionnait plus, ouvrit la porte de la salle à manger, et le docteur y entra. Mistress Norbury, assise près de la croisée, dans la rigide attitude du devoir qui s’accomplit, surveillait d’un œil inflexible son enfant malade, aux prises avec une tasse de beef-tea. « Avant que vous ouvriez la bouche, je sais déjà tout ce
-allez direl s’écria
+allez dire ! s’écria
-aux paroles-sinèèïes^Màis, avant
+aux paroles sincères. Mais, avant
-d’autres sujetgrr L? enfant examinée,
+d’autres sujets ». L’enfant examinée,
-vue d’œil,. et
+vue d’œil, et
-bonne l’emnorta p^rua)lef fla faire
+bonne l’emporta pour aller la faire
-fut -reXonib^e^e^rïèSe’ elle,
+fut retombée derrière elle,
-pour ïa seconde
+pour la seconde
-il allâiV^tfêiMtfela parole, Il
+il allait prendre la parole. « Il
-dise ? !avant i;oht un e > chas èu Je, suds^, une .feipfrie ; éxrtihfemment ;équi: table’j.et Je n’ai nul sujet; de vone quereller
+dise avant tout une chose. Je suis une femme éminemment équitable, et je n’ai nul sujet de me quereller
-vous. : Vous :êtesi certàinëment cause que: trois. pérsônnes -m’oiit traitée , àve’G la plus : rare
+vous. Vous êtes certainement cause que trois personnes m’ont traitée avec la plus rare
-mais voîu& en êtes, la cause innocenteT:pafctàntyje ne vdfusiblâme ^oint. yS m v l.; ;-vi-fVraimentpjje nè saisl.. \xomïrïÊnça vMi: Grridgè;;u’) Je fie sais^ritablement pas,fle-rji’A i rj^’^.-.Uî ^ Ce ; que j e veux diréf/interroûipit mistress Norbury^..; Je ? vous •!-aurai’ bientôt : failli comprendre, N’est-ce pas’ à cause°de vous
+mais vous en êtes la cause innocente ; partant, je ne vous blâme point. — Vraiment, je ne sais... commença M. Orridge... Je ne sais véritablement pas, je vous assure... — Ce que je veux dire ? interrompit mistress Norbury... Je vous l’aurai bientôt fait comprendre. N’est-ce pas à cause de vous
-j’ai envoyé-ma dpmme, de-change soigner; mistress --Frankland?; s A Ui^-h)^ r-, / ~ï\ht t^ r, ~ Oui; madàmëi’réppndi| M; SàttèîÊg&vqm^ne.pouvait:Se reser à
+j’ai envoyé ma femme de charge soigner mistress Frankland ? — Oui, madame, répondit M. Orridge, qui ne pouvait se refuser à
-une v&ité.si palpable. ’ ,0; ^ î Eort bieav^nrsuivit; ^stress :avoir , .= • . • .r: : i i •• ’ v• --- ^f ± * +i r • iii’ ji’• t-i, t: <i’i • 4. Bouillon lit,." srùa 1 : ; ">v
+une vérité si palpable. — Fort bien, poursuivit mistress Norbury. Pour l’y avoir
-LE SECRET147 envoyée,
+envoyée,
-en btitte aux
+en butte aux
-Mistress Frankland^ par
+Mistress Frankland, par
-impertinent caprice , . prétend
+impertinent caprice, prétend
-de chargé lui
+de charge lui
-peur. M; Frankland,
+peur. M. Frankland,
-renvoie me, femme
+renvoie ma femme
-comme Un shilling
+comme un shilling
-mauvais àloi; É i enfin , ce
+mauvais aloi. Et enfin, ce
-pire dë tout,
+pire de tout,
-charge elle même, aussitôt
+charge elle-même, aussitôt
-face, m’in. suite à
+face, m’insulte à
-heures poui quitter ma maison^... Ne
+heures pour quitter ma maison... Ne
-pas encbre votre plai< doyerl... Je
+pas encore votre plaidoyer !... Je
-pouvez dire.... Je
+pouvez dire... Je
-que vom n’êtes
+que vous n’êtes
-ce renvois, je
+ce renvoi... je
-pas accusé* Tout
+pas accusé. Tout
-fait innocemmënt.... Je
+fait innocemment... Je
-pas, songez-y:... Quoi
+pas, songez-y... Quoi
-monsieur Orridgë, songez
+monsieur Orridge, songez
-monde àîhe défendrè, dit le docteur j car
+monde à me défendre, dit le docteur, car
-vous m’étonnëz * madame , au delà dè toute expression^ quand
+vous m’étonnez, madame, au delà de toute expression, quand
-— Incivile! s’écria mistressi Norbury.
+— Incivile ! s’écria mistress Norbury.
-parlez-vous d’incivilité? Ce
+parlez-vous d’incivilité ? Ce
-: fc’ëst impudence
+: c’est impudence
-faut dire...^ une
+faut dire... une
-dire dë charitable
+dire de charitable
-torts dfe mistress
+torts de mistress
-Mais lès domestiques i pàtfaît-il* se moquaiënt d’elle
+Mais les domestiques, paraît-il, se moquaient d’elle
-l’obscurité j oui,’ monsiëur* il paraît qùé^ s’ils
+l’obscurité ; oui, monsieur, il paraît que, s’ils
-sa chambré chëtchet une
+sa chambre chercher une
-ne m’é’tàis préoccupée dé ces niaiseries^ comme vou$ pouvez
+ne m’étais préoccupée de ces niaiseries, comme vous pouvez
-sont retenues, hier
+sont revenues, hier
-les •premières paroles
+les premières paroles
-dernière femmè dû monde
+dernière femme du monde
-crue apable de
+crue capable de
-conduire aihsi, répondit
+conduire ainsi, répondit
-dit inistress Norbury.
+dit mistress Norbury.
-fus étonnée; naturellement,
+fus étonnée ; naturellement,
-ce promet retour.
+ce prompt retour.
-" C T 1 -T-^-F^-l^V* +« M*’ * r" ’ V. 148 LE SECRET. + Rien
+Rien
-me disait; mais
+me disait ; mais
-à ajouter, c Ainsi
+à ajouter. « Ainsi
-qu’après m’Ôtre gênée
+qu’après m’être gênée
-regarde eu face
+regarde en face
-dire ceci? lui
+dire ceci ? lui
-regard , comme
+regard comme
-fait subir? —Je suis
+fait subir ? — Je suis
-— Ahl vraiment,
+— Ah ! vraiment,
-de penser? lui dis-je.... Eh bien 1 tout
+de penser ? lui dis-je... Eh bien ! tout
-et dé’ nuée de toute sensibilité.... * Ici,
+et dénuée de toute sensibilité... » Ici,
-Jazeph fît un
+Jazeph fit un
-vers moi.... je
+vers moi... je
-l’a fait.... et
+l’a fait... et
-employé ; c Mistress
+employé : « Mistress
-sensibilité. —Prétendez-vous me
+sensibilité. — Prétendez-vous me
-mistress Jazeph? lui
+mistress Jazeph ? lui
-mérite pas.... »
+mérite pas... »
-monsieur Orridge.... Sur
+monsieur Orridge... Sur
-mot. * La
+mot. » La
-la te.
+la
->. -I LE SECRET. 149 plus
+plus
-termes ; J’étais
+termes : « J’étais
-colère noire.... Je
+colère noire... Je
-le confeser, monsieur Orridge.... Mais
+le confesser, monsieur Orridge... Mais
-mieux. Mistress
+mieux. « Mistress
-lui dis-je,-voilà ùn langage
+lui dis-je, voilà un langage
-suis \ point
+suis point
-guère it me
+guère et me
-sans nutre détour,
+sans autre détour,
-de vaisselle.... J’aurais
+de vaisselle... J’aurais
-à ia vôtre.... * Ici
+à la vôtre... » Ici
-souffris pas,... c Non,
+souffris pas... « Non,
-chez moi.... Je
+chez moi... Je
-j’ai droit-.... »
+j’ai droit... »
-que j’obtins? «
+que j’obtins ? «
-sorte d’excuses pour
+sorte d’excuses, pour
-avoir offensée; mais,
+avoir offensée ; mais,
-aux convenances.—Est-ce bien
+aux convenances. — Est-ce bien
-mistress Jazeph? demandai-je.—C’est très-sincère,
+mistress Jazeph ? demandai-je. — C’est très-sincère,
-dis-je alors.... car
+dis-je alors... car
-faire sansvous gêner.—Je partirai
+faire sans vous gêner. — Je partirai
-madame, réponditelle , mais
+madame, répondit-elle, mais
-votre intendant* En
+votre intendant. En
-et t
+et
-ÎîhS *" " ’ ^ 150 Î.EI SECRET. toute yeconnaissincp pour
+toute reconnaissance pour
-pas gagnés.... »
+pas gagnés... »
-partie. Yoilà mot
+partie. Voilà mot
-perdu la.cervelle quand
+perdu la cervelle quand
-» . ’iK-.1 \ ’ • Après
+» Après
-à pGpser que
+à penser que
-compte dp la
+compte de la
-de fppdement qu’il ayait pu
+de fondement qu’il avait pu
-il , s’abstint
+il s’abstint
-tout ses
+tout haut ses
-de ctalmer son ressentirent contre
+de calmer son ressentiment contre
-Frankland, eri l’assurant-qu’il apportait
+Frankland, en l’assurant qu’il apportait
-offensée, cependant i n’accueillit
+offensée, cependant, n’accueillit
-et ayec un
+et avec un
-à f^it majestueux : f Je fie puis,
+à fait majestueux : « Je ne puis,
-sujet jm jnot de plus; je
+sujet un mot de plus ; je
-Si M, Frankland
+Si M. Frankland
-ici, èt si
+ici, et si
-de m’éppire/je consentirai
+de m’écrire, je consentirai
-En t,QUt autre
+En tout autre
-cette ${im,e. ^’ajoute? rjen, je vous prie , et
+cette dame. N’ajoutez rien, je vous prie, et
-je yous quitte: il
+je vous quitte : il
-comment vva la
+comment va la
-en bonne yoip. Rêveriez, je
+en si bonne voie. Revenez, je
-pas trop.... Bonjour, docteur I a .A moitié
+pas trop... Bonjour, docteur ! » À moitié
-du totf un
+du ton un
-prendre vis-àrvi^i.de lîîi, M.. Orridge
+prendre vis-à-vis de lui, M. Orridge
-seul d?tns la
+seul dans la
-à fajre. Il
+à faire. Il
-que mistreçs Frapkland à
+que mistress Frankland à
-pour rénetei
+pour répéter
-LE SECRET. 151 , vi r•’ ’ l ’ ^ ce
+ce
-lui ayait .dit mistress: Norbury,
+lui avait dit mistress Norbury,
-pouvoir compléter’son récit
+pouvoir compléter son récit
-femme dei charge,
+femme de charge,
-sortir 4e la maison quelle yeVait de quitter. Apr ès]quelques*méditations^ il y^soP ijit.de questionner
+sortir de la maison qu’elle venait de quitter. Après quelques méditations, il résolut de questionner
-pied, sou? prétexte de sayqir .si t son
+pied, sous prétexte de savoir si son
-Cet ayjarçt répondu au cpup j de
+Cet homme, ayant répondu au coup de
-la voiture, ;était prêt|Bet - M. Qyrjdge,, I en traversant je vjesi^uje^i ; lu4 péglfeemi^^ , s’iï [ savait
+la voiture était prête, et M. Orridge, en traversant le vestibule, lui demanda négligemment s’il savait
-quelle . de y . joa^inée - >mis_^ess jazeph avait
+quelle heure de la matinée mistress Jazeph avait
-maison. 1 .. y;0,x. <E Vers dix heures* monsieur, réponditle dqin^tiqup, quanfle voiturier est pa^sé ip.i, se r^îid^nt à
+maison. « Vers dix heures, monsieur, répondit le domestique, quand le voiturier est passé ici, se rendant à
-station poup le traii de onze heures.. ^ . fi. ’ ••I’ï J • ;• ’ .-1.1*--• 1 >_ t — Le yoitupiei:.,.. AhK.* il aura prig ses bagages? çUt M. Orridge. ...T * — Il r a. pardiep. ibieft prise
+station pour le train de onze heures. — Le voiturier... Ah !... il aura pris ses bagages ? dit M. Orridge. — Il l’a pardieu bien prise
-l’homme ayec une grimace railleuse.... Au, moins fois dans S^L yie, il luiaura fallu voyageren-p^rjLoi^. v» : En retournant à’ West-Winston^ le docteur up manqua pas 1 de
+l’homme avec une grimace railleuse... Au moins une fois dans sa vie, il lui aura fallu voyager en carriole. » En retournant à West-Winston, le docteur ne manqua pas de
-à la. station du* chemin
+à la station du chemin
-faire houneur ep. arrivant
+faire honneur en arrivant
-Tête d^e Justement,
+Tête de Tigre. Justement,
-n’attendait aucup tr^ii. Le ,chéf dô gar e ^sait son
+n’attendait aucun train. Le chef de gare lisait son
-et T employ é subalterne
+et l’employé subalterne
-talus dela yoie> <cLe train d^ppze heu^rqs du "majti|i mojate^Mlou descend-il,? demaiida^Bl. jQ]r^dge,.s^r^^t^ ^ homine. • ’^ — îrain descendantv r ï ; \ ; ;; ^ •;— A-t-ïl pris beaucoup £e înonde? ^, ;;}:--t^ L’employé
+talus de la voie. « Le train de onze heures du matin monte-t-il ou descend-il ? demanda M. Orridge, s’adressant à cet homme. — Train descendant. — A-t-il pris beaucoup de monde ? » L’employé
-les noms’àé qùeiques habitants dé WestWinston. N’y
+les noms de quelques habitants de West-Winston. « N’y
-voyageurs partant^ que
+voyageurs partant, que
-je croies qu’il ; y
+je crois qu’il y
-dame. —Est-ce le
+dame. — Est-ce le
-qui à délivré
+qui a délivré
-ce tr ain ?
+ce train ?
-Oui, monsieur, a M.
+Oui, monsieur. » M.
-station. c Vous
+station. « Vous
-voyageant seule? »
+voyageant seule ? »
-i52 LE SECRET. —
+—
-Me rappeler?... Attendez!... Je
+Me rappeler ?... Attendez !... Je
-en effet..., 3e sais
+en effet... Je sais
-dire. Une’dame qui
+dire. Une dame qui
-peu agitée.... elle
+peu agitée... elle
-cette station...; Elle
+cette station... Elle
-onze heures..,. C’est
+onze heures... C’est
-bureau. —C’est bien
+bureau. — C’est bien
-où a-t-éllé pris son billet? —Pour Exeter. — Yous disiez
+où a-t-elle pris son billet ? — Pour Exeter. — Vous disiez
-questionné. —Oui :
+questionné. — Oui :
-en Cornouailles..., Je
+en Cornouailles... Je
-gens duDevonshire, quand
+gens du Devonshire, quand
-serait envoie d’arriver.
+serait en voie d’arriver.
-bien timide , bien
+bien timide, bien
-voyager seule.... Est-ce
+voyager seule... Est-ce
-méfait, monsieur? —
+méfait, monsieur ? —
-monde, a dit
+monde, » dit
-en tilbury/ Lorsqu’il
+en tilbury. Lorsqu’il
-de Tigre} et
+de Tigre, et
-renseignement supplémentaire , qu’elle
+renseignement supplémentaire, qu’elle
-Cornouailles. i i
+Cornouailles.
-^ ’ti *>?t t i ;» : ;• \ i F 3, LIVRE IV. î I ^ Ï CHAPITRE PREMIER. if* * ] On
+== LIVRE IV. == === CHAPITRE PREMIER. — On
-le Secretî ’ ij Le
+le Secret. === Le
-vu mistress* Norl bury, la
+vu mistress Norbury, la
-à ^ Truro
+à Truro
-la \ porte
+la porte
-gentleman l et
+gentleman et
-bagages, enitrèrent dans
+bagages, entrèrent dans
-purent. Mis] tress Jazeph
+purent. Mistress Jazeph
-quelque soupçon; puis , se ravi sant, elle
+quelque soupçon ; puis, se ravisant, elle
-en terme assez
+en termes assez
-brave homme , si
+brave homme, si
-en * arrière
+en arrière
-la sui- ^ vait ou
+la suivait ou
-la pnettait* Elle
+la guettait. Elle
-pas, précipitant1
+pas, précipitamment,
-154 LE SECRET. ment, et
+et
-vente ; de bibliothèques , bureaux,
+vente de bibliothèques, bureaux,
-de l’entrée : 4BUSCHMÀNN, ÉBÉNISTE, etC-, / elle
+de rentrée : BUSCHMANN, ÉBÉNISTE, etc., elle
-coup d’oeil £urtif à Jr^vprç les
+coup d’œil furtif à travers les
-du magasin Un
+du magasin. Un
-d’un certaih âge, figuré àvenante et
+d’un certain âge, figure avenante et
-un mouveniènt régulier,
+un mouvement régulier,
-vit personne; autre d^tys. la
+vit personne autre dans la
-la l porte
+la porte
-entra. . A peine dans l’intérieur , elle
+entra. À peine dans l’intérieur, elle
-propre chant; mai&Ml’un air
+propre chant, mais d’un air
-boîte â musique.
+boîte à musique.
-clairettes èt vibrantes , partaient
+clairettes et vibrantes, partaient
-et l?air èxécuté par
+et l’air exécuté par
-le charmait Baiti, Batti,
+le charmant Batti, Batti,
-Mozart. c Monsieur Buschm^nn est-il chez lui? demanda mistress Jazeph, —
+Mozart. « Monsieur Buschmann est-il chez lui ? demanda mistress Jazeph. —
-montrant avejc un
+montrant avec un
-la porje qui
+la porte qui
-le -salon du
+le salon du
-Sa inusique répond
+Sa musique répond
-fois qtié joue
+fois que joue
-de M- Busshpaann, on
+de M. Buschmann, on
-que Bï. Bûsfchmann n’est pas loin..., Souhaitez-vous le voii? ? madame ? - ’ ; •—N’a-t-il personne avec lui? ; —Oh l non,
+que M. Buschmann n’est pas loin... Souhaitez-vous le voir, madame ? — N’a-t-il personne avec lui ? — Oh ! non,
-est seul.— Qui annoncerâi-je? » f Mistress Jazeph entrouvrit les lèvres pout répondre * puis j hésita et
+est seul... Qui annoncerai-je ? » Mistress Jazeph entr’ouvrit les lèvres pour répondre, puis hésita, et
-plus dé! licate qu’on
+plus délicate qu’on
-l’attendre €’un homme
+l’attendre d’un homme
-classe, L ne
+classe, ne
-la porté sans
+la porte sans
-Buschmann. •.. •^ ^ •-. 1 ’ : : ;--" Le
+Buschmann. Le
-boutiquier étaity en
+boutiquier était, en
-ses ’aménagements intérieurs
+ses aménagements intérieurs
-ses murailles.; il
+ses murailles ; il
-et sôus verre, un i magnifique poisson préparé; deux
+et sous verre, un magnifique poisson préparé ; deux
-d’écume démet’âp^ pendues ensemble au mur r en face; et une bellê table
+d’écume de mer appendues ensemble au mur, en face ; et une belle table
-beau miliéù du
+beau milieu du
-table, leç ustensiles
+table, les ustensiles
-du beurre^ 1 un
+du beurre, un
-de marmelade ; et
+de marmelade, et
-de formé ântiqii’e
+de forme antique
-LE SECRET. 155 et bizarre. A côté
+et bizarre. À côté
-porte Couvrant, comme
+porte s’ouvrant, comme
-jouer. <r Cette
+jouer. « Cette
-M. Buschmann!... ajouta-t-il
+M. Buschmann !... ajouta-t-il
-vous asseoir , madame? dit
+vous asseoir, madame ? dit
-cette musique.... elle
+cette musique... elle
-s’arrêter avant’peu. * Ces
+s’arrêter avant peu. » Ces
-accent étranger^ mais
+accent étranger, mais
-et curieux; elle
+et curieux ; elle
-parole. n Suis-je
+parole. « Suis-je
-changée, dit^elle enfin,
+changée, dit-elle enfin,
-oncle Joseph? —
+oncle Joseph ? —
-im Himmel!..* c’est sa voix!... la
+im Himmell... c’est sa voix !... la
-Sarah Leeson!.,. s s’écria
+Sarah Leeson !... » s’écria
-était pi petit
+était si petit
-accolade. Penser
+accolade. « Penser
-revient enfin!... disait-il,
+revient enfin !... disait-il,
-un fauteuil; après
+un fauteuil ; après
-tant données, penser
+tant d’années, penser
-Joseph !.., — Toujours Saràh, mais non
+Joseph !... — Toujours Sarah, mais, non
-Sarah Leeson * dit mis^tress Jazeph,
+Sarah Leeson, dit mistress Jazeph,
-parquet. Ah!.,, Mariée, donc? reprit gaiement M: Busbhmânn. Mariée, c r est clair.
+parquet. — Ah !... Mariée, donc ? reprit gaiement M. Buschmann. Mariée, c’est clair.
-est mort. mort
+est mort... mort
-pardonné I.., a Ces
+pardonné !... » Ces
-voix basse ^ et
+voix basse, et
-entendre. <r Ah! tanjt pis I... J’en
+entendre. « Ah ! tant pis !... J’en
-pour vous.... J’ai
+pour vous... J’ai
-mon enfant? dit
+mon enfant ? dit
-vieillard. N’importe!,.. Non,
+vieillard. N’importe !... Non,
-veux dire,... Je veux dire.... Parlons d’autre chose.... N’est-ce
+veux dire... Je veux dire... Parlons d’autre chose... N’est-ce
-*\ 4 i 156 LE SECRET. s que
+que
-de marmelade?.., une
+de marmelade ?... une
-la bouche..., Non?... Du thé, alors?... Oui,
+la bouche... Non ?... Du thé, alors ?... Oui,
-de thé.... Et
+de thé... Et
-rien de- fâcheux.,., au
+rien de fâcheux... au
-ce moment.... Vous
+ce moment... Vous
-pâlie, Sarah!... Vous
+pâlie, Sarah !... Vous
-votre âge.... Non,
+votre âge... Non,
-pas encorç là
+pas encore là
-voulais dire.... Je
+voulais dire... Je
-sans k vouloir.... C’est
+sans le vouloir... C’est
-votre fortune.... Voilà
+votre fortune... Voilà
-va toujours.... N’ayez xdonc pas
+va toujours... N’ayez donc pas
-abattu L.. Je
+abattu !... Je
-air !...*Tenez, écoutez
+air !... Tenez, écoutez
-la musique.... Vous
+la musique... Vous
-la boîte?... la
+la boîte ?... la
-l’oncle Max?... Mon Dieul quel
+l’oncle Max ?... Mon Dieu ! quel
-avez-vous donc?,.. Àvez-yous oublié
+avez-vous donc ?... Avez-vous oublié
-fait recommencer.... C’est
+fait recommencer... C’est
-appelle Battis Batti,
+appelle Batti, Batti,
-Ah I c’est
+Ah ! c’est
-beau 1... Votre
+beau !... Votre
-petit air-là.... Moi,
+petit air-là... Moi,
-et mès oreilles...* et
+et mes oreilles... et
-pas. a Tout
+pas. » Tout
-ses yeux; il
+ses yeux ; il
-essuyer. Ne
+essuyer. « Ne
-croire, \ oncle Joseph ; sans
+croire, oncle Joseph, sans
-me f souviens
+me souviens
-la boîte.*.. Je
+la boîte... Je
-vous in[ téressait jadis,
+vous intéressait jadis,
-que maintenant* La
+que maintenant. La
-m’avez j vue, ici,
+m’avez vue ici,
-pouvez in’accuser j de
+pouvez m’accuser de
-tant d’aiû nées; mais
+tant d’années ; mais
-triste, allez.... et
+triste, allez... et
-sur j les
+sur les
-» f A ces
+» À ces
-toucha r
+toucha l’
-r-< Wl’ 4m v j • \ i, ^, " LE SECRET. IS ? ^ /arrêt delà boîte à musique- c Mozart, ajouta-t-il gravement, » , Mozart
+arrêt de la boîte à musique. « Mozart, ajoutait-il gravement, Mozart
-certaines cho[ ses.— Prêtez
+certaines choses... Prêtez
-votre thé.... 5 vous
+votre thé... vous
-je disvTai ou non.... Quel
+je dis vrai ou non... Quel
-chagrin, il.y. a
+chagrin, il y a
-cela quatorze.... quinze.... non, davantage.... seize
+cela quatorze... quinze... non, davantage... seize
-ma foi!— dans
+ma foi !... dans
-même maison? Je
+même maison ? Je
-que ’ i je
+que je
-pourquoi cela , j’ai
+pourquoi cela, j’ai
-lui donner, a Il
+lui donner. » Il
-lui * rappeler,
+lui rappeler,
-bu. Trois
+bu. « Trois
-ma sœur.... sa
+ma sœur... sa
-son sang.... un
+son sang... un
-« Ah! fi... i Agathe
+« Ah ! fi... Agathe
-étrangère I »
+étrangère ! »
-! fil il
+! fi ! il
-recommencent ; «Agathe Buschmann
+recommencent : « Agathe Buschmann
-frère musicien..qui ’ ne
+frère musicien... qui ne
-sa soupe, a Fort
+sa soupe. » Fort
-rabâchage, moi; j’aime
+rabâchage, moi ; j’aime
-ma cui• sine, il
+ma cuisine, il
-troisième \ fois,
+troisième fois,
-: Fi! fi!... «
+: Fi ! fi !... «
-second i> frère,
+second frère,
-: Amen! Au.moins, pour
+: Amen ! Au moins, pour
-le monde!... Ne
+le monde !... Ne
-cerveau fêlé! a Et
+cerveau fêlé ! » Et
-cerveau t fêlé
+cerveau fêlé
-sculpter, ï polir
+sculpter, polir
-tirera i d’affaire.... »
+tirera d’affaire... »
-sont partis!... Père, mère, I oncle Max.... tous
+sont partis !... Père, mère, oncle Max... tous
-seul, ; f seul
+seul, seul
-savoir gré.... Aussi
+savoir gré... Aussi
-son l chagrin
+son chagrin
-de Sarah.... et
+de Sarah... et
-à musiaue.
+à musique.
-158 LE SEGRET. Sa
+Sa
-voulait parler; mais son doigtj lèvé sur fellè par
+voulait parler ; mais son doigt, levé sur elle par
-sa harangue; <r Non* lui dit-il...* j’ai
+sa harangue. « Non, lui dit-il... j’ai
-parler, moi..„ et
+parler, moi... et
-vous vez votre
+vous avez votre
-troisième raiàon? Ah!.M vous
+troisième raison ? Ah !... vous
-de moi..;. Avant
+de moi... Avant
-savez déjà,- ma
+savez déjà, ma
-mon tour.... quand
+mon tour... quand
-femme meurt* me
+femme meurt, me
-petit Joseph..;, et
+petit Joseph... et
-tombe malade^ qui
+tombe malade, qui
-à moi?.,, si douce^ si
+à moi ?... si douce, si
-si actives..;. Qui passé avec
+si actives »... Qui passe avec
-tient patiémmentf à son oreille,; cètte même boîte;,,, oui,
+tient patiemment, à son oreille, cette même boîte... oui,
-de Mozart?... Qui
+de Mozart ?... Qui
-plus près; à
+plus près, à
-s’émoussent dô plus en plus?;.* lorsqu’il
+s’émoussent de plus en plus ?... lorsqu’il
-cette mhsiqtiej son amie d’enfance^ qui
+cette musique, son amie d’enfance, qui
-son berceâu, et
+son berceau, et
-à grand’peihe? Qui s’agehouille auprès
+à grand’peine ? Qui s’agenouille auprès
-près d’é* dater?.Qui lui
+près d’éclater ?... Qui lui
-: a: Galmez-vous I chut I pas
+: « Calmez-vous ! chut ! pas
-vain désespoir.. n l’enfant
+vain désespoir... l’enfant
-plus Lu* Qui
+plus !... » Qui
-cela, dites?... Ah* Sarah,
+cela, dites ?... Ah ! Sarah,
-avoir perdii de
+avoir perdu de
-est amer ^ quand
+est amer, quand
-bonté porir lui
+bonté pour lui
-le trouver* »
+le trouver. »
-répondre ; elle
+répondre : elle
-Joseph, s’inclinànt, baisa
+Joseph, s’inclinant, baisa
-galanterie suranhée et
+galanterie surannée et
-la boîté à
+la boîte à
-habituel. <r Allons, dit-ilj promenant
+habituel. « Allons, dit-il, promenant
-bien en, rester
+bien en rester
-le moment; Boîte de .Moiarfy boîte
+le moment. Boîte de Mozart, boîte
-la parole, J Après
+la parole. » Après
-LE SEGRET. 159 chéri
+chéri
-à l’autre , à
+à l’autre, à
-Remarquant, alqrs, que sa,nièce semblait
+Remarquant, alors, que sa nièce semblait
-nouveau. t (r Yous avez
+nouveau. « Vous avez
-tranquillement. Yous venez . de
+tranquillement. Vous venez de
-votre niari? ; :— Je
+votre mari ? — Je
-jamais r en cont ré 1 .répondit-elle.... Je regrejtte de l’avoir épousé.... Maintenant
+jamais rencontré ! répondit-elle... Je regrette de l’avoir épousé... Maintenant
-je ne-puis dire
+je ne puis dire
-le regrette.... mais Je lui
+le regrette... mais je lui
-— Yous lui pardonnez?... Dé quel air dites^vous cela ? Racontez-moi*... • .• —, Oncle
+— Vous lui pardonnez ?... De quel air dites-vous cela ? Racontez-moi... — Oncle
-que jë lui ai pardopné.. , .•;, . , ./V — Yous lui ayez pardonng?... C’est
+que je lui ai pardonné. — Vous lui avez pardonné ?... C’est
-et méchant, pour vo,u^..;t Je.devinej je devine, allez.,.. Ceci,
+et méchant pour vous... Je devine, je devine, allez... Ceci,
-la fin.... mais le commencement?,.. Le commen. cernent; n’est-ce .pas*, .d’est que
+la fin... mais le commencement ?... Le commencement, n’est-ce pas, c’est que
-l’avez ? _ Les
+l’avez aimé ? » Les
-couvrirent ; d’une; rougeur ardgntë ; elle ^étoilrna la
+couvrirent d’une rougeur ardente ; elle détourna la
-de côté.; .. . s II est
+de côté. « Il est
-humiliant :de l’avouer* murmura-t-elle . sans lever les; mais, mon ’oncle * vous
+humiliant de l’avouer, murmurait-elle sans lever les yeux... mais, mon oncle, vous
-la - vérité.... Je â’avais^pas ^amouç à
+la vérité... Je n’avais pas d’amour à
-mon marL*.. ni à lui; :ni à aucun àiitse hotûïne. ’ t-h ’ *.T r Et * néanmoins ^ vous l’avez épousé,?*.Gk 1, attendez I... ce ntest pas
+mon mari... ni à lui, ni à aucun autre homme. — Et, néanmoins, vous l’avez épousé ?... Oh ! attendez !... ce n’est pas
-de vous, blâmer..,.. ma
+de vous blâmer... ma
-de décou* Ai 1 , I , "* ~~ 1 ’ ^ •!^ 1] ». ’ , I,’Lii vrir^nbn ce
+de découvrir, non ce
-est bienav. Soyez tran1 quille^-je me
+est bien... Soyez tranquille, je me
-à jnoi-même :fcJSlle l’a,épousé dans yçn. moment
+à moi-même : « Elle l’a épousé dans un moment
-sans appui.,., dans
+sans appui... dans
-moment oùvau lieu d^ l’éjiouseï:^ lui^ elle jurait,dû venir
+moment où, au lieu de l’épouser, lui, elle aurait dû venir
-l’oncle Joseph;;;. * Jeme dirai cela^ j’aurai pitié.é.^etjeixe demanderai plus riçn.: », ,. :• .. .;>, • , ; Sarafr fit - encore. ctin mouvejpâent,. pour
+l’oncle Joseph... » Je me dirai cela, j’aurai pitié... et je ne demanderai plus rien. » Sarah fit encore un mouvement pour
-sa -hî&in : au vieillard; puis,
+sa main au vieillard ; puis,
-changea d’at; cil est-vr^i quef j’étais pauvre^ <iitrelle, parlant
+changea d’attitude... « Il est vrai que j’étais pauvre, dit-elle, parlant
-et ^promenant autour d’elle unr regard
+et promenant autour d’elle un regard
-accepter poiu£ mA;conduite l’exçuse qu’a
+accepter pour ma conduite l’excuse qu’a
-l’ai p&s épousé, parce que.j’étais pauvre..,, mais bién parce-queif.i ^ Elle
+l’ai pas épousé parce que j’étais pauvre... mais bien parce que... » Elle
-avec ,force, et son fauteuil,.plus, que jamais,.s’écarta dp, la table. V
+avec force, et son fauteuil, plus que jamais, s’écarta de la table.
-I 160 LE SECRET. c Soit!... bien! dit
+« Soit !... bien ! dit
-de bonté.... Nous
+de honte... Nous
-la pauvreté!... je
+la pauvreté !... je
-de désespoir.... Je
+de désespoir... Je
-oncle Joseph,- parce
+oncle Joseph, parce
-: Non! Sur
+: Non ! Sur
-la peur.... Je
+la peur... Je
-une fois; je
+une fois ; je
-deux fois.... Ohl mon
+deux fois... Oh ! mon
-troisième fois , lui
+troisième fois, lui
-il m’obsédait.*.* mais il m’effrayait.... Il
+il m’obsédait... mais il m’effrayait... Il
-de volontéque j’avais en moi.... Il
+de volonté que j’avais en moi... Il
-le voulait.... Non,
+le voulait... Non,
-à moi!... Ne
+à moi !... Ne
-dites rien.... Il
+dites rien... Il
-plus là.... Il est mort.... je suis délivrée.... j’ai pardonné. Ohl si
+plus là... Il est mort... je suis délivrée... j’ai pardonné. Oh ! si
-part 1.*. Chaque
+part !... Chaque
-à jour.... chaque
+à jour... chaque
-menace àmon adresse.... Jeune
+menace à mon adresse... Jeune
-le repos.... Chut
+le repos... Chut
-cet Ouvrier dans la boutique.... je l’avais oublié.... il
+cet ouvrier dans la boutique... je l’avais oublié... il
-plus bas! Pourquoi
+plus bas ! Pourquoi
-tant parlé?... J’ai
+tant parlé ?... J’ai
-je parle; tort
+je parle ; tort
-le monde.... On
+le monde... On
-remuer. M’auraitil entendue?... Oncle
+remuer. M’aurait-il entendue ?... Oncle
-pu m’en* tendre ?* A peu
+pu m’entendre ? » À peu
-sa nièce; l’oncle
+sa nièce, l’oncle
-prononcées. Vous
+prononcées. « Vous
-bien sûr? murmura-t-elle très-vite.... Oh, ! oui
+bien sûr ? murmura-t-elle très-vite... Oh, oui
-êtes sûr.... sans
+êtes sûr... sans
-n’est-ce pas?... Donc,
+n’est-ce pas ?... Donc,
-pouvons continuer...* Mais
+pouvons continuer... Mais
-parlons plusdemavie.de femme mariée,... Fini,
+parlons plus de ma vie de femme mariée... Fini,
-ce tempslà!... Disons
+ce temps-là !... Disons
-de souffrance.... Disons
+de souffrance... Disons
-et t i
+et
-LE SECRET, 161 certainement
+certainement
-aurons ass6z dit.
+aurons assez dit.
-nous venons, de parler elle
+nous venons de parler... elle
-de cecil s’écria
+de ceci ! s’écria
-fût possible.... Votre
+fût possible... Votre
-si éloigné? —
+si éloigné ? —
-celui-là même.... Vous
+celui-là même... Vous
-m’advint quand,... —
+m’advint quand... —
-ici secrètement-... quand
+ici secrètement... quand
-vous cacher?,., c’était
+vous cacher ?... c’était
-votre maîtresse; votre
+votre maîtresse ; votre
-habitait làbas, à l’ouest, 3e vieux manoir.... Vous
+habitait là-bas, à l’ouest, le vieux manoir... Vous
-peur, alors,... vous étiez pâle..,, pâle
+peur, alors... vous étiez pâle... pâle
-encore aujourd’hui..., —
+encore aujourd’hui... —
-monde 1,.. Je
+monde !... Je
-et curieux,,., toujours oh me
+et curieux... toujours on me
-souffrances nerveuses.... toujours
+souffrances nerveuses... toujours
-débile santé..,. * Tout
+débile santé... » Tout
-nouveau. <r J’ai
+nouveau. « J’ai
-en venant..,, j’ai
+en venant... j’ai
-chaud, murmu, rait-elle.... Encore
+chaud, murmurait-elle... Encore
-l’eau chaude, — Nonl s’écria-t-elle,
+l’eau chaude. — Non ! s’écria-t-elle,
-se leyer. Donnez-le moi froid..je l’aime mieux ainsi.,.. Que
+se lever. Donnez-le moi froid... je l’aime mieux ainsi... Que
-n’entre icil... je
+n’entre ici !... je
-quelqu’un en’ trait. » • Elle
+quelqu’un entrait. » Elle
-chaise dé celle
+chaise de celle
-et continua: Vous
+et continua : « Vous
-de nous?... Vous
+de nous ?... Vous
-? —Vous aviez
+? — Vous aviez
-eût suivie..., voilà
+eût suivie... voilà
-aviez, Sarah.... Je
+aviez, Sarah... Je
-reste jeune..,. Vous
+reste jeune... Vous
-votre poursuite.... Vous LE SECRET. H \ k
+votre poursuite... Vous
-i * . I 162 LE SEGREÎ, vous étiez échappée,... vous
+vous étiez échappée... vous
-prévenu personne.... et
+prévenu personne... et
-Ah l mais, bien peu..*, même
+Ah ! mais, bien peu... même
-oncle Joseph.... même
+oncle Joseph... même
-racontai cependant i dit
+racontai cependant, dit
-ses paroles,... je
+ses paroles... je
-maîtresse, , sur
+maîtresse, sur
-un Secret..*, un
+un Secret... un
-une lettré que
+une lettre que
-devais Remettre à
+devais remettre à
-cette lettre* ne
+cette lettre, ne
-la livrer..*. et
+la livrer... et
-qu’elle renferme*..* Je vous racontaitout cela,
+qu’elle renferme... Je vous racontai tout cela,
-m’en souviens.... Ne
+m’en souviens... Ne
-de plus?.M Ne vous dis-jepas, alors,
+de plus ?... Ne vous dis-je pas, alors,
-serment solennel?... Mon oncle* j,a-t-il des
+serment solennel ?... Mon oncle, y a-t-il des
-chambre ?.,. T a^t-il des
+chambre ?... Y a-t-il des
-déranger personnei sans
+déranger personne, sans
-ce soit? 4 --Il y
+ce soit ? — Il y
-l’oncle Joseph.,., Mais
+l’oncle Joseph... Mais
-fenêtre, S^raJtL; le
+fenêtre, Sarah ; le
-obscurci par.le crépuscule*... U ne. fait
+obscurci par le crépuscule... Il ne fait
-nuit. ; —
+nuit. —
-mais ici.**. Où. donc? ’ • <• • —
+mais ici... — Où donc ? —
-ce coin.... Ayons
+ce coin... Ayons
-la lumière!.*. Je
+la lumière !... Je
-des murs, J 4 L’oncle
+des murs. » L’oncle
-« Yous voilà
+« Vous voilà
-ton hadin* tandis
+ton badin, tandis
-la persienne,*^ vous
+la persienne... vous
-dans l’qbscùritjé. ? Sarah
+dans l’obscurité. » Sarah
-Ses yëux étaient obsti• nément fixés
+Ses yeux étaient obstinément fixés
-moment auparayant elle
+moment auparavant elle
-; njuand il
+; quand il
-direction, mai? elle
+direction, mais elle
-main isur le
+main sur le
-tout L coup : Mon oncle I..; croyez-vous
+tout à coup : « Mon oncle !... croyez-vous
-morts posent revenir
+morts puissent revenir
-\ r,LË SECREÏ. 163 c Sarah,
+« Sarah,
-me parleï ainsi Pourquoi
+me parler ainsi ?... Pourquoi
-question T ; — T a-t-il
+question ? — Y a-t-il
-de direction ^ et
+de direction, et
-entendu Sa question ^ où
+entendu sa question, où
-sans saJ voir pourquoi?.., une
+sans savoir pourquoi ?... une
-envahit ; de
+envahit de
-aux pieds?,*. Dites,
+aux pieds ?... Dites,
-jamais ^ senti lé froid
+jamais senti le froid
-vos chevelu, et
+vos cheveux, et
-à peu^ descendre
+à peu, descendre
-votre dos?... J’ai
+votre dos ?... J’ai
-seule sut la
+seule sur la
-bruyère, eh pleine chaleliï, éîi plein
+bruyère, en pleine chaleur, en plein
-doigts glâcés passaient sut moi.... des
+doigts glacés passaient sur moi... des
-moites, visqueux***. Otf il
+moites, visqueux... Or, il
-Testament qûe les mortss àùtïefoià, sortirent
+Testament que les morts, autrefois, sortirent
-leurs tôinbeaux ét allèrent erré* ékUs la cité sainte;... Les inorts !... k Depuis lofs, se Sônt-ils toujours,
+leurs tombeaux et allèrent errer dans la cité sainte... Les morts !... Depuis lors, se sont-ils toujours,
-? % \ La
+? » La
-et bdnne âô l’oncle
+et bonne de l’oncle
-provoquer. Sàttâ répondre
+provoquer. Sans répondre
-il essayà de dég&gér le
+il essaya de dégager le
-l’étreignit plu? fortement que jamais* et qii’ëllë se pencha èn ayant, sans
+l’étreignit plus fortement que jamais, et qu’elle se pencha en avant, sans
-pouvait :. être
+pouvait être
-ténébreux. c Ma
+ténébreux. « Ma
-se mourait* dit-elle, îha maîtresse
+se mourait, dit-elle, ma maîtresse
-fit pïôtër, sur la Êible, ce redoutable serments Elle mô fit
+fit prêter, sur la Bible, ce redoutable serment. Elle me fit
-ne pks détruire là lettre
+ne pas détruire la lettre
-de né pas l’èmporter avec
+de ne pas l’emporter avec
-la maisôn; je
+la maison ; je
-pas empor; tée*,Àla troisième
+pas emportée. À la troisième
-elle m’alitait fait
+elle m’aurait fait
-de là donner â mon maître; mais la niort la
+de la donner à mon maître ; mais la mort la
-troisième Serment..^ Pourtant, ellé me
+troisième serment... Pourtant, elle me
-mon oncles elle mé mena* çait, le
+mon oncle, elle me menaçait, le
-baigné dès sûëurs de l’agonie, eile me menaçait \ de
+baigné des sueurs de l’agonie, elle me menaçait de
-ses volontés..», et
+ses volontés... et
-est cet* i tain que
+est certain que
-ai éludées..»* * loi elle
+ai éludées... » Ici elle
-: * Repose,
+: « Repose,
-repose murmurait-elle j retenant son i
+repose !... murmurait-elle, retenant son
-i 164 LE SECRET. haleine.... Est-ce
+haleine... Est-ce
-vit encore?,.. Repose,
+vit encore ?... Repose,
-ressusciteront !,.. Tu
+ressusciteront !... Tu
-— Sarah! Sarah I... vous êtes changée.,., vous,êtes malade.,., vous m’effrayez! a s’écrial’oncle Joseph,
+— Sarah ! Sarah !... vous êtes changée... vous êtes malade... vous m’effrayez ! » s’écria l’oncle Joseph,
-à l’aventure, Gott im Himmelî... Que voit-elle donc?,.. *I1 regarda au-, tour, de
+à l’aventure. « Gott im Himmel !... Que voit-elle donc ?... » Il regarda autour de
-lui échappait: Sarah, qu’avez-vous?... Yous trouvez-vous mal?... Souffrez* 1 vous ?,., Rêvez-vous
+lui échappait : « Sarah, qu’avez-vous ?... Vous trouvez-vous mal ?... Souffrez-vous ?... Rêvez-vous
-?... * Il
+?... » Il
-ces mot?, par
+ces mots, par
-la soucoupe, Allons,
+la soucoupe. « Allons,
-des yeuxf la
+des yeux, la
-à moi-même? répéta-t-elle
+à moi-même ? répéta-t-elle
-vague écho., . — Voyons, voyons!*., disait
+vague écho. — Voyons, voyons !... disait
-la calmer.... YOU3 êtes malade.... Yous êtes
+la calmer... Vous êtes malade... Vous êtes
-votre assiette.... Nous
+votre assiette... Nous
-bons médecins-.. Laissez
+bons médecins... Laissez
-de médecins!... Qu’on
+de médecins !... Qu’on
-de médecins,.,. Je
+de médecins... Je
-puis souffrir..,. Us me
+puis souffrir... Ils me
-une curjosité !...
+une curiosité !...
-quelque chose,... [Pourquoi nous sommes-nous arrêtés?... J’avais
+quelque chose... Pourquoi nous sommes-nous arrêtés ?... J’avais
-à dire.... Et
+à dire... Et
-que nouri nous
+que nous nous
-passer outre.... Je
+passer outre... Je
-la crainte. ^ Encore une fois,... et
+la crainte... Encore une fois... et
-du Secret..,* — Tenez! en
+du Secret... — Tenez ! en
-vieillard importuné..N’en parlons
+vieillard importuné... N’en parlons
-ce soir! —
+ce soir ! —
-pourquoi pas? —
+pourquoi pas ? —
-encore mal. Vous recommen-
+encore mal... Vous recommenceriez à
-) LE SECRET. 165 ceriez à regarder
+regarder
-malade, Sarah!,.• oh! oui,
+malade, Sarah !... oh ! oui,
-vous trompez.... Je
+vous trompez... Je
-porte mal?... Laissez-moi
+porte mal ?... Laissez-moi
-mon oncle.... C’est pouir cela
+mon oncle... C’est pour cela
-suis venue.... Je
+suis venue... Je
-dit. i En
+dit. » En
-s’abstenir. or Ne
+s’abstenir. « Ne
-de charme; si
+de charme ; si
-autrement garde.... Je
+autrement garde... Je
-je n’çii pas conscience.... et
+je n’ai pas conscience... et
-avoir une,... Cela
+avoir une... Cela
-oncle Joseph,.», absolument
+oncle Joseph... absolument
-vous assure, D Essayant
+vous assure. » Essayant
-vue. <r A la
+vue. « À la
-l’oncle Joseph; mais
+l’oncle Joseph ; mais
-perdre encore..,. Parlons
+perdre encore... Parlons
-qui est.... Ohl voyons, contentez làdessus mon
+qui est... Oh ! voyons, contentez là-dessus mon
-et tenez-vousen au
+et tenez-vous-en au
-seize ans.;.. En doutez-vous?... Eh bien! laissez-moi
+seize ans... En doutez-vous ?... Eh bien ! laissez-moi
-dernière rencontre.... En
+dernière rencontre... En
-vieux manoir; vous
+vieux manoir ; vous
-réfugiez ici; vous
+réfugiez ici ; vous
-chasse. Tous partez
+chasse. Vous partez
-Eh bien! n’est-ce
+Eh bien ! n’est-ce
-vîntes ici?... N’en parlons plus , et
+vîntes ici ?... N’en parlons plus, et
-actuels. ^ —
+actuels. —
-166 LE SECRET. -i- Eh quoi?.. y revenons-nous î —
+— Eh quoi ?... y revenons-nous ? —
-y faùt revenir. — Pourquoi? —
+y faut revenir. — Pourquoi ? —
-une lettre..*, i — Eh bien! après? —: Et
+une lettre... — Eh bien ! après ? — Et
-passe d’êtrp découverte.... Oui, mon oricle, découverteI,.. Seize aïis entiers
+passe d’être découverte... Oui, mon oncle, découverte !... Seize ans entiers
-est "restée ca* * chée.... Et
+est restée cachée... Et
-terrible chahGe de là voir
+terrible chance de la voir
-la découvrir.... — Un instant!... en
+la découvrir... — Un instant !... en
-certaine, Sarah?,.* Gomment pouvez-vôus le
+certaine, Sarah ?... Comment pouvez-vous le
-? : —^-Je le tiens d’elle-même.... Le
+? — Je le tiens d’elle-même... Le
-réunies, et.... — Nous?..* Qui, nous?.,, qui
+réunies, et... — Nous ?... Qui, nous ?... qui
-désigner ainsi? — Nous, c’est-à-dire..,. Yous vous
+désigner ainsi ? — Nous, c’est-à-dire... Vous vous
-à Porthgenna-Tower; le capitaine Trever*ton?,.. : • 11:1 J . ’ \ —
+à Porthgenna-Tower, le capitaine Treverton ?... —
-je .quittai ma
+je quittai ma
-cinq ans,... Maintenant,
+cinq ans... Maintenant,
-est mariée,.,, et
+est mariée... et
-si spirituelle! une
+si spirituelle ! une
-si ra* dieuse physionomie !.,. Ét elle
+si radieuse physionomie !... Et elle
-beau qu’elle Oh! moià ohcle, si vous- la voyiez!.*. Je
+beau qu’elle... Oh ! mon oncle, si vous la voyiez !... Je
-pour gué vous
+pour que vous
-voir !.,. »
+voir !... »
-ensuite haussâtes épaules.
+ensuite haussa les épaules.
-gestes, irexprimait son
+gestes, il exprimait son
-lui parlait; parle second,, sa
+lui parlait ; par le second, sa
-contempler. ’ ? c À
+contempler. « À
-semblait imbu.,,, à
+semblait imbu... à
-bonne heure!.,. Laissons
+bonne heure !... Laissons
-cette ’ * * i i personne
+cette personne
-à atitre chose.
+à autre chose.
-dit Sarah..,. nom
+dit Sarah... nom
-de Treverton.... Son mari l’adore.,.. Je
+de Treverton... Son mari l’adore... Je
-qu’il l’adore,... Pour
+qu’il l’adore... Pour
-cœur, com« inent ne
+cœur, comment ne
-? . . — Doucement, doucement! s’écria
+? — Doucement, doucement ! s’écria
-semblait dë plus
+semblait de plus
-plus pérpleïe..., Tantmîéuxet tant
+plus perplexe... Tant mieux et tant
-épris d’elle,.,. Mais
+épris d’elle... Mais
-me promené?-
+me promenez-
-.-J . ].1 f•• LE SECRET. 167 vous donc?*.. Pourquoi
+vous donc ?... Pourquoi
-cette femme?... Parole d’honneur 1 Sarah,
+cette femme ?... Parole d’honneur ! Sarah,
-explications n’expliqùënt rien.... elles
+explications n’expliquent rien... elles
-Frankland. Porthgenna-Tovrer appartient
+Frankland. Porthgenna-Tower appartient
-ce dernier,... Et
+ce dernier... Et
-— Àh, bon!... nous
+— Ah, bon !... nous
-de * * compte.
+de compte.
-dans }a maison
+dans la maison
-est ç&ché le
+est caché le
-est cachée.... Elle vetit.*./elle mê l’a dit elle-même.,., explorer les vieu?: appartements.... Elle yeut y
+est cachée... Elle veut... elle me l’a dit elle-même... explorer les vieux appartements... Elle veut y
-sa curiosité.... Des
+sa curiosité... Des
-en comble.... et,
+en comble... et,
-soupçonne rien? —
+soupçonne rien ? —
-n’ait jàmais un pareil soupçon! —
+n’ait jamais un pareil soupçon ! —
-maison, il’y à beaucoup de chainbrës?... Et
+maison, il y a beaucoup de chambres ?... Et
-si nombreuses?... Pourquoi
+si nombreuses ?... Pourquoi
-sur cèlle-ci? — Pourquoi?... Parce
+sur celle-ci ? — Pourquoi ?... Parce
-faudrait taire,... parce
+faudrait taire... parce
-sauverait. Lai lettre
+sauverait. La lettre
-aux Myrtes; et
+aux Myrtes ; et
-assez sotte; assez
+assez sotte, assez
-assez msënsée pbur l’avertir qu’elle n.e devait
+assez insensée pour l’avertir qu’elle ne devait
-— Àhl Sarah !.*• Sarah L,. Voilà
+— Ah ! Sarah !... Sarah !... Voilà
-l’ai entçndue se
+l’ai entendue se
-innocemment lé plàisir de
+innocemment le plaisir de
-lorsque j*ai songé
+lorsque j’ai songé
-que nia raison m’abandonnait.,.. Il
+que ma raison m’abandonnait... Il
-justement alors..,. L’obscurité
+justement alors... L’obscurité
-s’amoncelait daps les aigles et
+s’amoncelait dans les angles, et
-mon visage.... et
+mon visage... et
-je îes eus
+je les eus
-bien pis.,.. Oh! je
+bien pis... Oh ! je
-ni cpmment ni
+ni comment ni
-dû nde couper là langue
+dû me couper la langue
-prononçai, cependant.... Il
+prononçai, cependant... Il
-bonne Densée**.. Il
+bonne pensée... Il
-deux détharches, ne
+deux démarches, ne
-la meilleure..,.
+la meilleure...
-1 ï..\ / e168 LE SECRET. . • Il y; a
+Il y a
-sans plier.... sans
+sans plier... sans
-j’ai plié.... Mon
+j’ai plié... Mon
-nous vécûmes’heureux, aidez votrè pauvre nièce..,, aidez-la
+nous vécûmes heureux, aidez votre pauvre nièce... aidez-la
-aiderai, Sarah.,.. Je
+aiderai, Sarah... Je
-vous aider,,.. N’ayez
+vous aider... N’ayez
-mon enfant..., Ne ma regardez
+mon enfant... Ne me regardez
-regards éplorésl,.. Voyons,
+regards éplorés !... Voyons,
-donner conseil,.,. Mais
+donner conseil... Mais
-sur quoi..,. En
+sur quoi... En
-être conseillée? —
+être conseillée ? —
-vous l’ai-je.point dit? — Non. Yous ne
+vous l’ai-je point dit ? — Non. Vous ne
-mot. . — Je .vais donc maintenant m’expliquer,... ». Elle
+mot. — Je vais donc maintenant m’expliquer... » Elle
-: <r Je
+: « Je
-oncle Joseph.,,, Je
+oncle Joseph... Je
-de Porthgenna-Tower,,.. sur
+de Porthgenna-Tower... sur
-aux Myrtes..., sur
+aux Myrtes... sur
-est cachée.... Je
+est cachée... Je
-la détruire..,, je
+la détruire... je
-pas l’enlever....Mais,n’importe à
+pas l’enlever... Mais, n’importe à
-aux Myrtes.» L’oncle
+aux Myrtes. » L’oncle
-abattement. aille faut, répéta-t-elle.... Avant
+abattement. « Il le faut, répéta-t-elle... Avant
-à Porthgënnà, il
+à Porthgenna, il
-y a,, dans le’ vieux
+y a, dans le vieux
-de nouveau.,., des
+de nouveau... des
-songera jamais..,, des
+songera jamais... des
-le pied,... Qu’une
+le pied... Qu’une
-recherche. $ L’oncle
+recherche. » L’oncle
-: <rUn mot, Sarah L.. Mistress
+: « Un mot, Sarah !... Mistress
-est !a chambre aux Myrtes? —
+est la chambre aux Myrtes ? —
-ce nom,.,. J’espère
+ce nom... J’espère
-donné jadis.,,. Mais
+donné jadis... Mais
-le découvrir,... Rappelez-vous
+le découvrir... Rappelez-vous
-de prononcer..,. Ils
+de prononcer... Ils
-aux Myrtes.... Ils
+aux Myrtes... Ils
-feront chercher..,. Certainement
+feront chercher... Certainement
-ce résultat, —
+ce résultat. —
-la trouve.... qu’elle
+la trouve... qu’elle
-la lettre?... . s t •O ’ -’ S:^ ^iJù-jiiiàiïïtfitî’ i* "
+la lettre ?...
-«il "A 3 E3 "t". f LE SECRET 469 , 1 &H —
+—
-d’un innocentet cela me $ fera mourir.... Ne
+d’un innocent... et cela me fera mourir... Ne
-cher oncle!.., * Je
+cher oncle !... Je
-mort infamante-... Non...’, À
+mort infamante... Non... À
-qu’à moi,.,. Le
+qu’à moi... Le
-lassé pai f T oppression.*., qui guérit .de sa
+lassé par l’oppression... qui guérit de sa
-brisé. \ — C’est assez.... assez
+brisé. — C’est assez... assez
-ne ! * ^ vous
+ne vous
-complètement y vôtre.... Vous
+complètement vôtre... Vous
-de ténèbres..., dans
+de ténèbres... dans
-au hasard.,.. Aussi
+au hasard... Aussi
-détourne , les
+détourne les
-que vous.... Et
+que vous... Et
-regard, : chère
+regard, chère
-aucun soupçon.... de
+aucun soupçon... de
-des regrets.,.. Oui. je
+des regrets... Oui, je
-de Porthgenna; je
+de Porthgenna ; je
-chaque pas- fait sur . la
+chaque pas fait sur la
-faudrait-il avancer Sachant
+faudrait-il avancer... Sachant
-y parvenir?... Oh! mon
+y parvenir ?... Oh ! mon
-par quelqu’un?... Voilà
+par quelqu’un ?... Voilà
-ma vie.... Vous êtes homme.... plus
+ma vie... Vous êtes homme... plus
-que moi.... Pas
+que moi... Pas
-aide, maintenant..,. Vous,
+aide, maintenant... Vous,
-bras résolûment, et
+bras résolument, et
-face. Vous
+face. « Vous
-y aller? dit-il
+y aller ? dit-il
-y aller? Pour
+y aller ? Pour
-Est-ce décidé* ment oui
+Est-ce décidément oui
-— Oui! Pour
+— Oui ! Pour
-: oui!... — Bien..., Et
+: oui !... — Bien... Et
-parte demain.... Je
+parte demain... Je
-à perdre.... Les
+à perdre... Les
-des malheurs? . — Eût-ce ma
+des malheurs ? — Fût-ce ma
-! I.lf -Jlmj,
+!
-170 LE SECRET, Vous
+— Vous
-la dépôser ai]leurs? —
+la déposer ailleurs ? —
-que vous? — Personne,,,, maintenant
+que vous ? — Personne... maintenant
-plus. —Bien.,.. Vous
+plus. — Bien... Vous
-complètement décidé.... Voilà
+complètement décidé... Voilà
-est fini.... Asseyez-vous là, Sarah.... Étonnez-vous
+est fini... Asseyez-vous là, Sarah... Étonnez-vous
-mot. y> parlant ainsi,
+mot. » Parlant ainsi,
-placé au-comptoir, a; Samuel,
+placé au comptoir. « Samuel,
-de retour.... Si
+de retour... Si
-venait demander après
+venait demander, après
-pays, * qu’il
+pays, et qu’il
-de temps.... Yoilà tout...
+de temps... Voilà tout...
-allez souper!.., Je
+allez souper !... Je
-sommeil. * Avant
+sommeil. » Avant
-une parôlè, la main 4e son
+une parole, la main de son
-ses lèvres , et
+ses lèvres, et
-abondance. KPIUS de bavardages!... plus
+abondance. « Plus de bavardages !... plus
-pleurnicheries 1 dit le rieillard. Je
+pleurnicheries ! dit le vieillard. Je
-de gix Anglais
+de six Anglais
-en bloc» Vous çpuchez ici
+en bloc. Vous couchez ici
-vaille autant.... Ne
+vaille autant... Ne
-et d’agir.... Quant
+et d’agir... Quant
-votre lit.... Emportez
+votre lit... Emportez
-de l’onqle Max,
+de l’oncle Max,
-vous endormir.... Oui,
+vous endormir... Oui,
-enfant, oni».* Mozart
+enfant, oui... Mozart
-grand consolateur.... Il
+grand consolateur... Il
-les larmes.... Pourquoi tant pleurer?... T a-t-il
+les larmes... Pourquoi tant pleurer ?... Y a-t-il
-me remercier?,.. Est-ce
+me remercier ?... Est-ce
-si °Tand miracle
+si grand miracle
-t LE SECRET. 171 que je né veuille
+que je ne veuille
-sœur aller , toute
+sœur aller, toute
-joie dé Sarah
+joie de Sarah
-ma joie.... Et
+ma joie... Et
-à prendre.;;.’s’il faut
+à prendre... s’il faut
-» w.i .,.1. • Jl•IH"JI mi. Iii.n,.. It* CHAPITRE II. Hors
+» === CHAPITRE II. — Hors
-manoir. La
+manoir. === La
-les Projets élaborés
+les projets élaborés
-par fonclé Joseph.
+par l’oncle Joseph.
-l’espèce dè chaos qu’àvàient produit
+l’espèce de chaos qu’avaient produit
-nièce, hue idée
+nièce, une idée
-se âégàgev :
+se dégager :
-était opiniâtrément résolue
+était opiniâtrement résolue
-positif, a.umoins dans
+positif, au moins dans
-à là fois,
+à la fois,
-les Craintes enfin,
+les craintes enfin,
-nièce, Jè langage
+nièce, le langage
-conduite mystérjeijisie. Âppuyé sur
+conduite mystérieuse. Appuyé sur
-lui, U, force ; <!Fûnegénérosité prête
+lui, la force d’une générosité prête
-nièce ’et lui, le 1 mâtin, se revirent, ët lorsqu’il l’entendit se’ blâmer
+nièce et lui, le matin, se revirent, et lorsqu’il l’entendit se blâmer
-dévouement quë là veille,
+dévouement qu’elle acceptait, des hasards sérieux auxquels elle souffrait qu’il s’exposât en son honneur, il refusa, tout aussi obstinément que la veille,
-prêter l’Oreille à Ses discours.
+prêter l’oreille à ses discours.
-convenu. Renonçaitelle à
+convenu. Renonçait-elle à
-pour Fôrthgenifà ?
+pour Porthgenna ?
-ce cas , elle n ? avait qu à 1e dire; sinon, caserait user
+ce cas, elle n’avait qu’à le dire ; sinon, ce serait user
-causer davantage; car
+causer davantage, car
-remontrances. S’ëtant ainsi
+remontrances. S’étant ainsi
-tournure I ff£ ’ St l " ih . t 4V S K. , V
+tournure
-I 172 LE SECRET. plus
+plus
-aussi, eu demandant
+aussi, en demandant
-sa nièc» comment
+sa nièce comment
-nuit. oc J’étais
+nuit. « J’étais
-pour dormir^ répondit-elle.... Je
+pour dormir, répondit-elle... Je
-demanda "l’oncle Joseph.... De
+demanda l’oncle Joseph... De
-lettre cachée?... du
+lettre cachée ?... du
-de Porthgenna?... de
+de Porthgenna ?... de
-aux Myrtes?... —
+aux Myrtes ?... —
-aux Myrtes , répondit-elle; plus
+aux Myrtes, répondit-elle ; plus
-d’avance cequ’ilyademieuxàfaire,plusilmesemblequejesuisà bout
+d’avance ce qu’il y a de mieux à faire, plus il me semble que je suis à bout
-mon oncle , que
+mon oncle, que
-de PorthgennaTower, et
+de Porthgenna-Tower, et
-me trouverais?... Gomment persuader
+me trouverais ?... Comment persuader
-laisser entrer?... Comment,
+laisser entrer ?... Comment,
-leur surveillance.,.. Pouyez-vous me
+leur surveillance... Pouvez-vous me
-ce sujet?-.,. Si
+ce sujet ?... Si
-bien certaine.... Eh
+bien certaine... Eh
-le reste.... Si
+le reste... Si
-mon temps , je
+mon temps, je
-dix minutes.... Dix minutes.... dix
+dix minutes... Dix minutes... dix
-le commencement.... pour
+le commencement... pour
-la résignation.... si
+la résignation... si
-de l’existence.... Ohl qu’ils
+de l’existence... Oh ! qu’ils
-et d’inventions!... Vous
+et d’inventions !... Vous
-mon oncle , bien
+mon oncle, bien
-ne Test votre propre nièce.... Vous m’avez promis , hier
+ne l’est votre propre nièce... Vous m’avez promis, hier
-me donner.... Vos
+me donner... Vos
-ont-elles abouti?... Si
+ont-elles abouti ?... Si
-pas l » i L’oncle
+pas ! » L’oncle
-de tête , prit
+de tête, prit
-nez. . <sc Que
+nez. « Que
-hier soir? dit-il. N’était-ce.pas de
+hier soir ? dit-il. N’était-ce pas de
-mieux / i.
+mieux
-I 1 li ; LE SECRET. 173 \s. réfléchir?..* A merveille-.. J’ai
+réfléchir ?... À merveille... J’ai
-« Attendons! a Ma
+« Attendons ! » Ma
-précipiter. Tous avez
+précipiter. Vous avez
-faisant ï connaître
+faisant connaître
-mes réflexions.... Eh
+mes réflexions... Eh
-vous l’avez.... j Voilà le résultat,... Yous êtes tranquillisée?... Tout
+vous l’avez... Voilà le résultat... Vous êtes tranquillisée ?... Tout
-bien. ! —
+bien. —
-calme parfait.... Je
+calme parfait... Je
-Attendre, quoi?.., attendre,
+Attendre, quoi ?... attendre,
-— Attendre , bien
+— Attendre, bien
-vieux manoir. •,. Attendre
+vieux manoir... Attendre
-de nous.... Il
+de nous... Il
-profonde conviction.;. Vous comprenez,. maintenant
+profonde conviction... Vous comprenez, maintenant
-— Oui..,, c’est-à -dire je
+— Oui... c’est-à-dire je
-mieux qu’auparavant.... mais
+mieux qu’auparavant... mais
-une difficulté.... Je
+une difficulté... Je
-à personne..., Je
+à personne... Je
-sous clef.*.. —
+sous clef... —
-une chambre?... ; ~ Pire
+une chambre ?... — Pire
-la chambre.... La
+la chambre... La
-si ] e l’avais.... cette
+si je l’avais... cette
-me faut.... U y
+me faut... Il y
-petite clef.... y> Ici
+petite clef... » Ici
-effaré. Une
+effaré. « Une
-avez perdue? demanda
+avez perdue ? demanda
-— Non; je
+— Non ; je
-de Porthgenna.,.. Oh! si
+de Porthgenna... Oh ! si
-l’avais conservée!... Si
+l’avais conservée !... Si
-avoir besoin.».. — A ceci,
+avoir besoin... — À ceci,
-grand remède.,.. Dites-moi,
+grand remède... Dites-moi,
-est renfermée? > —J’ai peur
+est renfermée ? — J’ai peur
-Quelle plaisanterie!.., Yoyons..,. dites-le-moi
+Quelle plaisanterie !... Voyons... dites-le-moi
-bas. Sarah
+bas. » Sarah
-Il l’é• coûtait avec
+Il l’écoutait avec
-fini. , ^ Bah! s’écria-t -il. Si
+fini. « Bah ! s’écria-t-il. Si
-bon courage.3 .«
+bon courage... Comme
-174 LE SECRET. Gomme vous le dites , vous
+vous le dites, vous
-de mentir,... Vous
+de mentir... Vous
-moi , Et
+moi ?... Et
-? à L’oncle
+? » L’oncle
-vieille modes potif servir
+vieille mode, pour servir
-de siège. H; leva le couvercle ^ chercha
+de siége. Il leva le couvercle, chercha
-ciseau. . r Regardez, dtèailril, se Servant delà bànquette même
+ciseau. « Regardez, disait-il, se servant de la banquette même
-de l’outil.... Vous l’intïoduisez ainsi.à.. Cric!*.. Vous
+de l’outil... Vous l’introduisez ainsi... Cric !... Vous
-soulevez ensuite.^.. Crac! C’est
+soulevez ensuite... Crac ! C’est
-quelques secondes.... Cric, crac.... et
+quelques secondes... Cric, crac... et
-est hôrç de la gâche.... Prenez touà^même ce ciseau; ehveloppezle dans ce moïceau de girôâ papier, et fourrez-ie dans Votre poche.... Qu’attendez-vous donc?... Voulez-vous
+est hors de la gâche... Prenez vous-même ce ciseau ; enveloppez-le dans ce morceau de gros papier, et fourrez-le dans votre poche... Qu’attendez-vous donc ?... Voulez-vous
-fois lâ Chose, ou
+fois la chose, ou
-d’affaire t ^r-Je voudrais
+d’affaire ? — Je voudrais
-une leçon , cher oncle.... Mais
+une leçon, cher oncle... Mais
-Fort bien*.,; Alors je piiis achever
+Fort bien... Alors je puis achever
-d’une voiture.... D’abord,
+d’une voiture... D’abord,
-à musique * qu’il
+à musique, qu’il
-de cuir* laquelle,
+de cuir, laquelle,
-tenait suf une
+tenait sur une
-ses épaules*.., c Mâinténant, voici ma pipe.... le
+ses épaules... « Maintenant, voici ma pipe... le
-pour l’alimenter..,, et
+pour l’alimenter... et
-le feUi... En
+le feu... En
-au soir..Regardez un peu»,. Chemise, bonnet dë nuit, peigne* mouchoir
+au soir... Regardez un peu... Chemise, bonnet de nuit, peigne, mouchoir
-col noir,,.. Supposez
+col noir... Supposez
-suis empereur..,, que
+suis empereur... que
-vous prie?.** A mer7eille<in J’ai donc Mozart.... j’ai la pipeé... j’ai le havresac*... j’ai..*» Ah I doucement!.,. N’oublions
+vous prie ?... À merveille... J’ai donc Mozart... j’ai la pipe... j’ai le havresac... j’ai... Ah ! doucement !... N’oublions
-de cuir..,. Tenez , la voilai... Écoutez..,, tinfc ting^ UngL^ Il
+de cuir... Tenez, la voilà !... Écoutez... ting, ting, ting !... Il
-là dedansAhI Cuir,
+là dedans... Ah ! Cuir,
-en préviens* quand
+en préviens, quand
-au logis.-w. Ainsi:donc,nous sommes
+au logis... Ainsi donc, nous sommes
-grand complet.,,, en ténue de maxche, de
+grand complet... en tenue de marche, de
-pieds. Sàrah, mon
+pieds. Sarah, mon
-pour un& demi-heure,... Vous
+pour une demi-heure... Vous
-la recherché d’ùne voiture, J /
+la recherche d’une voiture. »
-LE SECRËT. 11b Quand
+Quand
-par Tru.ro, laquelle
+par Truro, laquelle
-à sis; milles
+à six milles
-service dés dépêches,
+service des dépêches,
-incommodes. Ëtant d’avis
+incommodes. Étant d’avis
-voyager a l’héurè où
+voyager à l’heure où
-prendre là diligénce de
+prendre la diligence de
-n’importe quèl moyen
+n’importe quel moyen
-temps posàiblé à
+temps possible à
-avant de. se
+avant de se
-route yers Porthgenna. Ce £lan fut
+route vers Porthgenna. Ce plan fut
-halte pôur changer
+halte pour changer
-au relaisftourprendre leurs
+au relais pour prendre leurs
-exception jjrès. En dèui héttfes ils
+exception près. En deux heures ils
-se fendaient. Là,
+se rendaient. Là,
-de posté, et
+de poste, et
-la poète âe Porthgenna.
+la poste de Porthgenna.
-un Surcroît de
+un surcroît de
-à traders la lande maréôàgeuse, pour
+à travers la lande marécageuse, pour
-au vieuï manoir.
+au vieux manoir.
-du mâtin dans
+du matin dans
-sac âvait été bjen plus
+sac avait été bien plus
-qu’à l’ordinaire, Parmi lès lettres
+qu’à l’ordinaire. Parmi les lettres
-de tesogne, il
+de besogne, il
-charge dé Porthgenna^ Tower, qu’il avait remisé dë fort
+charge de Porthgenna-Tower, qu’il avait remise de fort
-heure, eii èômmënçaïit sa
+heure, en commençant sa
-Pendant tonte la
+Pendant toute la
-du voyàge, l^ndie Meph p’àvait de
+du voyage, l’oncle Joseph n’avait pas fait une seule allusion à l’objet en vue duquel ce voyage s’accomplissait. Avec la simplicité de l’enfant, il avait aussi de
-la sblî^lè et fàcîlè disposition, tes àùiiétês ét les aucuné * ** en
+la souple et facile disposition. Les anxiétés et les prévisions sinistres qui troublaient l’esprit de sa nièce, et l’attristaient, et la rendaient muette, ne jetaient aucune ombre sur la sérénité radieuse du bon vieillard. N’eût-il, en réalité, voyagé que pour son agrément, il n’aurait pas joui plus complètement des petits incidents et des spectacles variés que
-176 LE SECRET. la
+la
-Sarah. (r II me
+Sarah. « Il me
-vous fai^e, lui dit-il: le
+vous faire, lui dit-il : le
-de Porthgënnà, et
+de Porthgenna, et
-pas vrai? Vous
+pas vrai ? Vous
-l’oncle Joseph? Est-ce
+l’oncle Joseph ? Est-ce
-de quelqu’un? Est-ce
+de quelqu’un ? Est-ce
-jours, répondit-elle; mais
+jours, répondit-elle ; mais
-suis libre,... J’ai
+suis libre... J’ai
-— ,AhI vous
+— Ah ! vous
-votre place?... Et pourquoi? —
+votre place ?... Et pourquoi ? —
-personne innocente.... Parce que.... a „ Elle se retint; mais
+personne innocente... Parce que... » Elle se retint ; mais
-de prohoncer avaient
+de prononcer avaient
-très-visible. <r Eh! là, làl... s’écrià-t-il,,.. Mais quoi donc?,.. Est-ce
+très-visible. « Eh ! là, là !... s’écria-t-il... Mais quoi donc ?... Est-ce
-LE SECRET. 111 —^Chut!:.. répondit Sarah-.. Et,
+— Chut !... répondit Sarah... Et,
-y répondre.... Voici,
+y répondre... Voici,
-de Porthgënnà. Voici
+de Porthgenna. Voici
-point ; : < le
+point le
-yeux, * dans
+yeux, dans
-de Porthgenna-Tower > autour
+de Porthgenna-Tower, autour
-on \ voyait
+on voyait
-en méandfes d’une
+en méandres d’une
-le sehtier serpentant
+le sentier serpentant
-brunes. Là , plus
+brunes. Là, plus
-de Porthgënnà, et
+de Porthgenna, et
-l’aspect ; que
+l’aspect que
-son apogéè l’agitation
+son apogée l’agitation
-ont ’hn essor
+ont un essor
-sont inacr cessibles. Combien
+sont inaccessibles. Combien
-se ; sécher
+se sécher
-expression complète? En
+expression complète ? En
-nièce, que) LE SECRET. 12
+nièce, quel
-178 LE SECRET. tiers
+tiers
-à côte^ immobiles
+à côte, immobiles
-milieu dé la land$-, que
+milieu de la lande, que
-le paysag/ avec
+le paysage avec
-voyait çous la première fois tandis
+voyait pour la première fois, tandis
-à traVeiS" les
+à travers les
-moitié d’existence? Tous
+moitié d’existence ? Tous
-yeux secs; tous
+yeux secs ; tous
-se taisaient; tous
+se taisaient ; tous
-aucun intelligible’ appel
+aucun intelligible appel
-de Fun à
+de l’un à
-vieillard n§ fut
+vieillard ne fut
-formules dissentiment par
+formules d’assentiment par
-faisant défaiit, le vocabulaire né, nous
+faisant défaut, le vocabulaire ne nous
-demeure vidé,~ faute de mots! 1 • Descendant
+demeure vide, faute de mots ! Descendant
-landes, l’onde et
+landes, l’oncle et
-de Porthgenna^ Tower, Ils
+de Porthgenna-Tower. Ils
-lorsque Saraà fit
+lorsque Sarah fit
-second sen1 tiçr venait
+second sentier venait
-que jusqu!âlors ils
+que jusqu’alors ils
-de vy e dans la yaste étendue des bruyèrës ; à I^pr droite,
+de vue dans la vaste étendue des bruyères ; à leur droite,
-menait direct tement vers, l’église. ’ ’’ % Pourquoi
+menait directement vers l’église. « Pourquoi
-nous arrêter? demanda
+nous arrêter ? demanda
-de l’autre/ ’ 1M " ; rrr Tous ennuierait-il
+de l’autre. — Vous ennuierait-il
-oncle Je
+oncle ?... Je
-de l’église...* 3> Et/ici, elle
+de l’église... » Et ici, elle
-à s’expliquer.>. « Sans désirer..., ne
+à s’expliquer... « Sans désirer... ne
-attend lorsque ntjus sereins arrivés là-bas..;, sans désirer qu-il nie soit
+attend lors que nous serons arrivés là-bas... sans désirer qu’il me soit
-de voir*...^de m’assurera * Elle
+de voir... de m’assurer... » Elle
-de nouveau,, et
+de nouveau, et
-vers Téglise, de
+vers l’église, de
-de Porthgenha ne
+de Porthgenna ne
-tout d? abord arrachées,
+tout d’abord arrachées,
-aux yeux, , • ’. La
+aux yeux. La
-de Fonde Joseph l’avertit quUl valait
+de l’oncle Joseph l’avertit qu’il valait
-aucune explication, «
+aucune explication. «
-où vçus voudrez ypir ce
+où vous voudrez, voir ce
-dit-il, .2.A* "JjU ii ïU JliMÎiilrfjKfeLi, ^ r •jjj ^- jlt
+dit-il,
-LE SECRET. 179 lui
+lui
-sur l’épaule. Je resterai ici; fort
+sur l’épaule... Je resterai ici, fort
-ma pipe..., Mozart,
+ma pipe... Mozart,
-sortira d§ sa cage , et
+sortira de sa cage, et
-air frais....)) Tout
+air frais... » Tout
-tirait }a boîte
+tirait la boîte
-s’asseoir, mais où
+s’asseoir, mais, où
-son tabâo et
+son tabac et
-sa musique, Ahl ahl s’écriait-il,
+sa musique. « Ah ! ah ! s’écriait-il,
-dans §pn petit salon*... Ahl ah! mon
+dans son petit salon... Ah ! ah ! mon
-une gvmfa salis fa CQïiçert,.,, Vous
+une grande salle de concert... Vous
-à vot^e aise pour çbantert.., Oufl quel vpntj..,, II y
+à votre aise pour chanter !... Ouf ! quel vent !... Il y
-pour emporta jusqu’en pleine me? yqç jolis; airs de d^jise, et
+pour emporter jusqu’en pleine mer vos jolis airs de danse, et
-goûter dp messieurs \p$ ipatelots, tandis
+goûter de messieurs les matelots, tandis
-vont là-bas j §çcoups par leurs nayiçes. »
+vont là-bas, secoués par leurs navires. »
-vers l’pglisp, pt pénétrât dans l’ençlps du petit. pimpti^rp, Ge même çndroit où
+vers l’église, et pénétrait dans l’enclos du petit cimetière. Ce même endroit où
-de ja mort dfis^maître^e, elle
+de la mort de sa maîtresse, elle
-ans après, Jpi, &J moins, Je temps laissé
+ans après. Ici, du moins, le temps avait laissé
-et ggs traces
+et ces traces
-des tomfeeau?, Combien
+des tombeaux. Combien
-de tprre, yides quand elle Je? ^yaft yu§ ppar te fam$n foi§?, maintint s’était emplis pt portant leur ptoe tumulairp ! Qptte fosse Split?iire qu’elle était venus voir, §t qui, àcptt? lointains époque, se rpppnnais^ sait fa lpin, des autres, plis avait
+de terre, vides quand elle les avait vus pour la dernière fois, maintenant s’étaient remplis et portaient leur pierre tumulaire ! Cette fosse solitaire qu’elle était venue voir, et qui, à cette lointaine époque, se reconnaissait de loin, séparée des autres, elle avait
-à droits et à g^Wî^, çonjLpaçpeg dçs voisines. A grajid’peine Sarah rappelle pu di§ti|ig^r parmi plie?, pptte tmH n’eût été plu^ maltraitée, plus brunip, plus rongég que
+à droite et à gauche, des compagnes et des voisines. À grand’peine Sarah l’aurait-elle pu distinguer parmi elles, si cette tombe n’eût été plus maltraitée, plus brunie, plus rongée que
-la Ijise marinp et lps larmes de l’orage, Lapetttg k^ttp avait Gpn^rTé ^a forme; ma^s le
+la bise marine et les larmes de l’orage. La petite butte avait conservé sa forme ; mais le
-plus fâm et plus ftaut, £alay<f ppmnie \l l’était
+plus épais et plus haut, balayé comme il l’était
-le vpnt sçmWait i te visiteuse m m&ançpUqup <Jp Jjie^ i Yemje. AgpnpuUlép près fa la
+le vent, semblait adresser à la visiteuse un mélancolique salut de bienvenue. Agenouillée près de la
-de 4^çbiffrer l’inscription. La ppupha fa pei^turç noire,
+de déchiffrer l’inscription. La couche de peinture noire,
-mieux dispsrnçr les en rpliçf, av^t gra^ijp^ ment,pnlpyée. Pour
+mieux discerner les caractères en relief, avait été graduellement enlevée. Pour
-yeux qiie les siens, Jp nom du ïuprt eût étéfeiep difficile à retrouver, ©leppu^a un
+yeux que les siens, le nom du mort eût été bien difficile à retrouver. Elle poussa un
-I L80 LE SECRET. soupir
+soupir
-du doigt / Tune après
+du doigt, l’une après
-: -, * * A LA
+: À LA
-HUGH FOLWHEAL • • i -" . ÂGÉ DE 26 ANS, * 4 - MORT K3 LA
+HUGH POLWHEAL ÂGÉ DE 25 ANS, MORT DE LA
-DANS : LES
+DANS LES
-froide. <r Gela vaut
+froide. « Cela vaut
-dernier regard.... Oui,
+dernier regard... Oui,
-te verront; moins
+te verront ; moins
-ce côté.... Et
+ce côté... Et
-éternel. * Elle
+éternel. » Elle
-brins d’hèrbe qu’elle
+brins d’herbe qu’elle
-seize aris de
+seize ans de
-qu’elle Tenait de
+qu’elle venait de
-aller rejoins dre le
+aller rejoindre le
-cuir. <rBon ventl dit-il,
+cuir. « Bon vent ! dit-il,
-les bruyères.... Trèsbon vent,
+les bruyères... Très-bon vent,
-qu’il est.... Mauvais
+qu’il est... Mauvais
-à Mozartl... Il
+à Mozart !... Il
-ma tête.... Vous
+ma tête... Vous
-en rj r. . .iÀfXl^nl * A^ t
+en
-LE SECRET. 181 route. Ah!..* Sarah !.,, nous
+route. Ah !... Sarah !... nous
-fait pleurer?.... Bon, bon!... je
+fait pleurer ?... Bon, bon !... je
-je vous, ferai
+je vous ferai
-m’en saurez...* C’est bien.... n’en parlons plus.... Ah! si
+m’en saurez... C’est bien... n’en parlons plus... Ah ! si
-vous poser.... Pourquoi faisonsnous halte
+vous poser... Pourquoi faisons-nous halte
-cet endroit?... Pourquoi
+cet endroit ?... Pourquoi
-notre route? —
+notre route ? —
-cher oncle.... Avançons
+cher oncle... Avançons
-plus tarder! Je
+plus tarder ! Je
-château. > Sans
+château. » Sans
-principale entrée.du manoir,
+principale entrée du manoir,
-route - en
+route en
-mur oriental; là
+mur oriental ; là
-de Porthgënnà, ni
+de Porthgenna, ni
-encore. <r Quelle
+encore. « Quelle
-l’avais vue!... —
+l’avais vue !... —
-la joyeusetd invétérée
+la joyeuseté invétérée
-Sahara lui-même —Non, non,
+Sahara lui-même. — Non, non,
-avec Une vivacité inquiète mais
+avec une vivacité inquiète ; mais
-près maintenante Nous
+près maintenant... Nous
-fois tourné..,. Je
+fois tourné... Je
-de lui,... Vous
+de lui... Vous
-la porte,... Eh
+la porte... Eh
-bien près.,,. Que ferons-nous? L-• . _ . ^
+bien près... Que ferons-nous ?
-182 LË SÈÛRÈT. —La première
+— La première
-avec tin mou vemënt d’épaiilêfe bien marqué, ô’ëât sûrement*.,, de sonner. ^Ôui; m&is quand
+avec un mouvement d’épaules bien marqué, c’est sûrement... de sonner. — Oui ; mais quand
-viendra ouvrir*.,, que dironsnous ? Oe que noUà dirons? répéta
+viendra ouvrir... que dirons-nous ? — Ce que nous dirons ? répéta
-Joseph, frongant les sourcils d’Un air
+Joseph, fronçant les sourcils d’un air
-péniblement, ët* dé l’index* il âé toquait
+péniblement, et, de l’index, il se toquait
-son chapeau; ce
+son chapeau ; ce
-nous dirons?... Attendez, àttendez.„. attendez.,., attendez AÏLl..* j’y suis*... Je sâis^.. Vivez éïi pâiXj chère Sarah.;.. A partir
+nous dirons ?... Attendez, attendez... attendez... attendez !... Ah !... j’y suis... Je sais... Vivez en paix, chère Sarah... À partir
-la pôrte’ sera outertê, tfêst moi qtii me ëharge dé répondre àu domestique. •^-Ah! ddmbiën nie voilà rassurée L*. Que lui direz-votis? -^Gê que
+la porte sera ouverte, c’est moi qui me charge de répondre au domestique. — Ah ! combien me voilà rassurée !... Que lui direz-vous ? — Ce que
-lui dirai?... Tout bonnement ceci: * Gomment alléfc^vôus?... Nous
+lui dirai ?... Tout bonnement ceci : « Comment allez-vous ?... Nous
-le château, * Après
+le château. » Après
-forcer l’entrés de
+forcer l’entrée de
-candide Viëillàrd étendit les dëiix brà&* recula
+candide vieillard étendit les deux bras, recula
-regarda sâ hièôe d’un
+regarda sa nièce d’un
-qui vôulait dire i c N’est-ce
+qui voulait dire : « N’est-ce
-bien ttôuvé? * Sa physiônômie^ d’ailleurs,
+bien trouvé ? » Sa physionomie, d’ailleurs,
-d’un hommë qtii viént de
+d’un homme qui vient de
-de l’esprit* uii problème
+de l’esprit, un problème
-plus ardus* Sarah lë rë^âïdait, ellë aussi* profondément
+plus ardus. Sarah le regardait, elle aussi, profondément
-La conYictiôti absdluë dont sâ figure
+La conviction absolue dont sa figure
-ce c|Ui lui testait, à êllé* dé doUt&S ët d’inquiétude i Le pluë misérable
+ce qui lui restait, à elle, de doutes et d’inquiétude. Le plus misérable
-tour inventé^ disétttës et rejôtés, pendant ]a nuit
+tour inventés, discutés et rejetés, pendant la nuit
-d’être âdîniéë dans
+d’être admise dans
-machiavélique, Comparé à
+machiavélique, comparé à
-là, dévant elle,
+là, devant elle,
-tombé çur une
+tombé sur une
-les obstacles Ne
+les obstacles. Ne
-doutes eûî-mêmes assez
+doutes eux-mêmes assez
-oser éxprimèr ouvertement
+oser exprimer ouvertement
-une Opinion , soit
+une opinion, soit
-elle Se réfugia
+elle se réfugia
-seul asilô qu’elle
+seul asile qu’elle
-du tëinpsl t Yous êtes bon* biéû bon, mon ôheï oncle,
+du temps. « Vous êtes bon, bien bon, mon cher oncle,
-bien Vous charger de céttô difficile
+bien vous charger de cette difficile
-domestique, dit-èllë; ét lë dédoUfàgëment caché
+domestique, dit-elle ; et le découragement caché
-se trahissait *, malgré tous së& èoifiè, dans sa voiî affaiblie ^ dans
+se trahissait, malgré tous ses soins, dans sa voix affaiblie, dans
-et perplexes, Yous plairait-il,
+et perplexes. Vous plairait-il,
-"tfi SËÛREf. i83 d’attendre encore Un peu
+d’attendre encore un peu
-cette porte? Nous nous prolnènêrôns, d’ici
+cette porte ? Nous nous promènerons, d’ici
-mur, • où il il’est pas
+mur, où il n’est pas
-personne nous, aperçoive.,..il me fkut le
+personne nous aperçoive... Il me faut le
-vais traverser.... Puis, dâhà le cas ou ie domestique
+vais traverser... Puis, dans le cas où le domestique
-des difficultés. pour nous âdihettre.... je parle dé cës difficultés
+des difficultés pour nous admettre... je parle de ces difficultés
-prévoir d’avance.... ûê sërait-il pas
+prévoir d’avance... ne serait-il pas
-quelque ihosê à lui dire?... Peut-être
+quelque chose à lui dire ?... Peut-être
-songeant bien.... —Inutile, iliUtûô! interrompit
+songeant bien... — Inutile, inutile ! interrompit
-domestique, èt;v. cric, cracha vous
+domestique, et... cric, crac !... vous
-nous entrerons.... Maintenant, jé me
+nous entrerons... Maintenant, je me
-vous vducfréî.... ÎJé ce
+vous voudrez... De ce
-aussi voiis ayez trouvé là vôtre..Non, certes,
+aussi vous ayez trouvé la vôtre... Non, certes,
-une raison, a Ces
+une raison. » Ces
-avec un..air protecteur
+avec un air protecteur
-qui, dans; des
+qui, dans des
-et là ramena
+et la ramena
-curieuse coïncidence! qu’une
+curieuse coïncidence ! qu’une
-hésitations analogies. Cette
+hésitations analogues. Cette
-de Porthgeriûa-Tower ;
+de Porthgenna-Tower ;
-la lettrerà eÙe remise,
+la lettre à elle remise,
-la poste, . „-I•A *j; ,i. J lî-•->"-** .. • ji i• . , . . i Cette
+la poste. Cette
-écrite L * " r , 1 * • • * • >• à
+écrite à
-et Si. Or* ridge, après
+et M. Orridge, après
-dernier : eut
+dernier eut
-mistress îazeph * les
+mistress Jazeph, les
-se prççjirer, ^, ;; ’ .. ; . La femme âë ctiitfgé avait rèîu deux
+se procurer. La femme de charge avait relu deux
-plus intriguée , plus
+plus intriguée, plus
-de l’intendant T M.
+de l’intendant, M.
-son uncle se promenaient ehcofe dè long
+son oncle se promenaient encore de long
-chez — 1 —’— ’ ’ .... •. ••
+chez
-1 t i’ 184 LE SECRET. la
+la
-une vois caverneuse,
+une voix caverneuse,
-gestes lents , une r démarche lourde, parviennent , par
+gestes lents, une démarche lourde, parviennent, par
-compris, * à
+compris, à
-puisse justifier, Aux
+puisse justifier. Aux
-et intelligent; et
+et intelligent ; et
-que trèsperspicace en
+que très-perspicace en
-point particulier , l’illusion générale. Bonjour, mistress Pentreath! dit
+point particulier, l’illusion générale. « Bonjour, mistress Pentreath ! dit
-Munder. T a-t-il
+Munder. Y a-t-il
-importance né donnèrent
+importance ne donnèrent
-insignifiantes ’ la voix creusé de
+insignifiantes la voix creuse de
-! * c Assez
+! « Assez
-de chargé. J’ai
+de charge. J’ai
-puis "dire qu’en
+puis dire qu’en
-pour _ savoir cè que
+pour savoir ce que
-votre attention; cette lettre.en a
+votre attention ; cette lettre en a
-autre attention * pour
+autre attention, pour
-de charge,. sans
+de charge, sans
-: 1 ’ L• n * ; Mistress Pentreath, * Vous
+: Mistress Pentreath, Vous
-de Wesfc-Winston pour
+de West-Winston pour
-permis lé voyage. :
+permis le voyage.
-LE SECRET. 185 •i I «
+«
-pauvrement écrite.... Cette
+pauvrement écrite... Cette
-grande dame; mais
+grande dame ; mais
-affaire d’opinion.,.. Je
+affaire d’opinion... Je
-parfaitement clair.... C’est
+parfaitement clair... C’est
-vous consulter,, monsieur Munder. \ —Fort bien, * dit
+vous consulter, monsieur Munder. — Fort bien, » dit
-comme j on voit; mais
+comme on voit ; mais
-deux mots! La
+deux mots ! La
-: c A/t r’ï+’1 1 Mon
+: Mon
-engager t de
+engager de
-de M, Frankland,
+de M. Frankland,
-savoir ( sans le
+savoir (sans le
-une ; femme
+une femme
-distinguées, trèsnerveuse en
+distinguées, très-nerveuse en
-autant ^ que
+autant que
-jamais . que
+jamais que
-timidité j sa
+timidité ; sa
-et contenue, Ses
+et contenue. Ses
-hésitation. ; J’insiste
+hésitation. J’insiste
-reconnaître r! dans
+reconnaître dans
-ici. ^ Par
+ici. Par
-comme ( probable,
+comme probable,
-de Porthgenna^ Tower ou
+de Porthgenna-Tower ou
-est-il par;\ faitement certain
+est-il parfaitement certain
-habitation, f J $t qu’elle
+habitation, et qu’elle
-ou M/Munder, ou
+ou M. Munder, ou
-la tivilité possibles ^ mais
+la civilité possibles, mais
-jusqu’à celai de
+jusqu’à celui de
-s’il < < t
+s’il
-186 LË SECRËT. 1 • % est possible, proeurèz-votisuiiepersonne de
+est possible, procurez-vous une personne de
-qui là suite pas
+qui la suive pas
-sans , qu’elle sans, doute i et Cassure où
+sans qu’elle s’en doute, et s’assure où
-est d’und très-sérieuse
+est d’une très-sérieuse
-instructions, s étranges
+instructions, si étranges
-rigoureusement ét à là lettre. ; j’ai tout*juste le
+rigoureusement et à la lettre. J’ai tout juste le
-nous nd savons Heu qui puissë faire tbrt à
+nous ne savons rien qui puisse faire tort à
-en question* Aussi désirons - nôus très-pârticûUèreméiit què, si
+en question. Aussi désirons-nous très-particulièrement que, si
-avec elle ^ tout sôit conduit avec àssez dë dtèéirétion pour qu’éllè ne
+avec elle, tout soit conduit avec assez de discrétion pour qu’elle ne
-ni $ue vous
+ni que vous
-ses actions.-Vous voudrez
+ses actions. Vous voudrez
-si cèla devient
+si cela devient
-qu’elle renferme, .. Bien .à vous, ROSAMOND FRANKLAND, i P.
+qu’elle renferme. Bien à vous, ROSAMOND FRANKLAND. P.
-ma chi^nbre, et le babii continue à vehir ihëifvéitleusement bien. * VoilàI•.. dit
+ma chambre, et le baby continue à venir merveilleusement bien. « Voilà !... dit
-de charge..,; Màihtenant, j’aimerais â savoir
+de charge... Maintenant, j’aimerais à savoir
-pareille épître..!. EU âvé^ vôtis VU <£ùi lui ressemblât? et ëèpëndaût,.monsieur Muhder, voué hè manquez pâ^ d’ëxpêriehcè. Donc,
+pareille épître... En avez-vous vu qui lui ressemblât ? et cependant, monsieur Munder, vous ne manquez pas d’expérience. Donc,
-épaules Une lourde ïespdhsâbilité, sans
+épaules une lourde responsabilité, sans
-la tète, toute
+la tête, toute
-femme mysté* rieuse4i et
+femme mystérieuse, et
-j’y pense* moins
+j’y pense, moins
-votre avis* monsieur Munder? Il
+votre avis, monsieur Munder ? Il
-à fâiré sur^lê^hàmj)t.» Voyez* vous, èn particulier,
+à faire sur-le-champ... Voyez-vous, en particulier,
-de ëônduitë qui vôtiô semblé déVoir êtré àdojptéë? » M. Miihder toliSsà quelque pëu, croisa sa jàihbe droite
+de conduite qui vous semble devoir être adoptée ? » M. Munder toussa quelque peu, croisa sa jambe droite
-sa jàihbe gâuéhe, inclina
+sa jambe gauche, inclina
-la tète d’un
+la tête d’un
-indice critique; puis sa tpu^ le reprit, ët; il
+indice critique ; puis sa toux le reprit, et il
-face d’elle> en
+face d’elle, en
-qu’à M* Munder, mistress Pehtreath n’y eût. su
+qu’à M. Munder, mistress Pentreath n’y eût su
-de l’abasourdisse* ment le
+de l’abasourdissement le
-n’y chërchér respectueuse ment que deâ riiôtifs de confiance. Jè croirais assez..v cdmmëhga 1$. Munder. : —
+n’y chercher, respectueusement que des motifs de confiance. « Je croirais assez... commença M. Munder. —
-hâta dé dirè la
+hâta de dire la
-charge. Gomme ils
+charge. Comme ils
-ce pomt .de leurs
+ce point de leurs
-servante arriva* qui
+servante arriva, qui
-le dôuvert pour
+le couvert pour
-Pentreath. l
+Pentreath. « Bon !...
-LE SECRET 18*7 Éon!,.. pas à présent!... pas
+pas à présent !... pas
-présent, Betsey! dit
+présent, Betsey ! dit
-de charge*.*. Ne
+de charge... Ne
-vous sonnerai.... M.
+vous sonnerai... M.
-sujet très-important.». Il
+sujet très-important... Il
-déranger. t> . Ce
+déranger. » Ce
-petit noinbre, que
+petit nombre, que
-y appelaiént, entraient
+y appelaient, entraient
-fermée seuleînent au
+fermée seulement au
-jour. Qui
+jour. « Qui
-bien être?i s’écria
+bien être ? » s’écria
-vue obliqué sur
+vue oblique sur
-portail. ^ JL. , t 1» m r Le
+portail. Le
-marche : une
+marche ; une
-soin y ’ extrême,
+soin extrême,
-était dé couleurs foncées. a Juste ciell monsieur
+était de couleurs foncées. « Juste ciel ! monsieur
-de charge* revenant
+de charge, revenant
-la porte.... une
+la porte... une
-une femme..,, et
+une femme... et
-avec soin.,., et
+avec soin... et
-couleurs modestes.... Yous me toucheriez . -1 . . r ^ , • . • du
+couleurs modestes... Vous me toucheriez du
-suis émue!... Attendez, Betsey.,.. ne bougez paslw —
+suis émue !... Attendez, Betsey... ne bougez pas ! —
-porte, madame.... j’allais
+porte, madame... j’allais
-étonnée. —Ne bougez, Betsey I -. • répéta
+étonnée. — Ne bougez, Betsey !... répéta
-calme habituel...* J’ai
+calme habituel... J’ai
-occasion spéciale* pour
+occasion spéciale, pour
-au vôtre.;.. Faites^moi place,
+au vôtre... Faites-moi place,
-effarés K.. Je
+effarés !... Je
-moi-même répon* dre au
+moi-même répondre au
-188 LE SECRET. CHAPITRE III. Dans
+=== CHAPITRE III. — Dans
-manoir. * Si
+manoir. === Si
-fantastique. <r Gomment vous portez-vous? Nous
+fantastique. « Comment vous portez-vous ? Nous
-maison, * dit
+maison, » dit
-usant dè ses
+usant de ses
-familier, t avec
+familier, avec
-salut bizarre? Que
+salut bizarre ? Que
-inexplicable. Gomment vous portez-vous? Nous
+inexplicable. « Comment vous portez-vous ? Nous
-la maisôn, recommença l’oncle Josepht essayant
+la maison, recommença l’oncle Joseph, essayant
-fois l’irrrésistible ascendant
+fois l’irrésistible ascendant
-matière. -— Vous
+matière. — Vous
-restée debout: «Cette dame,
+restée debout : « Cette dame,
-la maison? »
+la maison ? »
-LE SECRET. 189 qu’elle
+qu’elle
-Outre le.costume, soigné
+Outre le costume, soigné
-et aussile timidë regard,
+et aussi le timide regard,
-les y eux. Donc,
+les yeux. Donc,
-de l’étrangère ^ ni
+de l’étrangère, ni
-Valait-il mieux; s’en
+Valait-il mieux, s’en
-visité l’habitation? ou
+visité l’habitation ? ou
-dame inconnue? C’était
+dame inconnue ? C’était
-fallait re— | courir, de
+fallait recourir, de
-à là sagacité
+à la sagacité
-M. Mun’ der. <r Veuillez
+M. Munder. « Veuillez
-ne pas. prendre
+ne pas prendre
-tout droit • par[ dessus sa
+tout droit, par-dessus sa
-du perron.: [ —
+du perron. —
-la rebuffade.... Que
+la rebuffade... Que
-entrer. ^ ;? La
+entrer. La
-avec M, Munder; mais
+avec M. Munder ; mais
-lettre dè mistress
+lettre de mistress
-à la. mise, modeste* cè souvenir
+à la mise modeste, ce souvenir
-dame ; elle-même,
+dame elle-même,
-à l’avant-gardepour pénétrer
+à l’avant-garde pour pénétrer
-de l’habi[ tation, le
+de l’habitation, le
-franchi. a: Betsey
+franchi. « Betsey
-pas dès deux visiteurs. Betsey!..* demandez
+pas des deux visiteurs. Betsey !... demandez
-» , . M.
+» M.
-d’un pasirésolu, et don- %
+d’un pas résolu, et donnant à
-s t 190 LE SECRET. riant à sa
+sa
-une "singulière expression
+une singulière expression
-entendu sonner-, sans
+entendu sonner, sans
-en p}us agitée, l’attira hrfrs de
+en plus agitée, l’attira hors de
-laquelle s’intéres^ saient si
+laquelle s’intéressaient si
-yeux lep deux
+yeux les deux
-le diffiçile dilemme
+le difficile dilemme
-la préoc* cupait. Avec
+la préoccupait. Avec
-elle s’aventuïa, par
+elle s’aventura, par
-sa responsabilité; savoir,
+sa responsabilité ; savoir,
-manoir k sa compagne. M, Munder,
+manoir à sa compagne. M. Munder,
-d’impatience. * Voilà
+d’impatience. « Voilà
-Eh bien.,., ce
+Eh bien... ce
-la mienne» * La
+la mienne. » La
-pensez-vous, suggérait-elle en
+pensez-vous, suggéra-t-elle en
-en mêmp temps
+en même temps
-dame. —» Précisément,
+dame. — Précisément,
-idée, a répondit
+idée, » répondit
-M. Munder- n’avait
+M. Munder n’avait
-adoptant résolûment un
+adoptant résolument un
-contraire à, celui
+contraire à celui
-consulté. ’ c Vous
+consulté. « Vous
-charge. Précisément,
+charge. — Précisément,
-la prendrais , répliqua
+la prendrais, répliqua
-supérieurs. A merveille monsieur
+supérieurs. — À merveille, monsieur
-LE SECRET. 191 d’avoir
+d’avoir
-mistress Pentreath; mais
+mistress Pentreath ; mais
-jamais, songêî-y, je
+jamais, songez-y, je
-de my$t|res que
+de mystères que
-pouvais compte? sur
+pouvais compter sur
-grave erreur..,. Ûr je ferais * très-fâchée
+grave erreur... Or je serais très-fâchée
-commise, non^seulement pour
+commise, non-seulement pour
-mais aussi. »
+mais aussi... »
-méprendre. a Achevez,
+méprendre. « Achevez,
-avec pn phlegme
+avec un phlegme
-lettre d§ pistress Frankland plaoe sur
+lettre de mistress Frankland place sur
-son prppre piège. Il
+son propre piége. Il
-mistress Frankla&4 ne
+mistress Frankland ne
-d’une reprise, Une
+d’une reprise. Une
-repris assers de e&lm© pour
+repris assez de calme pour
-la joindre confusion. . % Je
+la moindre confusion. « Je
-vraiment surpris,, mistress Pentreath, continua~t-il avec
+vraiment surpris, mistress Pentreath, continua-t-il avec
-des cirQQnstaages aussi himvres que
+des circonstances aussi bizarres que
-tous deux. ïTon> madame
+tous les deux. Non, madame
-d’autres défauts; mais
+d’autres défauts ; mais
-responsabilité. Yous n’aviez
+responsabilité. Vous n’aviez
-mistress Frankland; et.... non,
+mistress Frankland ; et... non,
-vous prie..», je
+vous prie... je
-prêt, madame.^?, absolument prêt k monter
+prêt, madame... absolument prêt à monter
-le mieus,**. car
+le mieux... car
-vieillard qni bayar4e aveoBetsey comme
+vieillard qui bavarde avec Betsey comme
-berceau I » T
+berceau ! »
-192 LE SECRET. Rien
+Rien
-lui, et; plus tar<J,,sur le
+lui, et, plus tard, sur le
-amenés k Porthgenna.
+amenés à Porthgenna.
-près d’éclater , par
+près d’éclater, par
-qu’il lui,faisait, et
+qu’il lui faisait, et
-et, delà, au
+et, de là, au
-domestique. < Mais
+domestique. « Mais
-pourquoi fpersonne ne
+pourquoi personne ne
-habite, réponditBetsey, riant
+habite, répondit Betsey, riant
-identiques. -Voulez-vous bien vous tâirë, et
+identiques. — Voulez-vous bien vous taire, et
-en bas?* s’écria
+en bas ? » s’écria
-: «Les ignorants
+: « Les ignorants
-un demi-siècle; d’absurdes
+un demi-siècle ; d’absurdes
-régions souterraines.... Je
+régions souterraines... Je
-au fantôme.... du
+au fantôme... du
-la journée, i Après
+la journée. » Après
-basse, Betsey . bien
+basse, Betsey, bien
-LE SECRET. 193 \ t qu’on
+qu’on
-là, M- Munder,
+là, M. Munder,
-séparait. Si
+séparait. « Si
-de -me suivre. J> À
+de me suivre. » À
-dominicale, comme-si elle
+dominicale, comme si elle
-soir. Aussi
+soir. « Aussi
-un cortège funèbre, i> dit
+un cortége funèbre, » dit
-montrer lé manoir,
+montrer le manoir,
-même ton.... Que
+même ton... Que
-de nous? Pourquoi
+de nous ? Pourquoi
-du regard? t> Avant
+du regard ? » Avant
-ouest. or Ahl ahl s’écria
+ouest. « Ah ! ah ! s’écria
-en personne.... Belle
+en personne... Belle
-ma foi!... et
+ma foi !... et
-perchoir l... —
+perchoir !... —
-Cornouailles occidental , que
+Cornouailles occidental, que
-de mansion et
+de mansion, et
-en pa^\. Mansion, maison noble j le nom de château {castle) était réserve demeures fortifiées, IË SECRET. 13
+en parlant
-1 4 t 1Ô4 LE SECRET, lant de l’escalier ouest..,. Je
+de l’escalier ouest... » Je
-Et pourquoi? répliqua l’impassiblè Allemand,... Qu’avais-je
+Et pourquoi ? répliqua l’impassible Allemand... Qu’avais-je
-livre, yous ayant pour me. guider? Ahl cher
+livre, vous ayant pour me guider ? Ah ! cher
-pas justice.,.. Tin vrai
+pas justice... Un vrai
-bas monde.... ,Ôh I mais non.... non 1... ce
+bas monde... Oh ! mais non... non !... ce
-discuter ceci..., Je
+discuter ceci... Je
-cette façon.... »
+cette façon... »
-n’aurait .pu être, traité
+n’aurait pu être traité
-bien mêine cet
+bien même cet
-duc ët pair
+duc et pair
-le ne^ne s’élevait
+le nez ne s’élevait
-du sol! Tandis
+du sol ! Tandis
-accumulait eh lui
+accumulait en lui
-hâta .de rallier
+hâta de rallier
-par d’améres et
+par d’amères et
-Le cortège ainsi
+Le cortége ainsi
-trouva pas , néanmoins , tout
+trouva pas, néanmoins, tout
-à l’arriére-garde. A la
+à l’arrière-garde. À la
-cette promer nade intérieure 7 et
+cette promenade intérieure, et
-inconnus n’àvait, à
+inconnus n’avait, à
-de Porth*
+de Porthgenna.
-LE SECRET. 195 genna. Aussi
+Aussi
-ne pas. demeurer
+ne pas demeurer
-quelques-uns , des
+quelques-uns des
-les soupçons , les
+les soupçons, les
-second étage,’ <r Tous avez
+second étage. « Vous avez
-la maison? demanda-t-eile; vivement
+la maison ? demanda-t-elle vivement
-Pentreath. .. — Yous voulez
+Pentreath. — Vous voulez
-aussitôt celle-, ci.... Oui,
+aussitôt celle-ci... Oui,
-ici. . —
+ici. —
-? <V, — Non.... Mais
+? — Non... Mais
-malheur, ilr y
+malheur, il y
-à faire.,.. Même
+à faire... Même
-meilleure pai> tie du
+meilleure partie du
-du halit sont
+du haut sont
-vivait feti ipistress Treverton.... et
+vivait feu mistress Treverton... et
-est morte.... »
+est morte... »
-la lettre dè mistress
+la lettre, de mistress
-laisser impôt ser silence
+laisser imposer silence
-peu ’ pertinente,
+peu pertinente,
-termes ; ,, ..." ; ... ;;t c Et,
+termes : « Et,
-est morte.... * Pour
+est morte... » Pour
-se retournant’ tout à? coup,
+se retournant tout à coup,
-: Parlons
+: « Parlons
-de revenant.... Dit-on
+de revenant... Dit-on
-la femme, déchargé avec
+la femme de charge avec
-plus sévère.... nullement
+plus sévère... nullement
-conte cle spectre qu’on a
+conte de spectre qu’en a
-196 LE SECRET. j —
+—
-fois pardon.... je
+fois pardon... je
-inattention apparente..,. Je
+inattention apparente... Je
-de songer.,.. C’est-à-dire,
+de songer... C’est-à-dire,
-désirais savoir.... —
+désirais savoir... —
-absurde chro-* nique, reprit
+absurde chronique, reprit
-d’une femme, J» Le
+d’une femme. » Le
-se : retourna
+se retourna
-palier. ! € Qu’il
+palier. « Qu’il
-chaud l dit-elle,
+chaud ! dit-elle,
-son visagë à l’air extéj rieur. — Chaud?... par
+son visage à l’air extérieur. — Chaud ?... par
-du nord-est? »
+du nord-est ? »
-ne ’ plus
+ne plus
-intendant. , i Mistress
+intendant. Mistress
-de monj trer le
+de montrer le
-marche. <r Quant
+marche. « Quant
-y croire,... S’il
+y croire... S’il
-d’un nouveau.,., et
+d’un nouveau... et
-des superstitions, populaires, elle eh avait
+des superstitions populaires, elle en avait
-histoire funèbre , pour
+histoire funèbre, pour
-l’intérieur, ] soit
+l’intérieur, soit
-de j compte,
+de compte,
-seule daus les
+seule dans les
-Pentreath. ’ p H , . ... Pendant
+Pentreath. Pendant
-relevait les. pèrsiennes de
+relevait les persiennes de
-f * • LE SECRET. 197 j. r la
+la
-porte l de
+porte de
-l’oncle S Joseph
+l’oncle Joseph
-adresser quelt ques paroles d’encouragement, a sa
+adresser quelques paroles d’encouragement, à sa
-aussi | originales
+aussi originales
-tendres. c Allons,
+tendres. « Allons,
-tout bas.... Ne
+tout bas... Ne
-— Ah! mes
+— Ah ! mes
-mes penséesI... répondait-elle
+mes pensées !... répondait-elle
-contre moi..,. Pourquoi,
+contre moi... Pourquoi,
-— Tous feriez
+— Vous feriez
-de releyer la persienne,... Elle
+de relever la persienne... Elle
-ses f oreilles,
+ses oreilles,
-de chargé, ’ qu’elle
+de charge, qu’elle
-ensuite, ét fatiguant
+ensuite, et fatiguant
-à * surveiller
+à surveiller
-important ! de
+important de
-toute t occasion,^ le
+toute occasion, le
-faire së pouvait,
+faire se pouvait,
-infligé l’insolent, étranger,
+infligé l’insolent étranger,
-se prélasse^ tantôt s’accoudant r
+se prélasse, tantôt s’accoudant
-198 LE SECRET. aux
+aux
-grimaces devant; les
+grimaces devant les
-dû regarder La
+dû regarder. La
-affectation d ? indifférence, l’avertit
+affectation d’indifférence, l’avertit
-qu’elle avait assez
+qu’elle avait, assez
-la darne au
+la dame au
-costume. cc Eort bien,
+costume. « Fort bien,
-insouciance boudeuse...* Et maintenant* madame,
+insouciance boudeuse... Et maintenant, madame,
-après .avoir visité le salon?... Reviendrons-nous
+après avoir visité le salon ?... Reviendrons-nous
-à manger?... ou
+à manger ?... ou
-autre formalité?*.. Soyez
+autre formalité ?... Soyez
-régler ceci.... puisque
+régler ceci... puisque
-verrou dé celle
+verrou de celle
-quitter. Voici
+quitter. « Voici
-des visiteurs.... La
+des visiteurs... La
-de lès ramener
+de les ramener
-cet appartement* » Eorcé, par
+cet appartement. » Forcé, par
-mirait, M, Munder,
+mirait, M. Munder,
-provoquante, : s’alla
+provoquante, s’alla
-de Ses : lèvres, Sârah s’était
+de ses lèvres, Sarah s’était
-de ohe: minée que
+de cheminée que
-attention. L’onde Joseph,
+attention. L’oncle Joseph,
-bâtons rompus* selon
+bâtons rompus, selon
-LE SECRET* 199 alors
+alors
-la table* naturellement! beaucoup
+la table, naturellement beaucoup
-cabinet ’superpose?... Qu’y
+cabinet superposé ?... Qu’y
-magnifique boite à
+magnifique boîte à
-?... Oh!..oft/... OH!... s’écria
+?... « Oh !... oh !... oh !... s’écria
-exécutant UNE gamme
+exécutant une gamme
-de s^ yoix de
+de sa voix de
-qui e^rimait une surprise démesurée, Quvrez-lal... Faites-lajouer que j^e sache
+qui exprimait une surprise démesurée. Ouvrez-la !... Faites-la jouer !... que je sache
-joue 1... »
+joue !... »
-à sop. impatiente
+à son impatiente
-enthousiasme. Monsieur
+enthousiasme. « Monsieur
-du sâipn à l’autre.,.. Où avez-vous îes yeux? Pourquoi
+du salon à l’autre... Où avez-vous les yeux ? Pourquoi
-sauter îâ serrure
+sauter la serrure
-à musique!... Laissez-xnoi, monsieur L.. Comment
+à musique !... Laissez-moi, monsieur !... Comment
-mettre te main sur moi? — Oh! faites-la jouer! faites la jouer! répéta
+mettre la main sur moi ? — Oh ! faites-la jouer ! faites la jouer ! répéta
-de mistrçss Peniyeath, mais
+de mistress Pentreath, mais
-seconde sommation.,.. Voyez par ici!... Ce
+seconde sommation... Voyez par ici !... Ce
-à musique.... Faites
+à musique... Faites
-la yôtre..,. Jpue-t-elle du
+la vôtre... Joue-t-elle du
-elle aussi?... Elle
+elle aussi ?... Elle
-grosse qu’aupune de
+grosse qu’aucune de
-jamais vues.,.. Tous voyez cette petite-là?,.. Elle
+jamais vues... Vous voyez cette petite-là ?... Elle
-la vôtre..,, mais
+la vôtre... mais
-et futurs.,,, par
+et futurs... par
-en personne.... Faites
+en personne... Faites
-grosse machine,... et je TOUS ferai
+grosse machine... et je vous ferai
-joujou d’enfant.*.. Ah l chère
+joujou d’enfant... Ah ! chère
-moi l Monsieur! s’écria
+moi ! — Monsieur ! s’écria
-charge, tipn malencontreuse ât rougir
+charge, que cette adjuration malencontreuse fit rougir
-? dpnmda -M, JMunder* accouru
+? demanda M. Munder, accouru
-la rescousse.,.. Croyez-vou§ qu’qn ait
+la rescousse... Croyez-vous qu’on ait
-ici dp vos
+ici de vos
-ces profanes, allures, également étra^ères -’...Oui, monsieur J’ai dit-profanes. Tout
+ces profanes allures, également étrangères ?... Oui, monsieur, j’ai dit profanes. Tout
-sert da mot divin, Gommet une véritable profanation..., Et qtjidonç êtes-vous,
+sert du mot divin, commet une véritable profanation... Et qui donc êtes-vous,
-audacieuses extrémités?,.. Seriez-vous
+audacieuses extrémités ?... Seriez-vous
-par hasardai Avant
+par hasard ?... » Avant
-que M*Mùn^
+que M. Munder
-200 LE SECRET. .1er" eût
+eût
-prosopopée, Ps furent
+prosopopée, ils furent
-: <r Où est-elle? »
+: « Où est-elle ? »
-manger, m dans
+manger, ni dans
-corridor extérieur.,.. Après
+corridor extérieur... Après
-demeura debout, devant
+demeura debout devant
-faire. A peine comnaença-t-elle à
+faire. À peine commença-t-elle à
-l’oncle Joseph.: Où est-elle?... j’entends
+l’oncle Joseph : « Où est-elle ?... j’entends
-est devenue! Méchant
+est devenue ! Méchant
-vieillard î être sans vergogne!... où
+vieillard ! être sans vergogne !... où
-cette femme? s’écria
+cette femme ? s’écria
-toute seule.... ’Nous la
+toute seule... Nous la
-pour s’apercèvoir qu’il
+pour s’apercevoir qu’il
-avait besoin/ Mettez
+avait besoin. Mettez
-manoir. <r A la
+manoir. « À la
-me gourmahdaient à
+me gourmandaient à
-glissée ver3 la
+glissée vers la
-fameuse lettre.,.. Trèsbien 1... je
+fameuse lettre... Très-bien !... je
-et à,me laisser
+et à me laisser
-monsieur Munder? que
+monsieur Munder ? que
-au monde? demandait
+au monde ? demandait
-de charge,... Nous
+de charge... Nous
-yeux L.. Il
+yeux !... Il
-femme 1,,. Attendez I... elle
+femme !... Attendez !... elle
-des escaliers..,. Au
+des escaliers... Au
-second étage.... Monsieur
+second étage... Monsieur
-cet étranger!Attendez, pendant
+cet étranger !... Attendez, pendant
-je X’ ^ :
+je
-LE SECRET, 201 cours
+cours
-à clef..,* Si
+à clef... Si
-s’y cacher* » A ces
+s’y cacher. » À ces
-salon, 3t, à : perte
+salon, et, à perte
-l’étage su- ^ périeur. Pendant
+l’étage supérieur. Pendant
-cherchait ainsi" dans
+cherchait ainsi dans
-instant, qu’elle’ s’était
+instant, qu’elle s’était
-de là femme
+de la femme
-trouble complet; ses
+trouble complet ; ses
-eût é,té sur
+eût été sur
-sauvage, aveugle* obstiné,
+sauvage, aveugle, obstiné,
-dans là chambre
+dans la chambre
-ce moment,... Et
+ce moment... Et
-même clou. dont
+même clou dont
-et, l’instant d’après,
+et, l’imitant d’après,
-derrière elle; et
+derrière elle ; et
-pas rie se
+pas ne se
-sommet dè l’esca-
+sommet de l’escalier
-202 LE SECRET, lier du
+du
-plus t0t, les
+plus tôt, les
-à Porthgënnà par
+à Porthgenna par
-réparations indispensables* avait
+réparations indispensables, avait
-eut vues -, ses
+eut vues, ses
-frissonna 4e la têteaux pieds,
+frissonna de la tête aux pieds,
-les soupçpns que
+les soupçons que
-pas d’étiquette; elle
+pas d’étiquette ; elle
-autres ; c’était
+autres : c’était
-la portie de
+la porte de
-arrêtée. Ëlle la
+arrêtée. Elle la
-fait défait en
+fait défaut en
-dégagea brusquement, des
+dégagea brusquement des
-peuple jde larves fantastiques* Elle
+peuple de larves fantastiques. Elle
-contact immonde* Elle
+contact immonde. Elle
-le vesti^ bule, et
+le vestibule, et
-au t^iià de cettp vaste pièce; puis,’parvenue au
+au fond de cette vaste pièce ; puis, parvenue au
-de pette longue
+de cette longue
-la . dernière
+la dernière
-de , ce dernier escalier..., elle
+de ce dernier escalier... elle
-ouvrir. Çependant elle
+ouvrir. Cependant elle
-s’en
+s’en arracher. Tracé à la
-i l LE SECRET. 203 ’ craie
+craie
-sur ie paquet
+sur le paquet
-correspondant. •„ ’• * Elle
+correspondant. Elle
-penser, d’arriyer jà quelqu’une
+penser, d’arriver à quelqu’une
-imagination excitée, Vain
+imagination excitée. Vain
-quittée. Lë sens de 1& /vue et le sensâePouïe, doués
+quittée. Le sens de la vue et le sens de l’ouïe, doués
-quelque usager Elle
+quelque usage. Elle
-yeux, atten* dit ainsi
+yeux, attendit ainsi
-de là chambre du mHieu, le
+de la chambre du milieu, le
-suite l*unp de
+suite l’une de
-la tète aux pieds.... C’était
+la tête aux pieds... C’était
-craie s’arrêtait-illà? Elle
+craie s’arrêtait-il là ? Elle
-entière. Non; les
+entière. Non ; les
-quatre, hésita..., et
+quatre, hésita... et
-un regard, méfiant,
+un regard méfiant,
-famille, quelle avait vuf pendre
+famille, qu’elle avait vus pendre
-leurs bprdures, jadis,
+leurs bordures, jadis,
-la plupart,: pôprries pt tombées, Leurs grands lp^e^ùx nojrâtres jonchaient
+la plupart, pourries et tombées. Leurs grands lambeaux noirâtres jonchaient
-hauts plafond? voûtés, l’humidité Rivait inscrit, cornue la
+hauts plafonds voûtés, l’humidité avait inscrit, comme la
-chimérique, de? continents ? des mers et
+chimérique, des continents, des mers, et
-chargées fie poussière,
+chargées de poussière,
-qui dû vestibule
+qui du vestibule
-aux phambres du premier èta^e, àèjeté en
+aux chambres du premier étage, déjeté en
-tout d*un côté
+tout d’un côté
-deux i^ces extérieures
+deux faces extérieures
-baies pén I
+baies pé
-204 LE SECRET; rilleuses.
+rilleuses.
-comme étouffé; les
+comme étouffé ; les
-si complet? ou bienv au
+si complet ? ou bien, au
-de l’ouïe? Sarah
+de l’ouïe ? Sarah
-du vestibule».. Elle
+du vestibule... Elle
-faire face.... ou
+faire face... ou
-cette porte?. dans
+cette porte ?... dans
-aux Myrtes? Oui,
+aux Myrtes ? Oui,
-bien là!... Au
+bien là !... Au
-à penser; elle
+à penser ; elle
-être découverte; et,
+être découverte ; et,
-vulgaire, c toute
+vulgaire, « toute
-se Rapprochant tour
+se rapprochant tour
-soudain, très-distinct; par
+soudain, très-distinct ; par
-bonds saccadés; tantôt
+bonds saccadés ; tantôt
-porte. > #
+porte.
-"V ’Vît:- : ’ s’’ r* \l *LE SECRET, 205 I Eh
+« Eh
-?... murmura -1 - elle, suis-je arrivée | trop tard? m’ayez-vous devancée ici? a | Le
+?... murmura-t-elle, suis-je arrivée trop tard ? m’avez-vous devancée ici ? » Le
-moment suspendu; ipuis il
+moment suspendu ; puis il
-s’éteindre ensuite et
+s’éteindre ensuite, et
-effort ;’ démesurément agran[ dis, ils
+effort ; démesurément agrandis, ils
-porte elle-même; ils
+porte elle-même ; ils
-lui. Sur
+lui. « Sur
-repasse légèrement! murmura-t-elîe encore..., Maî| tresse, ce
+repasse légèrement ! murmura-t-elle encore... Maîtresse, ce
-que cela? »
+que cela ? »
-nouveau, cessa; puis
+nouveau, cessa ; puis
-coup d’oeil dans
+coup d’œil dans
-se raprocha ainsi
+se rapprocha ainsi
-sous la^ forme
+sous la forme
-sa visite* en
+sa visite, en
-sous sa.main, et,
+sous sa main, et,
-les ! jouets
+les jouets
-vent, lorsqu’on ses
+vent, lorsqu’en ses
-la j pièce
+la pièce
-carreaux brisés.... Si donc I Sarah
+carreaux brisés... Si donc Sarah
-pu bouger! si
+pu bouger ! si
-regardé à.terre, seulement
+regardé à terre, seulement
-seconde !.,. Mais
+seconde !... Mais
-auquel ;on eût | pu
+auquel on eût pu
-terrifiait profondément,. I fut
+terrifiait profondément, fut
-étaient \ restées.
+étaient restées.
-papier t’ " i c f:V. t ~~ i f i i
+papier
-2Ô6 LE SECRET tout
+tout
-réveilla lés échos endormis-.. et
+réveilla les échos endormis... et
-comme si^ ètréà sensibles, il se
+comme si, êtres sensibles, ils se
-conscience dè ce
+conscience de ce
-faisait courir.... Elle
+faisait courir... Elle
-recula en chancelant,
+recula eu chancelant,
-mouvement insensé; puis,
+mouvement insensé ; puis,
-s’élança vërs le
+s’élança vers le
-de Tescàliër, comptant
+de l’escalier, comptant
-vestibule pciur y
+vestibule pour y
-pas, lorsquun crf aigu,
+pas, lorsqu’un cri aigu,
-communication ouvërtè à
+communication ouverte à
-des portés ouvrant
+des portes ouvrant
-Ses gënoUx fléchirent sous elle,... Au
+Ses genoux fléchirent sous elle... Au
-l’escalier. CHAPITRE IV. M. Munder, juge suprême. Le
+l’escalier. === CHAPITRE IV. — M. Munder, juge suprême. === Le
-des vôix et le brUit des
+des voix et le bruit des
-: <c Sarah Sarah t... où étes-votts? »
+: « Sarah !... Sarah !... où êtes-vous ? »
-d’après, l’onble Joseph i
+d’après, l’oncle Joseph
-*\v*• ’VWT j fTM H. v T; T.TT» f îifi SÈCREÎ. parut
+parut
-regards inquietsTout d’abord, il jf aperçut pas
+regards inquiets. Tout d’abord, il n’aperçut pas
-pendait a,u bord
+pendait au bord
-ses yeux, Il
+ses yeux. Il
-en courant J et
+en courant, et
-l’intendant, là femme
+l’intendant, la femme
-quitter. De l’eau!... criait
+quitter. « De l’eau !... criait
-signes insensés.... Elle
+signes insensés... Elle
-ici 1... elle est tombée-- elle est étànouië !.., De l’eau!... de l’eau t »
+ici !... elle est tombée... elle est évanouie !... De l’eau !... de l’eau ! »
-mistress Pentreath.... Mistress
+mistress Pentreath... Mistress
-regarda Betsey.-. Betsey
+regarda Betsey... Betsey
-terre. Tous, trois demeu^ raieiit immobiles,
+terre. Tous trois demeuraient immobiles,
-pas daiis le
+pas dans le
-n’est pais une sèiçnce absolument illusoirè, on pouvait liïè sur leurs visages ? en caractères, fort
+n’est pas une science absolument illusoire, on pouvait lire sur leurs visages, en caractères fort
-merveilleuse unanimité* En d’a,utres termes,
+merveilleuse unanimité. En d’autres termes,
-du fantôme, DeTeau, vous dis-je 1... de l’eau! répétait
+du fantôme. « De l’eau, vous dis-je !... de l’eau ! répétait
-évanouie U, Sur
+évanouie !... Sur
-se trouyera-t-il pas
+se trouvera-t-il pas
-bon cœur?... Dé l’eaii, de
+bon cœur ?... De l’eau, de
-de l’eau!... Je
+de l’eau !... Je
-moi aùssi, avant
+moi aussi, avant
-m’ayez entendu! — J’apporterai d.e l’èau, madame,
+m’ayez entendu ! — J’apporterai de l’eau, madame,
-l’escalier. Elle couïUt à
+l’escalier. » Elle courut à
-et reviïiV avec un Verre d’eau * j-t •. * •• ® . qu’elle
+et revint avec un verre d’eau qu’elle
-petite révérence ? d’abord
+petite révérence, d’abord
-l’intendant. Je
+l’intendant. « Je
-une commission j dit
+une commission, dit
-ajouta Mi Munder
+ajouta M. Munder
-Pentreath d’ans son
+Pentreath dans son
-l’eau l * criait
+l’eau ! » criait
-troisième fois/ En
+troisième fois. En
-sa nièce,à reculons, à <^elques. pas
+sa nièce, à reculons, à quelques pas
-lui appuyôr
+lui appuyer
-208 LE SECRET, sle dos
+le dos
-la muraille.... G: De l’eau! ou
+la muraille... « De l’eau ! ou
-les oreilles! criait-il,
+les oreilles ! criait-il,
-Pardon, monsieurI... Êtes-vous
+Pardon, monsieur !... Êtes-vous
-est là-haut? demanda
+est là-haut ? demanda
-main. ^ —
+main. —
-suis sûr? s’écria
+suis sûr ? s’écria
-sa rencontre.... Quelle
+sa rencontre... Quelle
-est celle-ci?... Et
+est celle-ci ?... Et
-— Eh! mais.... le
+— Eh ! mais... le
-plus lentement.,., le
+plus lentement... le
-du nord, »
+du nord. »
-hésitation, .elle rassembla
+hésitation, elle rassembla
-ramasser, ët les
+ramasser, et les
-hâte que" le
+hâte que le
-de respirer; quelques
+de respirer ; quelques
-ramena aihsi, peu
+ramena ainsi, peu
-furent t Ne
+furent : « Ne
-quittez pas! * Le
+quittez pas ! » Le
-fut dë se
+fut de se
-lui. t N’ayez
+lui. « N’ayez
-voix caressante.... Je
+voix caressante... Je
-de vous.... Dites-moi
+de vous... Dites-moi
-Sarah !.,. Pourquoi
+Sarah !... Pourquoi
-trouvée mal?... Quelle a,été la
+trouvée mal ?... Quelle a été la
-votre effroi?... — Ôh! ne m’interrogez pas!... pour
+votre effroi ?... — Oh ! ne m’interrogez pas !... pour
-questions I — Soit!... soit.... je
+questions ! — Soit !... soit... je
-ce cas,... Encore, une gorgée.... une petite gorgée.... —
+ce cas... Encore une gorgée... une petite gorgée... —
-cher oncle..,* Voyons
+cher oncle... Voyons
-LE SECRET. 209 — Pas encore.*.. Pas
+— Pas encore... Pas
-fait encore*..* Un
+fait encore... Un
-patience. —Aidez-moi!... oh!... aidez-moi! ...Il faut
+patience. — Aidez-moi !... oh !... aidez-moi !... Il faut
-ces portes!... Que
+ces portes !... Que
-Allons donc.... mais
+Allons donc... mais
-un peu.... Essayez
+un peu... Essayez
-par terre!... Appuyez-vous sur moi.... Appuyez, appuyez ferme!... Je
+par terre !... Appuyez-vous sur moi... Appuyez, appuyez ferme !... Je
-qu’un homm + e et
+qu’un homme et
-un rocher.... Êtes-vous
+un rocher... Êtes-vous
-la chambre? ajouta-t-il tout bas.... Avez-vous la lettre? * Il
+la chambre ? ajouta-t-il tout bas... Avez-vous la lettre ? » Il
-épaule. Oh! Sarah I... Sarah!... s’écria le vieillard.... Yous avez
+épaule. « Oh ! Sarah !... Sarah !... s’écria le vieillard... Vous avez
-? * Elle
+? » Elle
-frissonna légèrement, et
+frissonna légèrement ; et
-des degrés, t Je
+des degrés. « Je
-aux l Myrtes.... Jamais,
+aux Myrtes... Jamais,
-jamais plus! disait-elle.... Allonsî nous-enl... Je puis marcher.... me revoilà forte»... Oncle
+jamais plus ! disait-elle... Allons-nous-en !... Je puis marcher... me revoilà forte... Oncle
-moi, tirezmoi de cette maison!... Où
+moi, tirez-moi de cette maison !... Où
-nous î revoyions
+nous revoyions
-en f| plein air.... Où
+en plein air... Où
-Porthgenna-Tower , f ne
+Porthgenna-Tower ne
-» p Les
+» Les
-question, ^ l’oncle
+question, l’oncle
-descendre l’escaliér. Elle
+descendre l’escalier. Elle
-le vestibule , qu’elle
+le vestibule, qu’elle
-le ^ vieillard,
+le vieillard,
-de l très-gracieux,
+de très-gracieux,
-promptitude d’actio n ^ qui
+promptitude d’action qui
-vieux || manoir.
+vieux manoir.
-de T| LE SECRET. 14 i-, r i.* r
+de
-.V’^r" 210 LE SEGRET. montrer
+montrer
-côté de. sa
+côté de sa
-Sarah, qui, tout :bas lui
+Sarah, qui tout bas lui
-Pentreath. -- ^• • ••i . M.
+Pentreath. M.
-passer pouriermer derrière
+passer pour fermer derrière
-communication. Ceçi fait,
+communication. Ceci fait,
-à Betséy qu’ii chargea
+à Betsey qu’il chargea
-rapporter à. leur place accoutumé^, lui,
+rapporter à leur place accoutumée, lui,
-théâtre de,tant d’émotions, d’un j)as qui
+théâtre de tant d’émotions, d’un pas qui
-pavillon nord,, cependant, il repr;t merveilleusement son sangfroid. Son
+pavillon nord, cependant, il reprit merveilleusement son sang-froid. Son
-se < rallièrent,
+se rallièrent,
-son rôle; car,
+son rôle ; car,
-empreints .de cette
+empreints de cette
-qui :se complaît en ^Ha-même. Gomme le
+qui se complaît en elle-même. Comme le
-des hpmmes doués
+des hommes doués
-occasion, exceptionnèllement fayorable, de se , procurer
+occasion, exceptionnellement favorable, de se procurer
-qui y^naient d’agiter
+qui venaient d’agiter
-profession, Geu^-là seuls n§ sont
+profession, ceux-là seuls ne sont
-les ^circonstance^ Tçhez qui
+les circonstances, chez qui
-jointe à, la ^dangereupe^ habitude
+jointe à la dangereuse habitude
-ce qu’ils^ diîsçnt. 1VL Munder
+ce qu’ils disent. M. Munder
-classe heureuse , et
+classe heureuse, et
-une ,place distinguée
+une place distinguée
-à rencontre des
+à l’encontre des
-sous prétèxtg, de
+sous prétexte de
-explication de. leur conduite * avant de. geçmettre qu’ils sortissent 4e la. maison* Arrive dans
+explication de leur conduite, avant de permettre qu’ils sortissent de la maison. Arrivé dans
-il trouya Foncle Joseph
+il trouva l’oncle Joseph
-bout ayeq,sa nièce, occupé
+bout avec sa nièce, et occupé
-gouttes dé sel
+gouttes de sel
-la f femme déchargé, une caisse,k remèdes^ouveïte devant elle.sur une table.. Ce
+la femme de charge, une caisse à remèdes ouverte devant elle sur une table. Ce
-ce coté que M. ’MUncler ’ se
+ce côté que M. Munder se
-et son,aspect rie promettait
+et son aspect ne promettait
-de .bon. il approcha
+de bon. Il approcha
-il â’assit, avec
+il s’assit, avec
-particulier d’arranger,les basques det. son. habit; deL ce, jnoment, on
+particulier d’arranger les basques de son habit ; de ce moment, on
-à .tous ’ égards,
+à tous égards,
-le portrait si l’on veut," un loré fcMtf justicier en ^sbit dç ville*. ff; J h IF r :i, t)’ ii r-
+le portrait, si l’on veut, d’un lord haut justicier en habit de ville.
-r’ tetx,- — . ——> LE SECRET. 211 H Mistress
+Mistress
-à Ges préparatifs,
+à ces préparatifs,
-chose d’extraordinaire* s’assit
+chose d’extraordinaire, s’assit
-peu en,arrière de
+peu en arrière de
-Betsey raccroeha les
+Betsey raccrocha les
-sur place, Halte I s’il
+sur place. « Halte ! s’il
-majestueux intendant Je
+majestueux intendant. Je
-tout présentement* jeune fille* à
+tout présentement, jeune fille, à
-de fait* * La
+de fait. » La
-la porte* terrifiée
+la porte, terrifiée
-quelque chose* et
+quelque chose, et
-légal d? origine inconnue,
+légal d’origine inconnue,
-crime. t A présent, monsieur* dit M; Munder, s,’adressant à l’oncle Joseph* comme
+crime. « À présent, monsieur, dit M. Munder, s’adressant à l’oncle Joseph, comme
-des Commun es, si
+des Communes, si
-ces sels.**, et
+ces sels... et
-de vous^ »
+de vous. »
-exorde effrayant* Sarah
+exorde effrayant, Sarah
-son oncle,’la prenant
+son oncle, la prenant
-la main} la
+la main, la
-place. c Attendez i et
+place. « Attendez, et
-des réponses * Dès
+des réponses. Dès
-ses c quelques mots* a soit
+ses « quelques mots, » soit
-le siège, et
+le siége, et
-moment présent* dit alors M-. Munder£je me
+moment présent, dit alors M. Munder, je me
-abstenu d’exprimer, une opinion* Mais
+abstenu d’exprimer une opinion. Mais
-est venu..^ mistress Pentreath* pardonne^^moiu.-. où
+est venu... mistress Pentreath, pardonnez-moi... où
-investi, Gomme je le suis d’un
+investi, comme je le suis, d’un
-de droit* sentantie plus, comme jp le
+de droit, sentant de plus, comme je le
-en rester, au
+en rester au
-de mon- devoir
+de mon devoir
-que votre.conduite me
+que votre conduite me
-fort extraordinaire^ * Cette
+fort extraordinaire. » Cette
-péniblement amenée* était
+péniblement amenée, était
-de Sarâh* et
+de Sarah, et
-fait subir* M.
+fait subir, M.
-en arrière* plein
+en arrière, plein
-tentative oratoire* c Mon
+tentative oratoire. « Mon
-l’accent addUci d’une impartialité plaintive* est
+l’accent adouci d’une impartialité plaintive, est
-envers chacun..*, Je ne V
+envers chacun... Je ne
-212 LE SECRET, veux
+veux
-terrifier personne,... Je
+terrifier personne... Je
-leur étrangeté,... Je
+leur étrangeté... Je
-» M, Munder
+» M. Munder
-était adressé, La
+était adressé. La
-charge. Passons
+charge. « Passons
-se rassasiait en
+se rassasiant en
-propre voix..., Yous, madame,
+propre voix... Vous, madame,
-: «Même à
+: « Même à
-le siège du
+le siége du
-simple maison.») On
+simple maison. ») On
-reçoit. Yous, monsieur,
+reçoit. Vous, monsieur,
-qualité d’étranger); vous,
+qualité d’étranger) ; vous,
-cette requête..,. Que s’ensuit-il?,,. Elle
+cette requête... Que s’ensuit-il ?... Elle
-introduire *
+introduire
-LE SEGRET. 213 ainsi
+ainsi
-raisons exceptionnelles.... * Ici Sarah tressaillit: <r Quelles
+raisons exceptionnelles... » Ici Sarah tressaillit : « Quelles
-d’œil. P L’oncle
+d’œil. L’oncle
-: <r Chutl... chutL. dit-il; laissez-moi
+: « Chut !... chut !... dit-il ; laissez-moi
-de parler.» Au
+de parler. » Au
-: oc La
+: « La
-me rappeler? répliqua
+me rappeler ? répliqua
-ses instrucv tions..,. Et
+ses instructions... Et
-me compromettre? (ce
+me compromettre ? (ce
-cette affaire.... Quelles raisons? disiez-vous,
+cette affaire... Quelles raisons ? disiez-vous,
-à Sarah.... Ne
+à Sarah... Ne
-de raisons..,. Nous
+de raisons... Nous
-encore là.... Nous
+encore là... Nous
-aux événements.... "Veuillez vous
+aux événements... Veuillez vous
-plus m’interrompre.... J’observais,... je
+plus m’interrompre... J’observais... je
-de l’Ouest.... le
+de l’Ouest... le
-escalier spacieux.... Vous
+escalier spacieux... Vous
-politesse, j’ajouterai en
+politesse, j’ajouterai, en
-le salon.... C’est
+le salon... C’est
-langage outrageant»... que
+langage outrageant... que
-qualifier »de brutal.
+qualifier de brutal.
-dérobant a la vue..,. Une
+dérobant à la vue... Une
-nous ’ rend,
+nous rend,
-et moi.... a Ici
+et moi... » Ici
-manquait. Tout
+manquait. « Tout
-répliqua M, Mnndêr, d’un ton sévère., ; i t
+répliqua M. Munder, d’un ton sévère... Vous
-214 LE SECREf. Voua exprimez
+exprimez
-Nous n* avons pas
+Nous n’avons pas
-tout surpris.,.. Nous avons été.... fort étonnés.... Ensuite qu’advientril?... Quel
+tout surpris... Nous ayons été... fort étonnés... Ensuite qu’advient-il ?... Quel
-la „ situation?... Qu’entendîtes*voug et qu’entendis-je, monsieur au premier- étage? (Ici
+la situation ?... Qu’entendîtes-vous et qu’entendis-je, monsieur, au premier étage ? (Ici
-l’oncle Joseph. Et
+l’oncle Joseph.) Et
-cherchiez an second
+cherchiez au second
-soudainement disparue,.,. disparue et
+soudainement disparue... disparue, et
-lors absente?quoi? » Direetement interpellée, la femmë de chargé répondit
+lors absente ? quoi ? » Directement interpellée, la femme de charge répondit
-: Un cri. 1 M « %• f * —^Eh! non,»- non.... non,
+: « Un cri. — Eh ! non... non... non,
-coups redoublés.... une clameur.... une clameur déchirante.... Et
+coups redoublés... une clameur... une clameur déchirante... Et
-la .portée, l’origine
+la portée, l’origine
-pareille clameur?... JeunefilleI (Ici
+pareille clameur ?... Jeune fille ! (Ici
-Betsey.) Nous; venons
+Betsey.) Nous venons
-singuliers §tr même
+singuliers et même
-trouvez impliquée.... Veuillez
+trouvez impliquée... Veuillez
-en présenqe des
+en présence des
-vous ën vîntes
+vous en vîntes
-pousser, àt émettre
+pousser, à émettre
-je qualifie.; moi,
+je qualifie, moi,
-clameur déchirante.... Une
+clameur déchirante... Une
-chère enfant.... La
+chère enfant... La
-vous én prie.
+vous en prie.
-mot encore: parlez nçt. .Vous me
+mot encore : parlez net. Vous me
-sans doute?.,, parlez netl a Couverte
+sans doute ?... parlez net ! » Couverte
-sa <r constatation à suivit
+sa « constatation » suivit
-personne, e’estrà-4ire qu’elle
+personne, c’est-à-dire qu’elle
-constatation * offrait
+constatation » offrait
-sur lé fourneau de là cuisine, * > i j lorsqu’elle
+sur le fourneau de la cuisine, lorsqu’elle
-de là femme
+de la femme
-recherchée <c une
+recherchée « une
-qui trotti-’ nait second
+qui trottinait »)... En second
-entendu sMloigner ce
+entendu s’éloigner ce
-parvenue
+parvenue à
-LÉ SEGRET. 215 à un brusque détotir dù corridor,
+un brusque détour du corridor,
-désespérant dë rattraper là personne quelle entendait courir devant- elle,
+désespérant de rattraper la personne qu’elle entendait courir devant elle,
-obéissant ainài à
+obéissant ainsi à
-poule a) causé
+poule ») causé
-entendu c aller a làt serrure
+entendu « aller » la serrure
-et tërrible :
+et terrible :
-lorsqu’ils Vont d’un
+lorsqu’ils vont d’un
-fermée qili vient
+fermée qui vient
-leur routé, ou
+leur route, ou
-dispensent dé cette
+dispensent de cette
-formalité eh passant
+formalité en passant
-une longue/délibération et
+une longue délibération et
-la r Question ci-dëssiis en
+la question ci-dessus en
-sixième lieù, fortifiée
+sixième lieu, fortifiée
-onomatopée : <run gros patapouf d)* En
+onomatopée ; « un gros patapouf »). En
-bruit effrâya Betsey
+bruit effraya Betsey
-fit montét le
+fit monter le
-lui CQupâ net la Respiration. En
+lui coupa net la respiration. En
-une clameur^, BeEsëy cria
+une clameur), Betsey cria
-sa force^ reprenant
+sa force, reprenant
-le clieinin de
+le chemin de
-debout i sur
+debout » sur
-et ,. f ••i • * • sa
+et sa
-jamais <r dé poule i> sur
+jamais « de poule » sur
-le somtiaet de ladite têtë jusqu’à laplâiïtede ses pieds. C’est bien cela.... c’est tien cela,
+le sommet de ladite tête jusqu’à la plante de ses pieds. « C’est bien cela... c’est bien cela,
-eut acheté sa déclaration. :
+eut achevé sa déclaration :
-femme, ^Ies cheveux
+femme, les cheveux
-était, dàns ses
+était, dans ses
-de seè expériences personnelles.... C’est bien cèla.... Tous pouvez
+de ses expériences personnelles... C’est bien cela... Vous pouvez
-brave fille.... vous
+brave fille... vous
-vous retirer.,.. Il
+vous retirer... Il
-témoignage dè Betsey
+témoignage de Betsey
-vous réporter..,. M f
+vous reporter...
-216 LE SECRET. ou
+ou
-transporter pàr la
+transporter par la
-jeune fille.... Que
+jeune fille... Que
-nous sommes?... Nous
+nous sommes ?... Nous
-au bruit.... nous
+au bruit... nous
-il partait.... Et
+il partait... Et
-nous sommes?... Nous
+nous sommes ?... Nous
-escaliers nord.... Et
+escaliers nord... Et
-les expliquer?.*. Oui,
+les expliquer ?... Oui,
-rendre intelligibles?... Je
+rendre intelligibles ?... Je
-et patrons^ au
+et patrons, au
-notre surprise.... Comment expliquezvous tout ceci? »
+notre surprise... Comment expliquez-vous tout ceci ? »
-une apologie,* bref
+une apologie, bref
-barre. c Dites-lui quelque chose!... murmura
+barre. « Dites-lui quelque chose !... murmura
-du vieillard ... quelque
+du vieillard... quelque
-le calme.... quelque
+le calme... quelque
-laisser aller.... Après
+laisser aller... Après
-folle. * Peu
+folle. » Peu
-toute circonstance., ne
+toute circonstance, ne
-et & l’emmener
+et à l’emmener
-se levant,, il
+se levant, il
-mieux entendre* L’oncle
+mieux entendre. L’oncle
-marque parH
+marque particuliè
-4 t’\ LE SECRET. 217 ? ticulière d’attention
+re d’attention
-harangue dè l’intendant.
+harangue de l’intendant.
-: Monsieur,
+: « Monsieur,
-bonjour. ;i * —
+bonjour. —
-pareil sou^ . hait ?
+pareil souhait ?
-fit ? V se
+fit se
-son fauteuil.... Comment vous permettez;, vous de
+son fauteuil... Comment vous permettez-vous de
-sujet : sérieux,
+sujet sérieux,
-question sérieuse?... Jolie
+question sérieuse ?... Jolie
-vérité I... Pensez-vous
+vérité !... Pensez-vous
-de vous.... de
+de vous... de
-peu convenable..,, une
+peu convenable... une
-— Ah!... c’est
+— Ah !... c’est
-voulez savoir? dit
+voulez savoir ? dit
-excuse venue; eh bien I... voici,,., je
+excuse venue ; eh bien !... voici... je
-vous prie?... Ceci,
+vous prie ?... Ceci,
-: * Nous
+: « Nous
-la maison, JD Or
+la maison. » Or
-a l un
+a un
-pas vrai? Fort
+pas vrai ? Fort
-contester ceci.... Cela
+contester ceci... Cela
-deux côtés.... Et
+deux côtés... Et
-deux [ personnes
+deux personnes
-côtés, j;. nous
+côtés, nous
-là der; rière, visite
+là derrière, visite
-toute Iseule, visite
+toute seule, visite
-elle s’évanouit; pourquoi? parce
+elle s’évanouit ; pourquoi ? parce
-peu moisi.... On
+peu moisi... On
-et l’araignée..,. Voilà
+et l’araignée... Voilà
-peu complète.... Monsieur,
+peu complète... Monsieur,
-le bonjour!... —
+le bonjour !... —
-bien * que le...; commença
+bien que le..., commença
-Munder qui,, dans
+Munder qui, dans
-sa digmté, et
+sa dignité, et
-n’est-ce pas monsieur
+n’est-ce pas, monsieur
-vous plaît?... Il
+vous plaît ?... Il
-monsieur l’étranger? Nous verrons, mon-
+monsieur l’étranger ? Nous verrons, monsieur,
-218 LE SECRET, sieur, si
+si
-mes soiùs, et
+mes soins, et
-explication satisfaisante.... de
+explication satisfaisante... de
-à CQ clou,
+à ce clou,
-voyez là.... monsieur,
+voyez là... monsieur,
-avis légal , une
+avis légal, une
-de magistrat.... Vous entendez, monsieur? » Les jolies rosées
+de magistrat... Vous entendez, monsieur ? » Les joues rosées
-de M; Munder
+de M. Munder
-notablement. Vous
+notablement. « Vous
-retiendriez ici? t?ous? dit
+retiendriez ici ? vous ? dit
-l’intendant avee une fixité décourageante.... C’est
+l’intendant avec une fixité décourageante... C’est
-le braâ de cette damé (courage,
+le bras de cette dame (courage,
-faire trembler).... J’emmène
+faire trembler)... J’emmène
-avec moi.... J’ouvre cette porté que voilàl Je
+avec moi... J’ouvre cette porte que voilà ! Je
-cette porte.... et je yous dis,
+cette porte... et je vous dis,
-! a A ce
+! » À ce
-Munder avànça de
+Munder avança de
-porte. Je
+porte. « Je
-vous l’osez! Les
+vous l’osez ! Les
-fait Anglais.... Vous
+fait Anglais... Vous
-d’un magistrat; l’autre
+d’un magistrat ; l’autre
-ne mé sera
+ne me sera
-de voiis écouter, en
+de vous écouter en
-aussi attentivement.,.. Allons,
+aussi attentivement... Allons,
-s’il yous plaît!... m’accusezyoùs? me menacéz-vous?... Fermez-vous cette porte?... »
+s’il vous plaît !... m’accusez-vous ? me menacez-vous ?... Fermez-vous cette porte ?... »
-sa placé :
+sa place :
-Frankland, à lui
+Frankland, » lui
-brusquement ie bras,
+brusquement le bras,
-:
+: « Voyez-les !...
-* t K * L y îiË SECRET. 219 ’ 1 cVoyez4est.» ils complotent encore. quelque
+ils complotent encore quelque
-Eh bien! répondait M. Munder..» je
+Eh bien ! répondait M. Munder... je
-lettre I de mistress ï’rankland,... et après? f — Ûhùt.... pas si haut! murmura mistress Pentreath.... A Dieu
+lettre de mistress Frankland... et après ? — Chut... pas si haut ! murmura mistress Pentreath... À Dieu
-avec vous..,, jè ne yeux que
+avec vous... je ne veux que
-avoir côntre ces gehs-ci un
+avoir contre ces gens-ci un
-un magistrat? i M.
+un magistrat ? » M.
-parut embarrassé.... Cette fois; dii moins,
+parut embarrassé... Cette fois, du moins,
-répondre. <r Ce
+répondre. « Ce
-vous autôrise-t-il à
+vous autorise-t-il à
-savoir livfée au public là connaissancé de
+savoir livrée au public la connaissance de
-chez elle? Ellè nous
+chez elle ? Elle nous
-part nouSi tout
+part nous, tout
-suivre bu de
+suivre ou de
-qu’elle è’èh douté, lorsqu’elle
+qu’elle s’en doute, lorsqu’elle
-pas, indhsiëur Munder,
+pas, monsieur Munder,
-vous j donner
+vous donner
-mais, ëh ce qui iné touche,
+mais, en ce qui me touche,
-me lâye les
+me lave les
-du ihoment où
+du moment où
-la lettré, commë elle
+la lettre, comme elle
-recommande = elle-même, les intructions de
+recommande elle-même, les instructions de
-Frankland. i V / • M.
+Frankland. » M.
-attention sùr la
+attention sur la
-de là chambre, fattirait maintenant
+de la chambre, l’attirait maintenant
-: c Betzi,
+: « Betzi,
-chère, Jit-il, s’adressant à là domestique
+chère, dit-il, s’adressant à la domestique
-un îalme imposants,
+un calme imposants,
-ne connaissôns guère les êtres.... Foulez-vous bien
+ne connaissons guère les êtres... Voulez-vous bien
-conduire dehors? » ^ Betsey
+conduire dehors ? » Betsey
-charge, <jui, par
+charge, qui, par
-geste, Ja renvoya
+geste, la renvoya
-sur • l’immédiate
+sur l’immédiate
-malgré qu ? il en
+malgré qu’il en
-avaient dë relatif
+avaient de relatif
-propres * intérêts,
+propres intérêts,
-en péril^ en lé brouillant avec* ses maîtres.Betzi, ma chère$ répéta Foncle Joseph.... Est-ce
+en péril, en le brouillant avec ses maîtres. « Betzi, ma chère, répéta l’oncle Joseph... Est-ce
-aux oreilles?... Serièz-vous devenue
+aux oreilles ?... Seriez-vous devenue
-ma petite? <
+ma petite ?
-220 LE SECRET. — Attendez 1 cria
+— Attendez ! cria
-avec impatience.... J’entends
+avec impatience... J’entends
-et prétendez?... Allons, voyons I de
+et prétendez ?... Allons, voyons ! de
-un autre,... Nous
+un autre... Nous
-nièce. «Sarah! mon
+nièce. « Sarah ! mon
-gros mots.... Tâchez
+gros mots... Tâchez
-promets. a Cependant
+promets. » Cependant
-la fémme de
+la femme de
-dominatrices. Il
+dominatrices. « Il
-ton bénin..,, mais
+ton bénin... mais
-vous dites.... Pourtant,
+vous dites... Pourtant,
-je parle.... Prétendez-vous
+je parle... Prétendez-vous
-son adresse? —Vous ûez-vous donc
+son adresse ? — Vous fiez-vous donc
-véritable adresse? demanda
+véritable adresse ? demanda
-le magistrat.... et
+le magistrat... et
-plus voisin.... vous
+plus voisin... vous
-de tout.... mais
+de tout... mais
-les clefs? — Ma foil oui.... Oui, ma foil dit
+les clefs ? — Ma foi ! oui... Oui, ma foi ! dit
-de justesse.... Et précisément.... tenez,
+de justesse... Et précisément... tenez,
-assez particulier.*,, je
+assez particulier... je
-mistress Pentreath.... Oui, ma foil.,. C’est bien cela,... —
+mistress Pentreath... Oui, ma foi !... C’est bien cela... —
-LE SECRET. , 221 • ^ charge,
+charge,
-avec eux..,. Et,
+avec eux... Et,
-premier en£ droit où
+premier endroit où
-de l’ouest.... Ces
+de l’ouest... Ces
-du midi..., Jacob , vous
+du midi... Jacob, vous
-pas manchot.... Et,
+pas manchot... Et,
-renseigné ï sur
+renseigné sur
-pas pourquoi..,. —
+pas pourquoi... —
-interrompit f M.
+interrompit M.
-assurance imperturbable.... Au
+assurance imperturbable... Au
-Jacob s’é | tait déjà présentée à* mon esprit;.,. La
+Jacob s’était déjà présentée à mon esprit... La
-je né sais
+je ne sais
-vue, et.;.» »
+vue, et... »
-chambre. <r J’aurai tout à1 l’heure
+chambre. « J’aurai tout à l’heure
-qu’il eût. pu
+qu’il eût pu
-la parole.... Ne
+la parole... Ne
-sur moi.... Avec des étran| gers cela
+sur moi... Avec des étrangers cela
-peut-être, monsieur..,. Mais
+peut-être, monsieur... Mais
-des AnI glais, c’est
+des Anglais, c’est
-sachez-le bienl » | L’oncle
+sachez-le bien ! » L’oncle
-sa l nièce
+sa nièce
-de l charge
+de charge
-qu’elle ? connaissait à merveille. les localitéspour gagner, sans ’être aperçus,
+qu’elle connaissait à merveille les localités, pour gagner, sans être aperçus,
-refusait [ obstinément, a; Je
+refusait obstinément. « Je
-glisser, .comme un couf pable, hors
+glisser, comme un coupable, hors
-disait-il [ avec
+disait-il avec
-de raison.... Rien
+de raison... Rien
-mauvais rôle.... Je ne,suis pas un homme-d’esprit , «moi.,.. Mais,
+mauvais rôle... Je ne suis pas un homme d’esprit, moi... Mais,
-me | guidera,
+me guidera,
-fausse route.... C’est
+fausse route... C’est
-propre i mouvement, Sarah, qù’ils nous
+propre mouvement, Sarah, qu’ils nous
-entrer ici.... C’est
+entrer ici... C’est
-Munder l... monsieur
+Munder !... monsieur
-un nou, veau transport
+un nouveau transport
-le ifh bft.
+le
-f u \ 1 m LE SECRET* dédaigneux
+dédaigneux
-permis l’on oie Joseph..,* Pendant
+permis l’oncle Joseph... Pendant
-à cet* audacieux,.ne dois-je
+à cet audacieux... ne dois-je
-instructions nécessaires?» M.
+instructions nécessaires ? » M.
-lui-même enfermé; il
+lui-même enfermé ; il
-: <r Allez,
+: « Allez,
-! • -r- Que signifie ceci?.., Qu’est-elle
+! » — Que signifie ceci ?... Qu’est-elle
-par là? »
+par là ? »
-timide Sarah* parlant
+timide Sarah, parlant
-avec l’ac^ cent de
+avec l’accent de
-la fenime de oharge passait
+la femme de charge passait
-que Gette question
+que cette question
-M. Munder^ c A présent,
+M. Munder. « À présent,
-disait l’intendant* debout
+disait l’intendant, debout
-le geuil de
+le seuil de
-son habit j et
+son habit, et
-la tête,,., à
+la tête... à
-mot s r- dois-je
+mot ; — dois-je
-une explieation convenable * relativement
+une explication convenable, relativement
-cette soustraction* à
+cette soustraction, à
-de clefs? — Très-certainement * monsieur * vous
+de clefs ? — Très-certainement, monsieur, vous
-l’oncle Joseph.*.. C’est
+l’oncle Joseph... C’est
-peu d’instant»; voulez-vous, que
+peu d’instants ; voulez-vous que
-vous la; répète? C’est
+vous la répète ? C’est
-votre service j en fait d’explications* .\ — Ah! vraiment?. dit M. Munder..** Eh, bien! ën Ge oas, tout
+votre service, en fait d’explications. — Ah ! vraiment ?... dit M. Munder... Eh bien ! en ce cas, tout
-l’autre, c’êst^.* c’est
+l’autre, c’est... c’est
-même. A l’instant mêmel... * ajouta-t-il du ton lè plus grossièrement péremptoirè qu’il
+même. À l’instant même !... » ajoutait-il du ton le plus grossièrement péremptoire qu’il
-mis, ét, pour s’y dérober* il
+mis, et, pour s’y dérober, il
-se permet, si
+se permet si
-pareil cas*..* cOuij monsieur > continua^!, de
+pareil cas... « Oui, monsieur, continua-t-il, de
-plus irrité* en
+plus irrité, en
-l’oncle Joseph, Oui* monsieur ^ vous pôttvez à
+l’oncle Joseph... Oui, monsieur, vous pouvez à
-aller saluer , gratter
+aller saluer, gratter
-pied, et.bredouiller vôtre mauvais
+pied, et bredouiller votre mauvais
-vous plaira^. J’ai
+vous plaira... J’ai
-avec vous* Je
+avec vous. Je
-suis raisonné;, j’ai.réfléchi, côhféré avec moi-même* Je
+suis raisonné ; j’ai réfléchi, conféré avec moi-même. Je
-avec calme*.,* un Anglai$ est toujours calme. *<* à; quoi
+avec calme... un Anglais est toujours calme... à quoi
-X ï M % arrivé
+arrivé
-qui est.... Non,
+qui est... Non,
-que \ je voulais dire.... N’emportez
+que je voulais dire... N’emportez
-Betsey !).... Je Vous regarde comme au-dessous.... oui,
+Betsey !)... Je vous regarde comme au-dessous... oui,
-bien au-dessous.... de
+bien au-dessous... de
-(reconduisez-le doncl) et
+(reconduisez-le donc !) et
-vous rois, je
+vous vois, je
-vous contemple.... entendez-vous bien?... avec
+vous contemple... entendez-vous bien ?... avec
-mépris. ; —
+mépris. —
-vous * dirai,
+vous dirai,
-de Vos injures,
+de vos injures,
-je né vous aurais ^jamais dit
+je ne vous aurais jamais dit
-de vot?é respect.... G-fâhd ïnërciI... Petit
+de votre respect... Grand merci !... Petit
-je stlis, j’acôëpté Yôtre mépris, à tous gros
+je suis, j’accepte votre mépris, à vous gros
-compliment lé plus flatteur, qu’un homme ] de
+compliment le plus flatteur qu’un homme de
-puisse Offrir à tin hôintne de mon espèce, i Ce
+puisse offrir à un homme de mon espèce. » Ce
-Joseph, line dernièrë fois,
+Joseph, une dernière fois,
-prit lé bras dé sa nièce, ét suivit
+prit le bras de sa nièce, et suivit
-des Corridors qui meiiâiéiit à là porté du
+des corridors qui menaient à la porte du
-M. Mundét composer à lôisir une
+M. Munder composer à loisir une
-minutes apfès, lâ femme dë Chargé,-ïêiltrant hôrs d’hâleine, trouva
+minutes après, la femme de charge, rentrant hors d’haleine, trouva
-le ïnâlhéurèui intendant <Jiii se
+le malheureux intendant qui se
-large, stfriVé à tin étât d’ifritàtiôn tout
+large, arrivé à un état d’irritation tout
-extraordinaire. <r Calmez-vous, je Vous prié, riiônsieùr 1 Mtinder ! lui
+extraordinaire. « Calmez-vous, je vous prie, monsieur Munder ! » lui
-suit éur le
+suit sur le
-lande, dé manière à né pas lés perdre dë vue. i CHAPITRE V. I Adieux
+lande, de manière à ne pas les perdre de vue. » === CHAPITRE V. — Adieux
-par Mozâfti l , ’ ; • ! Après
+par Mozart. === Après
-à l’adressé de M. Miihder, î’ôncle " Joseph
+à l’adresse de M. Munder, l’oncle Joseph
-prononça plu? une parole, sâùf pour prendre trèscoïdialënieiit congé
+prononça plus une parole, sauf pour prendre très-cordialement congé
-jusqu’au mûïnent où ëa tiiêct et
+jusqu’au moment où sa nièce et
-se rétrouvèrent sous
+se retrouvèrent sous
-de Potthgenna-Tot^er. Il
+de Porthgenna-Tower. Il
-halte, àrrïvê là,
+halte, arrivé là,
-encore iin Regard sur
+encore un regard sur
-et ses. lèVrës s’buvriïeiit enfin. J t Ma
+et ses lèvres s’ouvrirent enfin. « Ma
-suis désolé!... Vraiment i \
+suis désolé !... vraiment
-4 m LE SECRET/ désolé. Yoilà, comme
+désolé. Voilà, comme
-mauvaise j besogne. $ Croyant
+mauvaise besogne. » Croyant
-d’avoir j lieu
+d’avoir lieu
-Munder. Non..., vous vous trompez!... s’écria-t-il.... Je ne penÏ sais nullement
+Munder. « Non... vous vous trompez !... s’écria-t-il... Je ne pensais nullement
-gros mots.... Il
+gros mots... Il
-puis nier.... mais
+puis nier... mais
-loin, maintenant.... Je
+loin, maintenant... Je
-gros | mots,
+gros mots,
-ma î route.
+ma route.
-parle maintenant.,.. C’est
+parle maintenant... C’est
-de beau\ coup plus près.... En
+de beaucoup plus près... En
-cette maison-cachot.... Allons, donc; je
+cette maison-cachot... Allons, donc ; je
-à marcher.,.. Voilà le sentier.... Retournons
+à marcher... Voilà le sentier... Retournons
-me fatiguer..,. Je
+me fatiguer... Je
-» . Ils
+» Ils
-se coucher; mais
+se coucher ; mais
-qu’il L eût
+qu’il eût
-voyait \ s’arrêter
+voyait s’arrêter
-faire ’ halte,
+faire halte,
-de hôue, comme
+de houe, comme
-\ LE SEGRET. 225 c Maintenant,
+« Maintenant,
-petite semonce , le tout.... pour rifen. Le
+petite semonce, le tout... pour rien. Le
-eussent apporté, l’eau
+eussent apporté l’eau
-certes pas*grand’chose. Mais
+certes pas grand’chose. Mais
-sans résultât. Je
+sans résultat. Je
-sais et
+sais ; et
-une -mauvaise besogne...* Il
+une mauvaise besogne... Il
-s’en dédire.... C’est
+s’en dédire... C’est
-expression familière, i Tandis
+expression familière. » Tandis
-beauté. cNe vous
+beauté. « Ne vous
-lui ditelle, s’arrêtant,
+lui dit-elle, s’arrêtant,
-mouvement très-douy, enlevant
+mouvement très-doux, enlevant
-son habit.... J’ai
+son habit... J’ai
-désappointements lès plus
+désappointements les plus
-vous. Yous ne
+vous. Vous ne
-de désappointements.nonl... vous
+de désappointements... non !... vous
-plus ’’ à
+plus à
-le dis , moi
+le dis, moi
-les desappointements auront
+les désappointements auront
-moi, • ce
+moi, ce
-j’ai j appris
+j’ai appris
-fait àccoutumée. Siypus êtes
+fait accoutumée. Si vous êtes
-su LE SECRET. 15
+su rentrer
-226 LE SECRET?. i i ,: 1 , j réntrër en
+en
-de là lettre
+de la lettre
-je . tenais les j cléïs de
+je tenais les clefs de
-Myrtes, ét alors que peîsonhë n^était | là pour in’eniptëchër d’y pénétrer, râppelez-vbué TMstoire de î ma,vie toute entière; elle
+Myrtes, et alors que personne n’était là pour m’empêcher d’y pénétrer, rappelez-vous l’histoire de ma vie toute entière ; elle
-revers èt craintes..i. je
+revers et craintes... je
-autre chose.... vous
+autre chose... vous
-qu’il f à leu de £ vrai
+qu’il y a eu de vrai
-carrière troublée...* Avançons, mon bhcle, avançons!* . Là résignation
+carrière troublée... Avançons, mon oncle, avançons ! » La résignation
-sa toix et dâns ses
+sa voix et dans ses
-du déàëspôir. Elle
+du désespoir. Elle
-donnait ua aploihb, uhe assurance qui;, aux
+donnait un aplomb, une assurance qui, aux
-de l’dncle Joseph, la métaihpr{)hqsàient à
+de l’oncle Joseph, la métamorphosaient à
-maintenant, àvëc ûne tërrëur à pëinë déguisée. Non, lui dit-il.... n’avançons
+maintenant, avec une terreur à peine déguisée. « Non, lui dit-il... n’avançons
-davantage L., kéteiiôns plutôt
+davantage !... Revenons plutôt
-cette maison-cachot.Essayons dè quelque autre plan.,* 1 . Trouvons
+cette maison-cachot... Essayons de quelque autre plan... Trouvons
-autre môyeh d’arriver à cettë lutine de lëttrél.;. Je m’îhquiètë peu
+autre moyen d’arriver à cette lutine de lettre... Je m’inquiète peu
-Munder, dès fë&mès de chargé et
+Munder, des femmes de charge et
-Betzi, moiI... Je ne ih’ihquiète qUè d’une
+Betzi, moi !... Je ne m’inquiète que d’une
-de voué jprdctirër ce donjb vous avez envié, ét de vous ramëher chez nous; aussi
+de vous procurer ce dont vous avez envie, et de vous ramener chez nous, aussi
-je lé suis moi-même*./. Àlloiis, retournons l —
+je le suis moi-même... Allons, retournons ! —
-trop tàrd, maintenant, * t ’ *f*•’ : •-• i —
+trop tard, maintenant. —
-trop tard!..* Ahl maison du diable! vieille ënî fumée ! jiorrible cachot,
+trop tard !... Ah ! maison du diable ! vieille enfumée ! horrible cachot,
-! s’écri’à l’oncle Jpàepb, jetant;un cbùp d’œil
+! s’écria l’oncle Joseph, jetant un coup d’œil
-l’horizon ët mbhtrànt seâ déux poiiigs à ÎPorthgenha-Tower. (_ —
+l’horizon et montrant ses deux poings à Porthgenna-Tower. —
-répéta SîH^M- Trop t&rd, pàrpe que rpccàsîdû est perdue.... Trop tard, r parce
+répéta Sarah... Trop tard, parce que l’occasion est perdue... Trop tard, parce
-se rëprésëhtât-t-ellé à
+se représentât-t-elle à
-je n’dseraîs plus ^procher de
+je n’oserais plus approcher de
-aux • Mortes; Mph âérnier espoir
+aux Myrtes. Mon dernier espoir
-je pourrais, changer l’a cachette dè cette lettré ;* ët ce
+je pourrais changer la cachette de cette lettre ; et ce
-espoir, jë n.ë l’ai
+espoir, je ne l’ai
-vie n’â donc plus squ’ùn objet,... A ràttëindré vous pouvez m r âider^ mais
+vie n’a donc plus qu’un objet... À l’atteindre vous pouvez m’aider, mais
-ne èàuràis vous
+ne saurais vous
-suivre mrhédiàtement,. à
+suivre immédiatement, à
-que vousl hë me
+que vous ne me
-plus dë rètourâer à PôrthgennaTo^erV* r ; . ... • . î"".. /• . L’ôirclé Joseph allait reoômriiencer sés ihstâhcès. Sârah l’arrêta au ràilieu d’une phrase commencée,.èn’ lui posant là main ’ f sûr TëjiàÉë, èt eh lui ihontrànt, isur les biruy èr&s en
+plus de retourner à Porthgenna-Tower. » L’oncle Joseph allait recommencer ses instances. Sarah l’arrêta au milieu d’une phrase commencée, en lui posant la main sur l’épaule, et en lui montrant, sur les bruyères en
-qu’ils l àv&iëht laissées
+qu’ils avaient laissées
-eux, Un point qu’èlîë &igûàfcit à son j attention» ^ ; i
+eux, un point qu’elle signalait à son attention.
-LË SÈGREÏ. ni \ Regardez! disait-elle
+« Regardez ! disait-elle
-le sén- tier. Est-ce tin enfant
+le sentier. Est-ce un enfant
-un homme? »
+un homme ? »
-clartés uu crépuscule,
+clartés du crépuscule,
-en effets à
+en effet, à
-distance, line figuré Humaine.. C’était
+distance, une figure humaine. C’était
-tout jëùnè gaïçon qui
+tout jeune garçon qui
-à crëuëér une ngole dans
+à creuser une rigole dans
-lande. , En marche! en marche!,., et
+lande. « En marche ! en marche !... et
-dit Sàràh, plus
+dit Sarah, plus
-que jamais3 avant
+que jamais, avant
-vieillard éùt pu
+vieillard eût pu
-dire cé qUè j’àttëtids de vbiis, cher
+dire ce que j’attends de vous, cher
-les indiscrétions, à Ils
+les indiscrétions. » Ils
-point lé pliis élevé dix grànd plâteau. Là
+point le plus élevé du grand plateau. Là
-regardèrent ëncoiré derrière eùx.Xa route
+regardèrent encore derrière eux. La route
-à fairô èourait sur
+à faire courait sur
-pente dé& bbninës;jet l’endroit
+pente des collines, et l’endroit
-était .le dernier d’où ilîs pussent
+était le dernier d’où ils pussent
-coup d’œil; c Le
+coup d’œil. « Le
-en vué, » dit l’oiiBlë JoSèph, regardant
+en vue, » dit l’oncle Joseph, regardant
-dominait. Lés yeux de Saurâh; plùs jéunës et rbéîlleùré que
+dominait. Les yeux de Sarah, plus jeunes et meilleurs que
-son oncles confirmèrent
+son oncle, confirmèrent
-de be i^u’il venait dë dire, bah s toutes
+de ce qu’il venait de dire. Dans toutes
-le regartf, \à solitude
+le regard, la solitude
-se ïôméttfë eh marché, elie s’écârta de quelquès pas
+se remettre en marche, elle s’écarta de quelques pas
-contempla longûément là ^ toiir du
+contempla longuement la tour du
-profilait ennoif âiirle ciel
+profilait en noir sur le ciel
-laquelle, bômmeun intir sombre,
+laquelle, comme un mur sombre,
-mer immobilé^ S* Plus jainaist... sé disait-éHe toiit bas.... Jamais, jamais, j’àmaîs pius! VJ)e là ses yeui, errant
+mer immobile. « Plus jamais !... se disait-elle tout bas... Jamais, jamais, jamais plus ! » De là ses yeux, errant
-et sUrîé cimëtière éncidéàâns son
+et sur le cimetière enclos dans son
-; ôri. les
+; on les
-à pëihé dans Sombré qui s’épàississait à châtfuë minute. « Âttënâs-nioi queiquë temps
+à peine dans l’ombre qui s’épaississait à chaque minute. « Attends-moi quelque temps
-!... disait-elle; s’*effôrçaht poùr mieux voir, èt pressant sa f main
+!... disait-elle, s’efforçant pour mieux voir, et pressant sa main
-justement & rëndrôif où éfoit caché le \ ’ " :" f\• ""( ’’’ ti"’J ’’ 1 ’*i 1 l petit livré dë Cànïiquësi.;^ Ma rotitë tbùcnë à son terme.... Le
+justement à l’endroit où était caché le petit livre de Cantiques... Ma route touche à son terme... Le
-ma demeure, a ! Sésyeux étaiëkt plèiiiS dë làrmeé etlui rëhisàieht leur service, i Elle
+ma demeure. » Ses yeux étaient pleins de larmes et lui refusaient leur service. Elle
-et, suspendue.à son
+et, suspendue à son
-fit fàire quelques
+fit faire quelques
-le pènchânt du cote’âii; puis,
+le penchant du coteau ; puis,
-s’arrêta, cômïne prisé d’une méfianCë soudaine, et reihdnta vers
+s’arrêta, comme prise d’une méfiance soudaine, et remonta vers
-cime <|h’éllé venait de quittëh k Je ne siiis pris bien’ sûre,
+cime qu’elle venait de quitter. « Je ne suis pas bien sûre,
-son côinpàgnon...je ne
+son compagnon... je ne
-nous èn aybiiS fini âvèc ce
+nous en ayons fini avec ce
-la brUyètë.... i T.
+la bruyère... »
-228 LE SEGRET. Au,moment où
+Au moment où
-paroles, de: derrière
+paroles, de derrière
-jardinier, et,- comme
+jardinier, et, comme
-creuser, sans- que
+creuser, sans que
-foulaient. <sc Eh bien! oui.,,, je vois.... je
+foulaient. « Eh bien ! oui... je vois... je
-assez marqué ... C’est
+assez marqué... C’est
-même garnement,... Et
+même garnement... Et
-comme là-bas.... Après,
+comme là-bas... Après,
-répondre. € Avançons! dit-elle précipitamment; arrivons
+répondre. « Avançons ! dit-elle précipitamment ; arrivons
-pourrons. :» Ils
+pourrons. » Ils
-tout le. paysage
+tout le paysage
-à une. simple
+à une simple
-nuit. . Leurs
+nuit. Leurs
-à côte du
+à côté du
-: Mon oncle.... on
+: « Mon oncle... on
-de PorthgennaTower jusqu’ici.
+de Porthgenna-Tower jusqu’ici.
-!... vraiment?... Et qu’en savez-vous? demanda
+!... vraiment ?... Et qu’en savez-vous ? demanda
-— Chut!... Parlez.plus bas!... Il
+— Chut !... Parlez plus bas !... Il
-la porte.... quelqu’un
+la porte... quelqu’un
-la fenêtre.... Yous ayez remarqué
+la fenêtre... Vous avez remarqué
-la lande?... . —Allons donc!... Comment, Sarah!... yous avez
+la lande ?... — Allons donc !... Comment, Sarah !... vous avez
-gamin pareil?
+gamin pareil ?
-LE SECRET 229 Oh!.«* pas si haut..,, pas si haut!-.. Un piège nous
+— Oh !... pas si haut... pas si haut !... Un piége nous
-à Porthgenna-Tower..,. Maintenant,
+à Porthgenna-Tower... Maintenant,
-parfaitement sûre,,.. Que
+parfaitement sûre... Que
-femme dç charge
+femme de charge
-premier vestibule?.,. J’avais
+premier vestibule ?... J’avais
-de nous,,.. Ils
+de nous... Ils
-leur dire,... Ne
+leur dire... Ne
-oncle I... ceci
+oncle !... ceci
-mon cerveau..,. Les clefs.,., rapprochezvous de moi.,., les
+mon cerveau... Les clefs... rapprochez-vous de moi... les
-toutes numérotées,.,, pensez donc!..* Pensez
+toutes numérotées... pensez donc !... Pensez
-de charge.,., quand.vous vous
+de charge... quand vous vous
-pour partir,... Vous
+pour partir... Vous
-eut parlé.Certainement, cici vous
+eut parlé... Certainement, ceci vous
-comme moi.,.. Us nous
+comme moi... Ils nous
-trop facilement.-.. Ohl non,
+trop facilement... Oh ! non,
-trompe pas.,.. Ils
+trompe pas... Ils
-nous ignorons,... À
+nous ignorons... À
-assez haut?... Je l’ài vu
+assez haut ?... Je l’ai vu
-vous vois,... Ce
+vous vois... Ce
-le coup,... Aussi
+le coup... Aussi
-un piège que
+un piége que
-— TJn piège 1... un piège l... Et comment?... Et pourquoi?.,. Èt à quelle occasion? demanda
+— Un piége !... un piége !... Et comment ?... Et pourquoi ?... Et à quelle occasion ? demanda
-faire parler,... ils
+faire parler... ils
-me suivre..., ils
+me suivre... ils
-je vais.... ils
+je vais... ils
-tremblement nerveux.,.. Vous
+tremblement nerveux... Vous
-mistress Frankland., ., J’aurais
+mistress Frankland... J’aurais
-laisser proférer.... Elles
+laisser proférer... Elles
-mal horrible.... j’ensuis certaine.,.. oui,
+mal horrible... j’en suis certaine... oui,
-horrible mal,... Je
+horrible mal... Je
-rendue suspecte*... Si
+rendue suspecte... Si
-réussit ài |i"
+réussit à
-230 LE SEGRET. me
+me
-certainement interrogée.,.. Et
+certainement interrogée... Et
-mes traces.... On
+mes traces... On
-s’informer de’nous’ici.... Il
+s’informer de nous ici... Il
-donc • a i -•• * absolument
+donc absolument
-cette auberge,... Il
+cette auberge... Il
-répondre au Ï questions
+répondre aux questions
-notre compte.... Oh! cher
+notre compte... Oh ! cher
-prenions, assuî rons-nous de ceci! ; — Eort bien,
+prenions, assurons-nous de ceci ! — Fort bien,
-de lui.. „ Si
+de lui... Si
-lui Ôîrai : «Dès demain , monsieur,
+lui dirai : « Dès demain, monsieur,
-Truro. i —Non!,., mille fois nonl Ce
+Truro. » — Non !... mille fois non ! Ce
-devons preudre une voiture. —Mais si!... mille fois si!... Nous
+devons prendre une voiture. — Mais si !... mille fois si !... Nous
-chose, m’assurér de l’aubërgiste../. Écoutez bien.... Je lui dirai: <rSi, après
+chose, m’assurer de l’aubergiste... Écoutez bien... Je lui dirai : « Si, après
-questions indiscrètes.... eh
+questions indiscrètes... eh
-en £ prie,
+en prie,
-soufflez mot.,., D Puis JET clignerai de l’œil ; , je
+soufflez mot... » Puis, je clignerai de l’œil, je
-voyez lâ, le
+voyez là, le
-notre .bord.... l’affaire
+notre bord... l’affaire
-à personne..,. C’est
+à personne... C’est
-nous partirons’d’ici..,, et
+nous partirons d’ici... et
-nous suit.... Tenez!... voici
+nous suit... Tenez !... voici
-une cartè du
+une carte du
-ce mur.,,. Les
+ce mur... Les
-les chemins’ de
+les chemins de
-nous prendrons.... Une nuit dë repos
+nous prendrons... Une nuit de repos
-toute là forcé nécessaire,
+toute la force nécessaire,
-de ; bagage
+de bagage
-nous charger.... Vous n ? avez ! que
+nous charger... Vous n’avez que
-vous • m’avez prêté.... Nous
+vous m’avez prêté... Nous
-temps dé repos.... Venez pat ici!... étudiez cette carÉe.i.. je
+temps de repos,... Venez par ici !... étudiez cette carte... je
-! a Tout
+! » Tout
-qu’il ’^clarait ët croyait
+qu’il déclarait et croyait
-en ëffet • pàrfàitemènt adapté
+en effet, parfaitement adapté
-en çe moment, un chë-
+en ce moment, un chemin
-4 t < ’ \ v LE SECRET. 231 t & 4 -l i i Wi min de
+de
-la gr&nde routé qui
+la grande route qui
-à uné autre El rputç, qui, d’après la’grosseur du
+à une autre route, qui, d’après la grosseur du
-devait f être
+devait être
-assez limportante pour
+assez importante pour
-lettres capitales, gpureuse de
+lettres capitales. Heureuse de
-proposa de/suivre à
+proposa de suivre à
-monter én voiture
+monter en voiture
-chef-lieu probable d’un
+chef-lieu probable, d’un
-qu’ils né fussent
+qu’ils ne fussent
-à piçdi comme
+à pied, comme
-la lande; Pour
+la lande. Pour
-Sarah né voyait
+Sarah ne voyait
-chargée dè savoir
+chargée de savoir
-allaient. L’oncje Joseph
+allaient. L’oncle Joseph
-désirait cohtShher à pieci leur
+désirait continuer à pied leur
-: cc II faudra,
+: « Il faudra,
-beaucoup d?tns la poussière,;., beaucoup
+beaucoup dans la poussière... beaucoup
-derrière nous..,, épier,
+derrière nous... épier,
-tous côtés.-, fairem ; lle tours et détours.... .+•.* [.’ * r’^ h.,-.." " * Ceci
+tous côtés... faire mille tours et détours... Ceci
-enfant, quét nous
+enfant, que, nous
-de l’aubergiste* de
+de l’aubergiste, de
-la diligence.;., Mais’ puisque vous Je youlez, ainsi
+la diligence... Mais, puisque vous le voulez, ainsi
-volonté, Sarah..., votre voionté..., je
+volonté, Sarah... votre volonté... je
-jusqu’à pe que iious soyons
+jusqu’à ce que nous soyons
-que nou^nous soyons
+que nous nous soyons
-des fôtigues de
+des fatigues de
-alors, ^erg, fini^ mais
+alors, sera fini, mais
-le mien, t Ce pep. ippts suffit pour qh^uger là physionomie du vieillard, Ses yeuç sq : fixèrent
+le mien. » Ce peu de mots suffit pour changer la physionomie du vieillard. Ses yeux se fixèrent
-du reproçhg; $es joues
+du reproche ; ses joues
-mains si’ mobiles
+mains si mobiles
-côtés. Sarah,
+côtés. « Sarah,
-rien a^ sa voix, ordinaire,... Sarah,
+rien à sa voix ordinaire... Sarah,
-de Cornouailles,:.. Voilà,
+de Cornouailles... Voilà,
-faut pie faire.
+faut me faire.
-mon coeur, Oh!
+mon cœur, oh !
-r r 232 LE SECRET. que
+que
-rester, | avec
+rester, avec
-ma vie!*.. Mais
+ma vie !... Mais
-m’est échu.. ;. i La
+m’est échu... La
-votre foyer-... Celle
+votre foyer... Celle
-pareil interrogatoire.... J’ai
+pareil interrogatoire... J’ai
-pas dire.... Si
+pas dire... Si
-de moi.... Ohl mon Dieu I... penser
+de moi... Oh ! mon Dieu !... penser
-de crainte..,. J’ai
+de crainte... J’ai
-de pitié.... J’ai
+de pitié... J’ai
-mon oreille.... J’ai
+mon oreille... J’ai
-la mienne.... Oui,
+la mienne... Oui,
-soleil lui-même.... Et moi!... moi
+soleil lui-même... Et moi !... moi
-d’êtres vivants.... il
+d’êtres vivants... il
-dois sortir..., le
+dois sortir... le
-vous quitter.,.. Pour
+vous quitter... Pour
-ma reconnaissance.... croyez
+ma reconnaissance... croyez
-j’obéis. a Elle
+j’obéis. » Elle
-la main; qu’il
+la main, qu’il
-: <r Je
+: « Je
-murmurait-il faiblement.... et
+murmurait-il faiblement... et
-plus rien.... Quand
+plus rien... Quand
-seul, g vous
+seul, vous
-pas vrai?../Pour ) l’amour
+pas vrai ?... Pour l’amour
-accorderez j bien
+accorderez bien
-l’oncle Joseph?.,. » t; Elle
+l’oncle Joseph ?... » Elle
-LE SECRET. 233 ^ "îV. * £ r du
+du
-contrastait | merveilleusement
+contrastait merveilleusement
-la réservé ordinaire
+la réserve ordinaire
-caractère. * ^ oc Je
+caractère. « Je
-écrirai souvent/disait-elle.... je
+écrirai souvent, disait-elle... je
-sans ï | cesse,
+sans cesse,
-du vieill | ard.,,. Si
+du vieillard... Si
-ou en:quelque; ’ oéril, vous
+ou en quelque péril, vous
-saurez certainement.a t L ’ T À
+saurez certainement... » À
-troublée, confuse,, comme
+troublée, confuse, comme
-cacha sa- tête
+cacha sa tête
-était femme, , L’oncle
+était femme. L’oncle
-long eh large,
+long en large,
-sa : nièce,
+sa nièce,
-elle-même. Àus: sitôt après
+elle-même. Aussitôt après
-le * reste
+le reste
-séparation ultérieure, ; Lorsqu’ils
+séparation ultérieure. Lorsqu’ils
-et d’espoir; mais
+et d’espoir ; mais
-un dé ces
+un de ces
-qui caractérisaient’l’originalité de.ses façons exo• tiques. Puis
+qui caractérisaient l’originalité de ses façons exotiques. Puis
-de :j l’hôtel,
+de l’hôtel,
-reprirent pédestremént leur • voyage,
+reprirent pédestrement leur voyage,
-Joseph, hàvrë-sac au
+Joseph, havre-sac au
-sac dè nuit.
+sac de nuit.
-de traverse y tous
+de traverse, tous
-tous i deux regardèrent eh arrière’! Cette
+tous deux regardèrent en arrière. Cette
-créature \ humaine
+créature humaine
-l’auberge. cc La
+l’auberge. « La
-de traverse^.Quoi qu’il
+de traverse... Quoi qu’il
-soit st; S’£ h s
+soit
-234 LE SECRET. ï i de
+de
-aventures d’hier» à
+aventures d’hier, à
-ne I nous suit. I —
+ne nous suit. —
-répondit . I Sarah.... mais il n!est pas
+répondit Sarah,... mais il n’est pas
-quelque méfiance.... Avant
+quelque méfiance... Avant
-notre ! épaule.... Plus
+notre épaule... Plus
-me f&it peur le piège que j nous
+me fait peur le piége que nous
-de Porthgenna-Tower; . ’; i A Sarah?.,. Pourquoi
+de Porthgenna-Tower. — À nous, Sarah ?... Pourquoi
-tendraient-ils nn piège? • 1 ^r P&rQë gnîps vofls ont
+tendraient-ils un piége ? — Parce qu’ils vous ont
-avec mç>i.«.. Yous aurez
+avec moi... Vous aurez
-redouter d’ëui quand mon onçle, une
+redouter d’eux quand nous serons séparés... Et voilà, mon oncle, une
-pour Supporter patiemment
+pour supporter patiemment
-angoisses dg cette séparation. ’ r | Est-ce
+angoisses de cette séparation. — Est-ce
-quand yous m’aurez
+quand vous m’aurez
-n’oserai m’^rr^ter gije lorsque
+n’oserai m’arrêter que lorsque
-ténébreux océan; qk’on appelle Londres.... Épargnez^ moi ce triste regard.,.. Je
+ténébreux océan qu’on appelle Londres... Épargnez-moi ce triste regard... Je
-j’ai promis; vous
+j’ai promis ; vous
-mes lettres..,. J’ai
+mes lettres... J’ai
-des ar$is, cependant),
+des amis, cependant),
-toute poursuite; Le
+toute poursuite. Le
-est grand,.,, oh! oui,
+est grand... oh ! oui,
-grand danger!... Par
+grand danger !... Par
-me 4écçuvrjr,... Et
+me découvrir... Et
-espèce 4e çfoasse sera
+espèce de chasse sera
-vieux manoir.... Si
+vieux manoir... Si
-bien g^rcje, ô mon oncle.... prenez
+bien garde, ô mon oncle... prenez
-garde £ çe qu§ vous ferez.,., prenez biçn garde
+garde à ce que vous ferez... prenez bien garde
-réponses qu’xjs essayeront de yo^ archer. • : "’ " ’ " -Ils aucune
+réponses qu’ils essayeront de vous arracher. — Ils ne m’arracheront aucune
-mon enfant.... Mai^ dites.,,, car
+mon enfant... Mais dites... car
-ne yeu? ignorer
+ne veux ignorer
-qui | peuvent vous r^m^gç près 4e moi.... si mistress Fraiikjand venait ^ ivonvev la lettre.... que feriez-vous, d^es? J? ^ • » A cette
+qui peuvent vous ramener près de moi... si mistress Frankland venait à trouver la lettre,... que feriez-vous, dites ? » À cette
-reposait, | inerte,
+reposait, inerte,
-son Qnçle, car ils lâchaient côte ^ côte, | l’étreigntt par un mouyenaent soudain : c Alors
+son oncle, car ils marchaient côte à côte, l’étreignit par un mouvement soudain : « Alors
-que f mistress
+que mistress
-Myrtes, [; dit-elle,
+Myrtes, dit-elle,
-d’elle ayea •• un© sorte 4’o^roi, elle
+d’elle avec une sorte d’effroi, elle
-ne j^s trouver la lettrg, ji
+ne pas trouver la lettre...
-V ç• i* i" n \ LE SECRET. 235 cette
+cette
-petit volume*... elle
+petit volume... elle
-dans ùriécachette"peu susceptible d’êtpe devinée. 1 — Mais enfin^.J si
+dans une cachette peu susceptible d’être devinée. — Mais enfin... si
-la trouve? —
+la trouve ? —
-des millès entre
+des milles entre
-moi. * * Elle
+moi. » Elle
-mains sur- son
+mains sur son
-point d’éclater * line cris* patio n presque
+point d’éclater. Une crispation presque
-ses traits; ses
+ses traits ; ses
-d’une pâleût extrême.
+d’une pâleur extrême.
-son fèpnt où
+son front où
-une Sueur abondante, elle pàssa un
+une sueur abondante, elle passa un
-qu’elle vénait de
+qu’elle venait de
-vieillard q;ui, voyant
+vieillard qui, voyant
-aperçu quelqriun derrière eux; et
+aperçu quelqu’un derrière eux, et
-cette : direction,
+cette direction,
-ce der| nier mouvement,
+ce dernier mouvement,
-trop chaud.:EI]e ! secoua
+trop chaud. Elle secoua
-bras potfr continuer à marcher; | mais
+bras pour continuer à marcher ; mais
-un peu; mais
+un peu ; mais
-: «Pas encoreI > ïïs marchèrent’ùnë demi^heure de plus; alors
+: « Pas encore ! » Ils marchèrent une demi-heure de plus ; alors
-voyant , personne,
+voyant personne,
-banc aû bord
+banc au bord
-forces. ^ Après
+forces. Après
-reconnaissance, f et,
+reconnaissance, et,
-de Voyage, arrivés
+de voyage, arrivés
-qu’il éjatit trop
+qu’il était trop
-à Truro* où
+à Truro, où
-arrivèrent , assez tard dan$ la soirée; Pendant tout pe voyage, depuis quJils avaient
+arrivèrent assez tard dans la soirée. Pendant tout ce voyage, depuis qu’ils avaient
-district jusqu?au moment où, §elon le
+district jusqu’au moment où, selon le
-le bureap des
+le bureau des
-ou espionnés; pas
+ou espionnés ; pas
-toute espècede voyageurs. ’ ïl était
+toute espèce de voyageurs. Il était
-entrèrent d&is le bu-
+entrèrent dans le bureau
-* h 236 LE SEGRET. ? reau des
+des
-rendre [ du
+rendre du
-leur répondit-qu’une voiture
+leur répondit qu’une voiture
-à * une
+à une
-matin. c Vous
+matin. « Vous
-ce soir? dit
+ce soir ? dit
-la prière.... Yous attendrez
+la prière... Vous attendrez
-de courage, a Telle
+de courage. » Telle
-Sarah. : Mais
+Sarah. « Mais
-si faible.... —
+si faible... —
-instances I... Il
+instances !... Il
-vous quitter.- JD L’oncle
+vous quitter. » L’oncle
-oncle. Cet, honnête
+oncle. Cet honnête
-commandes arrivaient; mais
+commandes arrivaient ; mais
-celui-ci . le
+celui-ci le
-physionomie. «^Eourquoi ai-je un magasin? Pourquoi
+physionomie. « Pourquoi ai-je un magasin ? Pourquoi
-retrouvèrent seuls.... Ah! vraiment,
+retrouvèrent seuls... Ah ! vraiment,
-le départ.... Asseyez-vous,
+le départ... Asseyez-vous,
-et reposez-votas.... Il
+et reposez-vous... Il
-thé. a Lorsque
+thé. » Lorsque
-comprendre lé panier
+comprendre le panier
-homme enlevait; mais
+homme enlevait ; mais
-garda précieu-, sfement, tandis
+garda précieusement, tandis
-posa la-boîte sur
+posa la boîte sur
-à pcirtée de
+à portée de
-de \ Sarah,
+de Sarah,
-LE SECRET. 237 pencha
+pencha
-enfin, , d’une
+enfin, d’une
-: <r Voulez-vous
+: « Voulez-vous
-de Mozart? lui dit-il...Il se
+de Mozart ? lui dit-il... Il se
-partiez... Sa
+partiez... » Sa
-entendu déjà; le
+entendu déjà ; le
-notes I quelles tristes ressouvenants du
+notes ! quelles tristes ressouvenances du
-pauvre femme!... Sarah
+pauvre femme !... Sarah
-le vieillard.... Ils
+le vieillard... Ils
-cette fois , après
+cette fois, après
-plus lentement; l’air
+plus lentement ; l’air
-moins reconnaissable; il
+moins reconnaissable ; il
-se brisé. Le
+se brise. Le
-dérober celleci à sa vué. cc La
+dérober celle-ci à sa vue. « La
-à luimême, et
+à lui-même, et
-petit Joseph.... Ne
+petit Joseph... Ne
-allez pasl ajouta-t-il
+allez pas ! ajouta-t-il
-son attitude.... Ne
+son attitude... Ne
-allez pas!,.. Réfléchissez
+allez pas !... Réfléchissez
-point quitter,... Vrai
+point quitter... Vrai
-suis pas.,.. Vous
+suis pas... Vous
-d’ingratitude, j’espère?.., A ce
+d’ingratitude, j’espère ?... À ce
-suprême, dites-moi7 pour
+suprême, dites-moi, pour
-ainsi.
+ainsi. »
-0 238 LE SEGRET Il
+Il
-deux joues, «J’ai:1e cœur
+deux joues. « J’ai le cœur
-si TOUS quittez
+si vous quittez
-l’oncle Josephi ce
+l’oncle Joseph, ce
-soit «pas pour votre bien.: Je. ne sais pas
+soit pas pour votre bien. — Je ne suis pas
-répéta-t-elle tristement.... Il
+répéta-t-elle tristement... Il
-» . L’incertitude
+» L’incertitude
-sa physionomie, au momentoù la
+sa physionomie au moment où la
-à Timproviste, semblèrent
+à l’improviste, semblèrent
-si soigneusement. conservé
+si soigneusement conservé
-ses piedâ, et passa devint sa
+ses pieds, et passa devant sa
-silencieux. , : Ils
+silencieux. Ils
-cocher montàit sur son siège, comme
+cocher montait sur son siége, comme
-la porté du bureau, c Dieu vous garple, chère enfsrnt, et yous réunisse, bientôt
+la porte du bureau. « Dieu vous garde, chère enfant, et vous réunisse bientôt
-et sauye !Prenez ce
+et sauve ! Prenez ce
-genoux ; jse sont
+genoux : ce sont
-voyage. > Layoix lui manqua, sur
+voyage. » La voix lui manqua sur
-L’instant d’après , ,1a. portière„ fut fermée,. et , à
+L’instant d’après, la portière fut fermée, et, à
-elle l’entrevit, yaguement parmi
+elle l’entrevit vaguement parmi
-regarder partir. la .voiture. À quelque 4istance de ,1a ville,
+regarder partir la voiture. À quelque distance de la ville,
-de fro’ I 1 * -I iJT’j > . i > I>L K-JtU I #r • mage quj semblait
+de fromage qui semblait
-somme , d’argent
+somme d’argent
-dans du: papier,
+dans du papier,
-pour suscription: Ne
+pour suscription : Ne
-pas l deja main
+pas ! de la main
-l’oncle JosepJL Sarab referma le panier^ et
+l’oncle Joseph. Sarah referma le panier, et
-Elle n’av?ixt:pas, jusqu’^ çe: ^ornent, ressenti toute l’^mertunie de la , séparation.,VJOhj, qu’il, lui
+Elle n’avait pas, jusqu’à ce moment, ressenti toute l’amertume de la séparation. Oh ! qu’il lui
-pénible ^de se
+pénible de se
-l’asile oh voulait
+l’asile où voulait
-connût ibi-Èas ï Pendant que çette pensée
+connût ici-bas ! Pendant que cette pensée
-vieillard fermai justement
+vieillard fermait justement
-son sâlon déstert; son
+son salon désert ; son
-le pilateau à tliesur la
+le plateau à thé, sur la
-langue ihaternelle : f Pui..,.f la
+langue maternelle : « Oui... la
-s’est ainsi, arrêtée
+s’est ainsi arrêtée
-petit fcsepii ! *
+petit Joseph ! »
-i’ -y LIVRE V, CIIAPITtLE PREMIER. >f i-J’.•K Un
+== LIVRE V. == === CHAPITRE PREMIER. — Un
-nouveau plan* h ^ En
+nouveau plan. === En
-sur là landépravait suivie ^ elle ët son
+sur la lande, l’avait suivie, elle et son
-s’était rëncontrée avec
+s’était rencontrée avec
-la plus, vraie. Jacob * ,en effet,
+la plus vraie. Jacob, en effet,
-dans l’auberge; et, aprèé avoir fait sentiuelle devant
+dans l’auberge, et, après avoir fait sentinelle devant
-à PorthgennarTower faire
+à Porthgenna-Tower faire
-récompense promise.. ., =. ; Le
+récompense promise. Le
-femme .de charge, et
+femme de charge et
-se potisèrent afin d’écrire, â frais cpmmUns^ une
+se cotisèrent afin d’écrire, à frais communs, une
-mistress Frankland; ils
+mistress Frankland ; ils
-compte de. tout,ce qui, s’était
+compte de tout ce qui s’était
-les visiteurs. s’étaient, présentés,
+les visiteurs s’étaient présentés,
-celui où; le
+celui où le
-jardinier les.avait laissés instàlléé dans
+jardinier les avait laissés installés dans
-En cette^ composition .s’étaient .enguirlandées toutes les-fleurs de
+En cette composition s’étaient enguirlandées toutes les fleurs de
-dont .eût pu s’aviser Mi Munder. Aussi était-elle,: eh tant que. narration i: d’line longueur
+dont eût pu s’aviser M. Munder. Aussi était-elle, en tant que narration, d’une longueur
-confusion désespérante, ;:;^t ^ tiUUiJ"Lî . . Inutile
+confusion désespérante. Inutile
-dire que;, nonobstant tQutes ses; longueurs
+dire que, nonobstant toutes ses longueurs
-vif intér êt par mistress Frankland;. spn mari, çtM,T Orridge ,, qui
+vif intérêt par mistress Frankland ; son mari et M. Orridge, qui
-deux ën reçurent communication, furçn^ aussi
+deux en reçurent communication, furent aussi
-Encore qn4e, apprenant le. départ;de mistress: Jazeph
+Encore que, apprenant le départ de mistress Jazeph
-de jGomouailleq;, ils
+de Cornouailles, ils
-à
+à Porthgenna,
-240 LE SECRET. Porthgënnà, et
+et
-en Tue de
+en vue de
-réaliser sitôt les
+réaliser si tôt les
-d’extraire les-faits précis
+d’extraire les faits précis
-noyés. Enfin.:après avoir
+noyés. Enfin, après avoir
-intelligible, ir fallut
+intelligible, il fallut
-mortel. Après que,
+mortel. Après, que,
-la , première
+la première
-pour Porthgënnà, elle
+pour Porthgenna, elle
-mari, avec’ le
+mari, avec le
-dire, ponr soumettre
+dire, pour soumettre
-les - incidents
+les incidents
-l’avait accompagnée; on
+l’avait accompagnée ; on
-de M* Orridgej des
+de M. Orridge, des
-en s’exposanvà l’air
+en s’exposant à l’air
-de précautions; et
+de précautions ; et
-rétablissement. * M.
+rétablissement. M.
-Il se. déclarait
+Il se déclarait
-qu’on rie-pénétrerait jamais
+qu’on ne pénétrerait jamais
-Myrtes, sioh ne
+Myrtes, si on ne
-mistress Jazeph, D’autre
+mistress Jazeph. D’autre
-se S; £ L-V ii" il’ I 1 t
+se
-LË SECRET. 241 mettre en peiné; et,
+mettre en peine ; et,
-l’activité, l’intelligence , de
+l’activité, l’intelligence, de
-temps lê valet
+temps le valet
-son maître; cë rapport
+son maître ; ce rapport
-rien d’encourageant, A partir
+rien d’encourageant. À partir
-compagnon avût complètement
+compagnon avait complètement
-faites dç tous
+faites de tous
-vêtements . bruns,
+vêtements bruns,
-vieillard étranger; mais,
+vieillard étranger ; mais,
-aucune dépense; mais,
+aucune dépense ; mais,
-à l’ouost, au nord oii au
+à l’ouest, au nord ou au
-plus satisfaisant.. Ici
+plus satisfaisant. Ici
-d’essentiel. Lé domestique
+d’essentiel. Le domestique
-corps dé logis
+corps de logis
-rez-de-chaussée ouvtant sur
+rez-de-chaussée ouvrant sur
-était arriva à
+était arrivé à
-Des fa« çons d’agir
+Des façons d’agir
-vestibule. D’à Lf cachet. 16 »
+vestibule. D’aprè
-242 LE SECRET.. près l’affirmation de Içt femme
+s l’affirmation de la femme
-on ^ j "f — * •• ^ » •-*• -• J’ " F-w L, , #411 F ^ ^ , M .J.F Kv 1.J . V 1 rayait trouvée
+on l’avait trouvée
-cette position j la porte $n face, d’p^le ne paraissait p$s avpir été ouyerte plus que n’importa laquelle
+cette position, la porte en face d’elle ne paraissait pas avoir été ouverte plus que n’importe laquelle
-autres. OIJ ne pouvais déçi4er si
+autres. On ne pouvait décider si
-dont ellè voulait se prpcurer l’accès était line des
+dont elle voulait se procurer l’accès était une des
-du •i -• • h••• • • ’» »» X’ 1 v t , ,; ’ » , 1<. 1 ^ t j;> ,, i’ premier
+du premier
-elle pétait trouvée
+elle s’était trouvée
-quelque pièpe sitqée au
+quelque pièce située au
-On là ne pouvant dqnc, de
+On ne pouvait donc, de
-s’était passée -£éfluir.e que
+s’était passé, déduire que
-parvenir jqsqu’à la
+parvenir jusqu’à la
-échoué, sou$ cg rapport, ç(ans son
+échoué, sous ce rapport, dans son
-second lierç, il
+second lieu, il
-bien pgnser, d’après llendrpit oi elle avait été, troûyée évanouie e^e§lui où on §yait cQngtaté la qupla chambre
+bien penser, d’après l’endroit où elle avait été trouvée évanouie et celui où on avait constaté la chute du paquet de clefs, que la chambre
-Myrtes .pétait pas
+Myrtes n’était pas
-et çomptsdt, dès lors, parBji Jes seize
+et comptait, dès lors, parmi les seize
-supérieurs. L^utejar d»: ijappprty ceci dit, déclarai n’aycdr plus rien 4 mentionner, fi çe n’est que, ;pour le cas pïj, on
+supérieurs. L’auteur du rapport, ceci dit, déclarait n’avoir plus rien à mentionner, si ce n’est que, pour le cas où on
-de iipuveaux prdres à
+de nouveaux ordres à
-point quitfer Pprthgenna,. , f Que restaitril à fakefc ^ qui s’offrait { naturellement,’, après le.récit de
+point quitter Porthgenna. Que restait-il à faire ? Telle était la question qui s’offrait naturellement, après le récit de
-question n’était- pas, l?t chose du , monde
+question n’était pas la chose du monde
-à tçpuver, Mistress EranMand n’avçdt plus rien 4 .proposer, non plus que. M. frankland, et
+à trouver. Mistress Frankland n’avait plus rien à proposer, non plus que M. Frankland, et
-Plus ilstraçassaiçnt Jçur^ cerveau pou? en extraire quelque; idée nouvelle , mieu? s’aqpusait le vide de. cet
+Plus ils tracassaient leur cerveau pour en extraire quelque idée nouvelle, mieux s’accusait le vide de cet
-en d^espair de
+en désespoir de
-recourir à, une
+recourir à une
-personne dent; on
+personne dont on
-regarder comme, tpnt à fa.it sûr, gt pria
+regarder comme tout à fait sûr, et pria
-permettre .d’écrire, pour lui’soumettre la
+permettre d’écrire, pour lui soumettre la
-ministre dç kongrBeçkley. Le doçteur Ghennery éfait lgur plus ancien aini et çpnspiller. Il
+ministre de Long-Beckley. Le docteur Chennery était leur plus ancien ami et conseiller. Il
-encore enfants, U était
+encore enfants. Il était
-courant dçs annales dp leur famille; il
+courant des annales de leur famille ; il
-destinée : un
+destinée un
-et il, ppssédait cette
+et il possédait cette
-si précieuse, du, ç gros
+si précieuse du « gros
-sens, * qni le leur j, désignait, en ç§. moment, cojmme le plfls;apief4e tous;à, jes È tirer 4’;embarr^ ; son 4-aUleursy m pouvait fa^e doute. [? M. Irayakland tomb^ip^édiatement d’accord
+sens, » qui le leur désignait, en ce moment, comme le plus apte de tous à les tirer d’embarras ; son zèle, d’ailleurs, ne pouvait faire doute. M. Frankland tomba immédiatement d’accord
-sa fçmme, ; et Rpsamon^ he Mrd^ pas 4’une minute
+sa femme, et Rosamond ne tarda pas d’une minute
-au jeteur Ghennery, i’infprmant de
+au docteur Chennery, l’informant de
-passé 4epuis le moment pft |m?ir§s% M: avait été présentée,, et fa •- +S t.
+passé depuis le moment où mistress Jazeph lui avait été présentée, et lui demandant, pour
-t h ’ LE SECRET243 mandant popr elle et son. mari,
+elle et son mari,
-prouvait .y gijei pomt la çontope;4e Rosamond était-fondée. Non-seule méntson vieil
+prouvait à quel point la confiance de Rosamond était fondée. Non-seulement son vieil
-le langage! et la panière d’être, de
+le langage et la manière d’être de
-mais mksVf. U âvaft imaginé un pfeç qui,
+mais encore il avait imaginé un plan qui,
-la phambre aux Myrteg. ,...:,. . .. • Ayant ^expliquer en
+la chambre aux Myrtes. Avant d’expliquer en
-démarche Ayant pour
+démarche ayant pour
-découvrir inistress Jazeph, D’après
+découvrir mistress Jazeph. D’après
-qu’on §e mettrait i §a poursuite, tenant ce point p9Ut:biep établi, il s’attaçheïait donq uniquement à ré§g}j4re çet|e question, £efeç^uqoupla plus essentiel^.; : ^n^ prendre
+qu’on se mettrait à sa poursuite. Tenant ce point pour bien établi, il s’attacherait donc uniquement à résoudre cette question, de beaucoup la plus essentielle : comment devaient s’y prendre
-pour pén^trgr, avoir recpurs k personne le. mystère dg la ckamJ>reraux ?fyrte<s.’ Sur
+pour pénétrer, sans avoir recours à personne, le mystère de la chambre aux Myrtes. Sur
-point, fe dqp&u? Çhennèry garait .mb ffi* con: yictipn bi§n. et,
+point, le docteur Chennery déclarait avoir une conviction bien affermie, et,
-manière d’exojyle, il prévenait |os^pnd CQntre Jî^finneme^ qn<? cette çonviption allaitai causer. Ten^pQnrincpntest&fcle qne Jes jeuneg. gens ne pour valent espérer #»uyrir la çfcçofeiçen çBWS^^iteft^eçfÇ aidés
+manière d’exorde, il prévenait Rosamond contre l’étonnement que cette conviction allait lui causer. Tenant pour incontestable que les jeunes gens ne pouvaient espérer découvrir la chambre en question, s’ils n’étaient aidés
-quelqu’un mien? au ’fajt qu’ils ne : pouvaient
+quelqu’un mieux au fait qu’ils ne pouvaient
-localités k explorer,
+localités à explorer,
-désignait, ÇQmmele §eul individu
+désignait, comme le seul individu
-de fournir
+de leur fournir
-informations requise§ ,- un
+informations requises, un
-dont çn nQ serait gu&je avisai; je morose ei. misîintteopiqije par§nt ie Rosamond, Ayàr’m Tçêvçrtoçu A llappuà, de: çettç éprenante désignation* âoçSeuç/fîhes? nery donnât 4eu? moîifjs. Andrew, tftut d’^bQçd, ét^fe lè seul membre survint généj&tion<quj eftt Y^PII à Çorthgenna-Tower, dans
+dont on ne se serait guère avisé : le morose et misanthropique parent de Rosamond, Andrew Treverton. À l’appui de cette surprenante désignation, le docteur Chennery donnait deux motifs. Andrew, tout d’abord, était le seul membre survivant de la dernière génération qui eût vécu à Porthgenna-Tower, dans
-temps , où- les tçaditiô^sMatives appartements dn i nord . s§ peppé.tu^ieât, encore . dans
+temps où les traditions relatives aux appartements du nord se perpétuaient encore dans
-mémoire dçs b?&itent& 4p cetf.& résidence
+mémoire des habitants de cette résidence
-étaient 4es étrangers, .inr vestis leuss fQMtionfrPJ* Frankjand ie père
+étaient des étrangers, investis de leurs fonctions par M. Frankland le père
-capitaine !Ereverton, étaientfin.ïBSÊtspn dispersés. J1 n’existait
+capitaine Treverton, étaient ou morts ou dispersés. Il n’existait
-seule personnedont kp souvenirs pussent êtçe utiles £ Jd, et
+seule personne dont les souvenirs pussent être utiles à M. et
-mistress frankland, ’ et
+mistress Frankland, et
-était, • san%, contestai le
+était, sans conteste, le
-de Porthgenna-Tov^er. ’; ; De
+de Porthgenna-Tower. De
-même daps le pas où la pémoire d’Andrew Tj?everton ferait
+même dans le cas où la mémoire d’Andrew Treverton ferait
-une «hapcje s
+une chance
-244 LE SECRET. s’offrait encore;- c’était
+s’offrait encore ; c’était
-quelque docu* ment, écrit
+quelque document, écrit
-à retrouvër remplacement de
+à retrouver l’emplacement de
-aux Myrtes/En vertu
+aux Myrtes. En vertu
-de ; son
+de son
-jeune homme , allait
+jeune homme, allait
-le collège, et qui iï’avait été
+le collége, et qui n’avait été
-collection - de
+collection de
-qu’on y* trouverait
+qu’on y trouverait
-était jadis , et
+était jadis, et
-aux Myrtés, Andrew
+aux Myrtes, Andrew
-à môme de
+à même de
-procurer. ’ . Ceci
+procurer. Ceci
-fallait inévitablement: recourir
+fallait inévitablement recourir
-question naissait*: Gomment entrer
+question naissait : Comment entrer
-avec lui? Le
+avec lui ? Le
-celle-ci në pouvait
+celle-ci ne pouvait
-priant ’ le
+priant le
-servir • d’intermédiàifô à
+servir d’intermédiaire à
-rapports forcés; Si
+rapports forcés. Si
-pour là personne
+pour la personne
-cette dénïârche, à
+cette démarche, à
-souvenir d’Andrew , et
+souvenir d’Andrew, et
-de Pbrthgeima-Tower :
+de Porthgenna-Tower :
-de logis* ’ f . ; Tout
+de logis. Tout
-docteur në cherchait
+docteur ne cherchait
-vieillard. CepeHdant, vu
+vieillard. Cependant, vu
-mieux qué rien, il estimait’qu’on devait
+mieux que rien, il estimait qu’on devait
-le plàn de
+le plan de
-et > • •^ ••^ •i’-iùÂ
+et
-LE SECRET. 2<*5 t ’ mistress
+mistress
-le doc’ teur Chennery
+le docteur Chennery
-à Porthgënnà ?
+à Porthgenna ?
-relatif * à
+relatif à
-à seize? Influencée
+à seize ? Influencée
-proposé luimême , et
+proposé lui-même, et
-raisons d’antiquaire; sa
+raisons d’antiquaire ; sa
-en s avoir
+en avoir
-allusion W aux
+allusion aux
-quelque in• ventaire ou
+quelque inventaire ou
-i, 246 LË SËCREÎ. le
+le
-de h* importe quel dôcuihëht pouvant éclairez: la
+de n’importe quel document pouvant éclairer la
-ainsi posées où iiiêihe la simple permiséioii d’en fàiré faire extrait^ seràit tin véritable ëërvibe, dôht il
+ainsi posée, ou même la simple permission d’en faire faire extrait, serait un véritable service, dont il
-dans tin post-scripîuiiï, il àtait àôin d’insinuer.que, pour
+dans un post-scriptum, il avait soin d’insinuer que, pour
-à M, TrëVértoh tôutë efcjpèôë de déràn gement, on irait, lé lendemain niêïhë du jour éû là lettre lu aurait été rèmisë, chercher là répôtisè qu’il pôurràit y vouloir faire; \ Après
+à M. Treverton toute espèce de dérangement, on irait, le lendemain même du jour où la lettre lui aurait été remise, chercher la réponse qu’il pourrait y vouloir faire. Après
-le miiiikttè, âUgiïràht d’ailleurs assez ffial de 6ë <jui devait ë& résulter, l’àdrèssa àbus enveloppe
+le ministre, augurant d’ailleurs assez mal de ce qui devait en résulter, l’adressa sous enveloppe
-son Homme ’d’&ffâires; à Lôhdrës; én lë priàiit bailleurs :de là faire
+son homme d’affaires, à Londres, en le priant d’ailleurs de la faire
-par l’ëntrèmiâë d’ùiie përéoniie sûre* laquelle,
+par l’entremise d’une personne sûre, laquelle,
-le lëHdémain, irait ptëhdré la
+le lendemain, irait prendre la
-après lë départ dé eëttë lettre; oh n ? atait ëhçbre aucune i nouvelle
+après le départ de cette lettre, on n’avait encore aucune nouvelle
-docteur Chënfiéryl Roëàtiioild obtint ëiifih de ses,médecins l’autorisation
+docteur Chennery. Rosamond obtint enfin de ses médecins l’autorisation
-voyager. Prénfiiit; congé
+voyager. Prenant congé
-auquel oti pfômit, à
+auquel on promit, à
-seraient lëS recherchés relatives
+seraient les recherches relatives
-la ëhâLmbre aux MyrtëS, M. ët mistreSs Frankland partirent âë WëstWinstoU, ét, pour la trôiôièmë fois; së rèmirëiit ën route vêts Porth gehna-To wër * * ’ • • i ’ CHAPITRE H. J i J. ,, Le
+la chambre aux Myrtes, M. et mistress Frankland partirent de West-Winston, et, pour la troisième fois, se remirent en route vers Porthgenna-Tower. === CHAPITRE II. — Le
-de là fin. •i J » . r Lorsque le niessagèr chargé
+de la fin. === Lorsque le messager chargé
-docteur Chéhnéty parvint, non SariS pèine, à la portë du jardih^ ët; càril^ïonnaht à tôUr de
+docteur Chennery parvint, non sans peine, à la porte du jardin, et, carillonnant à tour de
-mit ëh émoi les bôtëè dû cottage dë Bayëwâter, lë personnel
+mit en émoi les hôtes du cottage de Bayswater, le personnel
-Andrew TreVertôh s’bc ciipâit à bôUlàngëh Ûët bôùimê àyaht soriîxé à trois reprisés différentes , une voix rauqùe se
+Andrew Treverton s’occupait à boulanger. Cet homme ayant sonné à trois reprises différentes, une voix rauque se
-lui dë l’autr e côté du mur; elle
+lui de l’autre côté du mur ; elle
-de laissèr la
+de laisser la
-en repos, c Qfti êtes vous, ajoutait-ëlle j ét ijue diable àvéz-vdus à fairè ici? ’ . / — XJhë lettré pour Mi. Tréfèrtôii, répbndit le ihésâager, giii â’ëéàrta rëspëctuèuâéihëht dè là porté, trôublé pâr uné si énëïs gïc[uë àdjûràtibn;
+en repos. « Qui êtes vous, ajoutait-elle, et que diable avez-vous à faire ici ? — Une lettre pour M. Treverton, répondit le messager, qui s’écarta respectueusement de la porte, troublé par une si énergique adjuration.
-LE SECRET. 247 —
+—
-ensuite l» reprit la yoix enrouée. Lë messager
+ensuite ! » reprit la voix enrouée. Le messager
-un j homme
+un homme
-âge raisonnable , d’une
+âge raisonnable, d’une
-douce ét ïnodéf rée, et,
+douce et modérée, et,
-de mélanget son
+de mélanger son
-susceptibilité. . L’homme
+susceptibilité. L’homme
-rauque (autânt vaut
+rauque (autant vaut
-plus Simplement, M.
+plus simplement, M.
-de bulUterfier; puis
+de bull-terrier ; puis
-regagna nonchàlàniment le
+regagna nonchalamment le
-sur là cuisine. î)ans ce
+sur la cuisine. Dans ce
-la paneterié ^ très^-probablement, si
+la paneterie, très-probablement, si
-des gens, civilisés,
+des gens civilisés,
-arrivait, M, Treverton
+arrivait, M. Treverton
-occupé h protester contre J le joug déis meuniers anglais, [en, broyant lui-même sotï blé.
+occupé à protester contre le joug des meuniers anglais, en broyant lui-même son blé.
-le $euil dë la porte * il
+le seuil de la porte, il
-de tqumer la
+de tourner la
-l’aide dé laquelle
+l’aide de laquelle
-jeu le. mécanisme./ € Pourquoi
+jeu le mécanisme. « Pourquoi
-ici ?— demanda-t-il.
+ici ?... demanda-t-il.
-n’est indispensable^ le plaisir dè nous regarder*... Je n^arrête jamais
+n’est indispensable, le plaisir de nous regarder... Je n’arrête jamais
-sans me: demander
+sans me demander
-quelque chose, d’aussi
+quelque chose d’aussi
-voyais ijn chat,
+voyais un chat,
-avec Get aninial. Les
+avec cet animal. Les
-comme boueux,; le
+comme boueux ; le
-était droite le
+était droit, le
-est crochu; ses
+est crochu ; ses
-propres, :les. vôtres sont sales; l’enveloppe
+propres, les vôtres sont sales ; l’enveloppe
-merveille, là vôtre
+merveille, la vôtre
-un sac., Je
+un sac. Je
-à laquelle, nous appartenons, ^ous et
+à laquelle nous appartenons, vous et
-plus iàide qu’il
+plus laide qu’il
-contemplation réciproque.... Infime,
+contemplation réciproque... Infime,
-nature, hor? d’ici 1... hors
+nature, hors d’ici !... hors
-dis-je J $ Shrowl
+dis-je ! » Shrowl
-sa poche.Il était,
+sa poche. Il était,
-ce *
+ce
-I ïr 248 LE SEGRET. moment,
+moment,
-dire. at Maintenant
+dire. « Maintenant
-bien venir? Votre
+bien venir ? Votre
-avec vous? On
+avec vous ? On
-timbale d’argent.... L’héritier
+timbale d’argent... L’héritier
-de juste; la
+de juste ; la
-sa demi-guinée; et
+sa demi-guinée ; et
-maman attend..., votre fortune.... Quel
+maman attend... votre fortune... Quel
-tant d’heureux!..., Ahl miséricorde 1 quelles
+tant d’heureux !... Ah ! miséricorde ! quelles
-lettre pareille!.... Que
+lettre pareille !... Que
-de famille?.... —
+de famille ?... —
-infernale I s’écria M. Treverton.... Gomment osez-vous
+infernale ! s’écria M. Treverton... Comment osez-vous
-ma nièce?... Vous
+ma nièce ?... Vous
-ma fortune?.... Plutôt
+ma fortune ?... Plutôt
-qui parlez.... Et
+qui parlez... Et
-la mer.... Ï Après
+la mer... » Après
-rire sardoniquelui échappa. <r Votre
+rire sardonique lui échappa. « Votre
-à lui-même.... Oui,
+à lui-même... Oui,
-votre caprice.... Et
+votre caprice... Et
-le curé?.,. »
+le curé ?... »
-jeta un’second coup
+jeta un second coup
-sourcils /-
+sourcils
-1 LE SECRET* 249 (î se
+se
-plus belle.... a Sous
+plus belle... « Sous
-a quelque, mensonge
+a quelque mensonge
-embuscade, murmura* t-il d’un air soupçonneux,... Je
+embuscade, murmura-t-il d’un air soupçonneux... Je
-ses ouailles.... La loinelui donne
+ses ouailles... La loi ne lui donne
-me mystifier.... Que
+me mystifier... Que
-s’arrêta derechef , réfléchit quelque temps , puis,
+s’arrêta derechef, réfléchit quelque temps, puis,
-: t Avez-vous
+: « Avez-vous
-le four? lui
+le four ? lui
-la lettre , hésita,
+la lettre, hésita,
-domestique. <c Allumez
+domestique. « Allumez
-de suite! lui
+de suite ! lui
-en voici.... Un moment! ajouta-t-il,
+en voici... Un moment ! ajouta-t-il,
-lettre déchirée.... Si
+lettre déchirée... Si
-avoir une, réponse,
+avoir une réponse,
-répondre. * A ces
+répondre. » À ces
-méchante épandusur son
+méchante épandu sur son
-la déchiffre^. Quand
+la déchiffrer. Quand
-parcourue f à
+parcourue à
-poche. t <r On
+poche. « On
-vieux journal.... L’idée
+vieux journal... L’idée
-de la. tirer
+de la tirer
-le Jardin son
+le jardin son
-se retirer, en
+se retirer en
-du docte 1 X yf
+du docteur Chennery ne
-i 250 LE SËCRET. L y . . s Ctieiinery fit qae confirmer Shrowl dànè son desëeui de
+fit que confirmer Shrowl dans son dessein de
-anéantir tin isi ]ârédiëux docii&ierit. Non sans beâucoùp de përëêvérâricë et de peiné, non sans dê longs
+anéantir un si précieux document. Non sans beaucoup de persévérance et de peine, non sans de longs
-parvint ààë pénétrer
+parvint à se pénétrer
-qui, feëloii lui,
+qui, selon lui,
-toute l’imjiôriance de
+toute l’importance de
-morceau dè papier.
+morceau de papier.
-premier lieu; qué le signatàirë, Hômmé Robert
+premier lieu, que le signataire, nommé Robert
-logis iïbrà d’iiriè vieille habitation ûommée Porthgenna-ToWer, et située dàiiélepàys dè Cornouailles. Le âëcbnd point éclâirci pouvait se réàumer de là sorte
+logis nord d’une vieille habitation nommée Porthgenna-Tower, et située dans le pays de Cornouailles. Le second point éclairci pouvait se résumer de la sorte
-ce ÎRobèrt Chennery broyait qîie le
+ce Robert Chennery croyait que le
-la dèscrijption dont
+la description dont
-rencontrer dartè unë collection
+rencontrer dans une collection
-que cè même Robert Chëhtièry, quel
+que ce même Robert Chennery, quel
-pût êtfë, estimerait un gtand service
+pût être, estimerait un grand service
-le plàii ou la descriptibti ëû Question. Eii méditant cë dernier
+le plan ou la description en question. En méditant ce dernier
-de Vuè de
+de vue de
-particuliers, lèjs seuls doùt il sè préoccupât Volontiers, Shrowl en vitt à conclure qtiïïl pourrait bïèii fie pas trop mâl employer sfin temps, pécuniairëmènt parlant,
+particuliers, les seuls dont il se préoccupât volontiers, Shrowl en vint à conclure qu’il pourrait bien ne pas trop mal employer son temps, pécuniairement parlant,
-Robert Oheniiëryj en fouillait secrètement parmi lôS livres dê son mâîtrè; «t Si jé manœuvre bien, C’est jieùt-être uû billët de.ôihq guinéeâ que j’àttrapefràii » peiisâit ShrotW en replaçant là lettre
+Robert Chennery, en fouillant secrètement parmi les livres de son maître. « Si je manœuvre bien, c’est peut-être un billet de cinq guinées que j’attraperai, » pensait Shrowl en replaçant la lettre
-et eh j^mjjàiit^ l’air
+et en grimpant, l’air
-pensif, TesbaUer ijûi conduisait
+pensif, l’escalier qui conduisait
-de viëillêriôs situés â l’étage éùpériëur. ; Gèà piêfcéS; àû ÛOînbrè dè dëùx, étaient àbsoliiihènt démèublées^ ët la r&re ôblïectioii de
+de vieilleries situés à l’étage supérieur. Ces pièces, au nombre de deux, étaient absolument démeublées, et la rare collection de
-qui àvâit àutréfôià orné
+qui avait autrefois orné
-bibliothèque dë Portftgëùnâ-Tower y
+bibliothèque de Porthgenna-Tower y
-jetée jrêie-méle sur
+jetée pêle-mêle sur
-centaines dô vôltimeà, couverts de poussière^ y gisâiëht dè tôus côtés
+centaines de volumes, couverts de poussière, y gisaient de tous côtés
-positions, Sôrtis au hàsard des caisses d’émballâge, cbmmê kort le chârbdn des sâcâ qu’on
+positions, sortis au hasard des caisses d’emballage, comme sort le charbon des sacs qu’on
-cave. D’antiiëns livrèé qui ëussënt ëté^ dsiîlâ ûiië cellule dé SaVant^ coûservës comme
+cave. D’anciens livres qui eussent été, dans une cellule de savant, conservés comme
-trouvaient , dans cë Châôs, nëgligëmtiiënt fourvoyés parmi dës ouvrages
+trouvaient dans ce chaos, négligemment fourvoyés parmi des ouvrages
-faisait totït le
+faisait tout le
-de voluiûès accumulés au haèa*d; Shrawl ; èndouràgé par soû ignorànce même; pénétrait hardiment; sSns autre
+de volumes accumulés au hasard, Shrowl, encouragé par son ignorance même, pénétrait hardiment, sans autre
-la V£gue clarté dè ces
+la vague clarté de ces
-mots ; Porthgenna-Tower.
+mots : Porthgenna-Tower.
-étant biea mis
+étant bien mis
-continuer sës recherches
+continuer ses recherches
-eût rencontrée sur
+eût rencontrés sur
-page d’ut dés volutiaes
+page d’un des volumes
-Et I LE SEDRÈÎ. &S1 f’s Ï qui, par ^centaines, encombraient lë Sol à.ses piëdô. Pour le ïmoment c’était
+qui, par centaines, encombraient le sol à ses pieds. Pour le moment c’était
-grande affairé* et il S’apprêtait, debout #u | milieu
+grande affaire, et il s’apprêtait, debout au milieu
-deux greniers ; à
+deux greniers, à
-consacrer Corps I et âme. f II coihmënça par
+consacrer corps et âme. Il commença par
-coups dë piëd ; une Sorte de r petite
+coups de pied, une sorte de petite
-pût s’asseoit coûfôkâblëiriënt * à
+pût s’asseoir confortablement, à
-se Sait à
+se mit à
-tous ^ les
+tous les
-portée dè sà màiâî Ëditiôns rares dés classi; ques, surtout
+portée de sa main. Éditions rares des classiques, surtout
-anglais, draines du temps d’Ëlisabeth, voya\ ges, sermons,
+anglais, drames du temps d’Élisabeth, voyages, sermons,
-livres d’histbirë nàturëllë; liVréà dë I sport ^ volume
+livres d’histoire naturelle, livres de sport, volume
-après vol unie dépareillé-, lui passèrent [ ainsi
+après volume dépareillé, lui passèrent ainsi
-très-rapidement etd^unë façbii émineml ment originale
+très-rapidement et d’une façon éminemment originale
-aucun n’avait^, dans
+aucun n’avait, dans
-les l mots
+les mots
-Porthgenna-Tower. Et; pendant lés premières
+Porthgenna-Tower. Et, pendant les premières
-qui s’ëcoulèrènt après qùô Shrôwl se fût âssis sur
+qui s’écoulèrent après que Shrowl se fut assis sur
-industrie h’obtini pas la mbifidre récompense. [ Avant
+industrie n’obtint pas la moindre récompense. Avant
-sur ùn àutrë point
+sur un autre point
-montagne àé gravats littéraires^ il * fit
+montagne de gravats littéraires, il fit
-pour âavdiï s’il
+pour savoir s’il
-qui lui, donnât
+qui lui donnât
-et mît plus
+et mit plus
-la Snasse énorme dë Bôu, quins qui
+la masse énorme de bouquins qui
-à examiner* Le résultat dé ses réI flexions fut
+à examiner. Le résultat de ses réflexions fut
-risquait niôins dé se perdre én prenant îhI différemment les
+risquait moins de se perdre en prenant indifféremment les
-pièce, | et
+pièce, et
-par Ordre de
+par ordre de
-à Goinniehcer par £ les
+à commencer par les
-à fiiésure, jî comme
+à mesure, comme
-maçons rangent, leurs
+maçons rangent leurs
-il atrivëràit f ainsi, graduellement v des
+il arriverait ainsi, graduellement, des
-de l poche,
+de poche,
-fit donc; tptijourè a coups de pied^ un
+fit donc, toujours à coups de pied, un
-le lpng.du mûr, et, foulant auî pieds Jes livres. comme
+le long du mur, et, foulant aux pieds les livres comme
-de térrë, il
+de terre, il
-de ça, dë là,
+de çà, de là,
-nouvelle espèce^ ramassant
+nouvelle espèce, ramassant
-nouveau dessein; ^ ~ ’. ^ . ^ s Le
+nouveau dessein. Le
-atlas v Shrowl
+atlas : Shrowl
-quelques cartes; en 4épli^ quelques autres; réfléchit; secoua
+quelques cartes, en déplia quelques autres, réfléchit, secoua
-volume dansd’espace vide
+volume dans l’espace vide
-le mur^ . -Le livré le
+le mur. Le livre le
-après celui-ci* se trouva êtrë.une colle ction magnifiquement
+après celui-ci, se trouva être une collection magnifiquement
-personnages bé’i lèbres. Shrowl
+personnages célèbres. Shrowl
-affreux grdgne-
+affreux grognement
-252 .LE SECRET. ment désapprobateur,
+désapprobateur,
-l’atlas. - Le
+l’atlas. Le
-dimensions plus.qu’ordinaires. Dans
+dimensions plus qu’ordinaires. Dans
-le dégagea , non
+le dégagea, non
-le titre.... et
+le titre... et
-aux yeux* : • Il
+aux yeux. Il
-la maison; mais
+la maison ; mais
-poste. <r Que
+poste. « Que
-voie pas? Si
+voie pas ? Si
-décidée. J> Calmé
+décidée. » Calmé
-seconde portait^ au
+seconde portait, au
-était signée: Rare; tiré à siœ exemplaires
+était signée : Rare ; tiré à six exemplaires
-imprimée. et A JOHN
+imprimée. « À JOHN
-TREVERTON, ESQ**, propriétaire
+TREVERTON, ESQre, propriétaire
-décrire f l’ancienne
+décrire l’ancienne
-» j’ Suivaient
+» Suivaient
-de PORTHGENNÀ-TOWER, depuis
+de PORTHGENNA-TOWER, depuis
-l’époque actuelle; y
+l’époque actuelle ; y
-gothique, et.quelques Pensées
+gothique, et quelques Pensées
-Conquête normande; par
+Conquête normande ; par
-de Porthgenna; le
+de Porthgenna ; le
-* ’.I * LE SECRET, 253 vues
+vues
-la publicité; imprimé
+la publicité ; imprimé
-Truro, 1734.» , Tel
+Truro, 1734. » Tel
-l’architecture gothique; puis,
+l’architecture gothique ; puis,
-devoir consacrer, à
+devoir consacrer à
-une antre gravure
+une autre gravure
-enfin, . une
+enfin, une
-un moment^ regardant
+un moment, regardant
-: Erection du
+: Érection du
-famille de, la
+famille de la
-de Porthgënnà. Plaçant
+de Porthgenna. Plaçant
-impatienté, courut, à la, fin
+impatienté, courut à la fin
-des écuries; l’avant-dernière,
+des écuries ; l’avant-dernière,
-il étaitquestion dans
+il était question dans
-quelques ^réflexions pour
+quelques réflexions pour
-vols et
+vols ; et
-passe, ; si
+passe, si
-la jseule alternative
+la seule alternative
-une copié du
+une copie du
-comme d’un,objet que
+comme d’un objet que
-après quelques: réflexions,
+après quelques réflexions,
-cuisine, prit,dans un
+cuisine, prit, dans un
-plume Poussée, un
+plume émoussée, un
-254 LE SEGRET. ji feuille
+feuille
-grenier poui* y éopiér lé plan dii mieui qu’il
+grenier pour y copier le plan du mieux qu’il
-; taaife à
+; mais à
-seconde fois , il
+seconde fois, il
-désespérantes. : f ’" " ^• : Lés pièces
+désespérantes. Les pièces
-des sériés de
+des séries de
-desquels ’certaines désignations
+desquels certaines désignations
-fort nettementet la
+fort nettement ; et la
-des portés, des èsca^ liérs, dès corridors, était indiquée’ par
+des portes, des escaliers, des corridors, était indiquée par
-longueurs ét d’épaisseurs très-diveSses/ Après
+longueurs et d’épaisseurs très-diverses. Après
-songé longtempà, avec’force grimaces
+songé longtemps, avec force grimaces
-de barbe , Shrowl
+de barbe, Shrowl
-meilleure mamère de
+meilleure manière de
-le plaii serait
+le plan serait
-qui, mesurait à
+qui, mesurant à
-la page* en
+la page, en
-partie gravée, Buis il tracerait rde soa mieux, ayec sa
+partie gravée. Puis il tracerait de son mieux, avec sa
-travers. 11 soufflait , hennissait, grommelait eîi së livrant
+travers. Il soufflait, hennissait, grommelait en se livrant
-figure fcrtéinent colorée
+figure fortement colorée
-peines extrêmes-; il
+peines extrêmes ; il
-à la-fin; sauf
+à la fin, sauf
-dans f le
+dans le
-odieux pâtéà, d’une
+odieux pâtés, d’une
-d’honneur. Fuis, àVaht de
+d’honneur. Puis, avant de
-le téihps’ de sécher, - et aussi pour’ réprendre haleine,
+le temps de sécher, et aussi pour reprendre haleine,
-faisant. i- L’obstacle 4 surmonter; maintenant,
+faisant. L’obstacle à surmonter, maintenant,
-inscrit àl’iiîté rieur des
+inscrit à l’intérieur des
-chacune 4’elles. Heureusement pour Shrpwl;: qui
+chacune d’elles. Heureusement pour Shrowl, qui
-insigne maladresse/ aucun
+insigne maladresse, aucun
-avait de’ la
+avait de la
-étroites casesV Un
+étroites cases. Un
-particulier, celui’de la chambre aux; Myrtes,
+particulier, celui de la chambre aux Myrtes,
-des lettrés qui cqmposent ce dërndér mot,
+des lettres qui composent ce dernier mot,
-le réproduire, sa
+le reproduire, sa
-doigts : crispés. Et én somme,
+doigts crispés. Et en somme,
-du inonde, il
+du monde, il
-la page , en
+la page, en
-reliant àu carré
+reliant au carré
-ligne quelquè peu ondoyante; Le même abcident se
+ligne quelque peu ondoyante. Le même accident se
-autres fbis, et
+autres fois, et
-le inême procédé. Relativèment aux Autres dé1
+le même procédé. Relativement aux autres dé
-LE SECRET. 255 ’ . 1 • •":; nominations,
+nominations,
-mieux, pt, quand
+mieux, et, quand
-complété spn œuvre
+complété son œuvre
-en reproduisantle : du çôié nord,
+en reproduisant le titre : Plan du côté nord,
-somme, n’étaij; pas absolument augsi^ méprisable
+somme, n’était pas absolument aussi méprisable
-Après s’être’ ftçsuré, par
+Après s’être assuré, par
-comparaison paillée avec
+comparaison détaillée avec
-qu’elle était; exacte
+qu’elle était exacte
-la pli$ conjointement
+la plia conjointement
-la lettré du
+la lettre du
-dans s^ poche, non çans pousser
+dans sa poche, non sans pousser
-soulagement, accogapagué çï’nn gpunre où
+soulagement, accompagné d’un sourire où
-joie sauvage.: Le
+joie sauvage. Le
-porte c|u Jardin de Treyertjqn ^’offrit aux
+porte du jardin de Treverton s’offrit aux
-du pubjiç, soijs un aspect jus^ue^l| i^çoiinu’: elle
+du public, sous un aspect jusque-là inconnu : elle
-deux ^ttantssi ef/T^ft deux
+deux battants, et l’un des deux
-était orflé fc figure dp ghçpwl ,’qmVy Wt àçlossé confortablement, les jambçs, croisées,^es ni^mV dansle? poches,
+était orné de la figure de Shrowl, qui s’y était adossé confortablement, les jambes croisées, les mains dans les poches,
-pipe atux lèvres, ^tënda|it le" retour cia^essagèf , Ja veille , avait
+pipe aux lèvres, attendant le retour du messager qui, la veille, avait
-le mçssige. du docteur * .. .. i. » chapitre m. ’s:fvT.v. r\tr . ’ L’approche
+le message du docteur Chennery. === CHAPITRE III. — L’approche
-précipice. i Partis
+précipice. === Partis
-pour Porthgënnà, M. et niistress frankland s’étaient
+pour Porthgenna, M. et mistress Frankland s’étaient
-de West-Wmstôn. Le
+de West-Winston. Le
-petite yillç et
+petite ville et
-du Cjornouailles ; le13, après
+du Cornouailles ; le 13, après
-soirée, iPorthgèhn^-Toyér. Il
+soirée, à Porthgenna-Tower. Il
-de Tprage, et: il
+de l’orage, et il
-la m^ti^ée. fians l’après-midi le terups s’était
+la matinée. Dans l’après-midi le temps s’était
-et, lorsqu’il? arrivèrent
+et, lorsqu’ils arrivèrent
-le veut était toçhé; un
+le vent était tombé ; un
-de teiçps a autre
+de temps à autre
-pluies —’ ’^ semblaient
+pluies soudaines, précipitées sur le sol humide, semblaient
-mettre niême uh oisif
+mettre en ébullition. Sur l’esplanade ouest, pas même un oisif
-venu 3u village se xnçttre en
+venu du village se mettre en
-lorsque là voiture
+lorsque la voiture
-mistress Frankland , le
+mistress Frankland, le
-deux do- mestiques, passa pied d’icelle, ?e rendant
+deux domestiques, passa au pied d’icelle, se rendant
-ouverte, n’attèhdaït lès voyageurs,
+ouverte, n’attendait les voyageurs,
-on ava^t renoncé
+on avait renoncé
-de ïëf voir
+de les voir
-ce jpyr-là ;
+ce jour-là ;
-du ressac,là mer ^ f r i t.
+du ressac, la mer
-256 LE SECRET. irritée
+irritée
-grosses vagueë contre
+grosses vagues contre
-avait étouffé’complètement le
+avait étouffé complètement le
-à mi-côtei Le
+à mi-côte. Le
-son " siège pour
+son siége pour
-minute ayant que
+minute avant que
-obscurité j des
+obscurité des
-menaçantes, j les
+menaçantes, les
-propre demeuré, comme
+propre demeure, comme
-des étranj gers survenus
+des étrangers survenus
-inopportune. f Lorsque
+inopportune. Lorsque
-autre occàsion leurs serviteurs; eussent accueilli j avec
+autre occasion leurs serviteurs eussent accueilli avec
-de lafemme de
+de la femme de
-: mais’ les
+: mais les
-été dé leur
+été de leur
-de | leur
+de leur
-traiter cë pénible
+traiter ce pénible
-vers l’es[ calier de l’ouest, La
+vers l’escalier de l’ouest. La
-trois [ * des
+trois des
-la mër avec
+la mer avec
-fait \ que
+fait que
-crut de^son devoir
+crut de son devoir
-tragique acci- t dent avait
+tragique accident avait
-par dé joyeuses acclamations. ’ 11 " r Lenny,
+par de joyeuses acclamations. « Lenny,
-presque autant? aimé
+presque autant aimé
-murmura Rosamond^ dont \ s
+murmura Rosamond, dont
-r JVJ 1 ;t’ J -. t% i-’ >-< t’ t!* LE SEGRET. 257 le
+le
-nerveux, - pressa
+nerveux, pressa
-son époux,... Il
+son époux... Il
-le toit’qui m’a
+le toit qui m’a
-chose là-bas.... Voyons
+chose là-bas... Voyons
-Les réparations? demanda
+Les réparations ? demanda
-Les réparations?... Je
+Les réparations ?... Je
-que monpauvre père
+que mon pauvre père
-les : choses
+les choses
-la maison.... Mais, d’abord, dites-moi.... Voici
+la maison... Mais, d’abord, dites-moi... Voici
-je suppose?... Sommes-nous
+je suppose ?... Sommes-nous
-du nord?.., c’est-à-dire
+du nord ?... c’est-à-dire
-nous sommes? — Eh, madame!... tout
+nous sommes ? — Eh, madame !... tout
-minutes I répéta
+minutes ! répéta
-son mari..*. Entendez-vous, Lenny?... En
+son mari... Entendez-vous, Lenny ?... En
-aux Myrtes —
+aux Myrtes. —
-à West-Winston, „ —
+à West-Winston. —
-le mys* ( tère dans
+le mystère dans
-le Secret’, et
+le Secret, et
-la décou- ; verte.... Mais
+la découverte... Mais
-palier glacé.,.. Par où • faut-il
+palier glacé... Par où faut-il
-à présent? —
+à présent ? —
-première Lis secuet* 17
+première
-*. • • ’ " , ; ’ ," 258 LE SECRET. occasion
+occasion
-en relief.,.. Il
+en relief... Il
-le Salon.... Youlez-vous me
+le salon... Voulez-vous me
-de TOUS conduire dans: l’appartement 1 en question? àjouta-t~il, offrant officieusement Sa main à Ml Frankland, ;. —Certainement non,} répliqua
+de vous conduire dans l’appartement en question ? ajouta-t-il, offrant officieusement sa main à M. Frankland. — Certainement non, » répliqua
-vivacité ;; car, avec Sa vive faculté d? observation • elle avait rejnarqué que
+vivacité ; car, avec sa vive faculté d’observation, elle avait remarqué que
-Munder Manquait aux
+Munder manquait aux
-savoir-vivre qtf lui
+savoir-vivre qui lui
-tenir ses-regards curieux
+tenir ses regards curieux
-son maîtrealors qu’elle
+son maître, alors qu’elle
-présente, et , en
+présente, et, en
-pas : favorablement disposée?pour lui: ; En
+pas favorablement disposée pour lui. « En
-question, ajoutait-elle avec
+question, ajouta-t-elle avec
-voulez bien-, qui
+voulez bien, qui
-M. Frankland; Si vous déSiréz vous: rendre
+M. Frankland. Si vous désirez vous rendre
-portes. J> r ; ,^ ,/ > Un
+portes. » Un
-dissimulait lës fmoindres symptômes,
+dissimulait les moindres symptômes,
-la cheminée;les vieux meubles ; s’y montraient spus leur
+la cheminée ; les vieux meubles s’y montraient sous leur
-plus ’ pittoresque, Le i papier
+plus pittoresque. Le papier
-nuances moelleuses; les
+nuances moelleuses ; les
-au marcher i RoSsàmond conduisit son maii;à un
+au marcher. Rosamond conduisit son mari à un
-feu, ët, pour
+feu, et, pour
-se sentît ’un peu chez elle* ^ c Ah !r voici qui fait-espérer quelque
+se sentit un peu chez elle. « Ah ! voici qui fait espérer quelque
-nous aurons’tiré lës rideaux
+nous aurons tiré les rideaux
-nous ët ce
+nous et ce
-brouillard, quandlps flambeaux
+brouillard, quand les flambeaux
-au monde;... Vous
+au monde... Vous
-de Ce bon
+de ce bon
-pas vrai^Lenny Il
+pas vrai, Lenny ?... Il
-cette pièce,-mon cher cœur, i e pourrai
+cette pièce, mon cher cœur. Je pourrai
-soir, à- Porthgënnà, vous
+soir, à Porthgenna, vous
-un pende musique, confine àLondres... ; Nourrice, asseyez-vous.... mettez-vous,
+un peu de musique, comme à Londres... Nourrice, asseyez-vous... mettez-vous,
-le bafoj,aussi à
+le baby, aussi à
-que possible..,, Avant
+que possible... Avant
-vais : aller,
+vais aller,
-mistress Penthreath, inspecter
+mistress Pentreath, inspecter
-chambres i coucher;. « Comment
+chambres à coucher... Comment
-appelez-vous, tous, la
+appelez-vous, vous, la
-joues roses?... Betsey, m’a-t-on dit?,.. Eh
+joues roses ?... Betsey, m’a-t-on dit ?... Eh
-le thé.... Et
+le thé... Et
-en saurfins pas
+en saurons pas
-au contraire^ si yous parvenez
+au contraire, si vous parvenez
-viande froide..» Distribuant
+viande froide... » Distribuant
-sur tin ton de bon humeur, et -n* *eparquàpfcp&s -£air irn peu
+sur un ton de bonne humeur, et ne remarquant pas l’air un peu
-ses fâçonssi fawli^rçs â l’yard
+ses façons si familières à l’égard
-LÉ SECREÏ. r -• * . fi d’une
+d’une
-mistress PeîitVeaïfiir ^ : ; îî?e •• 11 : ’Êbrèqu’éllë revint, sâ figure
+mistress Pentreath. Lorsqu’elle revint, sa figure
-son langage? étàiënt redeVèrius Sérieux.’ ; vT ^ ’ { J’espère; Lenny,
+son langage, étaient redevenus sérieux. « J’espère, Lenny,
-tout àrrangépqûrle mieux, dit-elle, D’àprès ce que m’àppreÈîd mistress’Pentrëatli, là chambre la ihîéux aérée
+tout arrangé pour le mieux, dit-elle. D’après ce que m’apprend mistress Pentreath, la chambre la mieux aérée
-vaste ëst celle
+vaste est celle
-mourut mà pauvre
+mourut ma pauvre
-pensé ’qu’il valait mieux "né 1 ^pàs sWservir; Je
+pensé qu’il valait mieux ne pas s’en servir. Je
-sentais 1 comme glacéë^ êtf Hèn - qu’à là voir, la î; tristesse s’emparait déjà!dë môi. Un pèu plus
+sentais comme glacée, et, rien qu’à la voir, la tristesse s’emparait déjà de moi. Un peu plus
-se trouvé 1 uneèhambte qui étâit jadis ma nursèïy. Quànd : mistress Pentreath1 m’a -cout^ d’àprès la
+se trouve une chambre qui était jadis ma nursery. Quand mistress Pentreath m’a conté, d’après la
-que je’couéhais là,
+que je couchais là,
-me sùiâ pfresqu r e ftgrrré qûë je ’revoyais là jolie
+me suis presque figuré que je revoyais la jolie
-arceau qûi frrenàit à lïsëcohdë’chambre; là hùrsëfiyià’e fruit, comme •noti§ Fappeiïons kut&fôïs? fi- y’à une ^rôïsiènd’é pièce,
+arceau qui menait à la seconde chambre, la nursery de nuit, comme nous l’appelions autrefois. Il y a une troisième pièce,
-main drôiïe \ ^quf BcyéBniifti^e ’avec J la nùrserfy de LÎ jour? f J’ai pensé^ue] sf vouls n’y voyez àucûfië? objedtibn, nous’pourrions nous 1 èmîfr trèà-coELfortàblemënt dafrs ces
+main droite, qui communique avec la nursery de jour. J’ai pensé que, si vous n’y voyez aucune objection, nous pourrions nous établir très-confortablement dans ces
-chambres, oi: j’ai
+chambres, où j’ai
-suite drësëer ^éè^ïts r ëtr allu’mer du feu; Elles ne feôht ni" àifssîVastes, ni%rossi : richëïnënf meublées que’ lés-chambresd’aïïrïs; mais 1 qu’est-ce qiië’éëla nous fait?;.. Maintenant, si fous- Voulezpon•changera: 3 ces arrangements ;- màiëf pour
+suite dresser des lits et allumer du feu. Elles ne sont ni aussi vastes, ni aussi richement meublées que les chambres d’amis ; mais qu’est-ce que cela nous fait ?... Maintenant, si vous voulez, on changera ces arrangements ; mais, pour
-premier "début, maistiiï1 aWe 1 physionomie
+premier début, la maison a une physionomie
-déserte, l; sï peù accueillante f ^t puis 1 mon 1 bœuf se ré’chatïffe * dans-cette aïï* j t w * cietine chambrette à moi.... et il ! me^ semblé quë ! h^ùs’boûrrions enî éssa^yer pour
+déserte, si peu accueillante ! Et puis mon cœur se réchauffe dans cette ancienne chambrette à moi... et il me semble que nous pourrions en essayer pour
-; Tr est-ce votre 1 avis? i M. Franklahfl se
+; est-ce votre avis ? » M. Frankland se
-l’avis dë <sa temim et ’, 7 en géiiérâl; il fie la cbit^èdfëâît^gîière dans les arrangé* ments domestiqués- Qu’elle 3 T ënterïdàit sr biën’à’ôrgkmkër. PënTliMriPqu’iî lui- notfflâiî ûtf âsâéntiment dont %Hô’S’avait jamais
+l’avis de sa femme, et, en général, il ne la contredisait guère dans les arrangements domestiques qu’elle s’entendait si bien à organiser. Pendant qu’il lui notifiait un assentiment dont elle n’avait jamais
-à retroutèr dettë gaieté qiïi 1- abandonnait si Tareinënt/ îié rèp terteë,^èllé 1 s’êmplô^ à todti disposer pour qûe : le
+à retrouver cette gaieté qui l’abandonnait si rarement. Le repas terminé, elle s’employa à tout disposer pour que le
-soins imagiààbies^’ dâns^’la-chambré ôù 1 il
+soins imaginables, dans la chambre où il
-à ûiâin droite* cômnïuhiquanfrayec la 5 nursery dé jour. Qùanû elle se f fut acquittée dé ce soiri ! maternel , v ellé devint dans
+à main droite, communiquant avec la nursery de jour. Quand elle se fut acquittée de ce soin maternel, elle revint dans
-salon troùveï sdn ïîlari, et
+salon trouver son mari, et
-tourna MêïïtÔt: £c’ était assez
+tourna bientôt (c’était assez
-ordinaire maintenant , lôrsqu’ils se ; trouvaient têté à
+ordinaire maintenant, lorsqu’ils se trouvaient tête à
-les intïiguôr * mistress Jftzèjjh et
+les intriguer : mistress Jazeph et
-Myrtes. r1(f : ; • jb ;r ï Je voudrais ne
+Myrtes. « Je voudrais qu’il ne
-pas nuit dit Rosamond. T’aimerais
+pas nuit, dit Rosamond. J’aimerais à
-260 LE SECRET, à commencer
+commencer
-bien, * Lenny,
+bien, Lenny,
-dans toutes, ces recherches Je
+dans toutes ces recherches. Je
-bonnes idées.... Gomme je
+bonnes idées... Comme je
-préalable, continua-t^elle, sonnant
+préalable, continua-t-elle, sonnant
-plusieurs reprises ... Faisons
+plusieurs reprises... Faisons
-lettre. J> I Betsey
+lettre. » Betsey
-mistress Frank. land parler
+mistress Frankland parler
-à la. femme
+à la femme
-mystérieux. Est-ce
+mystérieux. « Est-ce
-vu, vous^ ce
+vu, vous, ce
-avez vu—. Nous
+avez vu... Nous
-est arrivé.... tout,
+est arrivé... tout,
-moindre bagatelle, a Interpellée
+moindre bagatelle. » Interpellée
-force circonconlocutions, et
+force circonlocutions, et
-: <r Yous dites
+: « Vous dites
-dame évanouie , étendue
+dame évanouie, étendue
-de l’escalier,.,. Avez-yous idée,
+de l’escalier... Avez-vous idée,
-? > La
+? » La
-hésita. Voyons,
+hésita. « Voyons,
-quelque chose.... Dites-nous
+quelque chose... Dites-nous
-mettiez eu colère
+mettiez en colère
-trahissait pai les
+trahissait par les
-Allons donc!... je
+Allons donc !... je
-me fâoherai que
+me fâcherai que
-ne paillez pas.
+ne parlez pas.
-s’est évanouie? »
+s’est évanouie ? »
-H t. LE SECRET. 261 Betsey,
+Betsey,
-: <t Je
+: « Je
-a vu.... le fantôme. , . — Le fantôme?... Il
+a vu... le fantôme. — Le fantôme ?... Il
-fantôme ici?..* Lenny,
+fantôme ici ?... Lenny,
-comptions pas.... Quelle
+comptions pas... Quelle
-est celui-ci?... Nous
+est celui-ci ?... Nous
-de Porthgënnà-, Tower, et
+de Porthgenna-Tower, et
-jamais. . .Rosamond sourit
+jamais. Rosamond sourit
-: G: Je
+: « Je
-de plus; mais,
+de plus ; mais,
-que vous, serez
+que vous serez
-M. Munder-était que
+M. Munder était que
-que la.dame aux
+que la dame aux
-262 LE SECRJET. de
+de
-hôpital dé fous.
+hôpital de fous.
-moindre ,avis, quant
+moindre avis, quant
-de conduite,,qui pût
+de conduite qui pût
-du mystère y:ni.la; femme, de
+du mystère, ni la femme de
-ni i’intendant ne
+ni l’intendant ne
-assistance fûj^de leur département; ÏÏs fournissaient puren^nt,et simplement
+assistance fût de leur département. Ils fournissaient purement et simplement
-toute pratique,,4e la Conduite suspecte
+toute pratique, de la conduite suspecte
-par des deux
+par les deux
-; et, aucune
+; et aucune
-conjectures. ^ * j.^ ï^c-’w.^ oi/1 >i>• <r 0 stupidité! Quelle provoquante^ impénétrable, prêt en-* tieusè stupidité,
+conjectures. « Ô stupidité ! Quelle provoquante, impénétrable, prétentieuse stupidité,
-personnages t s’écria
+personnages ! s’écria
-retrouva seulé avec, son mari, Êas.la moihdrë aide
+retrouva seule avec son mari. Pas la moindre aide
-espérer f.de l’un ;QU 4e l’autre, mon LennyJ Nous
+espérer de l’un ou de l’autre, mon Lenny. Nous
-le manoir;,et,cette ressource pourrait hién nous
+le manoir ; et cette ressource pourrait bien nous
-le r^ste.... À:quoi pense
+le reste... À quoi pense
-docteur Chennery?... Comment se. faitrLil ^qu’hier,. en ,quittant West-Winstonj nous
+docteur Chennery ?... Comment se fait-il qu’hier, en quittant West-Winston, nous
-de seâ démarches ? . . . „: . — Patience; Rosamond, patience Nous verrons .ce qu’appbrte’rsÈ lè courrier
+de ses démarches ? — Patience, Rosamond, patience !... Nous verrons ce qu’apportera le courrier
-demain. : , fr>v —-Oh 1 ne mè parlez
+demain. — Oh ! ne me parlez
-cher amil,.# Je n’ai jaîfîâis lait grandes
+cher ami !... Je n’ai jamais fait grandes
-cette vertu ,,>ei il dix jours; au
+cette vertu, et il y a bien dix jours, au
-que j’aijtont éppisé..>-Ah! que desema^eç et
+que j’ai tout épuisé... Ah ! que de semaines et
-me demander;sang^çesse, vivais pourquoi
+me demander sans cesse : « Mais pourquoi
-Jazeph me^çfend.-çlle d’entre(rd^s la
+Jazeph me défend-elle d’entrer dans la
-aux r Myrtes? Et que.prétendait-elle $aire qllç-même dans
+aux Myrtes ? Et que prétendait-elle faire elle-même dans
-le jour:où elle.a tenté .d’y pénétrer?.„ COiUment se fait^-il qu’elle
+le jour où elle a tenté d’y pénétrer ?... Comment se fait-il qu’elle
-de * " . .’ -«r ’Vu ’ Jj1 ’ choses
+de choses
-n’y soupçonna pas?,de choses ignorées dé mon père? de
+n’y soupçonne pas ? de choses ignorées de mon père ? de
-personne autre..,. * (f^} ^ —Rosamond I s’écria M. ^ranJdandtuChange^nt.tqut à cpup de couleur et, tressaillant
+personne autre... » — Rosamond ! s’écria M. Frankland, changeant tout à coup de couleur et tressaillant
-son fauteuil..., je
+son fauteuil... je
-Jazeph ,= — PohDieurLenny,.que V0ulez-fVpus4ire?f>,; ,... t , —
+Jazeph !... — Bon Dieu, Lenny, que voulez-vous dire ? —
-derniers mots, que ; vous îtvgz prononcés. taiîdis 4ue vous parliéz 1 encore,
+derniers mots que vous avez prononcés, tandis que vous parliez encore,
-s’est ;4ég?gçe dans mon, esprit.
+s’est dégagée dans mon esprit.
-rappelez-vous .qu’à, Baint-S^it^in-sur-Mer, Jé^.aV tant ensemble les chances, que, nous^pourrions avoir
+rappelez-vous qu’à Saint-Swithin-sur-Mer, débattant ensemble les chances que nous pourrions avoir
-rappelez-vous, Rosainonà, ce
+rappelez-vous, Rosamond, ce
-dit de, certains souvenirs, pénibles
+dit de certains souvenirs pénibles
-opposer ?.,. ce qué vous m’avez dit,notamment,
+opposer ?... ce que vous m’avez dit, notamment,
-LE SEGRET. 263 de
+de
-même delamortdevotremère?Ï Ëbsamoiid pâlit â ôetté ^esiioni ... . , ;; (t Gommep, n’ayons-nôus jamais
+même de la mort de votre mère ? » Rosamond pâlit à cette question. « Comment n’avons-nous jamais
-à ëelaî iïit-eliëi — Vous më racbïïtiëi, poursuivit 1UL FrànÉland, que ùèlte, femme
+à cela ? dit-elle. — Vous me racontiez, poursuivit M. Frankland, que cette femme
-trouvait ravett^uè^ cÏÏargée d’uii SëcrëJ à rév^ër â votre j)ére, un
+trouvait l’aveu que votre mère l’avait chargée d’un Secret à révéler à votre père, un
-redoutait dé divulguer, et stir ië^uëî elle drainait d’étiré questionnée^!. C’est
+redoutait de divulguer, et sur lequel elle craignait d’être questionnée... C’est
-pas, qu’ellë riiôtivait sa disparïfi&n Si étran^ë? — C’est ^âî*fàitémëiit cël£ ~ —
+pas, qu’elle motivait sa disparition si étrange ? — C’est parfaitement cela. —
-parler d’ellëï . —
+parler d’elle ? —
-— Èà conjecture esi péùi-êtfë risqiiéé, Kôsâmond ; rnâis je suis fôrtèùïèni; impressionné £>ar l’idee qiiè, lë jour
+— La conjecture est peut-être risquée, Rosamond ; mais je suis fortement impressionné par l’idée que, le jour
-mistress Jàiëph ési eiitfëe dans votte cHamBfë^ à West-Wihèibn, yotis vous
+mistress Jazeph est entrée dans votre chambre, à West-Winston, vous vous
-de cétië fènmîê Se chambre,
+de cette femme de chambre,
-savait pâ^faitéîiiéiit à quoi S’en tëSir là-dêssus, — Et îè Secrëij ciièr boii ami, Je Sëcïêt qu’elle
+savait parfaitement à quoi s’en tenir là-dessus. — Et le Secret, cher bon ami, le Secret qu’elle
-de révélèr â inon péte f — Ge Secret
+de révéler à mon père ? — Ce Secret
-ou d’autïei à, la cHàiûbre aux Myrtëài ï kosamond n’ajouta riérii Ëllê & lëya àe Soin îàtitëuil,, et se ihit à pàrèotirir la (JHambtô clè long èîU&p, avec uflë’ëërtâinë agitation. Léôâàrd, qui ënfëîlaàiî b’ruîi-è sal r&e dë sôiëi Pappéia ters lui, et; prenant sa ïnàiii- Commença par
+ou d’autre, à la chambre aux Myrtes. » Rosamond n’ajouta rien. Elle se leva de son fauteuil, et se mit à parcourir la chambre de long en large, avec une certaine agitation. Léonard, qui entendait bruire sa robe de soie, l’appela vers lui, et, prenant sa main, commença par
-le jiptils, après
+le pouls, après
-jeune feniMë. J’aurais dû atteHdtë £ deiMn ifiâtin bour vous ïâîrë riart dè mon
+jeune femme. « J’aurais dû attendre à demain matin pour vous faire part de mon
-sur miàir&§ Jfcflfeb,’ ïb ai agitée, sàiis qiié bèîa fût
+sur mistress Jazeph, dit-il... Je vous ai agitée sans que cela fût
-du inondé nëcekîâîrfe; ét vôùs ai ènlevë là dHaiice d’imè ,bdnnè ïrâit 3ui tous âfinût i-e^iëeJ — îfôn.... vous voué trômpëiuJ. d ÎSënil^l cdiiiîiiëii dette ’çonjécturë. îôrmëë par voiùs âjbuië â i’intërëfj à l’mtéBt/ poignant j palpitant, qûë nous âyoûsi’S ïëtrouver. cëtie fëidmë et
+du monde nécessaire, et vous ai enlevé la chance d’une bonne nuit qui vous aurait reposée. — Non... vous vous trompez... Ô Lenny ! combien cette conjecture formée par vous ajoute à l’intérêt, à l’intérêt poignant, palpitant, que nous avons à retrouver cette femme et
-découvrir là chàrnBrë àùx Mvrtéë!.:: Ctoféà-•vôiis.... Pour ce soir * je hè çirôis s rieiï;’ fiaa çHërier..’. ët je Voiis prié dè ia’imitër ën cëci.L Nous
+découvrir la chambre aux Myrtes !... Croyez-vous... — Pour ce soir, je ne crois plus rien, ma chérie... et je vous prie de m’imiter en ceci... Nous
-déjà pitié qu’assez parlé dé mistress Jazeph.... Cha%eons de
+déjà plus qu’assez parlé de mistress Jazeph... Changeons de
-et jë ’càiise-î rai de toiit ce
+et je causerai de tout ce
-vous plaira’. £ Voilà
+vous plaira. — Voilà
-sujet I... dit Rosa-
+sujet !... dit Rosamond
-264 LE SECRET. > mond avec
+avec
-Eh bien.... changeons de place.... Ce
+Eh bien... changeons de place... Ce
-des hommes.... Mais
+des hommes... Mais
-si têtu.... et
+si têtu... et
-nuit paisible.... Voyons.... donnons
+nuit paisible... Voyons... donnons
-nos anxiétés..,. Menez-moi
+nos anxiétés... Menez-moi
-me trouve, a ; L’allusion
+me trouve. » L’allusion
-lui. Vous
+lui. « Vous
-cou et.lui donnant un baiser.... oui,
+cou et lui donnant un baiser... oui,
-bon ami; mais
+bon ami ; mais
-temps revenu.... Nous
+temps revenu... Nous
-dites, chan-* ger de
+dites, changer de
-de sujet » Elle s’arrêta.... Ses
+de sujet... » Elle s’arrêta... Ses
-éclat soudain.... Son
+éclat soudain... Son
-plus vif.... et
+plus vif... et
-esprit mobile.; a: Lenny,
+esprit mobile. « Lenny,
-part, ot je
+part, où je
-s’exprimait ainsi ... Nous
+s’exprimait ainsi... Nous
-il ressemble.... mais, pas d’impatience,, au moins.... et
+il ressemble... mais, pas d’impatience, au moins... et
-» , Cependant,, elle le, conduisait
+» Cependant, elle le conduisait
-la porte^ de ïa chambre
+la porte de la chambre
-le baby> faisait signe à" la
+le baby, faisait signe à la
-de se.taire, et,, guidant
+de se taire, et, guidant
-l’enfant. Eh bien, monsieur? s’écria-t-elle,
+l’enfant. « Eh bien, monsieur ? s’écria-t-elle,
-calme e% un
+calme et un
-son mari.,.. Que
+son mari... Que
-ce meuble-là? Est-il
+ce meuble-là ? Est-il
-tout l’univers? ... Baisez-le. voyons, et répondez!... Est-ce .un buste •M
+tout l’univers ?... Baisez-le, voyons, et répondez !... Est-ce un buste
-LE SECRET. 265 d’enfant,’ par quelque sculpteur? ou
+d’enfant, par quelque sculpteur ? ou
-votre femme? a Elle
+votre femme ? » Elle
-: <r Hannah,
+: « Hannah,
-avez l’air’si sérieux
+avez l’air si sérieux
-à souper?,.. »
+à souper ?... »
-garde. <r Allez
+garde. « Allez
-répliqua Rosamond.... je
+répliqua Rosamond... je
-de l’enfant.... Allez
+de l’enfant... Allez
-de lux, dormait
+de lui, dormait
-Après .une ou
+Après une ou
-: Lenny,
+: « Lenny,
-certaine mélancolie..,, je
+certaine mélancolie... je
-personne, ici-bas , puisse goûter lë bonheur
+personne, ici-bas, puisse goûter le bonheur
-perfection. X i —
+perfection. —
-et cependant.*.. — Cependant...? —
+et cependant... — Cependant... ? —
-que je.sois* il
+que je sois, il
-l’être absolument.... Je.lé serais
+l’être absolument... Je le serais
-petite chose.... Vous devinez-bien, sans
+petite chose... Vous devinez bien, sans
-concerne ?.,. Levez
+concerne ?... Levez
-de moi.... je
+de moi... je
-mari. Mon
+mari. « Mon
-deux bras.... l’ami
+deux bras... l’ami
-mon cœur..», jamais
+mon cœur... jamais
-yeux. i
+yeux. — Oh ! Lenny... je
-266 LE SECRET. — Ohl Lëhhy.ïv jèvous dis
+vous dis
-puis voiis dire,., jë fais de mou iniéùx jpour éçlairet cette cruelle, obscurité qui iouâ cache là charmante petite figuré qui^ repose là, tbut près dë Votisl... Mais pourrai-jé vous
+puis vous dire... je fais de mon mieux pour éclairer cette cruelle obscurité qui vous cache la charmante petite figure qui repose là, tout près de vous !... Mais pourrai-je vous
-petite mihè quand il coihmencëra â bôiri{)rehdrè? î>ôùrrài-jë.vous conter îës mille
+petite mine quand il commencera à comprendre ? Pourrai-je vous conter les mille
-il vbudrâ marcher?..* Dièiï, certes,
+il voudra marcher ?... Dieu, certes,
-pour nous.... Mais lé sentiment de vùiris affliction £èse, sùr iiioi bien
+pour nous... Mais le sentiment de votre affliction pèse sur moi bien
-jamais, m^ritedaiit quë je
+jamais, maintenant que je
-votre febme.;maintenant qùë je suis lâ mère
+votre femme... maintenant que je suis la mère
-Cette affliction; cependant,
+Cette affliction, cependant,
-moins lôiirde^ puisqu’il
+moins lourde, puisqu’il
-a ëte donhë dë me là rëndrë J)luâ légère. — Ën vérité? Èst-ce bien vrai?... là,
+a été donné de me la rendre plus légère. — En vérité ? Est-ce bien vrai ?... là,
-bien vïài? Quel hobîe emploi
+bien vrai ? Quel noble emploi
-ma vie j si ëllë peut
+ma vie, si elle peut
-de Vous ëntëhdre dire, comme toht à
+de vous entendre dire, comme tout à
-!... Ahl ils voué serviront toujours, oui* toujours^ et àtissi fidèlemeht que
+!... Ah ! ils vous serviront toujours, oui, toujours, et aussi fidèlement que
-à vtiUs; La ihbiûdïè fcà^atelië dont lâ vuë m’inspirëra quëlque intérêt,
+à vous. La moindre bagatelle dont la vue m’inspirera quelque intérêt,
-vue, ôil autant vaudra j jë votfs jure. Âvëc/toht autre mari; j’aurais peut-être éu Mes petits secrets; Biëri inhôcéhts; mais àvec vous,
+vue, ou autant vaudra, je vous jure. Avec tout autre mari, j’aurais peut-être eu mes petits secrets, bien innocents ; mais avec vous,
-bassesse, ùne crdâuté, un
+bassesse, une cruauté, un
-vous à fait..,. Je vôUâ aiaë tant- Lënîiy I..; Bien plus
+vous a fait... Je vous aime tant, Lenny !... bien plus
-suis devénUë votre-fëriime..*. ïe n’aurais
+suis devenue votre femme... Je n’aurais
-ceci possible..,, pourtant celà est.;.. Vous êtes; à mes yeux* et
+ceci possible... pourtant cela est... Vous êtes, à mes yeux, et
-pour moij de toute façons.. Mais
+pour moi, de toute façon... Mais
-redis sâns cesse les mèihës choses, je rabâche; n’est-il pas vrai?... N’êtes-vous fas èhnuyê de les èhtënàre toujôùrs,?... Non ?.., En
+redis sans cesse les mêmes choses, je rabâche, n’est-il pas vrai ?... N’êtes-vous pas ennuyé de les entendre toujours ?... Non ?... En
-bien Sûr?*.. bien, bièri; bien sûr?... i Elle s’arrêta; un soutire sûr les lèvres ët dés larmes plein Iës yeux: Justë à
+bien sûr ?... bien, bien, bien sûr ?... » Elle s’arrêta, un sourire sur les lèvres et des larmes plein les yeux. Juste à
-moment, î’enfànt remua dàns son berceau, ët attira isôn attention,... Elle replaça autbur de
+moment, l’enfant remua dans son berceau, et attira son attention... Elle replaça autour de
-avait dérahgés* le bouva silencieusement du regard; ët puis se râsèit sur lé tabouret ailx pieds dà Léonard. ïBaby a lë vissée tôût à faittoUrnë de votre côté; dit-elle, Voulez-vous
+avait dérangés, le couva silencieusement du regard, et puis se rassit sur le tabouret aux pieds de Léonard. « Baby a le visage tout à fait tourné de votre côté, dit-elle. Voulez-vous
-fait, comihënl est son lit. et
+fait, comment est son lit, et
-? a Sans attendre là réponse, èllè se mit a décrire l’aSpect de Vp.n^iat et
+? » Sans attendre la réponse, elle se mit à décrire l’aspect de l’enfant et
-manière dçnt il
+manière dont il
-posé, «ivec cette merveilj
+posé, avec cette merveilleuse
-LE SECRET. 267 à L "" 1 ’ " •h i * -h . I J i ’ " ’ ^ leuse minutie qui, caractérise- les observations..féminines. À
+minutie qui caractérise les observations féminines À
-furent rentrée aiji salon,
+furent rentrés au salon,
-pour fairè de
+pour faire de
-musique. Vous
+musique. « Vous
-Myrtes. a * Elle
+Myrtes. » Elle
-quelques-uns de&; aira, fayprjsvdc M^Erankland, avec
+quelques-uns des airs favoris de M. Frankland, avec
-mélange ; de. sentiment L et t £e f caprice ; qjii, ^èjnbiait prêter
+mélange de sentiment et de caprice qui semblait prêter
-ses doigts, faisaient jaijlir_ le
+ses doigts faisaient jaillir le
-nature. Après.ayQM exécuté jtpusjjss ^s. qui
+nature. Après avoir exécuté tous les airs qui
-plus facile,nxôz&^ft mémpirerjelle termm4 par
+plus facilement à la mémoire, elle termina par
-Pensée dè Weber*. C’était le moççeau.q^ aimait par-:dessus ^:tous les , autres. Aussi le - gardait-on. pour couronnement ét charme
+Pensée de Weber. C’était le morceau que Léonard aimait par-dessus tous les autres, Aussi le gardait-on pour couronnement et charme
-concerts domestiquesi v , v ./ nj ^ Elle ralentit la. mesure
+concerts domestiques. Elle ralentit la mesure
-arrivant d^erxûôres. nçte? ide^qet air vraiment inspiré.; puis, quittant tqut, à coup, le piàno Helje traversa
+arrivant aux dernières notes de cet air vraiment inspiré ; puis, quittant tout à coup le piano, elle traversa
-hâte, et, se rapprocha d^ ^a ^eiqinée. Vraiment,
+hâte, et se rapprocha de la cheminée. « Vraiment,
-ou deux, minutes, jl fait plus .froid, dit-elle, s’agenouillant devait le foyer.pour expier- de
+ou deux minutes, il fait plus froid, dit-elle, s’agenouillant devant le foyer pour exposer de
-près ses:mairis ét, son visagei a^ çayopnement del$ chaleur. —Bah? dit Léonard; je
+près ses mains et son visage au rayonnement de la chaleur. — Bah ? dit Léonard ; je
-le moindrechangement de: température^ a • > ."jlJlfJ — Peut-être ainje pris maj ,- dit Rosamond..Onpe^-ê;tre encore,
+le moindre changement de température. — Peut-être ai-je pris mal, dit Rosamond... Ou peut-être encore,
-riant xT.un rire contraint, le^qufflé.qui précède le spectre, (Je la, Danje jdu t Nord est-il arrivé, jusqu’à moi.... J’ai certainement Lsenti;passer sur.moi çonjug$.ui^etlialeine glacée,
+riant d’un rire contraint, le souffle qui précède le spectre de la Dame du Nord est-il arrivé jusqu’à moi,... j’ai certainement senti passer sur moi comme une haleine glacée,
-de Wèber. • -, u, , • m — Vous plaisantez ^, Ros^ipond? ^Nort . v, ftloj^.. •. vous
+de Weber. — Vous plaisantez, Rosamond ?... Non ?... alors... vous
-êtes fatjiguge outre mesure, agitéç ojxtçe mesure,^. Dites
+êtes fatiguée outre mesure, agitée outre mesure... Dites
-femme d§ chambre dçt vous
+femme de chambre de vous
-peu tde y^n trempé, que yous boirëz chaud
+peu de vin trempé, que vous boirez chaud
-du sucrej et
+du sucre, et
-vite auUifc a ^ r „ij;ïr ;i Rosamond, penchée y ers le
+vite au lit. » Rosamond, penchée vers le
-davantage * • „ \ , Çette yalse, par parenthèse n’est ^aa de Weber, [Note dit traducteur,)
+davantage
-I 268 LE SECRET. encore, <r IL est
+encore. « Il est
-je ne sois pas superstitieuse^. • .sans celarje me
+je se sois pas superstitieuse... sans cela, je me
-à ren contrer le Spectre, ja • ^ m* CHAPITEE IV. ; ... ^ Arrêtés
+à rencontrer le Spectre. » === CHAPITRE IV. — Arrêtés
-bord. > La
+bord. === La
-à Porthgënnà ne
+à Porthgenna ne
-à l’ordinaire,-et, bien
+à l’ordinaire, et, bien
-l’ouest. ,.. Le
+l’ouest. Le
-augurait .du temps.
+augurait du temps.
-suivantes oh aurait
+suivantes on aurait
-chaleur. c Dites-moi,
+chaleur. « Dites-moi,
-Myrtes, a lui
+Myrtes, » lui
-expérience. Jamais
+expérience. « Jamais
-cet homme; mais
+cet homme ; mais
-vu que-les myrtes
+vu que les myrtes
-au nord? demanda
+au nord ? demanda
-de l’édifice.... Je
+de l’édifice... Je
-des fenêtres...»
+des fenêtres...
-LE SECRET. 269 $ Je
+— Je
-que j’habite’ici, que | des
+que j’habite ici, que des
-d’ordures, répondit le jar| dinier. % Juste
+d’ordures, » répondit le jardinier. Juste
-le déjeuner; Rosamond
+le déjeuner. Rosamond
-du bâtiment.. Aussitôt
+du bâtiment. Aussitôt
-le factëur venait
+le facteur venait
-de lui-remettre. Rosamond
+de lui remettre. Rosamond
-des lettrés, et
+des lettres, et
-avec un-petit cri
+avec un petit cri
-plaisir. c Le
+plaisir. « Le
-de Long-Bècklëy !...
+de Long-Beckley !...
-son mari.... Enfin,
+son mari... Enfin,
-de vie!.., »
+de vie !... »
-qu’elle dévora* pour
+qu’elle dévora pour
-dire ei un
+dire en un
-les joues’en feu
+les joues en feu
-bon sens.... La
+bon sens... La
-Lisez-la-moi I dit
+Lisez-la-moi ! dit
-prie, lisezla-moi tout
+prie, lisez-la-moi tout
-suite f JO / Rosamond
+suite ! » Rosamond
-cette demande , d’une
+cette demande, d’une
-et maFassise. Le
+et mal assise. Le
-était dëmeu| rée sans
+était demeurée sans
-ajoutait, que/néanmoins,’cette lettre S avait
+ajoutait, que, néanmoins, cette lettre avait
-n’aurait pn les prévoir. | Pour
+n’aurait pu les prévoir. Pour
-il [ les
+il les
-incluse, d’Une communication qu’il \ avait
+incluse, d’une communication qu’il avait
-formule sacramentëlle :
+formule sacramentelle :
-lui seuL Cette communication Renfermait le
+lui seul. Cette communication renfermait le
-M. Trévertoïr et
+M. Treverton et
-docteur Chennery, Shrowl,
+docteur Chennery. Shrowl,
-transmettre litté-
+transmettre litté
-570 LE SECRET. ralement
+ralement
-maître î ensuite
+maître ; ensuite
-en lambeauxr et là copie
+en lambeaux, et la copie
-lui, comme,nous l’avons raconté, enfin
+lui, comme nous l’avons raconté ; enfin
-d’un ’billet de
+d’un billet de
-instructions, ët il
+instructions, et il
-M. Tfevërton de
+M. Treverton de
-l’agent <ÎU docteur ÇJiennëryV Après
+l’agent du docteur Chennery. Après
-Shrowl sfy était
+Shrowl s’y était
-sous prétexte.dé quelque comxhjssion dont
+sous prétexte de quelque commission dont
-il avait’vu l’agent,
+il avait vu l’agent,
-en question; et
+en question ; et
-s’il • ne
+s’il ne
-il .avait fini
+il avait fini
-lesquelles spjj travail stétait éxécùté. Une
+lesquelles son travail s’était exécuté. Une
-s’était engagé’ à
+s’était engagé à
-prenant ’soin de mentionner, en^posif-sprip^m^ qu’il
+prenant soin de mentionner, en post-scriptum, qu’il
-été prise,tet s’était
+été prise, et s’était
-relative de§ portes,
+relative des portes,
-avec la’ désignation
+avec la désignation
-propre compte , le docteur Qhennery pissait entièrement
+propre compte, le docteur Chennery laissait entièrement
-et £ mistress
+et à mistress
-manière devpir, légèr^menf compromis
+manière de voir, légèrement compromis
-en veçtu de motifs supposés; et
+en vertu de motifs supposés ; et
-de nè plus se hasarda dans
+de ne plus se hasarder dans
-prendre ainsi- ujx nouvel
+prendre ainsi un nouvel
-chose §pus toutes
+chose sous toutes
-meilleur parti,-et le pjus §age. D’après
+meilleur parti, et le plus sage. D’après
-son homnie d^ffaireSi de
+son homme d’affaires de
-pas iusqu!à ce ’qu’il eût
+pas jusqu’à ce qu’il eût
-de M, Frankland,
+de M. Frankland,
-il appartenait;, maintenant,
+il appartenait, maintenant,
-marche. Diriger ça marche!... s’écria
+marche. « Diriger sa marche !... s’écria
-se tressait une extrême agitatwîi, dès quelle en eut lu. la dernièrg ligne..,; Ce’sera bientôt fait,jn^ foi.... S&e minute suffira pp^i? écrire, line seconde
+se trahissait une extrême agitation, dès qu’elle en eut lu la dernière ligne... Ce sera bientôt fait, ma foi... Une minute suffira pour écrire, une seconde
-ce guç. nous
+ce que nous
-à gnyoyer en
+à lui envoyer en
-ministre, ayec ses ç choses
+ministre, avec ses « choses
-i LE SECRET. , m • > f r H4 • mûrement
+mûrement
-faces ?. *. j> Il
+faces ?... » Il
-à prenne, ajouta-trelle, en vraie femme , ne
+à prendre, ajouta-t-elle, en vraie femme, ne
-obtenir, sans; tenir
+obtenir, sans tenir
-moyens d’arriver.,.. Il
+moyens d’arriver... Il
-parti ^prendre : c’est çle donner 4 3et homme
+parti à prendre : c’est de donner à cet homme
-et tfaypir ici
+et d’avoir ici
-» ; M.
+» M.
-tête. <r Ceci, disait-il, ’ ’ -, L•. f tir A N ... • 4 »•’. i * -. ^ ^ t »Ji -, i * 1 : ^ ’ t est
+tête. « Ceci, disait-il, est
-impraticable. ponnez-ypus, ma chère, lé temps
+impraticable. Donnez-vous, ma chère, le temps
-minute, etvous verrez.que nous v ne pouvpns, d’auicime manière,
+minute, et vous verrez que nous ne pouvons, d’aucune manière,
-avec pn valet,
+avec un valet,
-a subrepticement’ obtenus,
+a subrepticement obtenus,
-maître. "* — Oh! mon ton ami.... ne
+maître. — Oh ! mon bon ami... ne
-pas ainsi! s’écria Rosamond suppliante , ayçc pji regard <quf «primait laconsternation où yenait de ï(a plonger
+pas ainsi ! s’écria Rosamond suppliante, avec un regard qui exprimait la consternation où venait de la plonger
-nouvel aperçu.... Quel
+nouvel aperçu... Quel
-y a-J-jl à
+y a-t-il à
-à oe pauvre diable-?..i II n’a ïsiit que copier:ce pla,n.....rït n’a riçn. volé. — A mon sens, il" a yolé un renseignémenl;, dit Léonard. TT Soif , reprit Rosamond - avec unè nouvelle insistance.... mais, au’fondtj quel pr^jùdic^ en rf?uîte-iril pour son maître?... A mon
+à ce pauvre diable ?... Il n’a fait que copier ce plan... Il n’a rien volé. — À mon sens, il a volé un renseignement, dit Léonard. — Soit, reprit Rosamond avec une nouvelle insistance... mais, au fond, quel préjudice en résulte-t-il pour son maître ?... À mon
-à moi-, ce
+à moi, ce
-l’avoir .gas poliment enyoyé au mmistré, sur
+l’avoir pas poliment envoyé au ministre, sur
-première requête^Il nous ïaùt ce pïan....Ôh !
+première requête... Il nous faut ce plan... Oh !
-pas amsi la tête.... Il nous, le
+pas ainsi la tête... Il nous le
-bien. A quoi sert àesemoûtrer si
+bien. À quoi sert de se montrer si
-un •’•’ t i i’-i ,1 ’t- •<î-• -i".’ • i-., t. ^ .l’.’iii.’v . r, .’.. i : misérable (je J appelle ainsi, bien quil soit «non oncle)
+un misérable (je l’appelle ainsi, bien qu’il soit mon oncle)
-manque aux’ simples
+manque aux plus simples
-du savp|r-yivr^ "tous’ lie pouvez traiter ayec lui (iè ministre
+du savoir-vivre ?... Vous ne pouvez traiter avec lui (le ministre
-dirait, s JI était
+dirait, s’il était
-comme voiis traiteriez
+comme vous traiteriez
-des . gens
+des gens
-de bop. sens, c^ qp’il n’est
+de bon sens, ce qu’il n’est
-de .tout le mon^èl ^ 5uoi ïiiT sèrtîë plan tes dpparfeiûerits | dii nord^.. dë çïus, Vil en a guelqueihose à ïairetn’ajt-il pas l’original?.» On ne lui’a pas TÔÏé"’ son" iexà’dgi^eineiil. puisqu il n a pas un
+de tout le monde. À quoi lui sert le plan des appartements du nord ?... Et de plus, s’il en a quelque chose à faire, n’a-t-il pas l’original ?... On ne lui a pas volé son renseignement, puisqu’il n’a pas un
-de l avoir à sa disposition.... î Foyo^s., cjier, topt cela n^sm pas steictemênt vrai?" I — èosaîriond, Rosamond! ! .V." dîtXéonard, que ’-faisaient sou• " t L-r ’jf •Jkj ’ i * M -Π;; T-i ^ * 1 :L•J i1,T ï1i t nre ces
+de l’avoir à sa disposition... Voyons, cher, tout cela n’est-il pas strictement vrai ? — Rosamond, Rosamond !... dit Léonard, que faisaient sourire ces
-féminins, d’une’ si limpide transparence;... vous raisonnez. savez-vous,
+féminins, d’une si limpide transparence... vous raisonnez, savez-vous,
-vrai lésiïite. f} — Peu m importe en quoi. ie raisonne,
+vrai jésuite. — Peu m’importe en quoi je raisonne,
-pourvu gue je
+pourvu que je
-le plan, J ° là)éte jîe plu$ belle.
+le plan. » M. Frankland hochait la tête de plus belle.
-arguments ^opéraient pas, Rosamond^ès-saffeménliV rebouL
+arguments n’opéraient pas, Rosamond, très-sagement, recourut à
-jf:272 LE SECRET. K. t, if tf’i S rut à l’arme
+l’arme
-son sexe ] de tout temps , a
+son sexe, de tout temps, a
-compromis, ën vertu
+compromis, en vertu
-loisible d’acbeter la
+loisible d’acheter la
-: tétait de
+: c’était de
-le procurer; et
+le procurer ; et
-empressé de’ procurer, Rosamond
+empressé de procurer. Rosamond
-pour obte* f nir le
+pour obtenir le
-et légère, J’ai
+et légère. « J’ai
-mes con| victions, disait-il,
+mes convictions, disait-il,
-cette voie.*,/Si nous
+cette voie... Si nous
-ce do! mestique , ne
+ce domestique, ne
-revendiquer f comme
+revendiquer comme
-au préalable , être
+au préalable, être
-à traiter, | —Et si
+à traiter. — Et si
-place, ( danger
+place, danger
-bien évidemment? dit | Rosamond
+bien évidemment ? dit Rosamond
-se plaçait’, comme
+se plaçait, comme
-Ah I ma
+Ah ! ma
-puisse êtrel... Attendons,* sachons
+puisse être !... Attendons, sachons
-arrive, | et
+arrive, et
-les circonstances! Quand
+les circonstances ! Quand
-agissons ainsid’abord parce
+agissons ainsi, d’abord parce
-du monde; en
+du monde ; en
-livre imprimé,, né touche
+livre imprimé, ne touche
-indirecte, aûx affaires
+indirecte, aux affaires
-LE SECRET. 273 avec
+avec
-de moi-même.» Voyant
+de moi-même. » Voyant
-résolution inébranlable ,’ Rosamond
+résolution inébranlable, Rosamond
-la dicta, Quand
+la dicta. Quand
-la poste , avec
+la poste, avec
-en déjeunant de
+en déjeunant, de
-docteur Ghennery, qu’il
+docteur Chennery, qu’il
-de poste,, cette
+de poste, cette
-simple d’achétèr le
+simple d’acheter le
-par "le témoignage
+par le témoignage
-Du jardin., ils
+Du jardin, ils
-fois Palarme donnée.
+fois l’alarme donnée.
-du parquet; des porcelainesbrisées gisaient
+du parquet ; des porcelaines brisées gisaient
-la cheminée; ét dans
+la cheminée ; et dans
-grand 1 soin; mais on,ne découvrit
+grand soin ; mais on ne découvrit
-qui ptït contribuer
+qui pût contribuer
-quoi <*ue ce
+quoi que ce
-Myrtes. . Ferons-nous
+Myrtes. « Ferons-nous
-demanda Rosav mond, quand
+demanda Rosamond, quand
-le palier, LB SECRET, 18 4
+le palier. — Il me semble que
-274 ’ LE SËÛÏtET< — time seméie mie ce sèrait èn feutè tierce, répondit s oh mari., Nqtre unique pspérànce de Jamais savoir , en quoi consiste,1e .mystère dè. la chambre àux l si réëllë&ënt il est au$si bien çaciiei^u’bfl àoit le supposer; est
+ce serait en pure perte, répondit son mari. Notre unique espérance de jamais savoir en quoi consiste le mystère de la chambre aux Myrtes, si réellement il est aussi bien caché qu’on doit le supposer, est
-fouiller £ fbxuiceltè chambre, et nullè àuirel Lâ fouillé, pour être complète^ doit cQmprendte,. s’iXèri faut
+fouiller à fond cette chambre, et nulle autre. La fouille, pour être complète, doit comprendre, s’il en faut
-à ces. extrémités,
+à ces extrémités,
-démembrement (les parquets et îles lambns, peut-êtrë inéimi îâ démolition partielle, des
+démembrement des parquets et des lambris, peut-être même la démolition partielle des
-dans une^piece qui nous. est clairen^e^t désignée
+dans une pièce qui nous est clairement désignée
-mais, a moins de jeter, bas tbtuice côté de ^të est iâipossiblë iie ’*.•Lt"-u 1 v ’il ji*J-tiii •; ’\. : . • ’ ’ ’ • •r< -î î._•f _ •*ii ’«*î11 . ;• chambres est dëjà^pàs jnal désespérant dè chercher
+mais, à moins de jeter bas tout ce côté de la maison, il nous est impossible de soumettre à pareille épreuve chacune de ces seize chambres parmi lesquelles nous errons au hasard et sans guide. Il est déjà pas mal désespérant de chercher
-ne sâvôiiS 0ioi : aussi
+ne savons quoi ; aussi
-tâcher f dë découvrir où Sont lëê quatre
+tâcher de découvrir où sont les quatre
-l’enceinte aéschiellés doit cbmihënçër et s’&ëçom^lir cette rèciierchè qui ï yMihènt/ ne promet &u f ère/.. Voyons un peui’^* dë ce ^lier doit ^tre bduvëïl de
+l’enceinte desquelles doit commencer et s’accomplir cette recherche qui, vraiment, ne promet guère... Voyons un peu... Le parquet de ce palier doit être couvert de
-à uhë ëêHâi^ $’y ëst-îl $a8 rësté quelques tracés; après là visite àe .nîistrëss ïkfcépft qiii TMISsent nous cpndmre a la
+à une certaine épaisseur... N’y est-il pas resté quelques traces, après la visite de mistress Jazeph, qui puissent nous conduire à la
-porte . Cette, conjecture
+porte ? » Cette conjecture
-il èxistâit des empreintes dé pas sut 12 feousSiète du palier j mais ÔU n’èh déqouvrit âùcùhe.A ^uëlque ëpbqiië antérieure^on avait étepdu (des ttâfclës silr cë plàhëbèï, fet leur surïace inégale, ç£ ët îà pour ne et fombue, n’avait pas lâîèsé distances âsséz nôtablés, ët il ëtàit tôùt si d’ëh rien conclure cjiii importât à là rlecHèrchë Ôbiftniéhcëël Après plujs d’une lieuré cônsactéë k l’exkmëh dii pâvillôn nord, Roàkmohd fut
+il existait des empreintes de pas sur la poussière du palier, mais on n’en découvrit aucune. À quelque époque antérieure, on avait étendu des nattes sur ce plancher, et leur surface inégale, çà et là pourrie et rompue, n’avait pas laissé la poussière y former une couche régulière et unie. En certains endroits, où la natte trouée laissait voir les planches qu’elle recouvrait naguère, le domestique de M. Frankland croyait découvrir, sur la poussière, des empreintes qu’y aurait laissées, soit la pointe, soit le talon d’un soulier : mais ces indices, faibles et d’un aspect douteux, étaient séparés l’un de l’autre par des distances assez notables, et il était tout simplement impossible d’en rien conclure qui importât à la recherche commencée. Après plus d’une heure consacrée à l’examen du pavillon nord, Rosamond fut
-d’avouer due lés dbihèstiqués avaient euraisoh; ëîi lùi ouvrant,l’a ^brte du véàtibiile", qùfethd ils liïi pr^disâient qù’bn jcie décotiVHràii rien. c 11 faut èhvoyër jâ lettre, Jùehû^}i dit-elle
+d’avouer que les domestiques avaient eu raison, en lui ouvrant la porte du vestibule, quand ils lui prédisaient qu’on ne découvrirait rien. « Il faut envoyer la lettre, Lenny, » dit-elle
-ils Riréht de rétoiir daitè îa sàlle â maflgêîri En
+ils furent de retour dans la salle à manger. En
-cette triàie fiècësâitë;..; * Faites adncfcàHî* nbtré ë’QÙmër; Fé^nà M-Mti> ëtn’en parlons plus, i ’ si 9S4 t t& t’
+cette triste nécessité... « Faites donc partir notre courrier, répliqua son mari, et n’en parlons plus. » La lettre fut expédiée le jour même. La position écartée de Porthgenna, et l’état du chemin de fer, qui alors n’était pas achevé
-LÈ SEGRET. 275 acfeeyé4,dans tout^ sajpngue^ ne
+dans toute sa longueur, empêchaient qu’on ne
-attendre raisonnablement, une. réponse ayant deux jours, ecoules. Comprenant,. bient g^’il ^auprax^.meux, pour Rosamond, que, ces Journées d’attente
+attendre raisonnablement une réponse avant deux jours écoulés. Comprenant bien qu’il vaudrait mieux, pour Rosamond, que ces journées d’attente
-passées Hors dumàïïoir ; excur_ sitë’s -i’ . .-i i„ lïî mÉ wr <•*.T r*" Ï.Y % fameux dans mond^ tet tout description pour le,compte de îiéonafd* réduit
+passées hors du manoir, M. Frankland proposa, pour tuer le temps, une petite excursion le long de la côte. Ils devaient y trouver quelques sites fameux dans le pays, qui sans doute intéresseraient Rosamond, et tout au moins l’obligeraient à se mettre en frais de description pour le compte de Léonard, réduit
-les Voir 1 bar le^ yçu? d^autrui, Cçttç jPonne. idée fut, mise aexecution surle-champ^ LeJeune, couple partit aë Portliêêima ; où îî në rë^ vtoqup le,du i^poijâfeufe,,,, « : :M matj^au .mon^nt^f Rosamond ét ^bnard sipn lç long la côte. Ils dopent ^ trpuyër çepter çpnt^ ÉL FrânlQah^; jd’abord jààrce ijûll regardait, comme fou rhomine assez mâï âvisl touî ïëfiiâér un
+les voir par les yeux d’autrui. Cette bonne idée fut mise à exécution sur-le-champ. Le jeune couple partit de Porthgenna, où il ne revint que le soir du second jour. Le lendemain matin, au moment où Rosamond et Léonard entraient dans la salle où le déjeuner était servi, la lettre de l’homme d’affaires du ministre, cette lettre après laquelle on soupirait, se trouvait déjà sur la table. Shrowl s’était décidé à accepter la condition posée par M. Frankland, d’abord parce qu’il regardait comme fou l’homme assez mal avisé pour refuser un
-; secondementJ parce
+; secondement, parce
-trop eûtieremeiit tombé sous sa, dépendance pour qu!une raison quelconàûe put le décider a se j"-• T i.- V -Ji’iViii’fi K ^ifj . tfii ffiv, s pris ï MctoféJlus cfè tiiiib iniïiik^i ’êti $6bm £ lu m, la .copie. L du j^l’aïi Mû fa imb^sô «Taiïs la iV’^.iiJ jip-S» nomme, daifèires. Ros^mp^d^’de sejs m^ins .^^e^ëiaîéiili; ^ieiiàit lùrlà jfc&blè lé document révlîàïèûr; felle le considéré plusi^elirs minutes jx AU^lhl ^n ^ aux àuxt Myrtçs’. 5 Elle iî&aft i^âi^effi âêiàâMé M deé ap^aHe^ ments du nord; mais
+trop entièrement tombé sous sa dépendance pour qu’une raison quelconque pût le décider à se priver de ses services ; troisièmement enfin, parce qu’il se consolait d’avance de perdre une position qui, après tout, n’avait rien de fort attrayant à ses yeux. En conséquence, le marché n’avait pas pris à conclure plus de cinq minutes, et, portant témoignage du fait, la copie du plan était là, incluse dans la lettre de l’homme d’affaires. Rosamond, de ses mains qui tremblaient, étendit sur la table le document révélateur ; elle le considéra, plusieurs minutes durant, avec une attention passionnée, et posant son doigt sur le petit carré qui marquait l’emplacement de la chambre aux Myrtes : « La voilà !... s’écria-t-elle... Oh ! Lenny, comme mon cœur bat !... Une, deux, trois, quatre !... C’est la quatrième porte à partir du palier du premier étage, qui est celle de la chambre aux Myrtes. » Elle aurait immédiatement demandé les clefs des appartements du nord ; mais
-mari Mmi pjoùr j^elle se
+mari insista pour qu’elle se
-d’abord ym peu ^prît à
+d’abord un peu, et prît à
-quelques alimefitél ’Quoi qii’il pût
+quelques aliments. Quoi qu’il pût
-si prdmpte&ènt ëîpédië qu^âU iSoUt de
+si promptement expédié qu’au bout de
-276 LE SECRET, dix
+dix
-il montait’plus rapidement
+il montait plus rapidement
-au temps y s’étaient
+au temps, s’étaient
-brouillard blânc et mobile, ; étendu
+brouillard blanc et mobile, étendu
-semblait émoussertoutes les
+semblait émousser toutes les
-la perspective; aussi
+la perspective, aussi
-pâle ét comme
+pâle et comme
-le rebôrd des
+le rebord des
-ouvertes, les, feuillages
+ouvertes, les feuillages
-immobiles. Lès animaux
+immobiles. Les animaux
-plus ’éclàtahts, bu plus
+plus éclatants, ou plus
-étouffant, alanjgUi, sous
+étouffant, alangui, sous
-un regard; les
+un regard ; les
-mois dé juin,
+mois de juin,
-nord. <r Quelle
+nord. « Quelle
-fait ici!.;. »
+fait ici !... »
-de l’escalier , et,
+de l’escalier, et,
-son ïhari. c Qu’arrive-t-il donc? demànda Léobard..,. Serait-ce
+son mari. « Qu’arrive-t-il donc ? demanda Léonard... Serait-ce
-incommode le. moins
+incommode le moins
-— Non.... non, répondît-elle en toute hâte.... Je
+— Non... non, répondit-elle en toute hâte... Je
-agitée pour, ressentir maintenant .ou’ l’influence
+agitée pour ressentir maintenant ou l’influence
-comme ën d’autres circonstances.... Mais,
+comme en d’autres circonstances... Mais,
-votre cqnjeçture sur mistress Jazeph.... ; —Oui.... Eh bien? —
+votre conjecture sur mistress Jazeph... — Oui... Eh bien ? —
-la }
+la
--vM S.. „ L tiïÇ, m. Liî- " f [f’V i ’ï’ pl.’* ta "A’•AMis LE SECRET. 277 chambre aux Myrtes-».. Ne
+chambre aux Myrtes... Ne
-ignorer toujours?.,.. C’est
+ignorer toujours ?... C’est
-m’a proposéide venir avec nous.... et
+m’a proposé de venir avec nous... et
-probable que. le
+probable que le
-de réflexion.... En
+de réflexion... En
-j’ai pu,, avoir
+j’ai pu avoir
-fort hasardée.... Cependant,
+fort hasardée... Cependant,
-moindre hésitation..,. — Non*.,. Advienne
+moindre hésitation... — Non... Advienne
-reculer désormais.... .Rendez-moi votre main.... Nous
+reculer désormais... Rendez-moi votre main... Nous
-ensemble à, la
+ensemble à la
-ce mystère.... C’est
+ce mystère... C’est
-l’éclaircirons. * Elle
+l’éclaircirons. » Elle
-; elle. étudia ( de
+; elle étudia de
-le .plan,. et
+le plan, et
-sur l’emplacement, de ,1a chambre
+sur remplacement de la chambre
-serrure. • • * Avant
+serrure. Avant
-mari. , Debout
+mari. Debout
-s’arrêta. \ ’ <t Je
+s’arrêta. « Je
-m’arrive, muçmurait-elle d’une voix affaiblie.... J’ai-presque peur âe pousser cette,porte. —Totre main
+m’arrive, murmurait-elle d’une voix affaiblie... J’ai presque peur de pousser cette porte. — Votre main
-Rosamond î.... Attendons
+Rosamond !... Attendons
-peu I... Refermez cette porte!.., Ajournons
+peu !... Refermez cette porte !... Ajournons
-autre moment.... * Pendant
+autre moment... » Pendant
-de plus.en plus.
+de plus en plus.
-silence absolu.;,. Puis
+silence absolu... Puis
-qui s’ouvre,sur des,gonds rouillés..., il .sentit qu’on l’entraînait < en. avant dans /une atmosphère, nouvelle, et cpm- ’ prit que
+qui s’ouvre sur des gonds rouillés... il sentit qu’on l’entraînait en avant dans une atmosphère nouvelle, et comprit que
-278 LE SECRET. CHAPITRE V. t*rix. r ^r 1 ^ \ La
+=== CHAPITRE V. — La
-Myrtes. * TT^r* 11T uviimviv* UJUV IUUUU yv vi^uuo. u^/i uuuv M peine le voue impur
+Myrtes. === Une fenêtre large et carrée, avec de petits carreaux et un châssis noirâtre ; une lumière jaune et triste, perçant à grand’peine le voile impur
-avaient graduelleî^lgl "’BUT*’ r Jeâ yiïraf n VayoiiâT1 pM nets
+avaient graduellement épaissi sur les vitres ; quelques rayons plus nets
-cette p^ombre; ’à jtr^rs le^^séures’ dl trois carreaux brisés; 1 une ifôuissi&fe Subtilefmtfiftaftt des parquets, s débrîà du £raiiaspëct ffîMe soteaVftanil^^ ënf^mée peut-être
+cette pénombre, à travers les fissures de trois carreaux brisés ; une poussière subtile, montant des parquets, tombant des plafonds, et planant, en cercles lentement roulés et déroulés, dans l’atmosphère que rien n’agite ; des murailles d’un rouge flétri, hautes et nues ; des fauteuils en désordre, des tables posées de travers ; une grande bibliothèque noire, dont une des portes, ouverte, est à moitié sortie de ses gonds ; une colonne tronquée, au pied de laquelle gisent les débris du buste dont elle était le piédestal ; un plafond marbré de grandes taches ; un parquet poudreux et blanc : tel était l’aspect de la chambre aux Myrtes, quand Rosamond y pénétra, pour la première fois de sa vie, tenant son mari par la main. Le seuil franchi, elle avança lentement de quelques pas, puis fit halte soudainement, attendant, tous ses sens en éveil, toutes ses facultés à leur plus haut degré de tension, attendant, au sein de cette immobilité pleine de présages ; au sein de cette solitude abandonnée, que cette chose vague, enfermée peut-être
-dressant deVàfit’eïléV’bu sé fît entendre sains se
+dressant devant elle, ou se fît entendre sans se
-voir, ôu VÎB.Ï ’ se
+voir, ou vînt se
-elle, d’êid liàùt, d’eû ! bas, d’un’ c6tié! , d’é l’autre, éflè ! ûtisavait d’ôù. Elfe p àttéhdit ainsi ; i-fe^ïrânt à’ peW; peridànt’line miniïte’ ati’llàà^ét riêri 1 he pa^^’âiicun’ btùit, sîtlbtilaë^ ïnaiiifesïàtioh. lie tfe -l flt. Ê4: siïèirce’ ôtr la solitMéàvâiéiit léùr secret àf garder,^ét ilà^ia ^râàièn^. 1 fii •• ’ —’•••1 - <-> ’ 1 Elle détourna la’têt’ë’’ vers
+elle, d’en haut, d’en bas, d’un côté, de l’autre, elle ne savait d’où. Elle attendit ainsi, respirant à peine, pendant une minute au plus, et rien ne parut ; aucun bruit, aucune manifestation ne se fit. Le silence et la solitude avaient leur secret à garder, et ils le gardaient. Elle détourna la tête vers
-ordinairement sr’oalïnë, bï ’recufeillï, exprïïnaifr maintenant une mains
+ordinairement si calme, si recueilli, exprimait maintenant une sorte de malaise et d’anxiété. Celle de ses mains
-avait dé haut Tenibas dans lp’ "vide, cliBrciiUàf ^sfâftri&t H"aé tfettife èir contact avec 4juêliftfe MWP^»’! p ae ’ faire imé’ idéé’de ce qui fr-
+avait gardée libre était étendue et se mouvait de haut en bas dans le vide, cherchant vainement à se mettre en contact avec quelque chose qui pût l’aider à se faire une idée de ce qui l’entourait. Cette physionomie et ce geste, dans le milieu nouveau où il se trouvait ainsi debout, l’appel triste et muet qu’il faisait ainsi, sans bien s’en rendre compte, à la tendresse et à l’appui de sa femme, rendirent à Rosamond son empire sur elle-même, en rappelant son cœur au plus grand intérêt qu’elle eût ici-bas, au devoir le plus sacré dont il reconnût la loi. Les
-1 t LE SECREÏ. â79 yeux _ d’anïiëté’m^ là scèfie de
+yeux de la jeune femme, tout à l’heure encore fixés avec tant d’anxiété méfiante sur la scène de
-venait S’offrir à eux^sle—i— de son m^i, cbargéé — ^ tabjë que leur së"sentait pénétrée; 1 S’ificlinàht’ éh âvant^ par
+venait de s’offrir à eux, se reportèrent sur le visage de son mari, chargés de tendresse et brillant de l’éclat inimitable que leur communiquait l’amour, mêlé de pitié, dont elle se sentait pénétrée. S’inclinant en avant, par
-son Bras étendu, Qu’elle ràïnéna doùbëmënt contre lui. i JNjbn:... ças cela! bien-aimé,
+son bras étendu, qu’elle ramena doucement contre lui. « Non... pas cela ! bien-aimé,
-d’une voix.caressante..;. ’Vôïik saVëî quë cë M $este medëblâit.*.^ Il semblerait crue le ne
+d’une voix caressante... Vous savez que ce geste me déplaît... Il semblerait que je ne
-à coté de vôus.... que
+à côté de vous... que
-ai laisse seul etsans 1 aide....Pourquoi recourir a vos
+ai laissé seul et sans aide... Pourquoi recourir à vos
-m’avez ayefc-Yous^ëntendïïé’ oiivnrîa" porte; 1 cher’ Lenny ?. .*. Savez-voùs quë nous
+m’avez ? M’avez-vous entendue ouvrir la porte, cher Lenny ?... Savez-vous que nous
-aux Myrtes?» —
+aux Myrtes ? —
-une .fois la. porte ouverte?,.. Que voyëz-vous, à
+une fois la porte ouverte ?... Que voyez-vous, à
-moment même? J> Ces quèstioûs étaient fàitês à voix basse.’ et
+moment même ? » Ces questions étaient faites à voix basse, et
-impérieux. ~^* o:Rien que
+impérieux. « Rien que
-notre Cornouaûïéls 1 fre semblé pas àussl’abandonnée què cette 1 cb f âmÉre : mais il’uVa riénirui houë puisse’ alarmer, rien (sàuf lés cBM0 .qui 1 ï’Mgînà^pli éïïfantè^ tiôtf ^ on ait à3 dëdïïiré; l’exisïêface d’un péril* f quèiconqueF ’ : tJ; • x * —ÎPoW^ïi’d^ tânt iârdéà’mWparler, Rosamond? — ’G’êst^u’enentrant; fchër’âini^jë-’ me’sentais entàilir par la peur iioxi de ce ^ue jë vbyàîà, ilùais HexS que j’àuraispu voir’, Selon înes’ folies ïdëés. J’étais asseV etiiant poW m’imagiilfer ’(Jdô^uélîîue chose 1 - alî’âit sortir WrsyP^re à ; trp vers le parÇhëtVK. Brëï,je"’lié- salis Quelles éottes iaflMsies.?.; 5 Ces craintes’se sont dissipées; Lenny;- mais ir : mè rèétè hne sorte de méfiance , que
+notre Cornouailles ne semble pas aussi abandonnée que cette chambre : mais il n’y a rien qui nous puisse alarmer, rien (sauf les chimères que l’imagination enfante), rien d’où on ait à déduire l’existence d’un péril quelconque. — Pourquoi donc avez-vous tant tardé à me parler, Rosamond ? — C’est qu’en entrant, cher ami, je me sentais envahir par la peur... non de ce que je voyais, mais de ce que j’aurais pu voir, selon mes folles idées. J’étais assez enfant pour m’imaginer que quelque chose allait sortir des murs, poindre à travers le parquet... Bref, je ne sais quelles sottes fantaisies... Ces craintes se sont dissipées, Lenny ; mais il me reste une sorte de méfiance, que
-chambre • m’inépire encore.... Ne sentez-vous riStftoW^ 1 ’ 9 ’ >•^^ — Oiii, répbïidit-il n àvec un malaise évident.... il
+chambre m’inspire encore... Ne sentez-vous rien de pareil ? — Oui, répondit-il avec un malaise évident... il
-a de* cela..:. On dirait’que rômWë sàhs cessé- étendue
+a de cela... On dirait que l’ombre sans cesse étendue
-ce liéti qtté partout killiânrsl DÛ onmrTïPS-Tinns- mnintpuntit»^r^ vTir .AOSifr.nïï sommes-nous; maintenant? i r <* ’" ii -1 *.i. >f • (
+ce lieu que partout ailleurs. Où sommes-nous, maintenant ?
-V 280 LE SECRET. > —
+—
-s’y risquer? t _ Et,
+s’y risquer ? » Et,
-suspect. Rien
+suspect. « Rien
-repartit Rosamond.... S’il
+repartit Rosamond... S’il
-est chargé.... Au
+est chargé... Au
-faisons-en l’épreuve....Traversez avec moil... * (i Elle
+faisons-en l’épreuve... Traversez avec moi !... » Elle
-fenêtre. <r Je
+fenêtre. « Je
-? D Elle
+? » Elle
-fin. Que faites-vous maintenant? lui
+fin. « Que faites-vous maintenant ? lui
-avec inquiétude, —
+avec inquiétude. —
-répliqua Rosamond, L’ombre
+répliqua Rosamond. L’ombre
-l’atmosphère embrasé» Pas
+l’atmosphère embrasée. Pas
-la chambre?... la chambre?... dit
+la chambre ?... la chambre ?... dit
-la fenêtre».*. Laissez
+la fenêtre... Laissez
-ce paysage; dépeignezmoi cette chambre.... dites-moi
+ce paysage ; dépeignez-moi cette chambre... dites-moi
-elle offre.... Je
+elle offre... Je
-en détail...» Je cherche seui
+en détail... Je cherche seulement
-A’ ’ i i -’ l LE SECRET. 281 y * -i /’ ’"" + • ’ J 1 l L ’ lement par
+par
-dois commencer; et,
+dois commencer ; et,
-à \ votre
+à votre
-vous intéres] ser le
+vous intéresser le
-au mur.,., à
+au mur... à
-mon \ tablier,
+mon tablier,
-ces sièges poudreux.... Une ; ; fois
+ces siéges poudreux... Une fois
-votre aisé, vous m*écouterez, pour com^ mencer, vous
+votre aise, vous m’écouterez, pour commencer, vous
-général delà pièce.
+général de la pièce.
-d’abord, y je
+d’abord, je
-ses dimeni sions. Ï ]’ — Oui.... c’est
+ses dimensions. — Oui... c’est
-vrai début.... Voyez
+vrai début... Voyez
-la f comparer
+la comparer
-rendus familiers.... quand
+rendus familiers... quand
-» \ Rosamond
+» Rosamond
-les ; sens,
+les sens,
-à l’autre; puis
+à l’autre ; puis
-la chemiÎ ’ née, et,
+la cheminée, et,
-ses \ l pas.
+ses pas.
-à conS templer les
+à contempler les
-du matin; tan; dis qu’elle
+du matin ; tandis qu’elle
-ainsi appa; ; raître, avec
+ainsi apparaître, avec
-tout ; ce
+tout ce
-fleur. i Arrivée au, fond
+fleur. Arrivée au fond
-puis ; dit,
+puis dit,
-: oc Vous
+: « Vous
-de Long-Béck1 ley, celui
+de Long-Beckley, celui
-votre père? Je
+votre père ? Je
-les murs? demanda
+les murs ? demanda
-la muraille, placée
+la muraille placée
-n’est-ce pas? —
+n’est-ce pas ? —
-côté, où.le papier
+côté, où le papier
-à terre.... ILy a
+à terre... Il y a
-fait lé tour
+fait le tour
-ouverts par; des
+ouverts par des
-Y a-t-il, des
+Y a-t-il des
-ne vois, qu’un cadre vide> au-dessus
+ne vois qu’un cadre vide au-dessus
-i\-^ LE SElCRÉt».. ’V ’5»i’,i f t,, tête,
+tête,
-petite glade, fêlée çiti ôentrè, f avëc dçs bras à’noùjpes, brisés,^ ^es deù^ç c^tës au cadre! Plushàut ^au mêm& endroit," if y a! aussi une téte et
+petite glace, fêlée au centre, avec des bras à bougies, brisés, des deux côtés du cadre. Plus haut, au même endroit, il y a aussi une tête et
-de cerf..» tJne partie
+de cerf... Une partie
-et, d une corne a l’autre
+et, d’une corne à l’autre
-autres mura je
+autres murs je
-sont a pendues ’ d!autrestoiles d’aMgnees, cliargëesde poussière ; ïnais nulle
+sont appendues d’autres toiles d’araignées, chargées de poussière ; mais nulle
-moindre tableau.... Je nai plus rien a vous ^ffl^nfatë exâiùinerl pèsent?.;. Ab 1... le parquet. ; A *~tL%e%hxàbîe§ Rosamond,
+moindre tableau... Je n’ai plus rien à vous dire des murailles... Qu’allons-nous examiner à présent ?... Ah !... le parquet. — Il me semble, Rosamond,
-ce chaçitre-là. ^ Ils vous auroni >v ditr , cher
+ce chapitre-là. — Ils vous auront dit, cher
-n’y à pas
+n’y a pas
-mais je’ vj)ks l en dïraiy nioi, bieïï aùtre chose 0 , Mtous les"côtés çé pàttjxi’ét frescekd ’esn ^eôtë* dôuce ; vers ïè"mi|ieù de ]a ; piéc : e^ Il est ! couvert d^une couche
+mais je vous en dirai, moi, bien autre chose. De tous les côtés ce parquet descend en pente douce vers le milieu de la pièce. Il est couvert d’une couche
-de poussière^ balayée^ je àuppofee 0 ^que c’èït par" lé vént ’tfui souffle
+de poussière, balayée, je suppose que c’est par le vent qui souffle
-travers leé vitres, — -*m ~ de endrôits 1 , ïVjjlanèféia^e! f iiifériettrV 1 tJtje ;i! idë^ î^eniiy : si ies plàhchés étaidMv’^%taminéf ’en détâilli.. oui, très-certaineirientV’si’dfeiSâïn^ lîouâ^avbbâ,!rie^ , trouvé,
+travers les vitres, en ondulations étranges, moirées comme le plumage de certains oiseaux, et qui cachent absolument, en certains endroits, le planchéiage inférieur. Une idée, Lenny : si ces planches étaient à examiner en détail... oui, très-certainement, si demain nous n’avons rien trouvé,
-faire Bàlaver avec
+faire balayer avec
-attendant, n est-ce pas,
+attendant, n’est-ce pas,
-continue a vous i>brler^â!è sàv&^dëlà comment ; elle est ^^èoMrn^m est ^àé^témk^^hi le J s iiiurà; t-il encore ’PÎtbéW Ëïïl ôui.... lé^laïoiid.... nous
+continue à vous parler de la chambre ? Vous savez déjà comment elle est grande, comment elle est éclairée, comment sont les murs, comment est le parquet. Avant d’en venir au mobilier, y a-t-il encore quelque chose qui nous doive occuper ?... Eh ! oui... le plafond... nous
-ainsi renveloppe Bièn comT1 ^ Viouf -î^ ^ïij ^ J ï^L^ 1 Tl fragments de bhaîne, d’uke lî èlfâ!ne ! qùï, s ans ^oïité; supp orMt uh lustre^ peWSeht encore
+ainsi l’enveloppe bien complète... Il est si haut que je n’y vois pas grand’chose... Il y a, d’un bout à l’autre, de grandes fentes et des taches... le plâtre, en quelques endroits, s’est détaché par morceaux. Le mascaron central me paraît composé de petits choux et de grandes tablettes, le tout en plâtre. Deux fragments de chaîne, d’une chaîne qui, sans doute, supportait un lustre, pendent encore
-du miïfeù^’ L^ corniche est ’tellemént en-* fumée, qufe je pourrais Difficilement vous dire de qù’ elle re^ÏSoBn+Ji ft’sf. . %k! cè¥tkiriâ jii t c’est
+du milieu. La corniche est tellement enfumée, que je pourrais difficilement vous dire ce qu’elle représente. Elle est très-large, très-épaisse, et, en certains endroits, on croirait qu’elle a été peinte en couleurs ; c’est
-ce 1 quë j’èn sâùrais dirë. .1. Èt, mâinten âkt, Lenny , 1 cet ensemble delà cHaMB’rê est-il bièn Hsfôà’l&îré^ — Parfaitement, b orinë chéri e7 J’en ai là jperdëptiori aussi Vive’ qaë’dé tr6ùtJ ’ce qiië voûâprenez’ là^pêlnë v de
+ce que j’en saurais dire... Et, maintenant, Lenny, cet ensemble de la chambre est-il bien entré dans votre imagination ? — Parfaitement, bonne chérie. J’en ai la perception aussi vive que de tout ce que vous prenez la peine de
-’"1 ï", h LE SECRET. •>-i ? » ’ù" >’ 1. , 1 ’ f -M Ne yous occupez
+Ne vous occupez
-votre femps- Gônisàcrôhs-npus à
+votre temps. Consacrons-nous à
-visite ici, a À ces ; derniers ; mots,
+visite ici. » À ces derniers mots,
-dessiné shr les traits’db 1 RbVamona, * attentive â ! ce quelui dis^ marf, dïspârut en uii n instant: Elle glissatoùt’contre lui: et, le bra;s sur
+dessiné sur les traits de Rosamond, attentive à ce que lui disait son mari, disparut en un instant. Elle glissa tout contre lui, et, le bras sur
-son oreiïïëv :’ r "" c1 " :vr c Lorsque nous^avons^it^uyrir râut¥ë chambre,
+son oreille : « Lorsque nous avons fait ouvrir l’autre chambre,
-nous comïïiëhçâniës" pàï1 ëxâ&mer lé mobilier* Nous
+nous commençâmes par examiner le mobilier. Nous
-aux Myrtës pouvait avbïr trâït, stiiï à dès objets^ précietii (^ ’aurâiènt été’ Volés, sôit à dès papiers càcHës 1 qiîi duraient "dû :ètfë1 cfétrtxrfcs 4 , NÈ® enfii S*àeâtracés ? à^ës’Ves^gès dénonçant
+aux Myrtes pouvait avoir trait, soit à des objets précieux qui auraient été volés, soit à des papiers cachés qui auraient dû être détruits, ou enfin à des traces, à des vestiges dénonçant
-qu’un fâftteûïï,:hhé’ table, pouvait-ainsi Màïïce&Z "Ri,^éfemiùefan^iibus ; lè Mobilier? m^e qu’il m cbtfsidëràlftef ’ v;* v\ n•<.’Î--i tn tiÏ Vrf Plus
+qu’un fauteuil, une table, pouvait ainsi dénoncer... Ici, examinerons-nous le mobilier ? — Est-ce qu’il est considérable ? — Plus
-l’autre châïhbre, répondit-elle.
+l’autre chambre, répondit-elle.
-Vous eir âhrez pour plufc d’iiné màtiiïëë d’èxamën ? Non/ jTnë’crMs pSs. ; 1 * —
+Vous en aurez pour plus d’une matinée d’examen ? — Non, je ne crois pas. —
-n’avez pas. de meilleur planà’Tnè j3ïo|)bsët..:" Jë suis un pàiivre conseiller, dans ’des r ^«otstôn(ïèj5f, dômine’ cènes-ci. Et,- après tout; c’est
+n’avez pas de meilleur plan à me proposer... Je suis un pauvre conseiller, dans des circonstances comme celles-ci. Et, après tout, c’est
-responsabilité d*unl£ débisiotf. Vt>s yeux sÔht: ceux <^Fvdiènt, Vo^ iûàms ceUes i^ chëtchëht. l Et âr la Maison -secrète "que pôuvait avoir mistress; Jaz:e^& ; de Vous diSàuader d’entrer ici petit se r découvrir eh ’fouillâht cette chambre/ : eWoo\is?, r à couW sûr v ; &ÙÎ aurez lfrôfinëur de
+responsabilité d’une décision. Vos yeux sont ceux qui voient, vos mains celles qui cherchent. Et si la raison secrète que pouvait avoir mistress Jazeph de vous dissuader d’entrer ici peut se découvrir en fouillant cette chambre, c’est vous, à coup sûr, qui aurez l’honneur de
-découverte. 1 * r ’ ’ — +1 J r4(»• "r 11n * ^ : Èt vous
+découverte. — Et vous
-sera faite.... Je
+sera faite... Je
-pas, bieh-àiinô; Vb’ùs enteiidrfe pâîflët comme si TLOUS étions
+pas, bien-aimé, vous entendre parler comme si nous étions
-que Je vohs Fuëse, en qudf que cëïbiï/èupérîteïfrë. 5 Yoydns; maïhtehàôt:. j. "jiàr ’nù^commeiiber?:• : PaFlâ^graïid’é biblîothTSqtiè’ ’en face
+que je vous fusse, en quoi que ce soit, supérieure. Voyons, maintenant... par où commencer ?... Par la grande bibliothèque en face
-la E fenêtre?... grds mëûblès’ipïë je’Vdie ici/ " — Cbihmehcëz par"la bibliothèque,
+la fenêtre ?... ou par ce vieux bureau tout encrassé, placé dans cette espèce de retrait derrière la cheminée ?... Ce sont les deux plus gros meubles que je voie ici. — Commencez par la bibliothèque,
-elle qiïe’ voùsfe^ pfémiër: y " ~ Mt: ’ ’Rosamond 1 fit’(jùelques ’pks dans lâ direction
+elle que vous avez signalée en premier. » Rosamond fit quelques pas dans la direction
-puis s’arrètà, ^’tdttt’à coup jeta r uïl regard dë côté Vers iebas de lacÈaihbiféV’ ’ * î’ " J 1 a Lenny,
+puis s’arrêta, et tout à coup jeta un regard de côté vers le bas de la chambre. « Lenny,
-un détail; Outr’e*la porte par laqiièlle noiis soûimes ~èntrés, il V ï ;( lr -I•r; fï• •f • * I• M n .1. v 1 . ^ i V
+un détail. Outre la porte par laquelle nous sommes entrés, il
-284 LË SECRET. • , y
+y
-deux antres. Toutes
+deux autres. Toutes
-mêmes dimensions. et
+mêmes dimensions et
-faudrait ouvrir? — Certainement; mais
+faudrait ouvrir ? — Certainement ; mais
-clefs sont^elles après? a> ! Rosamond,
+clefs sont-elles après ? » Rosamond,
-répondit affirmativement, . h >* i <r Ouvrez-les
+répondit affirmativement. « Ouvrez-les
-dit Léonard...- Un moment!... pas
+dit Léonard... Un moment !... pas
-ce côté.... L’idée
+ce côté... L’idée
-ici • * , . . et
+ici et
-ces portes-ne- me
+ces portes ne me
-manière. * Rosamond revînt sur
+manière. » Rosamond revint sur
-fenêtre. , cc Qui
+fenêtre. « Qui
-voir d’effrayant? dit-elle,
+voir d’effrayant ? dit-elle,
-seconde porte, c: Celle-ci
+seconde porte. « Celle-ci
-méfiance. . Elle
+méfiance. Elle
-moitié. <rNe craignez rien, Lenny! disait-elle,
+moitié. « Ne craignez rien, Lenny ! disait-elle,
-fait vide; mais
+fait vide ; mais
-se cachent; et,
+se cachent ; et,
-votre * siège avant
+votre siége avant
-ce ? que
+ce que
-la bibliothèque, * } Le
+la bibliothèque. » Le
-sorti * de
+sorti de
-au ^ i t j
+au
-• LE SECRET, 285 ; premier coup d’oeil, que
+premier coup d’œil, que
-çà où là, n’attirait lè regard. Le J ba : s de
+çà ou là, n’attirait le regard. Le bas de
-trois compartï| ments. Une
+trois compartiments. Une
-quelque peine^ et
+quelque peine, et
-l’intérieur ’de* ce
+l’intérieur de ce
-dispersé l un
+dispersé un
-elles, .un morpeau r de mousseline déchire et* toïtillée, qui, lorsque"Rosamcmd l le
+elles, un morceau de mousseline déchirée et tortillée, qui, lorsque Rosamond le
-ecclésiastique. [ Dans
+ecclésiastique. Dans
-un tiré-bouchon cassé,
+un tire-bouchon cassé,
-le tour| niquet d’une
+le tourniquet d’une
-à pêcher; Dans lin autre,
+à pécher. Dans un autre,
-de i pipes , quelques
+de pipes, quelques
-un dé ces ^ recueils
+un de ces recueils
-à | mainte et mainte’page. C’était
+à mainte et mainte page. C’était
-compartiment. | Quand
+compartiment. Quand
-une f à
+une à
-ces : trouvailles,
+ces trouvailles,
-La | porte,
+La porte,
-pas J fermée.
+pas fermée.
-les restesj d’un
+les restes d’un
-était fërinée ;
+était fermée ;
-l’ouvrir. A l’intérieur, un; seul
+l’ouvrir. À l’intérieur, un seul
-unique objet; une petite boite en
+unique objet ; une petite boîte en
-cette vue; Elle
+cette vue. Elle
-scellés. Pouvez-vous
+scellés. « Pouvez-vous
-cette boîte?i lui demanda-t-il. s • * ’ • •• • Rosamond,
+cette boîte ? » lui demanda-t-il. Rosamond,
-rapprocha dé la
+rapprocha de la
-qui recouVrait la
+qui recouvrait la
-1760. Je
+1760. « Je
-vieille bibliothèque, *
+vieille bibliothèque. » Rosamond brisa la cire, et, avant d’ouvrir la boîte, jeta du côté de son mari un regard hésitant... « Il me semble qu’à ceci nous perdons notre temps, dit-elle
-Y. Hl)ï\Z 286 LE SE ensuite.Gomment une. boîte qui,est restée fermée , appuis annee mil
+ensuite... Comment une boîte qui est restée fermée depuis l’année mil
-pourrait-elle noua aider a uécouvrir le
+pourrait-elle nous aider à découvrir le
-aux Évrtës* t — ^Savons-nous si ellen a.pas.ité ouverpe^depui&le temps que yous dites? demanda Léonard..,• Les,scellés .ont nuetre agposéj^sur cette} petite caiss^ postérieurement^ a cette, époque, m 5 r m w-aa wxf. wpp 1 »^^^ glanes particuliers
+aux Myrtes ? — Savons-nous si elle n’a pas été ouverte depuis le temps que vous dites ? demanda Léonard... Les scellés ont pu être apposés sur cette petite caisse, postérieurement à cette époque, par la première personne venue... Vous pouvez, du reste, en mieux juger que moi, car vous pouvez voir s’il y a rien d’écrit sur le ruban de fil, ou s’il y a, sur l’empreinte même, des signes particuliers
-opinion. i — Le chenet est tout uni* sauf,
+opinion. — Le cachet est tout uni, sauf,
-une fleur, qui £ i .i’iUVv’X ’ UjCï» ^’Vi L^Mli i m.--’’ A;.; ^ LUu ^t/.. ressemble
+une fleur qui ressemble
-un myosotis.ÏTinjporte qu;, du
+un myosotis. N’importe qui, du
-avant m pi. ajouta-t-elle, levant,
+avant moi, ajouta-t-elle ; levant,
-la planchette., supérieure^..., La
+la planchette supérieure... La
-aucun obstacle v Tj >1I É"L ~ J (’ i• sSrsv iJtMi 1 • v y.i »* vermoulu cru il n a aima .aTLSeiiîc. i aans la
+aucun obstacle... Le bois du couvercle est si complètement vermoulu qu’il n’a pu retenir la gâche ; elle est restée engagée dans la
-» ^^ .. .. D^^. . Examen
+» Examen
-la boîVé s& trouva jëinplzë de pâpiersl ,SiI£ le fil u:. îi<a * fiîizlB-. Wii^tJiùj JCi^T-. â. «cl îiuL ^ossier su^^eur^tait ecrite l^uçcripliion. suivante : «t Depeùses électorales : maioriie de quatre vpWs’. Payes & raisonné Bo livres sterling cftacun., tJ. A.
+la boîte se trouva remplie de papiers. Sur le dossier supérieur était écrite la suscription suivante : « Dépenses électorales : majorité de quatre votes. Payés à raison de 50 livres sterling chacun, J. A.
-Un aufee paduet de pa........ naissance : îlespectueùx ap Mecéiie des tëiùp^ tia’6âernës dans
+Un autre paquet de papiers venait ensuite, sans aucune étiquette. Rosamond, tournant la première feuille, lut : « Ode pour l’anniversaire de sa naissance : Respectueux hommage au Mécène des temps modernes dans
-de tohiigëfina. i Àbj^es cettè J 1zt ^•#aiilr. Jfùïl i"%Jt\ rattache par
+de Porthgenna. » Après cette production lyrique venaient, pêle-mêle, de vieilles factures, de vieux billets d’invitation, de vieilles ordonnances de médecin, et de vieilles feuilles détachées d’un registre de paris, le tout rattaché par
-ficelle qn&fi ajpjpellé fçmet, En.detniér liëu, et Wà fa\ï au ïojid de 11 Mïè; die imttœ éffàcës ; qui à broisàïent eïî tixïàè tefié*, *’ *.*^*V" / ’ i ï1 1U ’ Jî; *’’>’ it" : ** î’• i- iïlli lit .t ^ î-1 ^. Bettmg books t carnets où Ton inscrit les pans engagés a propos dg chaque course de chevaux. i. ,•• ,. • iJLr..J
+ficelle qu’on appelle fouet. En dernier lieu, et tout à fait au fond de la boîte, une mince feuille de papier, dont la partie exposée au regard était absolument blanche. Rosamond la prit, la retourna, et, sur le revers, aperçut quelques traits à l’encre, presque entièrement effacés, qui se croisaient en divers sens, marqués à certains endroits par des lettres de l’alphabet. Elle avait naturellement fait connaître à son mari la teneur de chaque document séparé. Et lorsqu’elle lui eut décrit ce dernier, auquel elle ne comprenait pas grand’chose, il lui expliqua que ces lignes et ces lettres étaient, sans nul doute, les éléments d’un problème de mathématiques. « La bibliothèque ne nous apprend rien,
-V LË SECRET. Ml endroits pat dès lettres l’àlpïiàijéi ElléA^âiî; Sa^iirâHetrieiit ^ ’ha zi&xùA aai^a:-*- skuuwti prenait pas lettres éfkiëht • c Î-\"/<• i ; i** f ^ 1 1 c Là bîbUdtlilqne nou§ anpfehtf M; dit â&iMà; rèMcant ièntemëïîï M miniers dêïhs la fëtité paàôette. Essàtenbùè, MMM, 18 m i&Aei lë i)ûreatl ^’ftâii de
+dit Rosamond, replaçant lentement les papiers dans la petite cassette. Essayerons-nous, maintenant, de faire parler le bureau placé près de
-cheminée î , — Ôuëllë mine â-î-H ; Rosàâônd ?, l ûë^ rânj^ $è tiroirs .^e^oséâ; U dessus i ’d’un inofrèle ânîîîjilë ^ èàï uÛplàh incliné cbininë lés pitres d’école. ^ * \. — S’ouvre-t-il de, bas
+cheminée ? — Quelle mine a-t-il, Rosamond ? — Chaque côté a deux rangs de tiroirs superposés. Le dessus, d’un modèle antique, est un plan incliné comme les pupitres d’école. — S’ouvre-t-il de bas
-haut ciu iiorîzontaleàènt t S Rosamond
+haut ou horizontalement ? » Rosamond
-du iiïëuBie J l’eiaminà §Ôi£nëuâëmënt, eï tlcîià de soulever là pf arUe supéneuré\,.. a II est fàî| pour s’ouvrir bar eii haut, repÔndit-éllë enshitè, car jë vois le trou, de
+du meuble, l’examina soigneusement, et tâcha de soulever la partie supérieure... « Il est fait pour s’ouvrir par en haut, répondit-elle ensuite, car je vois le trou de
-serrure J mais
+serrure ; mais
-est fermé...:, comme sont
+est fermé... comme le sont
-tiroirs, àjbutà-i-élle âjprés lës âvùîir siïcèèssïvêment è’ssajrës. * ; . Il n>f à âé clef à àicùn ? deMh^a fiUnfîft crois foVcé un
+tiroirs, ajouta-t-elle après les avoir successivement essayés. — Il n’y a de clef à aucun ? demanda Léonard. — Pas l’ombre d’une. Mais le dessus joue si fort que je le crois très-susceptible d’être forcé, comme tout à l’heure j’ai forcé la petite cassette, par une paire de mains, seulement un
-fortes <|ué celles diphlT jè me.^diâ èiiL0„, Làissez-mpi vbiijs mener pïès dé Bp fiiëiîblë ; chër^iil;;., 11 më fesilt’é; mais
+fortes que celles dont je me puis enorgueillir... Laissez-moi vous mener près de ce meuble, cher ami... Il me résiste ; mais
-vous céll&HL&iïM ! ’ Mlë m to&s âefe ëoins î înStàll^r lé miëui T>bâ§lî>ië les m r âins de ftft tttà sous lë rffiM en Mil m fôfmlit le dessus dî£ Êiïrëàu. Léonard éni^ôyà tbutë k Me I Tè àtiulever; Mis) bëftë fois, lè >is^étMktoiré kâih, la sferftiïè tinï bon,
+vous cédera-t-il. » Elle mit tous ses soins à installer le mieux possible les mains de son mari sous le rebord en saillie que formait le dessus du bureau. Léonard employa toute sa force à le soulever ; mais, cette fois, le bois étant encore sain, la serrure tint bon,
-ses efforts, h’àbbutirëîït ï riën; : ’ <c mtâM-iïfck cher» uâ. gèrtdkë^î dMhM R^aitènt: rëpBndit son îûâfcL Sinon i un toûrhë-*fé ët un MàffèahJ ftahiés Jïâr n’importe
+ses efforts n’aboutirent à rien. « Enverrons-nous chercher un serrurier ? demanda Rosamond, dont la physionomie exprimait le désappointement. — Si le bureau a quelque valeur, il le faudra bien, répondit son mari. Sinon, un tournevis et un marteau, maniés par n’importe
-couvercle iéfc déâ tiroirs. En be ttÛ \ Lëhnfc jë rë^ëïlÔ que iibiis ti^hs pàs apporté
+couvercle et des tiroirs. — En ce cas, Lenny, je regrette que nous n’ayons pas apporté
-nous -ces deux outils; car
+nous ces deux outils ; car
-bureau h*à â’àhtria prix qfîe c’élui des sëcrétè #11 fÛA QMk à nWê HHbiifté.
+bureau n’a d’autre prix que celui des secrets qu’il peut dérober à notre curiosité.
-288 LE SECRET. •/ f-F-’ s, Je
+Je
-saurons ,cè qu’il renferme. * En
+saurons ce qu’il renferme. » En
-son siège. En
+son siége. En
-des figures, en
+des figures en
-doigts. / Un
+doigts. « Un
-dit Rosamond.,^ Je
+dit Rosamond... Je
-encore remarqué.... 11 n’est
+encore remarqué... Il n’est
-de très-agréable.... Autant
+de très-agréable... Autant
-y représenter..,. »
+y représenter... »
-pas d’achever.... «Laissez-moi essayer,
+pas d’achever... « Laissez-moi essayer,
-mouvement d’impatience, si jë ne
+mouvement d’impatience ; si je ne
-doigts me. diront
+doigts me diront
-cette sculpture, D Il
+cette sculpture. » Il
-le bas-relief; ses
+le bas-relief ; ses
-plus f légers mouvements.... puis
+plus légers mouvements... puis
-: | cN’y a-t-il pas; dans
+: « N’y a-t-il pas, dans
-homme assis?... Et,
+homme assis ?... Et,
-traités ?» Rosamond,
+traités ? » Rosamond,
-: Pauvre cher amiI... disait-elle.
+: « Pauvre cher ami !... disait-elle.
-et célèbre, statue
+et célèbre statue
-nuages taillés,dans ,1e marbre,
+nuages taillés dans le marbre,
-pas. Ahl Lenny!... Lenny 1... vous "ne pouvez
+pas. Ah ! Lenny !... Lenny !... vous ne pouvez
-yeux. a Un
+yeux. » Un
-: Vous
+: « Vous
-Rosamond, disait-il. .. Le seul véri* table ami
+Rosamond, disait-il... Le seul véritable ami
-pauvre aveugle.... c’est sa femme, a • •, ** f ’*• S’àpercevant qu’il était «n peu
+pauvre aveugle... c’est sa femme. » S’apercevant qu’il était un peu
-comprenant, iï\ Y. S"
+comprenant,
-i LE SECRET, 289 grâce
+grâce
-inépuisable sujet: la
+inépuisable sujet : la
-Myrtes. Maintenant,
+Myrtes. « Maintenant,
-où regarderai-je? demanda-t-elle.
+où regarderai-je ? demanda-t-elle.
-la bibliothèque.... Pour
+la bibliothèque... Pour
-bureau, il, faut attendre.... Quel
+bureau, il faut attendre... Quel
-compartiments fermés?... a Dans
+compartiments fermés ?... » Dans
-chose, y> dit-elle
+chose, » dit-elle
-niche en^ retrait,
+niche en retrait,
-plus commun; le
+plus commun ; le
-l’ancienne mode, Lenny,
+l’ancienne mode. « Lenny,
-un coin..,. Je
+un coin... Je
-conduire àu jour,
+conduire au jour,
-un tiroir.... »
+un tiroir... »
-fit résistance.... «Encore une serrure! s’écria-t-elle avec impatience.... Et
+fit résistance... « Encore une serrure ! s’écria-t-elle avec impatience... Et
-recherches I * Elle
+recherches ! » Elle
-de main.... Le
+de main... Le
-pieds fragiles , chancela,
+pieds fragiles, chancela,
-et $nit par
+et finit par
-plus gros; par tomber avéc un
+plus gros ; par tomber avec un
-alla ’ se
+alla se
-un pre^ mier mouvement
+un premier mouvement
-conta LE SECRET* I;/
+conta
-,i~rr-1I 290 LË SECRET. ce
+ce
-venait d’arriver,... c Mais
+venait d’arriver... « Mais
-étonné, tous parliez d’unetoute petite table?... Elle
+étonné, vous parliez d’une toute petite table ?... Elle
-tombant, iebruït d’un
+tombant, le bruit d’un
-la chambré puisse ïenfef mer. — C’est que , sans
+la chambre puisse renfermer. — C’est que, sans
-tiroir (Quelque \ hose de
+tiroir quelque chose de
-par i ’émotion que cette cïuïte si
+par l’émotion que cette chute si
-se f rapprochant
+se rapprochant
-s’abattre & la poussière? qni s’était r soulevée
+s’abattre à la poussière qui s’était soulevée
-immobiles eh l’air, eïlê se
+immobiles en l’air, elle se
-et de mit
+et se mit
-terre et par siiïkë de la chute’, fëndiïtf dans tante sa longueur*, là serrure âvaïfc cédé
+terre ; et par suite de la chute, fendue dans toute sa longueur, la serrure avait cédé
-le choe. Rosamond reïnit la tahl’e sur pieds, Ouvrit le tiroir , et , après
+le choc. Rosamond remit la table sur pieds, ouvrit le tiroir, et, après
-: * Je
+: « Je
-bien, dit-elfe, je
+bien, dit-elle, je
-rempli d’éehatttilîotts de miherâi de
+rempli d’échantillons de minerai de
-comme ceui qu’on? apportait
+comme ceux qu’on apportait
-de Porthgënnà. Attendez t.,. tout an fond,
+de Porthgenna. Attendez !... tout au fond,
-me sembïe que Jtf sens
+me semble que je sens
-métal 1 vierge sou» îeScfuels il
+métal vierge sous lesquels il
-cadre âfe bois- iioir et
+cadre en bois noir et
-forme * circulaire,
+forme circulaire,
-dimension d p un miroir
+dimension d’un miroir
-côté dte l’envers, it& laissant
+côté de l’envers, ne laissant
-petites 1 planchettes de- bois min ce à F aide desquelles
+petites planchettes de bois mince à l’aide desquelles
-dessins on les
+dessins ou les
-petites proportion^. Cèôrorceau de bois, fîxé : par une 1 seule pointe*, avàît été* déplacé, trèsprobablement, à
+petites proportions. Ce morceau de bois, fixé par une seule pointe, avait été déplacé, très-probablement, à
-du ! cfeoc subi,
+du choc subi,
-quand Rtosan&ond ôta
+quand Rosamond ôta
-le retfferinâity elle
+le renfermait, elle
-le bord’de ce
+le bord de ce
-et 1 la planchette^ arnâi délogée , l’extrémité
+et la planchette ainsi délogée, l’extrémité
-replié, surplîé, de
+replié, surplié, de
-à tènir le moïn« de place possible; Elle
+à tenir le moins de place possible. Elle
-planchette 1 et laflocifrdans sa
+planchette et la fixa dans sa
-seulement alors 1 , retourné le
+seulement alors, retourna le
-En effet 1 ,il r y avait tme peinttare 7 line peinture à> r huile, légèrement
+En effet, il y avait une peinture ; une peinture à l’huile, légèrement
-reste 1 fort peit altérée
+reste fort peu altérée
-Elle représentait’ un# tête
+Elle représentait une tête
-de femme; A l’instant où 1 les ; yeux de Rctéamond tomtbèrent sttr cette image’, elle
+de femme. À l’instant où les yeux de Rosamond tombèrent sur cette image, elle
-rapprocha vivéîtoent de
+rapprocha vivement de
-mari, f tenant
+mari, tenant
-petit tableau; j; y i: t i
+petit tableau.
-* LE SEGRET. 291 Eh
+« Eh
-quelle trouvaille? demanda-t-il,
+quelle trouvaille ? demanda-t-il,
-— : — tfn portrait, répondit-eÛe d’une
+— Un portrait, » répondit-elle d’une
-faible, s’arrêtait pour
+faible, s’arrêtant pour
-regarder plus, a loisir. . L’oreille
+regarder plus à loisir. L’oreille
-altération 4 •• ’ r * "" ’ dans
+altération dans
-portrait à. faire peur?... lui demanda-t-A moitié
+portrait à faire peur ?... lui demanda-t-il moitié
-toute saisie..,. Un
+toute saisie... Un
-comme glacéej si
+comme glacée, si
-repartit Rosamond.... Yous rappelWvous la
+repartit Rosamond... Vous rappelez-vous la
-service, Je soir
+service, le soir
-du nord? — Oui.... parfaitement. i ^ \ » i i’ , ji, .. — Eh! bien,
+du nord ? — Oui... parfaitement. — Eh ! bien,
-portrait ^s’accordent en tout point...* Vpici. lescheveux bouclés châtain clair.... Voici
+portrait s’accordent en tout point... Voici les cheveux bouclés châtain clair... Voici
-fossette inscrite’ sur chaque joue.... Voici
+fossette inscrite sur chaque joue... Voici
-placées e’i sibïanches.... Voici
+placées et si blanches... Voici
-fatale que, : la
+fatale que la
-cherchait t décrire,
+cherchait à décrire,
-faisait frissonner.» Léonard
+faisait frissonner. » Léonard
-sourire. > * , ; ’, 1 i ’’t^, J l, , -f".. » ;!Jt Vous
+sourire. « Vous
-chère, deà.chaleurs d’imagination <jai yous entraînent parfois, un peu loiny lui 1 dit-il ayec cafme. — Imagination f répéta 7 Èosaraond- se
+chère, des chaleurs d’imagination qui vous entraînent parfois un peu loin, lui dit-il avec calme. — Imagination ? répéta Rosamond se
-à elle-même* Est-ce
+à elle-même... Est-ce
-quand jëyôis cettefigure ?...
+quand je vois cette figure ?...
-ressens f... * ËÏÏe s’arrêta,
+ressens ?... » Elle s’arrêta,
-et, retourr nant à
+et, retournant à
-le portraitpréalablement^retourné. En çë moment, son. regard
+le portrait, préalablement retourné. En ce moment, son regard
-papier qu elle avait retirée au cadre. : r _ ;.; _ ; Beut-étire, diii-elïë, vaïs-Je trouver lji quelque expHcàtipn relative^ àl ce portrait.... ! Èt elle
+papier qu’elle avait retirée du cadre. « Peut-être, dit-elle, vais-je trouver là quelque explication relative à ce portrait... » Et elle
-s’en saisùv i I IVVJt•* .>J<?* ^f-* * : E était alors bieçt pries de
+s’en saisir. Il était alors bien près de
-et, au,moment où
+et, au moment où
-à l’intérieur,, des
+à l’intérieur, des
-temps avait,. du ngir primitif,
+temps avait, du noir primitif,
-à unë nuance
+à une nuance
-plus pâle.... Elle l’étsia ; soigneusement
+plus pâle... Elle l’étala soigneusement
-la tâÉle, l’unit,
+la table, l’unit,
-de la-main, le
+de la main, le
-292 LE; SECRET. Cette
+Cette
-mots, àJa vérité,
+mots, à la vérité,
-fut arrêté.... Sans
+fut arrêté... Sans
-signature ;de ce
+signature de ce
-étaient inscrits Rosamond
+étaient inscrits... Rosamond
-de l’autre; son
+de l’autre ; son
-lui là voix
+lui la voix
-son attention.. .v Il
+son attention... Il
-ni ne. parla, t *Rosamond!> Ici
+ni ne parla. « Rosamond ! » Ici
-de lèvres,..* Sur
+de lèvres... Sur
-pâleur ina j * i
+pâleur inanimé
-if -V.^’1 -v LE SECRET. 293 nimée passa
+e passa
-une ombré d’expression.
+une ombre d’expression.
-son chemin , et,
+son chemin, et,
-moment -inappréciable, elle
+moment inappréciable, elle
-ses côtés, c Yous n’êtes
+ses côtés. « Vous n’êtes
-Non... non!.,, »
+Non... non !... »
-le fauteuil; mais
+le fauteuil ; mais
-ses yeux , larmes
+ses yeux, larmes
-joues. c Je
+joues. « Je
-vous emmène? % Tandis
+vous emmène ? » Tandis
-Sa /tête fléchissait
+Sa tête fléchissait
-d’elle. • Êtes-vous
+d’elle. « Êtes-vous
-cher ami?... Pouvez-vous
+cher ami ?... Pouvez-vous
-à présent? — Certainement.... Rien
+à présent ? — Certainement... Rien
-mon genou.... Si yous êtes
+mon genou... Si vous êtes
-mieux. * Elle
+mieux. » Elle
-dernières paroles.’Elle promenait
+dernières paroles. Elle promenait
-sa poitrine} deux
+sa poitrine ; deux
-? FYïï294 LE SECRET. taches
+taches
-si pâles.... Elle
+si pâles... Elle
-quelques secondes , elle
+quelques secondes, elle
-les yeux . et
+les yeux, et
-les "£ cendres
+les cendres
-fond, P\ étaient
+fond, étaient
-laissa échap| per une
+laissa échapper une
-moitié sanglot , moitié sou! pir: € Ohî non t.. non!... se
+moitié sanglot, moitié soupir : « Oh ! non !... non !... se
-et ferL vente, serrant
+et fervente, serrant
-le r regardait
+le regardait
-Lenny, jamais!... Et,
+Lenny, jamais !... Et,
-en arriver.... —
+en arriver... —
-— (M, cher ami.... je disais.... »
+— Oui, cher ami... je disais... »
-plié. Où êtés-voùs? demanda-t-il.
+plié. « Où êtes-vous ? demanda-t-il.
-s’est éloignée.... On
+s’est éloignée... On
-la chambre.... où êtes-vous * * ^ jloncîa . Elle
+la chambre... où êtes-vous donc ? » Elle
-papier plié : « Gardez
+papier plié... Gardez
-Lenny 1... lui
+Lenny !... lui
-perdre dë sa fermeté.... G*ardez ceci! et
+perdre de sa fermeté... Gardez ceci ! et
-la chambré aux
+la chambre aux
-Qu’est célâ? lui
+Qu’est cela ? lui
-dernier heu, cher
+dernier lieu, cher
-répondit-elle, jçtant sur
+répondit-elle, jetant sur
-LE SECRET. 295 Est rce de ^quelque importance ? * Auîîeu de
+— Est-ce de quelque importance ? » Au lieu de
-son oœur, l’étreignit
+son cœur, l’étreignit
-baisers. € Doucement
+baisers. « Doucement
-doucement I dit
+doucement ! dit
-en riant.*.. Vous
+en riant... Vous
-respiration. * Elle recuia, et,
+respiration. » Elle recula, et,
-les épaulés de
+les épaules de
-lui. € Oh
+lui. « Oh
-— Ahl... Rosamond J.., répondit-il,
+— Ah !... Rosamond !... répondit-il,
-mieux savoir* à
+mieux savoir, à
-bientôt. a> Elle
+bientôt. » Elle
-porte. CHAPITRE YL 1 j H Le
+porte. === CHAPITRE VI. — Le
-révélé. Pendant
+révélé. === Pendant
-partie ha^ bitée du vieux manôîr, Rosamond
+partie habitée du vieux manoir, Rosamond
-un autre: maintenant
+un autre : maintenant
-t 29& LE SECRET. s de
+de
-absurde. S’aperce vaut, sur
+absurde. S’apercevant, sur
-chute, / à
+chute, à
-de f place avéc lui
+de place avec lui
-au get nou heurté
+au genou heurté
-débris l troués
+débris troués
-ne l se
+ne se
-de piège. En
+de piége. En
-vestibule l nord,
+vestibule nord,
-s’appuyer sur. elle
+s’appuyer sur elle
-Tant l d’anxiété
+Tant d’anxiété
-dans ! leurs
+dans leurs
-du lunch 1 .*.. f Mais
+du lunch... Mais
-toute : prête.
+toute prête.
-de ! soin
+de soin
-entra, et. rendit
+entra, et rendit
-Pentreath. <r Bon Dieu! madame,
+Pentreath. « Bon Dieu ! madame,
-de charge.... La
+de charge... La
-bien fatiguée.... Youlez-vous que
+bien fatiguée... Voulez-vous que
-verre d’eau?... Désirez-vous
+verre d’eau ?... Désirez-vous
-de sels?* Rosamond
+de sels ? » Rosamond
-offres. j a Puis-je
+offres. « Puis-je
-du i 4. Le lunch ou lunchcon est, comme on le sait assez généralement, le voûter anglais* ;
+du
-LE SEGRET. 297 nord? demanda
+nord ? demanda
-encore, madame.... poursuivit
+encore, madame... poursuivit
-de arge. Mais,
+de charge. Mais,
-voisinage vienaient aujourd’hui vous visiter?:.. —
+voisinage viendraient aujourd’hui vous visiter ?... —
-en affaires.... N’importe
+en affaires... N’importe
-nous .sommes, tous
+nous sommes, tous
-son mari, Avec
+son mari. Avec
-pour se,rendre dans
+pour se rendre dans
-un siège où
+un siége où
-verre. <r Je
+verre. « Je
-dans cette-émotion, me
+dans cette émotion, me
-mal, > se
+mal, » se
-yeux hagards,’ arrêtèrent
+yeux hagards, arrêtèrent
-une souche d’huile,
+une couche d’huile,
-gonflée èn une vaguie lourde
+gonflée en une vague lourde
-blanches ténèbres, de
+blanches ténèbres de
-le Voisinage immédiat
+le voisinage immédiat
-298 LE SECRET. * amorti.
+amorti.
-la chjite d’un
+la chute d’un
-mouvement, n’ayaient pas
+mouvement, n’avaient pas
-une voiîe ne
+une voile ne
-la çaer :
+la mer :
-d’air n’agijtait ies vrilles
+d’air n’agitait les vrilles
-grimpantes ) pas
+grimpantes ; pas
-venait ^animer les
+venait ranimer les
-leurs tige;?, Rosamond,
+leurs tiges. Rosamond,
-les yeui du
+les yeux du
-parole. Qu’y a-t -il donc
+parole. « Qu’y a-t-il donc
-demanda-t-il, ^tirant la
+demanda-t-il, tirant la
-qu’il rouvrait. Sûrement
+qu’il l’ouvrait. Sûrement
-simple écrit.,., il
+simple écrit... il
-quelque poudre’ sans
+quelque poudre sans
-replis. a Le
+replis. » Le
-sa fempaç tous
+sa femme tous
-à Porthgënnà, c Tenez, Lenny!... j’aime
+à Porthgenna. « Tenez, Lenny !... j’aime
-lecture, ditelle, se
+lecture, dit-elle, se
-le siège le
+le siége le
-geste pleiij de
+geste plein de
-luxuriante chevelure..Mais, pour
+luxuriante chevelure... Mais, pour
-autre chose.... n’importe laquelle.,., qui
+autre chose... n’importe laquelle... qui
-Myrtes. Yous allez
+Myrtes. Vous allez
-derniers temps?... Dites-moi,
+derniers temps ?... Dites-moi,
-ami, ajoutat-elle, se
+ami, ajouta-t-elle, se
-était assis.... mes
+était assis... mes
-en augmentant.... ou
+en augmentant... ou
-à l’autre? »
+à l’autre ? »
-qu’il ggtï î I p.;
+qu’il savait à
-r-, ? LE SECRET. " 299 T. " H vait à sa
+sa
-de sou fauteuil,... Puis,
+de son fauteuil... Puis,
-doigt : Oh\ fi,
+doigt ; « Oh ! fi,
-de plaisanter.... • est-il
+de plaisanter... est-il
-un piège, et
+un piége, et
-des compliments? * Le
+des compliments ? » Le
-distance. * <r Je
+distance. « Je
-ai offensé,... continua-t-elle
+ai offensé... continua-t-elle
-extrême agitation.... offensé,
+extrême agitation... offensé,
-trop [ dire..,, ennuyé, contrarié..-, par
+trop dire... ennuyé, contrarié... par
-je I traite lés domestiques.... Si
+je traite les domestiques... Si
-bien conJ nue, peut-être
+bien connue, peut-être
-que | c’étaient
+que c’étaient
-des habitudes-prises de lonne heure,
+des habitudes prises de bonne heure,
-si | j’eusse
+si j’eusse
-parmi eux..,, domestique moi-même.,.. Eh f bien,
+parmi eux... domestique moi-même... Eh bien,
-votre service..., | une
+votre service... une
-vos maladies.... puis,
+vos maladies... puis,
-vous / êtes
+vous êtes
-la yue... Est-ce
+la vue... Est-ce
-pareilles cireonstances, la
+pareilles circonstances, la
-nos rangs vous eût très-pénibiement ï affecté?,.. Auriez-vous...,» I Elle
+nos sangs vous eût très-péniblement affecté ?... Auriez-vous... » Elle
-s’était léI gèrement détourné
+s’était légèrement détourné
-: c A quoi bon, Rosamond , supposer f l’impossible? »
+: « À quoi bon, Rosamond, supposer l’impossible ? »
-impatient. ’ I Elle
+impatient. Elle
-se | versa
+se versa
-chercher c dans
+chercher dans
-cueillit cpielques-unes des
+cueillit quelques-unes des
-à l’arranger" en bouquet/ assortissant
+à l’arranger en bouquet, assortissant
-paraître > porter
+paraître porter
-passa | le
+passa le
-dans là boutonnière
+dans la boutonnière
-habit. Voilà
+habit. « Voilà
-que /aime à
+que j’aime à
-toujours, * lui
+toujours, » lui
-en s’assevant à
+en s’asseyant à
-favorite. * Et,
+favorite. Et,
-contemplait tristement, L
+contemplait tristement. « À
-300 LE SEGRET. t À quoi
+quoi
-crains presque.... oui,
+crains presque... oui,
-fait peur.... qu’il
+fait peur... qu’il
-à mourir.... —
+à mourir... —
-! * Il
+! » Il
-brûlant delà jeune femme. cYos pensées,
+brûlant de la jeune femme. « Vos pensées,
-ce matin.,.. Est-ce
+ce matin... Est-ce
-de sourire.... c Je
+de sourire... « Je
-petite personne.... et
+petite personne... et
-qu’à présent,... * murmura-t-elle,
+qu’à présent... » murmura-t-elle,
-plein cœur,.,. <r II y
+plein cœur... « Il y
-dans l’avenir.... aTout en
+dans l’avenir... » Tout en
-sur la. table
+sur la table
-pièce. L’avenir? demanda
+pièce. « L’avenir ? demanda
-lèvres sèches.... Resterons-nous
+lèvres sèches... Resterons-nous
-l’avions pensé?... Y
+l’avions pensé ?... Y
-partout ail* t < < £ i
+partout ailleurs ?... Vous
-s•" * i LE SECRET. 301 1 h ; leurs?..-. Tous me
+me
-résidence ennuyeuse.... et
+résidence ennuyeuse... et
-quelques distractions.... Selon vous, je
+quelques distractions... Selon tous, je
-au jardinage...» et,
+au jardinage... et,
-un roman.... Un \ roman 1 D Elle
+un roman... Un roman ! » Elle
-de ; vue,
+de vue,
-lui parler;... <rEh bien, pour^ quoi donc pas?... Maintenant,
+lui parler... « Eh bien, pourquoi donc pas ?... Maintenant,
-de composition.... Qui m’empêche d’es• sayer?... La
+de composition... Qui m’empêche d’essayer ?... La
-un sujet.... Or,
+un sujet... Or,
-ai un.... »
+ai un... »
-avant, \ arriva
+avant, arriva
-de Ison mari. [ Et
+de son mari. « Et
-? demànda-t-il. 8 —
+? demanda-t-il. —
-tout l’intérêt, du | récit
+tout l’intérêt du récit
-nous ! aimons,
+nous aimons,
-et lors| que la
+et lorsque la
-les ^ liens .étroits de
+les liens étroits de
-choisi | pour
+choisi pour
-ancien [ que..,. f. —
+ancien que... —
-après | une
+après une
-là, ; sur
+là, sur
-bien né.... aussi
+bien né... aussi
-l’êtes, Lenny..., et
+l’êtes, Lenny... et
-celle-ci ; la
+celle-ci : la
-un piège au
+un piége au
-trouve ’ n’être qu’une trompeuse.... . ï — Oh, nonl interrompit vivement Rosamond.... Cette femme | est loyaleI... cette
+trouve n’être qu’une trompeuse... — Oh, non ! interrompit vivement Rosamond... Cette femme est loyale !... cette
-jusqu’au \ mensonge.
+jusqu’au mensonge.
-qu’elle . a
+qu’elle a
-et périls.... Ëcoute^moi jusqu’au
+et périls... Écoutez-moi jusqu’au
-jugement I...» Ici
+jugement !... » Ici
-302 LE SEGRET. des
+des
-elle lés essuya pâr un
+elle les essuya par un
-: m La
+: « La
-ignorance absolue., notez cecir dans
+ignorance absolue, notez ceci, dans
-absolue dé son
+absolue de son
-son être.... Elle
+son être... Elle
-aucune part.^ Elle
+aucune part. Elle
-écrasée, pétrifiée.... Sa
+écrasée, pétrifiée... Sa
-fléchira devant- ce désastre inattendu..., Il
+fléchira devant ce désastre inattendu... Il
-appui qu’elle-même.... Elle
+appui qu’elle-même... Elle
-sa découverte...v la cacher k son mari.... sans
+sa découverte... la cacher à son mari... sans
-aucun péril.... Elle
+aucun péril... Elle
-créature t se
+créature se
-passagère, mais; terrible.
+passagère, mais terrible.
-en triomphera,< cependant.... et,
+en triomphera, cependant... et,
-ainsi appris.... Maintenant,= Lenny,t comment
+ainsi appris... Maintenant, Lenny, comment
-cette femme? Est-ce une trompeuse?..^ — ïïon :
+cette femme ? Est-ce une trompeuse ?... — Non :
-Une victime,, ouil... qui
+Une victime, oui !... qui
-du couteau..,, et
+du couteau... et
-doute, doft être sacrifiée? —
+doute, doit être sacrifiée ? —
-dit ceia. —
+dit cela. —
-cette histoire?... c’est-â-dïre, comment
+cette histoire ?... c’est-à-dire, comment
-son égard?... C’est
+son égard ?... C’est
-grand rôle.... Et
+grand rôle... Et
-pas compétente’pour la décider..,, Je suis émbarrassée de
+pas compétente pour la décider... Je suis embarrassée de
-fin d’histoire;... Quel dénoûmënt lui donneriez-vous?... » Êïï achevant, sa voix , atténuée |par degrés, était àrrivée â l’accent
+fin d’histoire... Quel dénoûment lui donneriez-vous ?... » En achevant, sa voix, atténuée par degrés, était arrivée à l’accent
-Elle * se
+Elle se
-cheveux qu’iï aimait
+cheveux qu’il aimait
-: t Oui, cher bièn-aimé, dites-moi
+: « Oui, cher bien-aimé, dites-moi
-ce dénoûmënt,» reprit-elle,, se penoÊànt verjs lui
+ce dénoûment, » reprit-elle, se penchant vers lui
-ses livres effleurassént le
+ses lèvres effleurassent le
-dans soù fauteuil,
+dans son fauteuil,
-cette em. barrassante question , et
+cette embarrassante question, et
-: , c Mais, BLosàmond, je
+: « Mais, Rosamond, je
-moi. ; — Énfin, Lenny, qjue feriez-vous à là place
+moi. — Enfin, Lenny, que feriez-vous à la place
-? ; —
+? —
-en péine de ïe dire, répondit-il.... Je n’ai .pas, -nïa chérie,
+en peine de le dire, répondit-il... Je n’ai pas, ma chérie,
-fervente imagination..,. Je n’ai pas- cette fàcûM dé me
+fervente imagination... Je n’ai pas cette faculté de me
-l’autre, dan» »
+l’autre, dans
-LE SËGRÈT. âÔ3 une
+une
-de vous*..* aussi
+de vous... aussi
-le suis.,v EUe vous
+le suis... Elle vous
-devant vous.... debout
+devant vous... debout
-me voici,... attendant
+me voici... attendant
-parole qui,, tombée
+parole qui, tombée
-sa vie*,.. Eh
+sa vie... Eh
-vos pieds^ le cœur brisé? Quelle
+vos pieds, le cœur brisé ? Quelle
-sa naissance* vous
+sa naissance, vous
-dévouée qui,, depuis le jpur de
+dévouée qui, depuis le jour de
-a soigné ,« a
+a soigné, a
-tout sou avenir
+tout son avenir
-et qui , en
+et qui, en
-est chère.... Vous
+est chère... Vous
-sa loyauté * dans* son amour; qu’elle
+sa loyauté, dans son amour ; qu’elle
-son mari.,.. Sachant tout gel^ vous
+son mari... Sachant tout cela, vous
-vos bf as à la m&re de votre enfant la- femme
+vos bras à la mère de votre enfant, à la femme
-vous avez, aimée la première,, et
+vous avez aimée la première, et
-au rang, cfe celles que* le
+au rang de celles que le
-le moins.. Oh! voua le feriez fi Lenny L..* Je saîisv moi,
+le moins... Oh ! vous le feriez, Lenny !... Je sais, moi,
-le feriez! j • — Rosamond I ... comme
+le feriez ! — Rosamond !... comme
-Comme . votre
+Comme votre
-est altérée!... Vous
+est altérée !... Vous
-agitez â propos
+agitez à propos
-cette j tristesse
+cette tristesse
-d’événements réels* ( —Qui! Lennyl vous
+d’événements réels. — Oui ! Lenny ! vous
-votre cœur;*.. Vous lui J uvririezvos bra^ sans* la. moindre* tentation* indigne de vous-. —Chut I chut !.1,. J’espère que: j’agirais aifi&L.., | — Vous espérez,?... vous ne faites» qp’espé*ea??.w Ah! mon t ami,
+votre cœur... Vous lui ouvririez vos bras, sans la moindre tentation indigne de vous. — Chut ! chut !... J’espère que j’agirais ainsi... — Vous espérez ?... vous ne faites qu’espérer ?... Ah ! mon ami,
-un instant..et dites-moi
+un instant... et dites-moi
-Je r suis
+Je suis
-j’agirais ainsi.... • —
+j’agirais ainsi... —
-voulez, Rosamond?..* Eh bien,, soit-... jeledis.* }Elle se redressa v au moment où- il prononçait ces-paroles* fit prit
+voulez, Rosamond ?... Eh bien, soit... je le dis. » Elle se redressa, au moment où il prononçait ces paroles, et prit
-la table, ; * Vous
+la table. « Vous
-demandé, Lenny de
+demandé, Lenny, de
-aux Myrtes.wEh) bien] c’est
+aux Myrtes... Eh bien ! c’est
-qui, maintenant,» vous le- propose.... & Elle
+qui, maintenant, vous le propose... » Elle
-ces paro* les décisives; mais
+ces paroles décisives ; mais
-nettement émises^ sans hésitation,, sans
+nettement émises, sans hésitation, sans
-comme si,, désormais irrévo* cablement engagée
+comme si, désormais irrévocablement engagée
-l’importante révélation , elle
+l’importante révélation, elle
-304 LE SECRET. décidait
+décidait
-surprise et’de perplexité. t Yous passez
+surprise et de perplexité. « Vous passez
-lui ditil, que
+lui dit-il, que
-vous suivre.... Comment pouvezvous sauter
+vous suivre... Comment pouvez-vous sauter
-vieille lettre?... —
+vieille lettre ?... —
-touchent-elles r de
+touchent-elles de
-l’air. ’ —
+l’air. —
-peut-il [ exister entre elles?... Je
+peut-il exister entre elles ?... Je
-pas rous ?... * Elle
+pas vous ?... » Elle
-prophétique, l’ombré de
+prophétique, l’ombre de
-pensée. Rosamond,
+pensée. « Rosamond,
-mystère possibleI... Il
+mystère possible !... Il
-eu, bien-aimé.... Jamais
+eu, bien-aimé... Jamais
-n’y i en aura. * * Elle
+n’y en aura. » Elle
-aller ; prendre,
+aller prendre,
-qu’elle aimait.... Mais
+qu’elle aimait... Mais
-lire t cette
+lire cette
-troubler. Yous ai-je dit.... reprit-elle,
+troubler. « Vous ai-je dit... reprit-elle,
-se calmer*... vous
+se calmer... vous
-où f j’ai
+où j’ai
-aux Myrtes? —
+aux Myrtes ? —
-physionomie perverse.... Je
+physionomie perverse... Je
-connais. V
+connais.
-LE SECRET. 305 j —
+—
-Treverton t —
+Treverton ! —
-votre mère? —
+votre mère ? —
-Dieu, Rosamond!... que
+Dieu, Rosamond !... que
-parler d’elle? —
+parler d’elle ? —
-aux Myrtes.... Vous
+aux Myrtes... Vous
-faisions ensemble/Vous verrez,
+faisions ensemble. Vous verrez,
-aux Myrtes, a Se
+aux Myrtes. » Se
-mots ; t À
+mots : « À
-mari. <r Nous
+mari. « Nous
-ai trompé.... trompé
+ai trompé... trompé
-pour vous.... Quelques
+pour vous... Quelques
-à moi.*.. C’est
+à moi... C’est
-de Porthgënnà; sa
+de Porthgenna ; sa
-la tôte. Elle
+la tête. Elle
-: «: Illégitime! Ce
+: « Illégitime ! » Ce
-lire encore.... et,
+lire encore... et,
-: f J’ai
+: « J’ai
-commis LE SECRFT* 20 N
+commis
-306 LË SECRET, par
+par
-pour yous.-Cette tendresse
+pour vous. Cette tendresse
-jamais votre, cœm tout
+jamais votre cœur tout
-avez-vous oubliées? Je
+avez-vous oubliées ? « Je
-aujourd’hui, Rosamond,* me disiez-vous.... Sans ces parolgs, je
+aujourd’hui, Rosamond, » me disiez-vous... Sans ces paroles, je
-secret. c Je
+secret. « Je
-car lamorMst bien près | de
+car la mort est bien près de
-poussèrent, c ? est à
+poussèrent, c’est à
-savoir eu questionnant
+savoir en questionnant
-dictée, " ces
+dictée, ces
-plus. Yous aurez
+plus. Vous aurez
-petite créa^ ture qui
+petite créature qui
-trop aveugje obéissante à ï mes
+trop aveugle obéissance à mes
-atténue l’amertume} de mes rel mords, c’est
+atténue l’amertume de mes remords, c’est
-d’une * honte
+d’une honte
-ne znépitait.ppint ia plus
+ne méritait point la plus
-la plps. dévouée
+la plus dévouée
-qui soit.,.* Ne
+qui soit... Ne
-ma mémoire), Arthur! J’ai trouvé,des mots
+ma mémoire, Arthur ! J’ai trouvé des mots
-en qupi j^i péqhé qpntre yous ;
+en quoi j’ai péché contre vous ;
-pour yous dire combien Je vous I aimais.* a £y f 1 :KJ ! ’ Rosamond
+pour vous dire combien je vous aimais. » Rosamond
-à K la
+à la
-de $ nouveau,
+de nouveau,
-: | Rosamond Treverton. > Elle
+: « Rosamond Treverton. » Elle
-deux ï premières
+deux premières
-de c@ nom
+de ce nom
-son T oreille,
+son oreille,
-que SQH m&VÏ répétait à chaqnp foeure du jour, j et
+que son mari répétait à chaque heure du jour, et
-prononcer troisième; mais l’effort futy&in : Ja ! voix
+prononcer la troisième ; mais l’effort fut vain : la voix
-souvenirs saerég dtt foygp dpmes^ f; tique, que
+souvenirs sacrés du foyer domestique, que
-de profane? à jamais» | semblèrent,
+de profaner à jamais, semblèrent,
-la fois* déebirpr ^putes les
+la fois, déchirer toutes les
-son | cœur.
+son cœur.
-faible qri, un
+faible cri, un
-sa têtp, çapha, sa
+sa tête, cacha sa
-ses mains* Elle
+ses mains. Elle
-n’eut conscienqç de ripn, jusqu’au
+n’eut conscience de rien, jusqu’au
-léger frôlement.... le
+léger frôlement... le
-LÈ SECRET. Son
+Son
-passionnée. c Rosamond chérie disait-il,
+passionnée. « Rosamond chérie, disait-il,
-à moi!... je
+à moi !... je
-I LIVRE VI. ofo CHAPITRE PREMIER. L’oncle Joseph. Le
+== LIVRE VI. == === CHAPITRE PREMIER. — L’oncle Joseph. === Le
-possession. lUles traitaient
+possession. Elles traitaient
-à récriture de
+à l’écriture de
-la • lettre.
+la lettre.
-partie de, la
+partie de la
-yv LE SECRET. 309 j l’œuvre
+l’œuvre
-même personne* En
+même personne. En
-dernières lignes.... les
+dernières lignes... les
-quittait PorthgennaTower : c Si
+quittait Porthgenna-Tower : « Si
-ni Vautre. Mon
+ni l’autre. Mon
-» Il
+» « Il
-Pauvre créaturel,.. dit
+Pauvre créature !... dit
-la lettre.,.. Nous
+la lettre... Nous
-aux Myr-
+aux Myrtes. Qui
-310 LE SÈCRËT. tes. Qtii peut
+peut
-aura souffert, le
+aura souffert ; le
-à moi? Ohl... que
+à moi ? Oh !... que
-légèrement traitéeI,.. 11 est
+légèrement traitée !... Il est
-je lùi ai pâflé comme
+je lui ai parlé comme
-d’attendre uhe obéissance absolue-... et
+d’attendre une obéissance absolue... et
-de în’apercévoir que,
+de m’apercevoir que,
-à , sa mère.... Gomment lui
+à sa mère... Comment lui
-le Secret?... Commënt...? »
+le Secret ?... Comment... ? »
-le coeur serré
+le cœur serré
-de îâ flétrissure
+de la flétrissure
-naissance : elle
+naissance ; elle
-la sienne* Pourquoi n’achevez-vous pas? lui
+la sienne. « Pourquoi n’achevez-vous pas ? lui
-J’avais peur..,; commença-t-elle,
+J’avais peur... commença-t-elle,
-phrase testa inachevée. — Yous àviez peui*, dit-il,
+phrase resta inachevée. — Vous aviez peur, dit-il,
-accordés a cette infortunée he fussent
+accordés à cette infortunée ne fussent
-trop âùsCëptiblé, en tiië rappelant
+trop susceptible, en me rappelant
-s’y ïâttache?... Rosaniond, je
+s’y rattache ?... Rosamond, je
-sincérité gariâ pârèille vis-à-vis
+sincérité sans pareille vis-à-vis
-n’avouais jjas que
+n’avouais pas que
-le Sang-froid m’est
+le sang-froid m’est
-à i’enCôhtrë dè tôttte probabilité,
+à l’encontre de toute probabilité,
-pourrait biën, après
+pourrait bien, après
-pas vrai...* Mais,
+pas vrai... Mais,
-moi cë sentiment
+moi ce sentiment
-le fâfré.... il
+le faire... il
-dans mbh cœur
+dans mon cœur
-fort encore.... a Il
+fort encore... » Il
-ceci, lâ mâin de
+ceci, la main de
-dans leâ sieùnes; puis
+dans les siennes ; puis
-: A partir
+: « À partir
-où Vous avez
+où vous avez
-un pâuvre aveugle
+un pauvre aveugle
-vous a, donné
+vous a donné
-p • ^ * LÉ SËGRËT. 311 •p son cïèkï utté placé d’où î!iëtL lie TOUS châgsera jamais,
+son cœur une place d’où rien ne vous chassera jamais,
-que nôtiâ Tenons dé subir.
+que nous venons de subir.
-si hautè estimiè cjué j’aie toujdtifâ téntt la valëiïr d’un rang éleTé dans
+si haute estime que j’aie toujours tenu la valeur d’un rang élevé dans
-hiérarchie sociâlé $ f ai %ppTis > même aTan i ce
+hiérarchie sociale, j’ai appris, même avant ce
-passé hiëï, à sâvoir c[tle fflâ féfiiffiê, quèllê qtie piiisse être soii ëxtràction, mérite tiifë BStiîfle encore Sup ériëuïe. ^Ohl Lenriy....’ Lenny!... j& ne véuï pas de ^ôs idtftoi&es, si TOUS y
+passé hier, à savoir que ma femme, quelle que puisse être son extraction, mérite une estime encore supérieure. — Oh ! Lenny... Lenny !... je ne veux pas de vos louanges, si vous y
-qu’en TOUS épousant
+qu’en vous épousant
-un sacrifiée quélconquë;..; Jâïhàis je n’âizfâis mérité tôuÉ cë qUê Vdus Tenez de dirë dë moi,
+un sacrifice quelconque... Jamais je n’aurais mérité tout ce que vous venez de dire de moi,
-je fi’âVàiS éu pôUF mari cé * pauvre atërigle » que Vdtis dépréèiëz èi iiijùstémefit. A ma prômière lecture dé cëttë terrible lëtttêj j’ai
+je n’avais eu pour mari ce « pauvre aveugle » que vous dépréciez si injustement. À ma première lecture de cette terrible lettre, j’ai
-un moMent^ ingrate, indigné lié j’étais, qUë voti<ë àffëctioii pdtif moi
+un moment, ingrate, indigne que j’étais, que votre affection pour moi
-à l’épreuTe d’une pareille découvertes J’ai eû un ïhôméfit d’horrible ’ tentation,
+à l’épreuve d’une pareille découverte. J’ai eu un moment d’horrible tentation,
-je mé éui§ éloignée dé vSUSj lorsque jehdevais, au cdtttrairë, votis rëmetfrë imfflédiàtëffient céfrte lëtitre.*.. C’est
+je me suis éloignée de vous, lorsque je devais, au contraire, vous remettre immédiatement cette lettre... C’est
-voyant, l’ofeille tëMuê k iflês paroles, danstme igniji-âncé absolue de l’évéheineist qûi, ptèS dé vous* venait de s’accomplir j que je Sùià révénlië à inoi, èt (Jlïé îùà consciéncé m’a diôté de que j’âvaiâ à faire.... C’est là tue dë mon i pauvre aveuglé * qiii fh’à fait dèlihptët la ifiâuvâisë inspiration en vettu dè lâquellè j’âlïàid, àtx inôiiiënt ïîiêmë où éllë venàit de tomber ëîi mes mains, défaire cette lettré. Eussé-je
+voyant, l’oreille tendue à mes paroles, dans une ignorance absolue de l’événement qui, près de vous, venait de s’accomplir, que je suis revenue à moi, et que ma conscience m’a dicté ce que j’avais à faire... C’est la vue de mon « pauvre aveugle » qui m’a fait dompter la mauvaise inspiration en vertu de laquelle j’allais, au moment même où elle venait de tomber en mes mains, détruire cette lettre. Eussé-je
-endurcie deé femmes^ aurais^jè jamais pu VStis tëridi*e là main,
+endurcie des femmes, aurais-je jamais pu vous tendre la main,
-lèvres dès Vôtres, aurais-je pu* à
+lèvres des vôtres, aurais-je pu, à
-entendre Sommeiller paisiblement^ nuit après | nuit, avec cé sentiment qUë, pour
+entendre sommeiller paisiblement, nuit après nuit, avec ce sentiment que, pour
-ma merci?..; avec cetté cértittidë qixë ma trompetiê aurait
+ma merci ?... avec cette certitude que ma tromperie aurait
-votre confiance; ëlle-ffiêmë due au éoup dont lë oiel vous a frappé?^. Non, non,... je
+votre confiance, elle-même due au coup dont le ciel vous a frappé ?... Non, non... je
-capable dë descendre à dé pareilles bassesse^, et
+capable de descendre à de pareilles bassesses, et
-à rëvéndiçuer d’auttè honneur
+à revendiquer d’autre honneur
-restée fidèlé à
+restée fidèle à
-mission. Hier* ami* dans là chambré aux Myrtes, voiis avdz dit
+mission. Hier, ami, dans la chambre aux Myrtes, vous avez dit
-sur lequel; vous m ayez
+sur lequel vous ayez
-depuis <Jue la
+depuis que la
-votre femme.... Maintenant
+votre femme... Maintenant
-consolation, c’èst ma
+consolation, c’est ma
-aujourd’hui dé que
+aujourd’hui ce que
-disiez hier.— Oui, Rosamond* il
+disiez hier. — Oui, Rosamond, il
-; n’ouF
+; n’oublions
-1 / 312 La SECRET* blions pas,
+pas,
-pénibles épreuves?,.. Quelles
+pénibles épreuves ?... Quelles
-bon ami? r-Peut-être penserez-vous
+bon ami ? — Peut-être penserez-vous
-tel sacrifice.... Pour
+tel sacrifice... Pour
-sera pénible.... Il
+sera pénible... Il
-: — Quelle
+: « Quelle
-à personne? demanda-t-elle.
+à personne ? demanda-t-elle.
-du Secret.... Vous
+du Secret... Vous
-votre père.... je
+votre père... je
-capitaine Treverton.,.. —
+capitaine Treverton... —
-il m’aimait.,., comme
+il m’aimait... comme
-l’aimais moimême*... et
+l’aimais moi-même... et
-toujours * mon
+toujours « mon
-l’appeler c le
+l’appeler « le
-sachiez Le
+sachiez ?... Le
-de testament..*. Son
+de testament... Son
-mon père.... Et
+mon père... Et
-proche parente.... * Rosamond
+proche parente... » Rosamond
-: c Ah! Lenny,
+: « Ah ! Lenny,
-— A cet homme? s’écria Rosamond. A cet
+— À cet homme ? s’écria Rosamond. À cet
-un étranger? qui
+un étranger ? qui
-notre nom? Faut-il
+notre nom ? Faut-il
-l’enrichir, lui? Il
+l’enrichir, lui ? — Il
-quelque sacris
+quelque sacrifice
-î LE SECRET. 313 j fice qu’il
+qu’il
-si M* Andrew
+si M. Andrew
-avoir ici-bas.... si
+avoir ici-bas... si
-dernières ressources.... je
+dernières ressources... je
-un farthing-...*M ce
+un farthing... Et ce
-Rosamond. * Tandis
+Rosamond. » Tandis
-sang \ généreux
+sang généreux
-une admii ration silencieuse, <t Le
+une admiration silencieuse. « Le
-son orgueir lui
+son orgueil lui
-nous. Bussions-nous fouiller
+nous. Dussions-nous fouiller
-équivoque légale , aucun
+équivoque légale, aucun
-pure forme et
+pure forme, et
-restitution. —Comme vous
+restitution. — Comme vous
-fermeté, Lenny!... Est-ce
+fermeté, Lenny !... Est-ce
-perte énorme?... —I l n’y
+perte énorme ?... — Il n’y
-démontrée. £e dont
+démontrée. Ce dont
-Sarah
+Sarah Leeson... Que dis-je
-314 LË SECRET, Leesôn.... QtLë âîs-jë là?--, de
+là ?... de
-faut qtie j’âpprehhë à lui dôhnér ce
+faut que j’apprenne à lui donner ce
-toute Tindulgeiice que
+toute l’indulgence que
-dois. a Rosafiibnd se râpprochà de son ihàri par Un môuvement d’oisëâu qui
+dois. » Rosamond se rapprocha de son mari par un mouvement d’oiseau qui
-: a: Yous ne
+: « Vous ne
-ne * fasse
+ne fasse
-mon Cûëùr, cher ët bon
+mon cœur, cher et bon
-son épiaùîe.... Ifbus m’aidet ez, quand
+son épaule... Vous m’aiderez, quand
-temps éèft venu,
+temps sera venu,
-sa fille.,,. Oh! qu elle était
+sa fille... Oh ! qu’elle était
-usée, t|uând, dëbôUt près M ïrioii lit,
+usée, quand, debout près de mon lit,
-et j môil enfant!.,. Sefdhâ-hoûÈi biëù lôngteïhps avant
+et mon enfant !... Serons-nous bien longtemps avant
-la débbuvfir?... Qhe fàùt-ii pénëër dë ëoù élôignémënil.. Ëst-elle Meh loin,
+la découvrir ?... Que faut-il penser de son éloignement ?... Est-elle bien loin,
-loin dè nouk Qui sâit? plus, péut^ire, que
+loin de nous ?... Qui sait ? plus, peut-être, que
-le croiriôns.... * Avant que Léohard eût pu là suivre dâns ces
+le croirions... » Avant que Léonard eût pu la suivre dans ces
-hypothétiques, rëntfëtien fut
+hypothétiques, l’entretien fut
-à lâ porte, ët RôSâmônd s* étonna de
+à la porte, et Rosamond s’étonna de
-la domesti» que* Betsey étâit roûgé, hdrs d’elle-même^ respirant
+la domestique. Betsey était rouge, hors d’elle-même, respirant
-elle féus£it cependant à fëndfë, .d’une façon suffisamment in. telligible ^ uh niëssâge par lëqiiël M. Munder,, l’intendant, •"J demandait à enttëtèniï M.
+elle réussit cependant à rendre, d’une façon suffisamment intelligible, un message par lequel M. Munder, l’intendant, demandait à entretenir M.
-affaires iïflpoïtahtês. k Qu’éètréë donc? quë vêut-ii? dëfnâiidâ Itogàmôhd. -L* Je Gfôiâ, riiàdaûiè, qu’il’teindrait àâvoif s’il
+affaires importantes. « Qu’est-ce donc ? que veut-il ? demanda Rosamond. — Je crois, madame, qu’il voudrait savoir s’il
-ou hon mandat* lë btinstâblé, répondit Bètse£. — Màhdëf lé constable! répéta ïioèàkôrid. Aurions-nous
+ou non mander le constable, répondit Betsey. — Mander le constable ! répéta Rosamond. Aurions-nous
-plein ihidi, lëâ Vdleurs chez iious ? --*l?eut-êti?6 jiife que les volêurâ, à
+plein midi, les voleurs chez nous ? — Peut-être pire que les voleurs, à
-dit Èï. Mtindèf, répondit Bétàèy. C’est
+dit M. Munder, répondit Betsey. C’est
-l’étranger, màdâfciê;... Il ëst revenu..i, Il â sonné
+l’étranger, madame... Il est revenu... Il a sonné
-la porté, hârdt ôômïne uû j&éë..., Il ^ demandé s’il pôuvâit voir mistress I?fâhMàhd. —L’étranger !<«* s’écria Rosamond poèarit sa ffiain âvec vivacité
+la porte, hardi comme un page... Il a demandé s’il pouvait voir mistress Frankland. — L’étranger !... s’écria Rosamond posant sa main avec vivacité
-mari. ^•Oiii* fflâdâfflèf». : fiëlui de i’àhfàe jtiilf, qùl vendit âyec la dame, Soi-disant jj6û£ visité* lé èhâtëau.,.. » Rosamond, toujoufg à là mërcl de seS. jtfëihièrëâ impressions,se lôvâbïûs<Jdèsïnént i * DëscëhdotïS l...c6Minériçaiè-eile; ^Uù iflStânt ôbjëëtâ hé&û&ïA qtii lâ pïit âiiâ^itôt par îa m&iUé Youâ n’&téi ûuflëmeiit besbin dé Vtrtlè défàhger.,.. Faites tntfhter ici
+mari. — Oui, madame... celui de l’autre jour, qui venait avec la dame, soi-disant pour visiter le château... » Rosamond, toujours à la merci de ses premières impressions, se leva brusquement : « Descendons !... commençait-elle. — Un instant !... objecta Léonard qui la prit aussitôt par la main. Vous n’avez nullement besoin de vous déranger... Faites monter ici
-inconnu, ccïîltiniià-t-ii, é’âdrës^atit à Sëtsey, et
+inconnu, continua-t-il, s’adressant à Betsey, et
-M. Mundér que désormais titras houstihafgëOiïsde toute cette affairé, sâSs qu’il
+M. Munder que désormais nous nous chargeons de toute cette affaire, sans qu’il
-à è’ëfi îhêlef âùcùnémênt. i •_ r:.
+à s’en mêler aucunement. » Rosamond
-I ,* • tÊ SECREf. Slï) i Ëosàmond se
+se
-mari. <r C’est
+mari. « C’est
-dans , cette
+dans cette
-l’éclaircir. a La
+l’éclaircir. » La
-fois, à’ouvrii, et sur lë seuil
+fois, s’ouvrit, et sur le seuil
-blancs. ttae petite
+blancs. Une petite
-de cuir,’ fixée
+de cuir, fixée
-dehors d’Unè poche
+dehors d’une poche
-hauteur d’aissëlle , sur le dôVânt dë sa redingote, il fit
+hauteur d’aisselle, sur le devant de sa redingote. Il fit
-de feutré dans leur doublé étreinte , jus; qu’à son coeur, et,
+de feutre dans leur double étreinte, jusqu’à son cœur, et,
-remarquable prestesse , exécuta i successivement
+remarquable prestesse, exécuta successivement
-fantastiques révérendes, dont
+fantastiques révérences, dont
-pour mistresS tfrànkland, deux poiifc le mari d’icellë, et une dere! chef pour
+pour mistress Frankland, deux pour le mari d’icelle, et une derechef pour
-et j distinct pour Une <r personne
+et distinct pour une « personne
-sexe. % Jamais Éosàmond n’avait
+sexe. » Jamais Rosamond n’avait
-sa routé pareille
+sa route pareille
-de Vinoffensimtè virile
+de l’inoffensivité virile
-n’eût redonnu, dans le ’ persoiinage qui
+n’eût reconnu, dans le personnage qui
-offrait, i l’audacieux vagabond a de
+offrait, « l’audacieux vagabond » de
-femme dé charge,
+femme de charge,
-pire ; qu’un voleur, j ; Madame,
+pire qu’un voleur. » « Madame,
-en j avant,
+en avant,
-m’annonce moij même.... Mon nom est’Joseph Buschmann.... J’haiité la ville ! de
+m’annonce moi-même... Mon nom est Joseph Buschmann... J’habite la ville de
-ou polis.... Je
+ou polis... Je
-sauf vôtre respect, cë même
+sauf votre respect, ce même
-grand majordome,? lorsque
+grand majordome, lorsque
-ce ; que
+ce que
-de irotre bonté, c’ëst que
+de votre bonté, c’est que
-de Vous dirë un
+de vous dire un
-Je né Vous prendrai ; tout
+Je ne vous prendrai tout
-minutes, madaïnë, et vous , bon monsieur; après
+minutes, madame, et vous, bon monsieur ; après
-mes nieillëurs souhaits àvëc mes plûè sincères remercîments. —Veuille^, monsieur
+mes meilleurs souhaits avec mes plus sincères remercîments. — Veuillez, monsieur
-Léonard, tëûillez vous
+Léonard, veuillez vous
-convaincre crue notre
+convaincre que notre
-à vous.,.. Nous
+à vous... Nous
-doive vdus faite abréger votre t i
+doive vous faire abréger votre
-316 1 LE SECRET. visite.
+visite.
-le nïalheur d’être aveugle.... 1 Pour
+le malheur d’être aveugle... Pour
-scrupuleuse attention.... Rosamond, M. Busch mann a-t-il un siège? »
+scrupuleuse attention... Rosamond, M. Buschmann a-t-il un siége ? »
-saluant de„plus belle
+saluant de plus belle
-plastique. Rapprochez-vous,
+plastique. « Rapprochez-vous,
-première visite.... Nous
+première visite... Nous
-que, justement.... J> Elle
+que, justement... » Elle
-en apparence , et
+en apparence, et
-: <c Madame,
+: « Madame,
-Votre nièce?... s’écrièrent
+Votre nièce ?... s’écrièrent
-l’oncle Joseph.... la
+l’oncle Joseph... la
-les autres j ils sont tous; partis
+les autres, ils sont tous partis
-ma femme , mon
+ma femme, mon
-I ’ I.» ^•ITL" ’ LE SECRET. 317 j Joseph,
+Joseph,
-bon Anglais Leeson,
+bon Anglais. Leeson,
-sont partis..,, tous partis I — Leeson? dit
+sont partis... tous partis ! — Leeson ? dit
-manière significative.... Le
+manière significative... Le
-Sarah Leeson?» L’oncle
+Sarah Leeson ? » L’oncle
-gros soupir, c Un
+gros soupir. « Un
-franc misérable.... Oui,
+franc misérable... Oui,
-la cplère et
+la colère et
-du vocabulaire.... Oui,
+du vocabulaire... Oui,
-: a Anglais
+: « Anglais
-misérable. * Rosamond,
+misérable. » Rosamond,
-personne. m Je
+personne. « Je
-nièce Sarah, Et,
+nièce Sarah. Et,
-affaire, îvec votre
+affaire, avec votre
-au gros, majordome, si z élé à
+au gros majordome, si zélé à
-ce logis.... C est-à-dire, entendons-nous,
+ce logis... C’est-à-dire, entendons-nous,
-pût être; et comme i \ it
+pût être ; et comme
-318 1 LE SECRET. Sarah
+Sarah
-à venir; et
+à venir ; et
-partir seule; et
+partir seule ; et
-qu’elle craignait , en
+qu’elle craignait, en
-voilà donG pourquoi je..,, non,
+voilà donc pourquoi je... non,
-pas cela-.- il
+pas cela... il
-que... Àch GottI décria tforiôle Joseph,
+que... Ach Gott ! s’écria l’oncle Joseph,
-de désespqir, et
+de désespoir, et
-invocation germanique.... Je
+invocation germanique... Je
-propre bavardage.... et
+propre bavardage... et
-retrouver, c’est-, en
+retrouver, c’est, en
-je n^en sais.
+je n’en sais.
-vous tourmentes pas
+vous tourmentez pas
-d’aplomb, ourbliait toute
+d’aplomb, oubliait toute
-toute réserve.... Ne
+toute réserve... Ne
-savons déjà.... —Nous supposerons,
+savons déjà... — Nous supposerons,
-avoir à’nous dire
+avoir à nous dire
-manoir. —Vous supposerez cela? s’écria 1-onele Joseph,
+manoir. — Vous supposerez cela ? s’écria l’oncle Joseph,
-grand poids Àht je
+grand poids... Ah ! je
-rends grâces , monsieur,
+rends grâces, monsieur,
-bonne dame.... Je
+bonne dame... Je
-rends nulle grâces
+rends mille grâces
-charitable supposition.... Je
+charitable supposition... Je
-perdrai plus.... En avant, donc.... et
+perdrai plus... En avant, donc... et
-supposition t moi
+supposition : moi
-du manoir.... Très-bien; nous
+du manoir... Très-bien ; nous
-à Truro’, je
+à Truro, je
-à m’ef&ayer pour Sarah, d^abord à
+à m’effrayer pour Sarah, d’abord à
-vos esqaliers; et d’une; puis à eause de
+vos escaliers, et d’une ; puis à cause de
-peiné poui elle
+peiné pour elle
-cela m*; taquine; mais, d’un autr* "^ié, j’ai
+cela me taquine ; mais, d’un autre côté, j’ai
-: ’ï i < 0
+:
-LE SECRET. 319 j c’est
+c’est
-moi, eçL mon domicile, à Truro..,. que
+moi, en mon domicile, Truro... que
-rendrai heurpuse.... que
+rendrai heureuse... que
-guérirai dè,s que
+guérirai dès que
-serons établi^ ensemble pQ^r le
+serons établis ensemble pour le
-nos jours,.,. Jugez alors , monsieur, du qqup qui
+nos jours... Jugez alors, monsieur, du coup qui
-tombe dessus , lorsque
+tombe dessus, lorsque
-le mien.,.. Jugez aussi , bonne
+le mien... Jugez aussi, bonne
-ses raisons , d’apprendre
+ses raisons, d’apprendre
-que vow né Veniez à
+que vous ne veniez à
-découvrir, ttous/» Il
+découvrir, vous ! » Il
-jetant uh regard
+jetant un regard
-le vidage de
+le visage de
-achevé c^ttg phrase,
+achevé cette phrase,
-de lui.... ? ç N’est-ce
+de lui... « N’est-ce
-nièce Sarab ^ue yous §tes ainsi affligée, jnadame?... et n’avez-voùs pas pitié d’elle? dèmandat-il avec
+nièce Sarah que vous êtes ainsi affligée, madame ?... et n’avez-vous pas pitié d’elle ? demanda-t-il avec
-d’elle, çt de
+d’elle, et de
-dit Rosairiond, appuyant
+dit Rosamond, appuyant
-mots. Et
+mots. — Et
-mon çceur çtussi que
+mon cœur aussi que
-Joseph. Ah! madame,
+Joseph. Ah ! madame,
-nous nç^s séparâmes
+nous nous séparâmes
-l’autre. Ôr quand
+l’autre. Or quand
-m’est v^nue voir,
+m’est venue voir,
-trouvés ensemble.... Je
+trouvés ensemble... Je
-ne * dût
+ne dût
-d’autres ^vant notre
+d’autres avant notre
-future, ët? jusqu’au
+future, et, jusqu’au
-de moi- .. Mais, porçrla faire
+de moi... Mais, pour la faire
-même prainte existait encore..,, la
+même crainte existait encore... la
-par vpus. Aùsbi, des
+par vous. Aussi, des
-y jefte, et
+y jette, et
-nièce garah,.,f « Bïon enfant,
+nièce Sarah... « Mon enfant,
-?... * Et
+?... » Et
-: J’écrirai souvent....» Il
+: « J’écrirai souvent... » Il
-reçues d’elle..,. Je
+reçues d’elle... Je
-Sarah. * G C• v Ii
+Sarah. »
-320 LE SEGRET. > Il
+Il
-coup d’oeil jeté
+coup d’œil jeté
-exactement là même
+exactement la même
-montrer. » Le
+montrer. ». Le
-pas «long à lire» dans
+pas « long à lire » dans
-peur dé pécher
+peur de pécher
-la syntaxe; toutes
+la syntaxe ; toutes
-étaient . également
+étaient également
-avait tracées; toutes
+avait tracées ; toutes
-quatre ^enfermaient deux
+quatre renfermaient deux
-mêmes, relatives’à Rosamond.
+mêmes, relatives à Rosamond.
-l’adresse où il
+l’adresse ou il
-: c Je
+: « Je
-S. bureau
+S. J., bureau
-poste, SmithStreet, Londres.
+poste, Smith-Street, Londres.
-: <r Veuillez
+: « Veuillez
-» € Je
+» « Je
-reprit lé vieillard,
+reprit le vieillard,
-de lire; eut
+de lire, eut
-disais que^ j’étais
+disais que j’étais
-triste, quand,Sarah m’eut
+triste, quand Sarah m’eut
-plus effrayé.... Elles
+plus effrayé... Elles
-petites lignes.... Voyez
+petites lignes... Voyez
-vous plaît!... L’écriture
+vous plaît !... L’écriture
-très-belle écriture . au
+très-belle écriture... au
-pour s>
+pour
-» LE SECRET. 321 É•i \ moi,
+moi,
-j’aime Sarah^ et
+j’aime Sarah, et
-comme • un vrai chat,.,. Mais,
+comme un vrai chat... Mais,
-un peu.... elle
+un peu... elle
-encore pire.... plus tremblotante, ’ plus
+encore pire... plus tremblotante, plus
-plus recroquevillée,... Dans
+plus recroquevillée... Dans
-où il*y avait
+où il y avait
-en bloc,... Moi,
+en bloc... Moi,
-: Elle est malade ^ bien
+: « Elle est malade, bien
-rien dirè.... Son
+rien dire... Son
-nouveau, jsuivit en
+nouveau, suivit en
-ligne. <r Voilà
+ligne. « Voilà
-dis, reprit-il..,, et j’attends.... je
+dis, reprit-il... et j’attends... je
-un peu.... et
+un peu... et
-: c: Allez
+: « Allez
-Joseph !.., et,
+Joseph !... et,
-chez VOUS!...D Après
+chez vous !... » Après
-réfléchis encore.... non
+réfléchis encore... non
-un temps.... je
+un temps... je
-à Sarah.,.. mais
+à Sarah... mais
-à s*en revenir avec moi..,. Cette
+à s’en revenir avec moi... Cette
-mistress Frankland, Je
+mistress Frankland. Je
-vois cela.... Ma
+vois cela... Ma
-des lèvres,.,. Je
+des lèvres... Je
-mon fauteuil.... Mon
+mon fauteuil... Mon
-ma tête,,.. J’arrive
+ma tête... J’arrive
-indiscrètement l introduit,
+indiscrètement introduit,
-bien, jë n’ai
+bien, je n’ai
-vous de}: mandant, par
+vous demandant, par
-ne ; pas
+ne pas
-: <r J’ai
+: « J’ai
-mistress Frankland.... elle m’a, vde sa
+mistress Frankland... elle m’a, de sa
-si grand’peur.,..» Oui,
+si grand’peur... » Oui,
-moi, K LE SECRET. » 21 J
+moi,
-4 \ 322 LE SEGRET. » et
+et
-bonheur !» La
+bonheur ! » La
-de Rosa( mond.... <r Je
+de Rosamond... « Je
-ce soit.... Je
+ce soit... Je
-une question.... non,
+une question... non,
-une seule..., à
+une seule... à
-passer ?•.. Que
+passer ?... Que
-lui dire?... »Ici elle
+lui dire ?... » Ici elle
-sien. <rEhl n’en
+sien. « Eh ! n’en
-pas davantage.... n’en
+pas davantage... n’en
-plus qu’ordinaire.... Assez
+plus qu’ordinaire... Assez
-revenir Sarah.... Assez
+revenir Sarah... Assez
-jamais vôtre débiteur..,. Oh
+jamais votre débiteur... Oh
-si heureux!... Je
+si heureux !... Je
-bonheur !.,.. »
+bonheur !... »
-d’œil. Vous
+d’œil. « Vous
-allez pas? dit Rosamond.... Bien certainement* vous
+allez pas ? dit Rosamond... Bien certainement, vous
-pas ainsi? —
+pas ainsi ? —
-l’oncle Joseph; mais
+l’oncle Joseph ; mais
-retrouver ’ Sarah
+retrouver Sarah
-plus tôt.... Pour
+plus tôt... Pour
-vers mo domicile.
+vers mon domicile.
-Londres, mo rieur Buschmann? demanda Léonard* —
+Londres, monsieur Buschmann ? demanda Léonard. —
-l’oncle Joseph.... Je
+l’oncle Joseph... Je
-Samuel ( qui est
+Samuel (qui est
-— Puis«je vous
+— Puis-je vous
-à Lon* dres, pour
+à Londres, pour
-vous écrirç ? — El le ne
+vous écrire ? — Elle ne
-si ce. n’est selle du
+si ce n’est celle du
-de poste;..car. même
+de poste... car, même
-LE SÈCREÏ, 323 AJ * l’est
+l’est
-tient encore.,,. Mais
+tient encore... Mais
-lit, coni tinua le
+lit, continua le
-de nagasin..,. C’est
+de magasin... C’est
-mes pays..un fameux
+mes pays... un fameux
-homme. * —
+homme. —
-votre nièce? demanda
+votre nièce ? demanda
-— Oh! certainement.... j’ai
+— Oh ! certainement... j’ai
-mon ’ service,
+mon service,
-l’oncle Joseph..., Je
+l’oncle Joseph... Je
-« BonJ jour, monsieur.
+« Bonjour, monsieur.
-vous • demander,
+vous demander,
-elle demeure.... Voilà,
+elle demeure... Voilà,
-crois, X quelque
+crois, quelque
-peu inventé.... Ah
+peu inventé... Ah
-complaisante. Je
+complaisante. « Je
-cette presse. J’estime
+cette adresse. J’estime
-à S, J., la rémettre le
+à S. J., la remettre le
-nièce ; vous le dit ) réclamer
+nièce vous le dit) réclamer
-initiale. j —
+initiale. —
-vaut mieux? dit
+vaut mieux ? dit
-Joseph, k secrètement
+Joseph, secrètement
-était, f sans
+était, sans
-plus ingénieuse.... Eh
+plus ingénieuse... Eh
-suis ^ heureux d’exécuter. a 1 | A ces
+suis heureux d’exécuter. » À ces
-de r: nouveau
+de nouveau
-parole. * Si
+parole. « Si
-la ramènerez -vous pas
+la ramènerez-vous pas
-à Truro? disait
+à Truro ? disait
-eu lieu? • —
+eu lieu ? —
-l’oncle Joseph, A vos deux | questions
+l’oncle Joseph. À vos deux questions
-: immédiatement, i
+: immédiatement.
-32k . LE SECRET. ~ Si
+— Si
-monsieur. Yoilà qui
+monsieur. Voilà qui
-Mais j’espèfe bien
+Mais j’espère bien
-soit j écoulée.
+soit écoulée.
-Oh I je
+Oh ! je
-manquez pas!... dit Rosamond.... Et
+manquez pas !... dit Rosamond... Et
-son cœur.... 2* Il
+son cœur... » Il
-que Rosamond’lui tendait.... <r Quand
+que Rosamond lui tendait... « Quand
-bénir et’vous tenir
+bénir et vous tenir
-retrouverons !» A ces
+retrouverons ! » À ces
-la j main
+la main
-aussitôt. ; Le
+aussitôt. « Le
-bon vieillard!... Quelle
+bon vieillard !... Quelle
-refermée. ; J’aurais
+refermée. J’aurais
-dire, Lenny!... Pourquoi donc 1 m’en
+dire, Lenny !... pourquoi donc m’en
-? ! —
+? —
-ne laissât, voir
+ne laissât voir
-avec • * elle,
+avec elle,
-que * t nous.mettrons à
+que nous mettrons à
-les meilleures, | , intentions du monde , pourrait
+les meilleures intentions du monde, pourrait
-tous | nos
+tous nos
-et | tout
+et tout
-ramener * à Truro., J • . 11
+ramener à Truro.
-S LE SECRET. 325 —
+—
-s’il échoue?... s’il
+s’il échoue ?... s’il
-quelque chose?... Si
+quelque chose ?... Si
-semaine, Rosamond— Il
+semaine, Rosamond... Il
-» chapitre IL Attente; espérance. i La
+» === CHAPITRE II. — Attente ; espérance. === La
-M. Buschmann , depuis
+M. Buschmann, depuis
-accueil trèshospitalier chez
+accueil très-hospitalier chez
-fâcheux augure,- pouvait
+fâcheux augure, pouvait
-il déclar fort
+il déclarait fort
-lieu i
+lieu de
-326 LË SECRET, la
+la
-nouvelles appré| hensions, et
+nouvelles appréhensions, et
-on k savait
+on la savait
-la tirer, La
+la tirer. La
-dont la \ vieillard
+dont le vieillard
-de • l’écriture
+de l’écriture
-connaître pciur telle,
+connaître pour telle,
-Frankland • s’épuisait
+Frankland s’épuisait
-raisonnements irréprochables; il
+raisonnements irréprochables ; il
-chercher. r Outre
+chercher. Outre
-du f.i ternie assigné,
+du terme assigné,
-ne ^ leur
+ne leur
-asseoir làdessus leur opinion? La
+asseoir là-dessus leur opinion ? La
-attendre £ pouvait
+attendre pouvait
-temps précieuxj alors
+temps précieux, alors
-une ^ journée
+une journée
-Si % elle
+Si elle
-qu’elle % eût
+qu’elle eût
-quelque ca* chette nouvelle,
+quelque cachette nouvelle,
-saurait com| ment la découvrir. p Bien
+saurait comment la découvrir. Bien
-irréfragable, • •{ r 1 1 *. s. !VV. •t .1-
+irréfragable,
-LE SECRET. 327 Léonard,
+Léonard,
-et d’inconvénients, inévitables
+et d’inconvénients inévitables
-sa dé* cision, sa
+sa décision, sa
-par écàïter, comme
+par écarter, comme
-leur voi, ture, restant
+leur voiture, restant
-de la, durée du voyage; là,.ils trouveraient
+de la durée du voyage ; là, ils trouveraient
-nécessaires pôur le
+nécessaires pour le
-mistress TreVertoh paraissait
+mistress Treverton paraissait
-autant qu ? il serait en Son pouvoir,
+autant qu’il serait en son pouvoir,
-West-Winston, à" la
+West-Winston, à la
-328 LE SEGRET femme,
+femme,
-poste voisi^ des
+poste voisin, des
-y .passer la
+y passer la
-et , sept
+et sept
-soir. • 1 . l Lorsqu’ils
+soir. Lorsqu’ils
-que possible; 7 Hait prévenu,
+que possible. Il était prévenu,
-Londres. î Le
+Londres. Le
-famille, ! M.
+famille, M.
-de mis: tress Frankland,
+de mistress Frankland,
-du r capitaine
+du capitaine
-maintenant, jj tant
+maintenant, tant
-à leur.hôtel, afin
+à leur hôtel, afin
-faire inopiné;; ment le
+faire inopinément le
-respectives, nar vux messager,
+respectives, par un messager,
-écrites. S Des
+écrites. Des
-fit k son
+fit son
-fut, commé de
+fut, comme de
-l’avoué Nixon; vieillard
+l’avoué Nixon ; vieillard
-qui | avait
+qui avait
-du capif taine. Il
+du capitaine. Il
-pour qu’elles’ pussent
+pour qu’elles pussent
-correspondance. J Quand
+correspondance. Quand
-•i• V; ,1 f* \ LE SECRET. 329 j avait de délier et
+avait de délicat et
-la lettr*, itff.vée dans
+la lettre trouvée dans
-la première.fois de
+la première fois de
-clients, M, Nixon,
+clients, M. Nixon,
-il *e trouva
+il se trouva
-un { seul
+un seul
-si l’au^ thenticité de
+si l’authenticité de
-et d’acceptér le
+et d’accepter le
-de probabilité- qu’une
+de probabilité qu’une
-mistress Treveftôn eût
+mistress Treverton eût
-humaine, ’ que
+humaine, que
-serait nécessai# rement trouvé, au moins une,, si
+serait nécessairement trouvé au moins une, si
-famille Treverton,... De
+famille Treverton... De
-appelle o: un
+appelle « un
-preuve ; » m’ais alors
+preuve » mais alors
-FY^ T I V ’i’-T -i’Jjjl 330 1 LE SECRET. que
+que
-profit cë qu’elle
+profit ce qu’elle
-remarquer, par. rapport
+remarquer, par rapport
-ami ; M.
+ami M.
-capitaine Trevërton, son
+capitaine Treverton, son
-client. ’ Après
+client. Après
-de l’homnie de
+de l’homme de
-en rieiL ses i impressions
+en rien ses impressions
-de là lettre,
+de la lettre,
-convictions relativeI ment aux
+convictions relativement aux
-attendrait, disait-il,le témoignage
+attendrait, disait-il, le témoignage
-mistress Jazeph; mais
+mistress Jazeph ; mais
-la fortuné dont
+la fortune dont
-immédiatement cette• fortune
+immédiatement cette fortune
-propriétaire, M.Andrew Treverton.
+propriétaire, M. Andrew Treverton.
-et qu’ai ne
+et qu’il ne
-influence $ pour
+influence pour
-les détermi- § nations de
+les déterminations de
-qu’il p venait
+qu’il venait
-de nou| velles objections,
+de nouvelles objections,
-exposé <jue lui
+exposé que lui
-questions .qu’il entendait adresser t.I
+questions qu’il entendait adresser à
-•/rr LÈ SECRET. 331 iH •( à mistress
+mistress
-remplies d’intérêt, au
+remplies d’intérêt au
-romanesque. <t Cependant,
+romanesque. « Cependant,
-monsieur Frânkland, et coihîne il
+monsieur Frankland, et comme il
-d’une fois; comme
+d’une fois ; comme
-enfants, devënus grands,
+enfants, devenus grands,
-pas eh vue
+pas en vue
-vous obr tinssiez de
+vous obtinssiez de
-nécessaire. x Le
+nécessaire. » Le
-adressée pàï feu
+adressée par feu
-mari, dépuis lors
+mari, depuis lors
-M. Frankland. qu’il
+M. Frankland qu’il
-faire confirme*, par lâ signature
+faire confirmer, par la signature
-que mIstrêss ïazeph serait
+que mistress Jazeph serait
-ce doct/ment, M.
+ce document, M.
-et comrûé sa
+et comme sa
-leva pouf prendre
+leva pour prendre
-nouvel incident; alors
+nouvel incident ; alors
-jurant, déplus, que
+jurant, de plus, que
-long eïeïcice, il
+long exercice, il
-encore rencontré un
+encore rencontré, un
-n’avait paru» A ce moments un bruit dé pas
+n’avait paru. À ce moment, un bruit de pas
-332 LË SECRET, fort
+fort
-et delà fatigue.
+et de la fatigue.
-si tard; mais
+si tard ; mais
-cœur. a Nous
+cœur. « Nous
-lui dit-èlle, que
+lui dit-elle, que
-son adresse; mais
+son adresse ; mais
-appris. Estelle comme vous redoutez de la trouver?... est-elle malade? 3> Le
+appris. Est-elle comme vous redoutiez de la trouver ?... est-elle malade ? » Le
-: e: Que
+: « Que
-ses lettres? répondit-il.
+ses lettres ? répondit-il.
-aucun bien, a Ces
+aucun bien. » Ces
-était venue; il
+était venue ; il
-lettres RT-
+lettres
-J,-V J i" V" iv f. LE * SECRET, 333 adressées
+adressées
-S. J.} poste
+S. J., poste
-charge, démander la
+charge, demander la
-une demicouronne. Il
+une demi-couronne. Il
-de <r mistress
+de « mistress
-fut ; Mistress
+fut : Mistress
-du Secret? La seconde ; Dans
+du Secret ? La seconde : Dans
-était survenu,’ajouta le
+était survenu, ajouta le
-Frankland comçae une
+Frankland comme une
-n’avait ï ifï , I
+n’avait
-**Lt. •• fj I t 334 LE SECRËÏ. pu
+pu
-sauf r que,
+sauf que,
-point | les
+point les
-nom [* qu’elle
+nom qu’elle
-personnes * tout h fait étrangères,alors qu’elle
+personnes tout à fait étrangères, alors qu’elle
-qui l? eussent bien
+qui l’eussent bien
-en re nouvelant ces
+en renouvelant ces
-à Truro,, à
+à Truro, à
-et isimple récit
+et simple récit
-sa / * * •. -s.
+sa
-•i-srj’ ’ -’••"• K V r> LÈ SECRET. voix,
+voix,
-: % Je
+: « Je
-à Porthgënnà? — Tout, répondit-il..•• Si
+à Porthgenna ? — Tout, répondit-il... Si
-de vous-même , Rosamond,
+de vous-même, Rosamond,
-de vous., en
+de vous, en
-doivent venir, a . H Après
+doivent venir. » Après
-M. Nixon, Pas
+M. Nixon. Pas
-vivacité naturelle; ses
+vivacité naturelle ; ses
-éclat accoutumé; à tin moment
+éclat accoutumé ; à un moment
-un enfant; l’instant
+un enfant ; l’instant
-permettre qu’illa conduisît
+permettre qu’il la conduisît
-sa mère, cr Dites
+sa mère. « Dites
-nuit. * Une
+nuit. » Une
-quitter. Songez
+quitter. « Songez
-et prenne son avis, a Rosamond
+et prendre son avis. » Rosamond
-son mdri, et,
+son mari, et,
-mettre sur-le-ph&mp en
+mettre sur-le-champ en
-ce rné~ decin. L’oncle Joseph déclaraun peu
+ce médecin. L’oncle Joseph déclara, un peu
-questions delà jeune
+questions de la jeune
-qu’il . connaissait
+qu’il connaissait
-du docteur^ et
+du docteur, et
-et demi: aussi
+et demi : aussi
-donna lafpermission, sonna^elle aussitôt
+donna la permission, sonna-t-elle aussitôt
-envoyer cherP i
+envoyer chercher
-1 tt 336 LE SEGRET. cher un
+un
-ordre donné , elle
+ordre donné, elle
-confus dë ce
+confus de ce
-mistress Frankland; ajoutant,
+mistress Frankland ; ajoutant,
-à cette.requête, sans
+à cette requête, sans
-l’avaient die-, tée; mais
+l’avaient dictée ; mais
-l’hôtel. c: Je
+l’hôtel. « Je
-rétablir. y> Après
+rétablir. » Après
-n’en p’as dire
+n’en pas dire
-quelque distance; mai ^ M.
+quelque distance ; mais M.
-une heure et
+une heure, et
-un jeun homme
+un jeune homme
-calmes ? et
+calmes et
-peut-être prématurément, refroidi, attristé k son
+peut-être prématurément refroidi, attristé son
-à a mistress James, * Rosamond
+à « mistress James, » Rosamond
-retrouver. | La
+retrouver. La
-paroles | polies,
+paroles polies,
-pour , è but
+pour but
-favorables prévi- i • sions qu’ils
+favorables prévisions qu’ils
-doute, ! sous
+doute, sous
-qu’il £ pouvait
+qu’il pouvait
-ne \ l’apprécieraient
+ne l’apprécieraient
-son siège dans
+son siége dans
-t I É i 4 1 LE SECRET. 337 vie
+vie
-toutes ? probabilités,
+toutes probabilités,
-traces palpables); il
+traces palpables) ; il
-époque où. une
+époque où une
-progrès / du
+progrès du
-du médecin, or Elle
+du médecin. « Elle
-la parole.... Ohl monsieur,
+la parole... Oh ! monsieur,
-monde préparée^ à
+monde préparée à
-ajouter ceci, —
+ajouter ceci. —
-être données? \ —
+être données ? —
-répondit < Léonard, L’une
+répondit Léonard. L’une
-ma femme, —
+ma femme. —
-meilleur intermédiaire.,..» Il
+meilleur intermédiaire... » Il
-ajouta ; . LE SECRET. 22
+ajouta : « Puis-je
-338 LE SJEGRET. <r Puisgô cependant
+cependant
-que lé bon
+que le bon
-me parler? ~ Je dois , bien
+me parler ? — Je dois, bien
-peut-être faut^il ajouter,
+peut-être faut-il ajouter,
-grande surprise; peut-être même croiraitr-elle avoir
+grande surprise ; peut-être même croirait-elle avoir
-alarmer. ’—Dans ces
+alarmer. — Dans ces
-aura-t-il Sur madame
+aura-t-il sur madame
-d’après cé que
+d’après ce que
-je pense i d’autre
+je pense, d’autre
-mari retinrent en
+mari revinrent en
-Joseph. , En
+Joseph. En
-d’entendre der la
+d’entendre de la
-une fok entrés,
+une fois entrés,
-tabouret, et; Poreille tout
+tabouret, et l’oreille tout
-à musique j placée
+à musique, placée
-aussitôt ; le Batti, Battiy de Mozart. * • c Yous m’excuserez,
+aussitôt : le Batti, Batti, de Mozart. « Vous m’excuserez,
-de mu® sique pour
+de musique pour
-son instrument.... De
+son instrument... De
-à Fécple de musique * /
+à l’école de musique à Vienne.
-t.< iy LE SECRET. 339 P à Tienne. Depuis
+Depuis
-nièce m J a laissé
+nièce m’a laissé
-Mozart, au.moyen de
+Mozart, au moyen de
-boîte. Â présent
+boîte. À présent
-la même-sonorité amicale.
+la même sonorité amicale.
-que Rosatnond y
+que Rosamond y
-à Porthgënnà pour
+à Porthgenna pour
-première fois..,. Je
+première fois... Je
-a dit, a Rosamond
+a dit. » Rosamond
-médecin. Puis* usant
+médecin. Puis, usant
-sur lâ façon
+sur la façon
-du Secret, Elle
+du Secret. Elle
-réellement pfoduites, mais
+réellement produites, mais
-se rencontrer Elle
+se rencontrer. Elle
-mit, pôtir ainsi
+mit, pour ainsi
-à së sôrvii^ choisissant
+à se servir, choisissant
-celles qiii demandaient
+celles qui demandaient
-jamais dé vue un séûl instant
+jamais de vue un seul instant
-du S’ecïët n’avait étèilléj danè le coeur d’aucune
+du Secret n’avait éveillé, dans le cœur d’aucune
-destinée, ét qui
+destinée, et qui
-avec tânt de zèlè, tin Seul sentiment
+avec tant de zèle, un seul sentiment
-de rancune, I/ônclô Jôâéph écdilta Jûêqu’ati bout* avec
+de rancune. L’oncle Joseph écouta jusqu’au bout, avec
-plus soutenue^ totit ce què Rttàaffiond avait
+plus soutenue, tout ce que Rosamond avait
-son siège, contempla lôngueniént son
+son siége, contempla longuement son
-une ëipr&ssiôn d’inquiétude
+une expression d’inquiétude
-tout dé suite,
+tout de suite,
-perspicacité. * Gbmmënt ùôtis bien a&BUïer, avant
+perspicacité. « Comment nous bien assurer, avant
-n’oublierai tien ? lùi demândâ^t-ii d’tin ton
+n’oublierai rien ? lui demanda-t-il d’un ton
-pas gïànde invention,
+pas grande invention,
-est Vfai: mais
+est vrai : mais
-en inoi Çhë ne
+en moi que je ne
-340 LE SEGRET. Sarah
+Sarah
-en jeu.... Prêtez-moi
+en jeu... Prêtez-moi
-s’il TOUS plaît, 1 et
+s’il vous plaît, et
-que TOUS m’avez dit. * Debout
+que vous m’avez dit. » Debout
-presque merveilleuses, ot Eh
+presque merveilleuses. « Eh
-arrivé au,bout, ai-je
+arrivé au bout, ai-je
-dans ta tête
+dans la tête
-de Sarah? a il fallut
+de Sarah ? » Il fallut
-encore, cependant: car
+encore, cependant : car
-à prendre , et
+à prendre, et
-ne l’entraînai^ rien
+ne l’entraînait à rien
-en user: Lorsque
+en user : « Lorsque
-ainsi), passezlui ce
+ainsi), passez-lui ce
-le lire- Qu’elle ; veuille bu non
+le lire. Qu’elle veuille ou non
-demandera : comment
+demandera comment
-mot <rreçu, a de manière.à ce
+mot « reçu, » de manière à ce
-puisse penserau premier
+puisse penser, au premier
-révéler T
+révéler
-K-4 * It ^ i ^ *^ "J, t 1 h’ LE REGRET. 341 la
+la
-du Secret^ dites-lui
+du Secret, dites-lui
-à Londres.... —
+à Londres... —
-» , ; Ce
+» Ce
-revenir, avànt*la fin
+revenir, avant la fin
-inquiétudes dp mistress Eranklàhd, il
+inquiétudes de mistress Frankland, il
-homme l Et
+homme ! Et
-tumulte T de la rue! La
+tumulte de la rue ! La
-d’espérance. CHAPITRE III. L’histoire
+d’espérance. === CHAPITRE III. — L’histoire
-passé. L’après-midi
+passé. === L’après-midi
-plus carier de
+plus parler de
-s’endormait Uas et
+s’endormait pas et
-agité. £près l’avoir
+agité. Après l’avoir
-ses caresse©, la à jeune
+ses caresses, la jeune
-un dè ces bons ^mouvements qui
+un de ces bons mouvements qui
-de (ses subordonnés,
+de ses subordonnés,
-nourrice dé descendre,
+nourrice de descendre,
-soins assidus, a Je
+soins assidus. « Je
-à mo sentir
+à me sentir
-dit-elle
+dit-elle à
-{ 342 LË SECRET. • i à son
+son
-l’eut rejoint; aussi
+l’eut rejoint ; aussi
-de l’embarras; et,
+de l’embarras ; et,
-porter ses. pas
+porter ses pas
-pour Rosamondj l’heure
+pour Rosamond, l’heure
-se | sentait
+se sentait
-pensées % intimes,
+pensées intimes,
-extérieures parle bruit
+extérieures par le bruit
-en ? s’ouvrant.
+en s’ouvrant.
-endormi | sur
+endormi sur
-tout & ouverte,
+tout ouverte,
-de ;§ M. Erankland, il
+de M. Frankland, il
-lui. Gomme il se rap£ prochait de
+lui. Comme il se rapprochait de
-Rosamond remar^ qua que
+Rosamond remarqua que
-vieilli fc pendant
+vieilli pendant
-départ. | Il
+départ. Il
-d’elle, ét, toujours
+d’elle, et, toujours
-doigt | au
+doigt au
-la ^ jeune
+la jeune
-ses } traits,
+ses traits,
-parole. <r Lui
+parole. « Lui
-tout dit? »
+tout dit ? »
-papier. H -CI f* ït
+papier.
-LE SECRET. 343 c En
+« En
-Voyez 1... le
+Voyez !... le
-en blanc..,. Et
+en blanc... Et
-papier i la
+papier : la
-: K S. Jazepb, JD et
+: « S. Jazeph, » et
-avait éprit, par
+avait écrit, par
-: «c Autrefois,
+: « Autrefois,
-Leeson. a Pourquoi
+Leeson. » « Pourquoi
-parlez-vous pas? s’écria
+parlez-vous pas ? s’écria
-cette épreuve? —Ah! ne
+cette épreuve ? — Ah ! ne
-demandez pasl... Ne
+demandez pas !... Ne
-! repritr-il, se
+! reprit-il, se
-rien oublié.,.. Les
+rien oublié... Les
-ai dites.... Ma
+ai dites... Ma
-la première,.,. Par
+la première... Par
-pas là-dessus.... Contentez-vous,
+pas là-dessus... Contentez-vous,
-est mieux.... plus tranquille maintenant.... et
+est mieux... plus tranquille maintenant... et
-reviendra plus.,.,. Le biçn, au
+reviendra plus... Le bien, au
-à venir.... Si
+à venir... Si
-j’ai vu.... si
+j’ai vu... si
-ses paroles.... si
+ses paroles... si
-et m’étoufferont..,. Il
+et m’étoufferont... Il
-ma tête.... Il
+ma tête... Il
-restent secs..*. Sans
+restent secs... Sans
-de m’endormir?... ) II s’arrêta,
+de m’endormir ?... » Il s’arrêta,
-un pçtit mouchoir
+un petit mouchoir
-blanc égalait ses
+blanc étalait ses
-heureuse, repriVUj regardant
+heureuse, reprit-il, regardant
-avec l’ao* cent d’un
+avec l’accent d’un
-à retrouver.... Et
+à retrouver... Et
-suis Allemand.... Tous
+suis Allemand... Tous
-sont philosophes..., .D’où vient
+sont philosophes... D’où vient
-tête faible.... et
+tête faible... et
-cœur aussi.... comme
+cœur aussi... comme
-dort sur
+dort là sur
-? —Restons-en làU. Ne
+? — Restons-en là !... Ne
-d’avoir * ? A i
+d’avoir
-3W LE SECRET, recouvré
+recouvré
-sont calmées..,. Je
+sont calmées... Je
-de questions.,., c’est-à-dire,
+de questions... c’est-à-dire,
-vif intérêt; maintenant,
+vif intérêt ; maintenant,
-plus. c La
+plus. « La
-mon message..,, si
+mon message... si
-la voir.... si
+la voir... si
-en effet.... plus
+en effet... plus
-dire. * Jusqu’alors
+dire. » Jusqu’alors
-s’asseyant, et se
+s’asseyant, et, se
-minute d’après.- A ce
+minute d’après. À ce
-cette position , qui
+cette position, qui
-de jes auditeurs,
+de ses auditeurs,
-récit. et Lorsque
+récit. « Lorsque
-à Rosamond.,.. quand
+à Rosamond... quand
-de parler.... ma
+de parler... ma
-: <r Son
+: « Son
-était-il présent? me
+était-il présent ? me
-en colère?... bien en colère?... Est-ce
+en colère ?... bien en colère ?... Est-ce
-pour moi?—Non, lui
+pour moi ? — Non, lui
-son visage.. Rien de semblable,- rien
+son visage. Rien de semblable, rien
-craignez. —Et, reprit-elle,
+craignez. — Et, reprit-elle,
-mauvais sentiment? De
+mauvais sentiment ? De
-les unisA
+les unissent
-s V" iTÏ. tr" •t î’f LE SECRET. 345 sent’ si
+si
-rien effacé?... * Et
+rien effacé ?... » Et
-: a Non
+: « Non
-rien d’effacé,... Tenez,
+rien d’effacé... Tenez,
-le voulez , je
+le voulez, je
-la bonnëpetite dame
+la bonne petite dame
-bon mari.... »
+bon mari... »
-sur safigureune expression,, „ qu’est-ce
+sur sa figure une expression... qu’est-ce
-expression ?.,. une
+expression ?... une
-redevenu sombre,... il
+redevenu sombre... il
-vois îa main
+vois la main
-drap. <r Eh bien! c’est
+drap. « Eh bien ! c’est
-n’est-ce pas? je
+n’est-ce pas ? je
-vais Chercher la
+vais chercher la
-petite dame?)»Ainsi parlé-je,
+petite dame ? » Ainsi parlé-je,
-: «Non , non,
+: « Non, non,
-qu’elle sache.,.. * Et
+qu’elle sache... » Et
-encore, Voilà la
+encore, voilà la
-le drap,,.. Alors,
+le drap... Alors,
-bien doucement: <r Qu’elle sache quoi? * lui
+bien doucement : « Qu’elle sache quoi ? » lui
-: <rGe que
+: « Ce que
-de honte.—Alors, mon
+de honte. — Alors, mon
-se taire?... »
+se taire ?... »
-fasse, dit-elle; il
+fasse, dit-elle ; il
-si longtemps,,.. Sans
+si longtemps... Sans
-fois satisfaite?,., a Puis
+fois satisfaite ?... » Puis
-dire moi-même?.., »
+dire moi-même ?... »
-: <r Chut! lui
+: « Chut ! lui
-le donI ner. Racontez
+le donner. Racontez
-comme nn i père,.,, racontez
+comme un père... racontez
-dans } vos bras; dont votre main,- jadis,
+dans vos bras ; dont votre main, jadis,
-les larmes.,,, racontez
+les larmes... racontez
-le risque , c’est
+le risque, c’est
-(s’il | y
+(s’il y
-parle ï que
+parle que
-venir j en
+venir en
-mauvaises intentions,.., j’irai * trouver
+mauvaises intentions... j’irai trouver
-ses pieds , fardeau
+ses pieds, fardeau
-se dé: ’ tournera pas
+se détournera pas
-moi i » • -
+moi ! »
-N S LÈ SECRET. Il
+Il
-La tôte de
+La tête de
-au-dessus .de son
+au-dessus de son
-reconnaissance. Oh! continuez, continuez 1... lui dit-elle; et
+reconnaissance. « Oh ! continuez, continuez !... lui dit-elle ; et
-le pais à
+le sais à
-quelques instants,... Elle
+quelques instants... Elle
-instants aussi.,., puis
+instants aussi... puis
-j’étais asgis à son chevet*... Et
+j’étais assis à son chevet... Et
-son juge!dit Rosamond.
+son juge !... dit Rosamond.
-jamais ! Je
+jamais !... Je
-parole. Cette
+parole. — Cette
-Avant <j£ ^’en prescrire d’autres, attendez!.*, attendez
+Avant de m’en prescrire d’autres, attendez !... attendez
-connu. * Il
+connu. » Il
-son siège de oglui de
+son siége de celui de
-classer , ... M h f ses
+classer ses
-il reprit; ’ . <r Je
+il reprit : « Je
-une actrice», une
+une actrice, une
-de théâtre; une
+de théâtre ; une
-et très-J?elle, animée, courageuse , volontaire
+et très-belle, animée, courageuse, volontaire
-pas souvent; une
+pas souvent : une
-dire ; z Je
+dire : « Je
-I LE SEGRE1?. 34? f dame,
+dame,
-et jolie , et
+et jolie, et
-qui > sont
+qui sont
-sa timil dité souffrante,
+sa timidité souffrante,
-courage, dè volonté,
+courage, de volonté,
-même. s J —Parfaitement vrai,
+même. — Parfaitement vrai,
-ce ^ monde,
+ce monde,
-mistress j Treverton
+mistress Treverton
-d’autre £ lectrice
+d’autre lectrice
-pour l l’habiller
+pour l’habiller
-étaient ]• seules,
+étaient seules,
-pluvieuses, ’ leur
+pluvieuses, leur
-deux sœurs,... Et
+deux sœurs... Et
-amusait f le
+amusait le
-quand misî tress Treverton,
+quand mistress Treverton,
-joues coul vertes de
+joues couvertes de
-elle ? faisait
+elle faisait
-elle étont nait, plus
+elle étonnait, plus
-ces masca\ rades capricieuses , plus
+ces mascarades capricieuses, plus
-les Vit mener cette ir existence
+les vit mener cette existence
-toujours ajournée; la
+toujours ajournée ; la
-et grassouillette’, et
+et grassouillette, et
-petits bras; > Ici,
+petits bras. » Ici,
-1 348 LE SEGRET. par
+par
-: La
+: « La
-maîtresse changer, Le
+maîtresse changer. Le
-les enfants.... il
+les enfants... il
-mille cadeaux.... et
+mille cadeaux... et
-dit rien.... Elle
+dit rien... Elle
-tantôt trèspâle,... Elle
+tantôt très-pâle... Elle
-pour elle; elle
+pour elle ; elle
-bien fait.... Puis,
+bien fait... Puis,
-humeur ; «
+humeur : «
-n’ai-je pas , moi
+n’ai-je pas, moi
-puisse aimer? Pourquoi
+puisse aimer ? Pourquoi
-qui m’appartient.... elles
+qui m’appartient... elles
-mères C’est
+mères !... » C’est
-fort peu: aussi
+fort peu : aussi
-fait grands..Vous trouvez,
+fait grands... Vous trouvez,
-avait tort? »
+avait tort ? »
-: oc Je
+: « Je
-» Et,’là-dessus, elle
+» Et, là-dessus, elle
-assoupi. <t Eh
+assoupi. « Eh
-l’oncle Joseph,... Eort à
+l’oncle Joseph... Fort à
-le mot.... Et
+le mot... Et
-plaindre encore; quelques
+plaindre encore, quelques
-bon capitaine , un
+bon capitaine, un
-: a Je
+: « Je
-rouille ici.... La
+rouille ici... La
-me vieillit,... il
+me vieillit... il
-un commandement;...» Il
+un commandement... » Il
-en effet; on
+en effet ; on
-ses croisières.... après
+ses croisières... après
-c’est vrai,,., ^is le voilà parti J2t quand
+c’est vrai... mais le voilà parti. Et quand
-trouver eu naufc la
+trouver en haut la
-qui *
+qui
-r F"i Vc FLE SECRET. 349 j lui
+lui
-elle là lui
+elle la lui
-mes jours.... Je
+mes jours... Je
-mon mari; jamais
+mon mari ; jamais
-un enfant..,, D Puis
+un enfant... » Puis
-: <c Oui,
+: « Oui,
-taille, certainement!... Eh bien!je me
+taille, certainement !... Eh bien ! je me
-devenir mère..., <r Làdessus, elle
+devenir mère... » Là-dessus, elle
-: c Faute
+: « Faute
-mes mains , c’est
+mes mains, c’est
-du capitaine.... »
+du capitaine... »
-: <rÀh! je
+: « Ah ! je
-vois bien.... Il
+vois bien... Il
-plus m’aimer..,. Je
+plus m’aimer... Je
-suis sûre!... a Rien
+suis sûre !... » Rien
-mois passent; et
+mois passent ; et
-la dame; si
+la dame ; si
-sur * le
+sur « le
-aux vaches; »
+aux vaches ; »
-du monde, % Ici,
+du monde. » Ici,
-: Il
+: « Il
-nièce Sarah, Nous
+nièce Sarah. Nous
-sa mère,. dans
+sa mère, dans
-comme elle , lui.
+comme elle, lui.
-se fît justement
+se fit justement
-sa pre-
+sa premiè
-; 350 1 LE SECRET. mière croisière > commençait
+re croisière, commençait
-objecter ëontre là prômessë dè mariage^ pùisquè le
+objecter contre la promesse de mariage, puisque le
-Polwheal g&gnaitgrôs ét jouissait
+Polwheal gagnait gros et jouissait
-La damé disait
+La dame disait
-qu’elle ïegrètteïàit beaucoup Sàrâh, iùais beaucoup..,. Et
+qu’elle regretterait beaucoup Sarah, mais beaucoup... Et
-leur séparation.... Les
+leur séparation... Les
-passaient âifisi, et
+passaient ainsi, et
-s’aperçoit qûe Sàrah s’inquiète,
+s’aperçoit que Sarah s’inquiète,
-la même.... et
+la même... et
-cachette, îôde autour
+cachette, rôde autour
-maison, «c Oui-dâ ! se ditelle, ferais-je, par hâsârd, attendre,
+maison, « Oui-da ! se dit-elle, ferais-je, par hasard, attendre,
-que dë raison,
+que de raison,
-bons jéùnes gens?... J’aime
+bons jeunes gens ?... J’aime
-plus longtemps.... »
+plus longtemps... »
-les fait-èlle comparaître, un soir; elle
+les fait-elle comparaître, un soir ; elle
-quelques bonhés paroles, et Charge le
+quelques bonnes paroles, et charge le
-lendemain inâtin. Or, cette nuit*là même, c’était lé tour du jeûné homme
+lendemain matin. Or, cette nuit-là même, c’était le tour du jeune homme
-Le coeur joyeux
+Le cœur joyeux
-trou noir; et^ quand
+trou noir ; et, quand
-sort polir reparaître
+sort pour reparaître
-jour, cè n’était plus qû’uh cadavre;..* Un cadavre , dont
+jour, ce n’était plus qu’un cadavre... Un cadavre, dont
-quartier dé roc,
+quartier de roc,
-à l’imprdvistë , avait chassé là vie
+à l’improviste, avait chassé la vie
-nouvelle së répand
+nouvelle se répand
-à gauche,*.; Sans préparation, èans ménagements, elle arrivé, tout
+à gauche... Sans préparation, sans ménagements, elle arrive, tout
-ma pàuvte nièce* La veille âu soir,
+ma pauvre nièce. La veille au soir,
-dit adiéu à
+dit adieu à
-c’était unë jeune
+c’était une jeune
-jolie fillé. Six Semaines après v quand
+jolie fille. Six semaines après, quand
-fatal événëfnent, cë coup de mâssue, toute
+fatal événement, ce coup de massue, toute
-était partië j sës cheveux àvàiënt blanchi; et,
+était partie, ses cheveux avaient blanchi ; et,
-jamais sorti, a Ces simpleis paroles
+jamais sorti. » Ces simples paroles
-effrayantes. Rosambnd frémit
+effrayantes. Rosamond frémit
-son tiiari. <r Oh 1 Lenny,
+son mari. « Oh ! Lenny,
-vous sàYoir aveuglé.... mais auprès Qëlle-ci, qu’est-ce donc? —Ayez pitié d’ellél... reprit le vieillard.... Ayez pxtïê d’elle
+vous savoir aveugle... mais auprès de celle-ci, qu’est-ce donc ? — Ayez pitié d’elle !... reprit le vieillard... Ayez pitié d’elle
-tout te qu’ëlle souffrit alors. Ayefc pitié
+tout ce qu’elle souffrit alors. Ayez pitié
-vint après , et qui fût pire
+vint après, et qui fut pire
-semaines s’éboulent après là mort
+semaines s’écoulent après la mort
-jeune mineur, Sarah
+jeune mineur. Sarah
-bien davantage; Sa inaîtrësse, affectueuse et bofine pour elle ëomiûë uhe sœur
+bien davantage. Sa maîtresse, affectueuse et bonne pour elle comme une sœur
-pu l’êtret peu
+pu l’être, découvre peu
-LË SECRET, 851 sur
+sur
-visage, âutfë chose.que l’expression de lâ Souffrance, delà terreur , des
+visage, autre chose que l’expression de la souffrance, de la terreur, des
-de nouveau4 jusqu’à
+de nouveau, jusqu’à
-fait tïembler, qui
+fait trembler, qui
-de Sarah * et
+de Sarah, et
-cœur trepiblant. «
+cœur tremblant. «
-vous què le
+vous que le
-lui dit-elle. Et
+lui dit-elle... » Et
-et sévère.... <r Le mineur, continue-t-ellè.... Je
+et sévère... « Le mineur, continue-t-elle... Je
-du mineur.... Saràh! vous
+du mineur... Sarah ! vous
-moi ufle âmié plutôt qu’une maîtresse.... C’est
+moi une amie plutôt qu’une maîtresse... C’est
-d’amie qtie jé vous
+d’amie que je vous
-la vérité,... > La
+la vérité... » La
-seulement polir s’é^ chapper; mais
+seulement pour s’échapper ; mais
-maîtresse lâ tient
+maîtresse la tient
-étroitement quë jamais,
+étroitement que jamais,
-entre Vous et PolwheaL.,, Je
+entre vous et Polwheal... Je
-on à pu
+on a pu
-la sienne.... Je
+la sienne... Je
-aller demander* à
+aller demander à
-vos baûs fussent publiés^,,. Gardez
+vos bans fussent publiés... Gardez
-monde h.* Ne
+monde !... Ne
-pour moi! Dites-moi,
+pour moi ! Dites-moi,
-la vérité!... Parmi
+la vérité !... Parmi
-a tues se
+a vues se
-donc aussi?.., a Avant
+donc aussi ?... » Avant
-soit achevée* Sarah
+soit achevée, Sarah
-qu’on lâ laisse s’aller caoher et
+qu’on la laisse s’aller cacher et
-veut fuir.,.. On
+veut fuir... On
-parler d’elles*..^ Elle n’â pas
+parler d’elle... Elle n’a pas
-à faire.... G’éMtbien assez
+à faire... C’était bien assez
-la vérité,... Et
+la vérité... Et
-assez, enCOté aujourd’hui.» Un
+assez, encore aujourd’hui. » Un
-ici dé la poitriïie du
+ici de la poitrine du
-dernières pâroleà ;
+dernières paroles ;
-presque absolu; était
+presque absolu, était
-sa sxère. Ce
+sa mère. « Ce
-l’unique réponse,- ét, pendant
+l’unique réponse, et, pendant
-seul mot..,. Mais
+seul mot... Mais
-regarde ainsi; plus elle dévient pâle,
+regarde ainsi, plus elle devient pâle,
-à se& ioues, prompt comme l’éclair, t Non* âit^elle à
+à ses joues, prompt comme l’éclair. « Non, dit-elle à
-bien r.
+bien
-! 352 LË SECRET, basse
+basse
-la porte , votre
+la porte, votre
-votre amie,.,. Ne
+votre amie... Ne
-cette maison; prenez
+cette maison ; prenez
-rien trahir; agissez
+rien trahir ; agissez
-mes ordres,, et fiezvous à
+mes ordres, et fiez-vous à
-le reste;... a Pais elle
+le reste... » Puis elle
-à vois haute : * Les chevaux.... Je
+à voix haute : « Les chevaux... Je
-sortir Puis
+sortir !... » Puis
-: «Mon amazone! Allons donc,.poule mouillée,
+: « Mon amazone ! Allons donc, poule mouillée,
-de courage!... Sur
+de courage !... Sur
-de là.... Mon
+de là... Mon
-vous dis-jet... J’ai
+vous dis-je !... J’ai
-!... a Et
+!... » Et
-: c Gardez
+: « Gardez
-le reste!...» Le
+le reste !... » Le
-très-pâle, très-calmfe, et
+très-pâle, très-calme, et
-Sarah Î C De
+Sarah : « De
-parler encore; jusque-là,
+parler encore ; jusque-là,
-vérité I... * Le
+vérité !... » Le
-relater. or Ah
+relater. « Ah
-délit d’oubli.,.. Je
+délit d’oubli... Je
-à Sarah.... mais
+à Sarah... mais
-cette cartè les
+cette carte les
-I LE SECRET. 353 ; de
+de
-lui dit: «
+lui dit : «
-sur lequel-il y
+sur lequel il y
-que conb tient ce
+que contient ce
-à vous.... »
+à vous... »
-un car- ’ ton, lequel
+un carton, lequel
-dentelles noires; ensuite
+dentelles noires ; ensuite
-une robe..,, puis
+une robe... puis
-linge, de* j étoffes
+linge, des étoffes
-première qualité, Arrangez-vous
+première qualité. « Arrangez-vous
-la maîtresse, j Nos
+la maîtresse. Nos
-à moi.... J» Sarah,
+à moi... » Sarah,
-ceci, demande: « A quoi ; bon?... »
+ceci, demande : « À quoi bon ?... »
-: «Pas de questions! Rappelez : vous ce
+: « Pas de questions ! Rappelez-vous ce
-votre secret. Fiez-vous à r moi
+votre secret, fiez-vous à moi
-reste l... »
+reste !... »
-Sarah traV vailler. Que
+Sarah travailler. Que
-médecin, \ qui
+médecin, qui
-qu’elle a.... Elle
+qu’elle a... Elle
-à Taise, réî ; pond-elle.... Sa
+à l’aise, répond-elle... Sa
-qu’elle était.... C’est l’air i humide
+qu’elle était... C’est l’air humide
-l’affaiblit * ainsi.
+l’affaiblit ainsi.
-passent. Le> docteur
+passent. Le docteur
-et, ï guoi qu’il
+et, quoi qu’il
-deux réI ponses. Tout
+deux réponses. Tout
-: } « A l’autre panier, maintenant! dit
+: « À l’autre panier, maintenant ! dit
-est de* v dans m’appartient....> Dedans,
+est dedans m’appartient... » Dedans,
-dans r ce
+dans ce
-noir très-commun.*., puis un i gros
+noir très-commun... puis un gros
-étoffe v noire
+étoffe noire
-bas prix; du
+bas prix ; du
-de des; sous, de
+de dessous, de
-« Arran; gez pour
+« Arrangez pour
-pas ; de questions! Vous
+pas de questions ! Vous
-toujours obéi continuez à f m’obéir,
+toujours obéi... continuez à m’obéir,
-perdue La
+perdue !... » La
-une f fois
+une fois
-pour \ elle,
+pour elle,
-mal " à
+mal à
-: <r Ne
+: « Ne
-de serr vice, bien
+de service, bien
-l’air honnête?... dit-elle. Mais quoxl j’ai
+l’air honnête ?... dit-elle. Mais quoi ! j’ai
-de théâtre.... J ; Puis
+de théâtre... » Puis
-le ; mettre
+le mettre
-Le docteur* dit-elle,
+Le docteur, dit-elle,
-trop humide.... l’air
+trop humide... l’air
-me retrempe,...» Voilà
+me retrempe... » Voilà
-dit, LE SEGBETI 23
+dit, emplissant la chambre
-â54 ÎLE SECRET. enipliâsant là ichàmbfre de son rifrë saitionique. Sâtfàh, dépendant, qui cômmëiicê à
+de son rire sardonique. Sarah, cependant, qui commence à
-quelques ïnéiius objets
+quelques menus objets
-et, ehtrë autres, une bfôchë sur
+et, entre autres, une broche sur
-peint lé portrait du capitaine.... Sa fùàîtresâë le voit.u; ëllé pâlit;.;. ëlle se
+peint le portrait du capitaine... Sa maîtresse le voit... elle pâlit... elle se
-trembler dë tout
+trembler de tout
-elle Saisit la broôhë et l’entérine dans
+elle saisit la broche et l’enferme dans
-la hâte^ domine ëi la vtië de ce pdttfâit lui àvàit fait pëur. t Ndus n’emportons pàs ceci, dit-éllë, et, tôurhant sur
+la hâte, comme si la vue de ce portrait lui avait fait peur. « Nous n’emportons pas ceci, dit-elle, et, tournant sur
-la chambre...- Ne dévinez-vous pas
+la chambre... Ne devinez-vous pas
-quel projetniistréds Treverton S’était mis en téte?i Il
+quel projet mistress Treverton s’était mis en tête ? » Il
-d’abord eettë question à Rôsâinôfid, et
+d’abord cette question à Rosamond, et
-la répéta* tourné tërs Léonard.
+la répéta, tourné vers Léonard.
-de éoiïtinuë*. c Ah!,., vous devinez? rëprit41. Èh biëh! vous étés pltiB pénétrants
+de continuer. « Ah !... vous devinez ? reprit-il. Eh bien ! vous êtes plus pénétrants
-d’abord ëlle fie comprit
+d’abord elle ne comprit
-toutes cés manoéuvtes;... Sa péinë d’Une part,
+toutes ces manœuvres... Sa peine d’une part,
-étrangetés dë sa
+étrangetés de sa
-sans dôutë m peu
+sans doute un peu
-son intelligence^ Après
+son intelligence. Après
-sans réflexion^ tout Ce que
+sans réflexion, tout ce que
-commandait madâïné ;
+commandait madame ;
-partirent ehsëmblè de Porthgehnai Pas Un mdt échangé
+partirent ensemble de Porthgenna. Pas un mot échangé
-jusqu’à là fin
+jusqu’à la fin
-voyage, aldrs qiî’elle&;së sont
+voyage, alors qu’elles se sont
-dans ùïïe aUbeïge, dû elles sont parfaitemëtt iilcotiùuës, entourées
+dans une auberge, où elles sont parfaitement inconnues, entourées
-visages étraflgëfs; La
+visages étrangers. La
-se décidé à pàïler i i t)ëmain, SaraH, vous
+se décide à parler : « Demain, Sarah, vous
-le bëaU lingé et là belle f obe. Gardez
+le beau linge et la belle robe. Gardez
-le Chapeau Êôrnnsun et lë gros
+le chapeau commun et le gros
-nous soyoïis remontées en Voiture Je
+nous soyons remontées en voiture. Je
-le groà linge ét la robe cofiamunei mais je gârderai le beàu châle
+le gros linge et la robe commune, mais je garderai le beau châle
-le châ* peau élégant* Les gete de l’aUbetge, ainài, quand
+le chapeau élégant. Les gens de l’auberge, ainsi, quand
-eux, ën allant jusqu’à là vôitttté, në s’apercëvrôtit d’auctinë métamorphosé. Unë fois ërï rëute, riëû de
+eux, en allant jusqu’à la voiture, ne s’apercevront d’aucune métamorphose. Une fois en route, rien de
-et hos chàpëaUx. Et
+et nos chapeaux. Et
-tour eét fait.
+tour est fait.
-êtes là dâmë mariée j misfress Treverton,
+êtes la dame mariée, mistress Treverton,
-je deviens* moi,
+je deviens, moi,
-femme dë chambré, Satah Leôson.... a À cés mots une lUëur âe fait
+femme de chambre, Sarah Leeson... » À ces mots une lueur se fait
-la pénsée de
+la pensée de
-à tfëmblèr ;
+à trembler ;
-qu’elle trolivë à dirë se
+qu’elle trouve à dire se
-: <* Oh
+: « Oh
-que prétendes-vous faire ? —* Je
+que prétendez-vous faire ? — Je
-la ’maîtresse, je
+la maîtresse, je
-vous sauter, vous, toa fidèle
+vous sauver, vous, ma fidèle
-du déshoniteUr et
+du déshonneur et
-la ruiné; jë prétends émpêchër que là fôrfcUfiè eiitiètfè dti câpitainë fie passe
+la ruine ; je prétends empêcher que la fortune entière du capitaine ne passe
-mains dec$ misérable
+mains de ce misérable
-me calomfaier ;
+me calomnier ;
-et surtout* V
+et surtout,
-I LE SECRET. 86b je
+je
-de mè quitter
+de me quitter
-lui plus* que
+lui plus que
-m’a aiiûée. Fâut-il vous
+m’a aimée. Faut-il vous
-dire davantage j à vous; pauvre
+dire davantage, à vous, pauvre
-effrayée, mâlheûrèusè, sans
+effrayée, malheureuse, sans
-que là miénné?.,. Ou
+que la mienne ?... Ou
-cela r suffit-il?.,, j Pourtoute réponse,
+cela suffit-il ?... » Pour toute réponse,
-et ûn Non
+et un « Non
-faiblement prononcé, c Voyons
+faiblement prononcé. « Voyons
-la maîtresse j qui : la
+la maîtresse, qui la
-le bïas et là regarde
+le bras et la regarde
-face àvec des yeux terribles; Que
+face avec des yeux terribles. Que
-mieux polir vous? ou de réntrër dans
+mieux pour vous ? ou de rentrer dans
-monde, abandonnée; flétrie,
+monde, abandonnée, flétrie,
-la hontéj et
+la honte, et
-votre ahiie? Faible, ih\ décise créature,
+votre amie ? Faible, indécise créature,
-ne savèz pas choisir?;.. Eh bienl moi,
+ne savez pas choisir ?... Eh bien ! moi,
-choisirai pcJùr vous.
+choisirai pour vous.
-volonté sé feta. Ï Demain
+volonté se fera. Demain
-jour d’apïès, nous irons* toujours
+jour d’après, nous irons, toujours
-remontant ! vêts le
+remontant vers le
-où nion imbécile
+où mon imbécile
-trouverai l’âir qui doit mè retremper
+trouverai l’air qui doit me retremper
-le f Nord,
+le Nord,
-personne he nié connaît ét n’a
+personne ne me connaît et n’a
-ma : maîtresse, êtes danè uh état dè santé
+ma maîtresse, êtes dans un état de santé
-précaire. Aiicun t étranger
+précaire. Aucun étranger
-de vous^ si
+de vous, si
-le mo| ment venu de leé àppelér, le
+le moment venu de les appeler, le
-les \ prendrai^ je l’ignore encore; mais dë que je sais,’ c’est que i. l’un
+les prendrai, je l’ignore encore ; mais ce que je sais, c’est que l’un
-moindre : soupçbn de
+moindre soupçon de
-il s’âgit; et
+il s’agit ; et
-c’est V qu’une fois révenues daûs lé Cornduailles^ notre Secret, rësté t entre
+c’est qu’une fois revenues dans le Cornouailles, notre secret, resté entre
-que, $ jusqu’à
+que, jusqu’à
-monde, cé sera
+monde, ce sera
-secret comtme ceux que > garde la tombe.... »
+secret comme ceux que garde la tombe... »
-un ; toit
+un toit
-vouloir qtti est en-elle* à
+vouloir qui est en elle, à
-de plutf, pénétrée de honte,< dépourvue
+de plus, pénétrée de honte, dépourvue
-Est-il r besoin
+Est-il besoin
-dire cothment ce
+dire comment ce
-se terminai î Gètte nuit-là j’ • l ïûême, Sarah plia- l’épaule
+se termina ? Cette nuit-là même, Sarah plia l’épaule
-qui, ; depuis
+qui, depuis
-est • allé
+est allé
-en année; —
+en année. —
-Où s’arrêtèrenlrelles ? En An; gleterre ? en Êcosse ?
+Où s’arrêtèrent-elles ? En Angleterre ? en Écosse ?
-l’oncle Joseph, Mais
+l’oncle Joseph. Mais
-de a, ville
+de la ville
-langue d’étranger.... C’étàit unè petite ; ville
+langue d’étranger... C’était une petite ville
-du vôtre,... là,
+du vôtre... là,
-la gardé. ; Et
+la garde. Et
-m LESEGRET. en
+en
-la > maison
+la maison
-pas mortsils croient
+pas morts, ils croient
-de Sarah, Seulement
+de Sarah. Seulement
-de costumes/, et
+de costumes, et
-positions respectives, La
+positions respectives. La
-de Porthgënnà que
+de Porthgenna que
-de l’en* droit : <t Quand
+de l’endroit : « Quand
-changer d’^ir, lui
+changer d’air, lui
-était ?» Et
+était ? » Et
-répondant ; «’Certes, je m’en doutais..,, mais
+répondant : « Certes, je m’en doutais... mais
-cette époque,, ce
+cette époque, ce
-votre état..,. On
+votre état... On
-grossesse 1... Et
+grossesse !... Et
-pas vrai? Bon
+pas vrai ? Bon
-l’enfant ?...» Puis
+l’enfant ?... » Puis
-côté d’eu* pendant
+côté d’eux pendant
-le point; d’éclater,
+le point d’éclater,
-de Porthgënnà, elle
+de Porthgenna, elle
-feront oublier Mais
+feront oublier... Mais
-ces quatremots sur
+ces quatre mots sur
-: «: 11 est trop tard!..,» Cinq
+: « Il est trop tard !... » Cinq
-cet c il
+cet « il
-terrible aveu.... de
+terrible aveu... de
-par sou impérieuse
+par son impérieuse
-ses entrailles.... —
+ses entrailles... —
-ans I murmura
+ans ! murmura
-Quelle pitié!... Cinq longues annéeâ étrangère
+Quelle pitié !... Cinq longues années étrangère
-cœur f
+cœur !
-LE SEGRET. 357 / ; —
+—
-le vieil* lard, ces années d’isolement r ces
+le vieillard, ces années d’isolement, ces
-de Tenfant qui grandissait,... sans
+de l’enfant qui grandissait... sans
-même moi , dans
+même moi, dans
-! cc Mieux
+! « Mieux
-l’oreiller ! sa
+l’oreiller sa
-Secret fatal.... —Eh quoi! me répondait-elle, lerévé: 1er au
+Secret fatal... — Eh quoi ! me répondait-elle, le révéler au
-à moi? le
+à moi ? le
-à ! l’enfant
+à l’enfant
-pour moi? Fallait-il
+pour moi ? Fallait-il
-mère même,- elle
+mère même, elle
-la ; faute maternelle? Vous
+la faute maternelle ? Vous
-vous l Son!*• gez à
+vous ! Songez à
-a menée , à
+a menée, à
-? Com: ment, désormais,
+? Comment, désormais,
-de tendresse?... 5 —Yous ne
+de tendresse ?... — Vous ne
-quittée ainsi? s’écria
+quittée ainsi ? s’écria
-avant : de
+avant de
-de plus.... Ohl non,
+de plus... Oh ! non,
-l’avez ipas quittée,
+l’avez pas quittée,
-pensée l pénible? a j L’oncle
+pensée pénible ? » L’oncle
-tête. V « Eh I quelles
+tête. « Eh ! quelles
-quelque ^ chose
+quelque chose
-attristé. : —Lenny, vous entendez?.,.. Il
+attristé. — Lenny, vous entendez ?... Il
-vous laisse,... î vous et l’enfant.... Il
+vous laisse... vous et l’enfant... Il
-vers elle.... sans cela, >ces derniers
+vers elle... sans cela, ces derniers
-le cœur.... a • Tandis
+le cœur... » Tandis
-son siège. T Won.... pas
+son siége. « Non... pas
-l’oncle Joseph.... Elle
+l’oncle Joseph... Elle
-bien ’ recommandé
+bien recommandé
-partant. <r Ce
+partant. « Ce
-suis horsd’éî tat de rien supporter.... Donnez-moi
+suis hors d’état de rien supporter... Donnez-moi
-pour rev trouver quelques forces, a —* Alors retournez-y vïms-mêmel s’écria Rosamond.... Pour r l’amour
+pour retrouver quelques forces. » — Alors retournez-y vous-même ! s’écria Rosamond... Pour l’amour
-sans retai’d!... faites
+sans retard !... faites
-qu’elle \ n’ait
+qu’elle n’ait
-prêté ; l’oreille
+prêté l’oreille
-sur ! mon sein,... Dites-lui,.., ohl non, non.... les
+sur mon sein... Dites-lui... oh ! non, non... les
-tels sentiments.... Approchez!..» approchez,
+tels sentiments... Approchez !... approchez,
-plus autrement).... Approchez par ici!.*. Embrassez
+plus autrement)... Approchez par ici !... Embrassez
-enfant
+enfant !... embrassez ’’
-M" 7 " P Ilil •• /> A"*• l>• ^tW^t^TwN + -1" ï" ^ .•t T /: 358 LË SECRET, enihrassez son petit-filg.v.embrassez-]e: sur
+son petit-fils... embrassez-le sur
-mon cœur,.,. Et
+mon cœur... Et
-bien vife, retournez b, son
+bien vite, retournez à son
-dire ?iutrg ç]aose que peci : je donné
+dire autre chose que ceci : « Elle m’a donné
-vous » iJ , .. . . -*’ \ CHAPITRE IV, La
+vous ’’porter ! » === CHAPITRE IV. — La
-jour. , . • * ’ La
+jour. === La
-arriver l’aurore; et pette aurore
+arriver l’aurore ; et cette aurore
-M. Mxon, invité
+M. Nixon, invité
-Léonard. Ayant la fia de
+Léonard. Avant la fin de
-d’achat ^e Port&genna-TQWer, et
+d’achat de Porthgenna-Tower, et
-à Bay&water un
+à Bayswater un
-chargé d’annonce? qu’il
+chargé d’annoncer qu’il
-dans l’après^ midi , rendre
+dans l’après-midi, rendre
-Andrew Treverton,: pour
+Andrew Treverton, pour
-feu s^^ , Vers mictt, l’oncle
+feu son frère. Vers midi, l’oncle
-malade. Çe fui} aveq une
+malade. Ce fut avec une
-qu’il décriyit, à
+qu’il décrivit, à
-la ïneçveilleuse amélioration
+la merveilleuse amélioration
-sa nièpei qu’il
+sa nièce depuis qu’il
-soir, la message
+soir, le message
-Il déplars qu’immédialiement après
+Il déclara qu’immédiatement après
-personne ras(séréné§, fortifiée, rajeuni^ ;
+personne rassérénée, fortifiée, rajeunie ;
-avait pro* curé le sqmmeil les plus long, \e pins paisible et lp plus
+avait procuré le sommeil le plus long, le plus paisible et le plus
-bien dqs années
+bien des années
-enfin, syinpr tfyçne décisif det 1$ victoire obtenue, qne la tonne influença de ce inessagç b^ni avait
+enfin, symptôme décisif de la victoire obtenue, que la bonne influence de ce message béni avait
-n’y avait* pas plus d*une heure, p^r Je médecin
+n’y avait pas plus d’une heure, par le médecin
-tout cepi avec grande reconnaissance; mais çllçsemblait, PrC)îe fc
+tout ceci avec grande reconnaissance ; mais elle semblait, en proie à
-r Lh, t*’ t:* LE SECRET. 359 j quelque
+quelque
-demi-attention. Qu&n4 elle
+demi-attention. Quand elle
-son jpari et
+son mari et
-nonobstant ].a résistance
+nonobstant la résistance
-cette étrange; sensation.
+cette étrange sensation.
-se .rencontrant à l’improyiste, et se reconnaissait par
+se rencontrant à l’improviste, et se reconnaissant par
-de ÇQpger à
+de songer à
-passerait çntrg elles, cette rem contre n’eût; été,
+passerait entre elles, cette rencontre n’eût été,
-que Je résultat
+que le résultat
-du Secret, Mais,
+du Secret. Mais,
-des chçses, l’atteste, l’in* quiétude, le§ triâtes r^çits du
+des choses, l’attente, l’inquiétude, les tristes récits du
-qui a.vaient rempli
+qui avaient rempli
-de RqsajnQnd, caractère tout d’él&n, 4e subites in?r pulsions, une
+de Rosamond, caractère tout d’élan, de subites impulsions, une
-d’influence accablant. Dans
+d’influence accablante. Dans
-ne f$t 4e tendresse et ge pitié sincères ppur la mère qijj lui gfàiÇ rendue? ;
+ne fût de tendresse et de pitié sincères pour la mère qui lui était rendue ;
-elle éprou* vait maintenant
+elle éprouvait maintenant
-peu b peu, à, mesure
+peu à peu, à mesure
-son vienx g^ide arrivaient
+son vieux guide arrivaient
-malaise réelT Au
+malaise réel. Au
-elle put le chagrin 4e se sur* prenne cherchant
+elle eut le chagrin de se surprendre cherchant
-quels piatp il
+quels mots il
-quelle contenance.il fondât garder, quels, gestes
+quelle contenance il faudrait garder, quels gestes
-tout çoinmesi eUe allait se. présente? à uneperr sonne absolument
+tout comme si elle allait se présenter à une personne absolument
-faire question, La
+faire question. La
-rencontrèrent, un© fois
+rencontrèrent, une fois
-Sortant 4’we petite çhainhre inoçcu-r pée ^u fond, dn yestibule, il s’avança, vers en?, Qt sollicita quelque? minutes d’çntretien ave.ç çaistress Ftffflkl&ld. L’oncle
+Sortant d’une petite chambre inoccupée au fond du vestibule, il s’avança vers eux, et sollicita quelques minutes d’entretien avec mistress Frankland. L’oncle
-médecin, çaqnja l’e$ca,lier pour
+médecin, monta l’escalier pour
-à & ntèçe la
+à sa nièce la
-le monty gaie^nt, et, aveç une
+le monta gaiement, et, avec une
-pu Iqï envier un homine chargé
+pu lui envier un homme chargé
-moitié purins 4’^nnées : psVce qu’elle v^ pins mal? Est-ce (me ma visite pçut M faire cqurir quelques 4^ngers’? dçm^nw RQsampn4î W le doçtenr confluait 4ans ù P^ite pjèce inoccupée. Tout contraire, réponditril. Elle beaucoup
+moitié moins d’années : « Est-ce qu’elle va plus mal ? Est-ce que ma visite peut lui faire courir quelques dangers ? demanda Rosamond, que le docteur conduisait dans la petite pièce inoccupée. — Tout au contraire, répondit-il. Elle est beaucoup
-ce matini et
+ce matin, et
-principalement 4ue & l’influence
+principalement due à l’influence
-d’un mess^gç qu’eile a reçu Je von?, iiier au soir, justement, cette décQuve?te
+d’un message qu’elle a reçu de vous, hier au soir. C’est justement cette découverte
-i’VT"F»"»-f;: ^ .f, " ’ S 360 LË SECRET, qui
+qui
-peu s’efface- En
+peu s’efface. En
-à coup,l’étonna par
+à coup, l’étonna par
-entendu - employer làhaut. Si
+entendu employer là-haut. Si
-ce point.... Pourriez-vous
+ce point... Pourriez-vous
-quelques lumières? —
+quelques lumières ? —
-aujourd’hui Ou demain,
+aujourd’hui ou demain,
-trouver prés de
+trouver près de
-voudrais que, vous
+voudrais que vous
-et 1!entendre, pendant
+et l’entendre, pendant
-essayé, quan" à
+essayé, quant à
-venu, SOH d’obtenir
+venu, soit d’obtenir
-le déter-*
+le détermine,
-* LE SEGRET. 361 mine, ou
+ou
-mais surtout^* à
+mais surtout à
-santé. Tous sentez-vous
+santé. Vous sentez-vous
-à riquer l’expérience? »
+à risquer l’expérience ? »
-consacrer tout, entière
+consacrer tout entière
-même. Elle est préparée.... et
+même. « Elle est préparée... et
-Rosamond. . —
+Rosamond. —
-fit halte* Elle
+fit halte. « Elle
-là 1... dit-il
+là ! dit-il
-avec émotion.... Je
+avec émotion... Je
-entrer seule..,. Il
+entrer seule... Il
-à tête..,. Je
+à tête... Je
-vous deux.... Je reviendrai bientôt,,.. Entrez!.., que
+vous deux... Je reviendrai bientôt... Entrez !... que
-vous î.,. »
+vous !... »
-d’étendre lamain pour
+d’étendre la main pour
-aussitôt. k Elle
+aussitôt. Elle
-entra. Ml’aspect intérieur
+entra. Ni l’aspect intérieur
-•f J\.Sp; /i , f-* J | 362 LE SECRET; qui
+qui
-dans d’êtres pirçpn^anqes, ?inrçtit arrêté
+dans d’autres circonstances, aurait arrêté
-sur ellç la moindre impres* sion. Du
+sur elle la moindre impression. Du
-reposait gnr ces preillers, et
+reposait sur ces oreillers, et
-brûlante rougetir, Sa mère £LVait-elle donc
+brûlante rougeur. Sa mère avait-elle donc
-de regarder? Ce
+de la regarder ? Ce
-tout l’embuas, tputç j’^ésit^qn quant au* parples à
+tout l’embarras, toute l’hésitation quant aux paroles à
-quant ^ là conduite ^ tenir, qiii jusqu’alors ^vaiçnt comme enchaîné.ses généreux instinqts. Elle
+quant à la conduite à tenir, qui jusqu’alors avaient comme enchaîné ses généreux instincts. Elle
-et pps?i sur
+et posa sur
-et tfMe poitrine
+et tiède poitrine
-prématurément vieillie, <r II était grs^nd temps, ma jnère, dit-elle,
+prématurément vieillie. « Il était grand temps, ma mère, dit-elle,
-vous soigne?. * Comme
+vous soigner. » Comme
-de sp$ cœur,
+de son cœur,
-se gonfler; yeux
+se gonfler ; ses yeux
-débordèrent i elle pouvait plus parler, <r Ne
+débordèrent ; elle ne pouvait plus parler. « Ne
-n’ai p&s le
+n’ai pas le
-ici popr vpns causer
+ici pour vous causer
-pénibles émotions.... Ne
+pénibles émotions... Ne
-pleurez pas!.,. rr Et vons, ne
+pleurez pas !... — Et vous, ne
-ainsi !.... Chut l nia mère, taisez^ vous!..Je ne
+ainsi !... Chut ! ma mère, taisez-vous !... Je ne
-pleurer 91 j§ ypus entends me tenjr un
+pleurer si je vous entends me tenir un
-dit Rosainon<|..*< Ou^ïiqps que jipns ayons été
+dit Rosamond... Oublions que nous avons été
-la grâçe de
+la grâce de
-voir grandir.,.. Dites ; c Ros?tmpn4, ? e^ gu^tq^ demandez-moi
+voir grandir,... Dites : « Rosamond, » et surtout, demandez-moi
-quelque qhosç. Î> Parlant stinsi, elle aryacljiait, dans
+quelque chose. » Parlant ainsi, elle arrachait, dans
-élan pasgipnné, les
+élan passionné, les
-son èhapean, et, le jetait sur le çié^e le plus prpçhe : ç Tenez I,,, voici, sur table, votre limonade..,. pites-inpi • ce Rosamond, donnez^mpi ce verre, a Dites Qeg mots Amplement, m mère».. Pites-le§, gomme je
+son chapeau, et, le jetant sur le siége le plus proche : « Tenez !... voici, sur la table, votre limonade... Dites-moi : « Rosamond, donnez-moi ce verre. » Dites ces mots simplement, ma mère... Dites-les, comme sachant d’avance que je
-obéir. ? La
+obéir. » La
-dictait, giais elle
+dictait, mais elle
-sans assurance.... elle
+sans assurance... elle
-comme jétonnée, avec
+comme étonnée, avec
-sourire triste.... pt en
+sourire triste... et en
-Rosamond ayee une lenteur particulière.*.» prolongeant
+Rosamond avec une lenteur particulière... prolongeant
-LE SECRET. 303 j d Votre
+« Votre
-heureuse... • votre
+heureuse... votre
-m’avez envpyé, ce lî^iser que
+m’avez envoyé, ce baiser que
-pour moi..., ditTplle ensuite, quand Rosa^pnd, après
+pour moi... dit-elle ensuite, quand Rosamond, après
-se fu| assise-à son phevet, où
+se fut assise à son chevet, où
-bougeait plus...» Yotre parçjoji m’arrivait
+bougeait plus... Votre pardon m’arrivait
-si tendre.... G’est lui
+si tendre... C’est lui
-le qpurage de voug parler
+le courage de vous parler
-maintenant... Pg-jit-.être aussi jnon 7 mal m’a-t-il changée,,., Le fait e$t que
+maintenant... Peut-être aussi mon mal m’a-t-il changée... Le fait est que
-sens jii effrayée
+sens ni effrayée
-je dey^s l’être, #ie semblaitril, après
+je devais l’être, me semblait-il, après
-vous ^écquyert, quand npus nous
+vous découvert, quand nous nous
-première fois..., Je serai feie^tôt, j’espère,
+première fois... Je serai bientôt, j’espère,
-votre enfant.,.. Ressemble-t^l à ce > que
+votre enfant... Ressemble-t-il à ce que
-étiez qu^nd vo$s avie? son âge?-* S’il vpiis ress^nible, il
+étiez quand vous aviez son âge ?... S’il vous ressemble, il
-remarquablement... re^arqu^î?lemen^M. a Elle
+remarquablement... remarquablement... » Elle
-pas. £ Penser a peci, .je le
+pas. « Penser à ceci, je le
-encore, ajouta* t-elle après un instant.... mais
+encore, ajouta-t-elle après un instant... mais
-point parler..,, ou
+point parler... ou
-je yai§ nie ?ne$tre à
+je vais me mettre à
-et j’a} ^esoiii d’en
+et j’ai besoin d’en
-le chagrin, »
+le chagrin. »
-fille, 1’instinçt invétéré fie l’ordre se m^ifg§fàit encqre le mquyement mécanique (le ges mains
+fille, l’instinct invétéré de l’ordre se manifestait encore dans le mouvement mécanique de ses mains
-le çaomënit d’avant,
+le moment d’avant,
-gants 4o&t elje s’était débarrassée; fléjà sa. mère
+gants dont elle s’était débarrassée ; déjà sa mère
-recueillis ^vep soin,
+recueillis avec soin,
-en parlant^ plie les
+en parlant, elle les
-les roulant enspuible^ probablement
+les roulait ensemble, probablement
-savoir. c Répétez
+savoir. « Répétez
-Ma mèrel dit relie, quand
+Ma mère ! dit-elle, quand
-gants, l’eyt remerciée le§ avoir
+gants, l’eut remerciée de les avoir
-bien arrangé^*. ^ maisjane m par yous ce dçiux nom...» jamais..,, no», jamais;..... p§s une sçule feis depuis le [9^ 0^ vous
+bien arrangés... Jamais je ne m’étais entendu donner par vous ce doux nom... jamais... non, jamais... pas une seule fois depuis le jour où vous
-née. ? ,. . Rosamond
+née. » Rosamond
-nouveau, lu,i montaient
+nouveau, lui montaient
-redit Je mot
+redit le mot
-que l’qg réclamait
+que l’on réclamait
-d’elle. * 1 1 Je. n’ai
+d’elle. « Je n’ai
-besoin d’aut.re bonheur
+besoin d’autre bonheur
-de ypus entendre parler ainsi.,,. Ditesrmpi, çhère enfant, y a-fcU dans le mande entier
+de vous entendre parler ainsi... Dites-moi, chère enfant, y a-t-il dans le monde entier
-femme qni soiç belle que yous, et
+femme qui soit aussi belle que vous, et
-aussi bonne?» Elle s’arrêta ^-dessus, essayant de SQTir-ire, Je
+aussi bonne ? » Elle s’arrêta là-dessus, essayant de sourire. « Je
-plus regarde?, maintenant,
+plus regarder, maintenant,
-roses, continna^trelle, sans
+roses, continua-t-elle, sans
-364 LE SECRET. —
+—
-d’habitude elle, prenait
+d’habitude elle prenait
-? Àh î que
+? Ah ! que
-!... Àh! ina mère!;., n’est-ce
+!... Ah ! ma mère !... n’est-ce
-la peine?... En
+la peine ?... En
-alors, n’avezvous pas
+alors, n’avez-vous pas
-pleuré, dites-moi? — Yous, me
+pleuré, dites-moi ? — Vous, me
-la peine?... Toute
+la peine ?... Toute
-qu’à moi-même.... nullement à vous..,. Chère
+qu’à moi-même... nullement à vous... Chère
-: <z Ne
+: « Ne
-pour elle! y> Sis petits
+pour elle ! » Six petits
-pas davantage.... Mais,
+pas davantage... Mais,
-aviez prononcés!... Et
+aviez prononcés !... Et
-embrasser I... Et
+embrasser !... Et
-nuit 3) à votre enfant!... mon cœur m’étouffait.... Revenue
+nuit » à votre enfant !... mon cœur m’étouffait... Revenue
-vous défendis.... Je
+vous défendis... Je
-contre vous.... J’aurais
+contre vous... J’aurais
-en visière.... Ohl non, non, non.... jamais
+en visière... Oh ! non, non, non... jamais
-à West-Winston.... Ce
+à West-Winston... Ce
-quittai Porthgënnà... Cette
+quittai Porthgenna... Cette
-de , mon maître.... La
+de mon maître... La
-mains, et*votre tète tout
+mains, et votre tête tout
-du capitaine.... Tenez, justement^comme la
+du capitaine... Tenez, justement comme la
-votre sein!... Oh! Rosamond,
+votre sein !... Oh ! Rosamond,
-est bien!... et quel bonheur’..J’entendis la
+est bien !... et quel bonheur !... J’entendis la
-vous disait.... Vous
+vous disait... Vous
-le rappeler; vous
+le rappeler ; vous
-trop jeune;../ Chut! Rosette,
+trop jeune... « Chut ! Rosette,
-pauvre maman!... Pensez
+pauvre maman !... Pensez
-pauvre papa!... Il
+pauvre papa !... Il
-le consoliez!... »
+le consoliez !... »
-fut cruel.... voilà
+fut cruel... voilà
-ma vie..., Moi,
+ma vie... Moi,
-un espion.... et
+un espion... et
-vous, l’en*
+vous, l’enfant
-F LE SECRET. 365 j faut que
+que
-le Secret? Comment
+le Secret ? Comment
-Ne parlous pas
+Ne parlons pas
-passé l... J’en
+passé !... J’en
-aux Myrtes.... Ohl oui,
+aux Myrtes... Oh ! oui,
-conter ceci! > Mise
+conter ceci ! » Mise
-le * cœur
+le cœur
-sa mère , à
+sa mère, à
-elle lafitpasser de
+elle la fit passer de
-les voyages; au
+les voyages ; au
-l’oncle Joseph; au
+l’oncle Joseph ; au
-jusqu’à Porthgënnà.... à
+jusqu’à Porthgenna... à
-mère T écoutait encore,
+mère l’écoutait encore,
-parole nôu-
+parole nouvelle,
-366 tja SÈCRÈT. vellë, quand reviftt i’briclë Josëph. Il rapportait tih pâiiier de
+quand revint l’oncle Joseph. Il rapportait un panier de
-et Un panier dê fruits q[u’il déposa triomptiâlëîiiént au pie$ dii îit de sa îiièce. <r Je èiïiS allé ïâé chàuffef M peu
+et un panier de fruits, qu’il déposa triomphalement au pied du lit de sa nièce. « Je suis allé me chauffer un peu
-chère enfant j lui dit-il, èt j*ai laissé tout lë tempsriécëséaiireà votre
+chère enfant, lui dit-il, et j’ai laissé tout le temps nécessaire à votre
-pour ijù’ëlîë redevînt këiifëusë. C’efct ainsi <jtië je
+pour qu’elle redevînt heureuse. C’est ainsi que je
-voulais toif, à iiioii retour, ëfc qu!è jjè Veux là Voir, désormais,
+voulais voir, à mon retour, et que je veux la voir, désormais,
-la fm de inâ vie:.- Âh, SârâhL.. vous
+la fin de ma vie... Ah, Sarah !... vous
-nierez pâs.... C’est moi ijili Votté ai trÔtLvé lë vrài médecin, âjoutâ-iril gaieinenti désignant Rbsàmôfld du regard.... Elle vêtis à déjà rémisè enBdiihé Voië.... boiiiiéi-ltii UH peu
+nierez pas... C’est moi qui vous ai trouvé le vrai médecin, ajouta-t-il gaiement, désignant Rosamond du regard... Elle vous a déjà remise en bonne voie... Donnez-lui un peu
-et cé doctëUMà Voué tifcèra détfotrélit, ies deux joues âussi rôsës, lë ôteUr âtisàf, légêr, là iàiigttë aussi àlértë que mës jduës, montiûeurët ihà iàûgitë..,. Ëëgârdèz-miii iih peu
+et ce docteur-là vous tirera de votre lit, les deux joues aussi roses, le cœur aussi léger, la langue aussi alerte que mes joues, mon cœur et ma langue... Regardez-moi un peu
-belles fléurs êi ëëé bbnfc friilife qiië jë vous ài âchétés.... toiïà dë 4uôi réjouir vo^ yéûx ët votrë ùèz àusâi.... puië, ce
+belles fleurs et ces bons fruits que je vous ai achetés... Voilà de quoi réjouir vos yeux et votre nez aussi... puis, ce
-vaut miëiix, vôtrë Boticîie.,.. ËJ est aujourd’hui fêté en
+vaut mieux, votre bouche... C’est aujourd’hui fête en
-il fàut qû’il brille, brillé, btillè— air ! ffiaià..„cônmië s’il était doré.... Puis vôtre dîner <iui ta venir.... Je
+il faut qu’il brille, brille, brille... ah ! mais... comme s’il était doré... Puis votre dîner qui va venir... Je
-vu sttf le jjîâtëâu.î;, vlîl kikiîxrt dë pôulëi, gras Bomîhô ûû chérubin.... Et puis vôitâ fërez iiii bôiï pëtit sbmnlë, i[Ue bêrcëra là Berceuse de nôtfrë àuit Mbzart.,.. ët sur îôqtiéï jé yëillëfâi.... jusqu’au motnëiit ôù il fàudïâ descendre chercher îé thé dë mâ petite nièce, lâ^ttëllë âtirà foUvëtt seâ beaux yeui.... Ah f mon
+vu sur le plateau... un amour de poulet, gras comme un chérubin... Et puis vous ferez un bon petit somme, que bercera la Berceuse de notre ami Mozart... et sur lequel je veillerai... jusqu’au moment où il faudra descendre chercher le thé de ma petite nièce, laquelle aura rouvert ses beaux yeux... Ah ! mon
-la bëllë dhôéeqtiëd’êtré ènfinàrrivéâ àce joùrdè fête!... Lëâ âéûï ïriàinsî plèînès dë fleuïs, ët jetant à Rdsamond un rëgàrd Brillânt, il
+la belle chose que d’être enfin arrivés à ce jour de fête !... » Les deux mains pleines de fleurs, et jetant à Rosamond un regard brillant, il
-décorer là chàmire à Sà guiëë. Quant, à Sa niècë, ûtiài ijuand elle l’àvaxt remercié dë sèS : présents, elle ù’âvàit pas cesëé, tout le témps qu’il
+décorer la chambre à sa guise. Quant à sa nièce, sauf quand elle l’avait remercié de ses présents, elle n’avait pas cessé, tout le temps qu’il
-de coùtômpléï le
+de contempler le
-de sà fille
+de sa fille
-rassasiait pfoint. Et,
+rassasiait point. Et,
-le Bon vièiïlard eut fini dë BâVar’déf, lès premières paroles qu’éïlë îjrôÊdnça furent pour Rosâmohd toute sëule; i Pendant
+le bon vieillard eut fini de bavarder, les premières paroles qu’elle prononça furent pour Rosamond toute seule. « Pendant
-je jbtiîs ici dé mon enfant, lui, dit-elle, je toilà garde impftûyablëmënt loin du vôtre, fit je devrais pfourtant êtrè là derHiètë à voiis teflir ainsi
+je jouis ici de mon enfant, lui dit-elle, je vous garde impitoyablement loin du vôtre. Et je devrais pourtant être la dernière à vous tenir ainsi
-longtemps. RetdtirÈtèz donc, ma dhère, prés dë votre
+longtemps. Retournez donc, ma chère, près de votre
-fils. Lâfs&z-moi, aù milieu dë mës douces
+fils. Laissez-moi, au milieu de mes douces
-au bonheur- t|uî iûi’atÈeiid désormais.
+au bonheur qui m’attend désormais.
-ce qu’éïïë voiis dit ïà, rëpritTdfiële foffëjtà, àvànt qtié Rosamond eût jpu répondre..,. Le
+ce qu’elle vous dit là, reprit l’oncle Joseph, avant que Rosamond eût pu répondre... Le
-lui Ûiït du rëp’os le
+lui faut du repos le
-comme iiL i
+comme du repos la nuit.
-^ 1 1 ^...f^i • H JJL/r 1 ^ Ï.É SECRET§61 rëpôs lâ fLuit. Et tàmmênî obtiëûdrài-jé qu’elle fetme les
+Et comment obtiendrai-je qu’elle ferme les
-là poûr les lui tenifr otiterts â vous
+là pour les lui tenir ouverts à vous
-La tëhtàtion seMt tfôjp irrésistible, i Rosâihond Comprit la jùStesëë de tê coïiseil, et Consentit à fëtouriier à
+La tentation serait trop irrésistible. » Rosamond comprit la justesse de ce conseil, et consentit à retourner à
-pour quëlquës hetires, sotts condition expressé que, dàfis là sôirée, elle vieùdfait reprendre sâ place aù Chevet ihàternel. Cet arrâhgëmènt convënù, ëllè attendit
+pour quelques heures, sous condition expresse que, dans la soirée, elle viendrait reprendre sa place au chevet maternel. Cet arrangement convenu, elle attendit
-parlé î’onclé Joseph,
+parlé l’oncle Joseph,
-le bdh vieillard â obtenir
+le bon vieillard à obtenir
-malade qù’ëllë voulût biën f faire honhëuf. Lorsque
+malade qu’elle voulût bien y faire honneur. Lorsque
-été fehîêté , ët qtiàhd èllé eut
+été enlevé, et quand elle eut
-oreillers dtt lit, îtbsâxhoM, ehfiû, pût se
+oreillers du lit, Rosamond, enfin, put se
-prendre cohgé. Lfes bras de s’à tiièrë sëïhMàiënt hé pouvoir
+prendre congé. Les bras de sa mère semblaient ne pouvoir
-son cou.... La
+son cou... La
-sur là siënhe : a Allëz, ma chérie»., partez maintenant!... Partez
+sur la sienne : « Allez, ma chérie... partez maintenant !... Partez
-suite, où bieri, dëfëiittë égoïste, je në pourrai
+suite, ou bien, devenue égoïste, je ne pourrai
-ne Mt-cë (juë pôur quéiqués frëurès, murmura la doùce vdix, plii& hârffiohiëuse que jamais.,.. Ma Rosamdnd^ à moi!... je hë trôiiirè pas dé mots pôùr vôus bénir.... Je n’en trdtivë |oiht qhï puissent
+ne fût-ce que pour quelques heures, murmura la douce voix, plus harmonieuse que jamais... Ma Rosamond, à moi !... je ne trouve pas de mots pour vous bénir... Je n’en trouve point qui puissent
-même fàiblëment, la
+même faiblement, la
-vous dois.... Le
+vous dois... Le
-à ihe ve’Mfc... Mis daffiîfîe il èfattiW éh âÈbhdâfiëè ! i Afâniï de frâhchifr’ le sëuiî de ia pôfte, Rôèâmôncl s’arrêta ët jeta
+à me venir... mais comme il m’arrive en abondance ! » Ayant de franchir le seuil de la porte, Rosamond s’arrêta et jeta
-long regard, ïàbïë, dïëmihéë, et justjh’àtrx pètiteâ grâvtirès aëcrochéeê au ïnûr, resplendissaient dë fleuré brillaûtës. Là ftëtité bôitë à ffiùêiquë commençait
+long regard. Table, cheminée, et jusqu’aux petites gravures accrochées au mur, resplendissaient de fleurs brillantes. La petite boîte à musique commençait
-Joseph âVàit repris àiiprès’dû lit Mû pMë Èffljitùôi, et îë panier de par un source de pàix; îé biën-êtrë ét lé të^ composaient,
+Joseph avait repris auprès du lit son poste habituel, et le panier de fruits était sur ses genoux ; la figure pâle et fatiguée à laquelle l’oreiller servait de cadre était doucement éclairée par un sourire de paix ; le bien-être et le repos, heureusement amalgamés, composaient,
-peut ^etptïrîxef àînsi, là physiônpmie de dette chambre dë ihàladë : èî le tâbïëâù ^u’ëllè offrait
+peut s’exprimer ainsi, la physionomie de cette chambre de malade : et le tableau qu’elle offrait
-l’imagination dôKosariïOiîd k s’égarer pàisibletëtèîrô dahs leë Révisions d’ûn tëîûps plus heuîeux. Trbis heures é’étMÎèfënt. Lâ ÏMpë jourfiée d’été
+l’imagination de Rosamond à s’égarer paisiblement dans les prévisions d’un temps plus heureux. Trois heures s’écoulèrent. La longue journée d’été
-le solëil, à son’ déclift, semblait, dé àës; derniers ràyonhëménts, se fàire ùnè gldiïè derhiérè, îôrsquë kosarnond revînt au
+le soleil, à son déclin, semblait, de ses derniers rayonnements, se faire une gloire dernière, lorsque Rosamond revint au
-Sarah LeéSori,
+Sarah Leeson.
-368 LË SECRET, Elle
+Elle
-la fenêtre était
+la fenêtre, était
-était partie; elle
+était partie ; elle
-endormie. Rosamopd, en
+endormie. Rosamond, en
-place. a Si! sil murmura-t-elle,
+place. « Si ! si ! murmura-t-elle,
-du soir.... N’ayez
+du soir... N’ayez
-réveiller !.,. Sa
+réveiller !... Sa
-la vôtre. Elle
+la vôtre... Elle
-simplement posée.... Je
+simplement posée... Je
-la place.... Yous verrez
+la place... Vous verrez
-pas. * Tout
+pas. » Tout
-sa mère L’oncle
+sa mère. L’oncle
-ambitionnait. c II faut
+ambitionnait. « Il faut
-l’oncle Joseph.... Mais
+l’oncle Joseph... Mais
-lui voudrais.... C lui-ci était
+lui voudrais... Celui-ci était
-Elle parlait.,., elle remuai sans cesse.... Il
+Elle parlait... elle remuait sans cesse... Il
-— Yous laissez
+— Vous laissez
-Non 1... nonl... répliqua-t-il
+Non !... non !... répliqua-t-il
-toute hâte.... qu’elle
+toute hâte... qu’elle
-I „tLE SEGRET. 369 crépuscule
+crépuscule
-la : cheminée.... Je
+la cheminée... Je
-ici auparavant.... Mais
+ici auparavant... Mais
-vaudra. * A ces
+vaudra. » À ces
-la chambre^ Ses
+la chambre. Ses
-les yëux vers
+les yeux vers
-aux Myrtes, Obéissant,
+aux Myrtes. Obéissant,
-de sa. mère
+de sa mère
-d’un rêve...» Les
+d’un rêve... Les
-une fois.... La
+une fois... La
-plus pressée.... La
+plus pressée... La
-à l’aise.... Les
+à l’aise... Les
-demi ; de
+demi : de
-: t Jurez
+: « Jurez
-ce papier!... Jurez
+ce papier !... Jurez
-pas aveo vous,
+pas avec vous,
-maison. * Ce
+maison. » Ce
-que î’oreille de
+que l’oreille de
-haut. Où. donc ?... où? disait
+haut. « Où donc ?... où ? disait
-la bibliothèque? dans
+la bibliothèque ? dans
-la table?... Arrêtez
+la table ?... Arrêtez
-arrêtez I... dans
+arrêtez !... dans
-du fantôme?... » LR SECBET. 24 4
+du fantôme ?... »
-370 , LE SECRET. f Ces
+Ces
-un mour • * ’ ’ ’ 4 " vement d’alarme..., se
+un mouvement d’alarme... se
-l’instant d? après, et
+l’instant d’après, et
-vers l’oreille?* Mais
+vers l’oreiller. Mais
-tard ; sa
+tard : sa
-et saccadé.... Sarah tressaillit, poussia un
+et saccadé... Sarah tressaillit, poussa un
-terreur, nne sueur
+terreur, une sueur
-front. <r Mère! s’écria Rosamond, }a soulevant sur l’oreiller.... Me
+front. « Mère ! s’écria Rosamond, la soulevant sur l’oreiller... Me
-reconnaissez-vous point? Mère? répéta
+reconnaissez-vous point ! — Mère ? répéta
-de l’interrogation.... Mère? * Ce
+de l’interrogation... Mère ? » Ce
-: . Oh
+: « Oh
-dit-elle. §i j’avais
+dit-elle. Si j’avais
-de umn réveil,
+de mon réveil,
-tôt reconnue.,.. en
+tôt reconnue... en
-mon rêve.... M’avez^yous réveillée, paon enfant,
+mon rêve... M’avez-vous réveillée, mon enfant,
-de mpiTmême? ^ Je
+de moi-même ? — Je
-d’avoir & m’en
+d’avoir à m’en
-mère. Ne
+mère. — Ne
-de <r crainte, a mon enfant* Je me réveille* rais avec
+de « crainte, » mon enfant. Je me réveillerais avec
-ait gpftté, pour
+ait goûté, pour
-dire ; c Maman, ^p’ailleurs vous
+dire : « Maman. » D’ailleurs vous
-de la, terreur
+de la terreur
-un 4e mes affreux rêves.,,. Oh
+un de mes affreux rêves... Oh
-suis ponvaincue que je vivras heureuse
+suis convaincue que je vivrais heureuse
-pensée Jqs, souvenirs de Porthgenna-Tower.... oublier
+pensée les souvenirs de Porthgenna-Tower... oublier
-ma ïn^îtreçse est morte.... et
+ma maîtresse est morte... et
-la lettre*... i f ’ • —
+la lettre... —
-m’en croyez.... Parlons
+m’en croyez... Parlons
-j’ai vécu,... et pù yous n’avez jamais passé.... ou
+j’ai vécu... et où vous n’avez jamais passé... ou
-mère, youlez-^vous qUe je
+mère, voulez-vous que je
-quelque cliQSi^?... Avez^vQua ici
+quelque chose ?... Avez-vous ici
-vous plaise? a Elle
+vous plaise ? » Elle
-quelques-unes dos fleurs
+quelques-unes des fleurs
-boîte -à ou-? yrage, de fçrme oblongue-Elle regarda ensuite. Ift commode
+boîte à ouvrage de forme oblongue. Elle regarda ensuite sur la commode
-derrière elle; il
+derrière elle ; il
-du 4u Uti
+du côté du lit,
-J LE SEGRET. 371 elle
+elle
-fin. c Oublier I... Ahl oui!... si
+fin. « Oublier !... Ah ! oui !... si
-pouvais oublier! dit
+pouvais oublier ! dit
-sa -mère,, qui
+sa mère, qui
-petits co ups le
+petits coups le
-quelque ouvrage? demanda
+quelque ouvrage ? demanda
-lui montrait la
+lui montrant la
-boîte oblongue, »
+boîte oblongue. »
-chaque jour, * Quel
+chaque jour. « Quel
-ce mç ment?... PeuUon voir ?» ; La
+ce moment ?... Peut-on voir ? » La
-perdit ga physionomie
+perdit sa physionomie
-et oomme affaissée, Un
+et comme affaissée. Un
-l’éclairer. * Je
+l’éclairer. « Je
-vous êtçg venue
+vous êtes venue
-dans çette petite boîte. " Ouvrez-la, ma çhère, et regardez*^! » Ros&mond, pour
+dans cette petite boîte. Ouvrez-la, ma chère, et regardez-y ! » Rosamond, pour
-se déranger , pût
+se déranger, pût
-était très^fatiguée. C’était
+était très-fatiguée. C’était
-suivante i * Ce
+suivante : « Ce
-à Safah Leeson, Sonné Hugh polwheal. * a: Regardez
+à Sarah Leeson. Donné par Hugh Polwheal. » « Regardez
-sa mèret,.. H ne
+sa mère... Il ne
-plus l’oublier,... Quand
+plus l’oublier... Quand
-vos çhèreg mains, çe petit
+vos chères mains, ce petit
-mon QÇBUP immpbile..,* Entre
+mon cœur immobile... Entre
-vous ine ferez
+vous me ferez
-cette fpsse du
+cette fosse du
-si long^ temps, si
+si longtemps, si
-Les autre? objets
+Les autres objets
-appartiennent, Rosamond, Ce
+appartiennent, Rosamond. Ce
-enlevés gà et
+enlevés çà et
-moi Revenu désert.,;, Peut-être, dan? bien
+moi devenu désert... Peut-être, dans bien
-vos beauï cheveu* bruns
+vos beaux cheveux bruns
-la couleun des
+la couleur des
-leur ïnontrer ces
+leur montrer ces
-si précieuses, Et ne peignez pas
+si précieuses. Et ne craignez pas
-372 LE SECRET. i combien
+combien
-pour elle.... La
+pour elle... La
-livre d’hymnes; elle Touvrit, et
+livre d’hymnes ; elle l’ouvrit, et
-à West-Winston.... Lorsque
+à West-Winston... Lorsque
-que moi.... Je
+que moi... Je
-aussi dans, la
+aussi dans la
-vos rubans.... un
+vos rubans... un
-peur. * Elle
+peur. » Elle
-le papier , le
+le papier, le
-la table , et
+la table, et
-aucun mérite; comme
+aucun mérite ; comme
-quelques mots’crayonnés en
+quelques mots crayonnés en
-vue. * <c Certes,
+vue. » « Certes,
-cela, repris Sarah; mais
+cela, reprit Sarah ; mais
-d’elle. a La
+d’elle. » La
-Rosamond, dit-elle.... Je
+Rosamond, dit-elle... Je
-de journal.... et
+de journal... et
-ce jour-là.... Si
+ce jour-là... Si
-votre marL... mais
+votre mari... mais
-pas accordé.... et
+pas accordé... et
-à supporter.,.. Je
+à supporter... Je
-itLE SEGRET. 373 pas
+pas
-cahier d’écriture.... Voire bonne,
+cahier d’écriture... Votre bonne,
-feuillet. Voyez!,., vous
+feuillet. Voyez !... vous
-vos lettres.... rien
+vos lettres... rien
-des liaisons.... hélas! que
+des liaisons... hélas ! que
-suis demeu- rée en
+suis demeurée en
-plume rebelle!... Je
+plume rebelle !... Je
-j’ai pleuré-sur ce
+j’ai pleuré sur ce
-mis ensemble, »
+mis ensemble. »
-bientôt naître.... Qu’elles
+bientôt naître... Qu’elles
-du couchant!... Combien
+du couchant !... Combien
-du jour! Quand
+du jour ! Quand
-dernier lieu, a: Cette
+dernier lieu. « Cette
-jamais . ne mé taquinait,
+jamais ne me taquinait,
-autres gens.... Sa
+autres gens... Sa
-pour moi-pouvait lui
+pour moi pouvait lui
-sa place.... Ma
+sa place... Ma
-la nursery; elle
+la nursery ; elle
-ma * place.
+ma place.
-pour moi/... Mais
+pour moi !... Mais
-ma complice.... Bien
+ma complice... Bien
-maîtresse m croyait
+maîtresse me croyait
-ma chambre , clouée
+ma chambre, clouée
-je vo ai
+je vous ai
-« Bon nuit.» Vous
+« Bonne nuit. » Vous
-me préfériez, votre bonne mais jamais , cependant,
+me préfériez votre bonne... mais jamais, cependant,
-à contre moi.,., Jamais TOUS ne
+à fait contre moi... Jamais vous ne
-je
+je vous
-r â74 LË SËCRÉT. demandais
+demandais
-baiser, dé poser sur lés miennes VOS lèvres rieuses.... a Rosamond
+baiser, de poser sur les miennes vos lèvres rieuses... Rosamond
-sa mère.... «Voyons, chèr^ maman,
+sa mère... — Voyons chère maman,
-d’une voiï insinuante,
+d’une voix insinuante,
-passé !.,. Occupez-vous
+passé !... Occupez-vous
-de l’avenir.... Songez
+de l’avenir... Songez
-tous ôes lointains
+tous ces lointains
-leur amertume..^ au
+leur amertume... au
-lui enseU gnerez à
+lui enseignerez à
-J’essayerai, Rosamond i... mais aoflgez donc
+J’essayerai, Rosamond... mais songez donc
-années, înéâ seules
+années, mes seules
-au ciel..,. Si
+au ciel... Si
-péchés (mô sont
+péchés me sont
-y retrouverons-nous?... Y
+y retrouverons-nous ?... Y
-fille d’autrefois?... celle
+fille d’autrefois ?... celle
-eut cinq ans?... Je lie Serais pas
+eut 5 ans !... Je ne serais pas
-de nôtre longue séparation ici*bas.,.. Je
+de notre longue séparation ici-bas... Je
-figure d’enfant) ’et que
+figure d’enfant, et que
-que Vous auriez
+que vous auriez
-la terre.... un
+la terre... un
-mes bras*^. Si
+mes bras... Si
-ne seraisje pas
+ne serai-je pas
-apprendre Voâ prières..., pour
+apprendre vos prières... pour
-apprises ici?... * Elle
+apprises ici !... Elle
-les y eu* dos, s’abandonna aux rêvés qui
+les yeux clos, s’abandonna aux rêves qui
-encore dans- son
+encore dans son
-à péine rassise.
+à peine rassise.
-visage paisible* y
+visage paisible, y
-bientôt là décroissance
+bientôt la décroissance
-du jour..,* Assurée
+du jour... Assurée
-trompait point j elle
+trompait point, elle
-reflets lumineux* La
+reflets lumineux. La
-arrivée. Âu premier
+arrivée. Au premier
-la malade.... Elle
+la malade... Elle
-indiquer uns absence
+indiquer une absence
-pensantes. Que
+pensantes. — Que
-du ciel?... dit
+du ciel ?... dit
-i...r-. . . / LE SEGRET. 375 où
+où
-se faisait...: Qui
+se faisait... Qui
-dit quë j’irai jamais?... Et
+dit que j’irai jamais ?... Et
-ma maîtresse.... Vous
+ma maîtresse... Vous
-la maison.... J’ai
+la maison... J’ai
-la chambre aux Myrtfes.... mais je né voulais
+la Chambre aux Myrtes... mais je ne voulais
-cacher ailleurs.... Je
+cacher ailleurs... Je
-la maison.... Je n’ai jàmais voulu
+la maison... Je n’ai jamais voulu
-à taon seirment.... —
+à mon serment... —
-ma mère.... Permettez
+ma mère... Permettez
-je mê lève
+je me lève
-flambeaux. » La
+flambeaux. La
-remonta doilcemént le
+remonta doucement le
-jamais. Je
+jamais. — Je
-lettre, disait-elle..., A la
+lettre, disait-elle... À la
-aucun crime...;. Vous Tàtez trouvée,
+aucun crime... Vous l’avez trouvée,
-un portrait?... Un portrait qu’où disait
+un portrait ?... Un portrait qu’on disait
-de Porthgenna.... Personne
+de Porthgenna... Personne
-la date.... ni
+la date... ni
-le mànôir.... Ma
+le manoir... Ma
-avec là sienne
+avec la sienne
-bizarre analogie..,. Ëlle me
+bizarre analogie... Elle me
-peu apfès mon
+peu après mon
-le détruire...! J’eus jpëUr d’obéir..,. Et
+le détruire... J’eus peur d’obéir... Et
-bien avant.votre naissance,
+bien avant votre naissance,
-la chambre aux Myrtes,... Vous
+la Chambre aux Myrtes... Vous
-dû trouvèr la
+dû trouver la
-tableau, Rosamond?,.. N’était-ce
+tableau, Rosamond ?... N’était-ce
-cependant, ttnebônne cachette?... Personne
+cependant, une bonne cachette ?... Personne
-le portrait,... Gomment penser
+le portrait... Comment penser
-? —* Permettez^moi d’allumer, chère ïnèrë.... Je
+? — Permettez-moi d’allumer, chère mère... Je
-— Non.... pas à présent!... Donnez
+— Non... pas à présent !... Donnez
-temps * de
+temps de
-ce coiïi de la chaïnbre.... Soulevez moi tout
+ce coin de la chambre... Soulevez-moi tout
-vous, èt laissez*môi Vous parler
+vous, et laissez-moi vous parler
-bas. » Le
+bas. Le
-se roidit encore
+se raidit encore
-laissait pâfcsër tombaient
+laissait passer tombaient
-la malade, et
+la malade et
-yeux égarés; c: J’attends quelque chôsè qui
+yeux égarés. — J’attends quelque chose qui
-qu’on n’allumé lès flambeaux, murmuraitelle bien bas, èt d’une
+qu’on n’allume les flambeaux, murmurait-elle bien bas, et d’une
-la peur*,.. Là-b&s!,., j> Et
+la peur... Là-bas !... Et
-coin dé 1 chambre
+coin de la chambre
-. I, . . !r Prt^.’ .^lS»-^-^’ , I .1111,I t>. +’ 1 \""• ^ ’ 1 v1 Y w. ’t * v ( K t* T376 LE SECRET. f <r Ma mère.... au
+« Ma mère... au
-Dieu 1 qu’avez-vous?... Qu’est-il
+Dieu ! qu’avez-vous ?... Qu’est-il
-troubler ainsi? —Bien, bien.... dites ainsi: a: Ma mère b Si
+troubler ainsi ? — Bien, bien... dites ainsi : « Ma mère ! » Si
-nous aimons.... Oh! bonne,et tendre , et
+nous aimons... Oh ! bonne, et tendre, et
-enfant 1... Si
+enfant !... Si
-vivre encore!.*. Et
+vivre encore !... Et
-nous deux!... —
+nous deux !... —
-!... Ditesmoi tranquillement,
+!... Dites-moi tranquillement,
-vous troubler.... — Chut.... chut!... je
+vous troubler... — Chut... chut !... je
-vous dire.... Sur
+vous dire... Sur
-lui désobéissais.... Elle
+lui désobéissais... Elle
-me hanter.... Ehl bien, Rosamond!... je lùi ai désobéi.... Elle
+me hanter... Eh ! bien, Rosamond !... je lui ai désobéi... Elle
-sa promesse,... oui,
+sa promesse... oui,
-ce momènt, elle
+ce moment, elle
-sa promesse.... VoyezI... voyez là-bas!... a Son bras gauche,-tandis qu’elle
+sa promesse... Voyez !... voyez là-bas !... » Son bras gauche, tandis qu’elle
-vide. , Voyez !... disait-elle.... Voilà
+vide. « Voyez !... disait-elle... Voilà
-la journée.... avec
+la journée... avec
-pour elle.... avec
+pour elle... avec
-une domestique.... Maîtresse
+une domestique... Maîtresse
-maîtresse l... reposez, enfin!... Le
+maîtresse !... reposez, enfin !... Le
-nous. Reposez!... Mon
+nous. Reposez !... Mon
-m’est rendue.... Reposez à jamais!... ne
+m’est rendue... Reposez à jamais !... ne
-et moi!.,, JD Elle
+et moi !... » Elle
-sa fille.... « Encore, encore!... Appelez-moi; «Ma mère! a lui
+sa fille... « Encore, encore !... Appelez-moi : « Ma mère ! » lui
-tout bas.... Prononcez
+tout bas... Prononcez
-bien haute!... Ils
+bien haute !... Ils
-de moi!... D Rosamond
+de moi !... » Rosamond
-chambre.
+chambre. « ’’
-LE SEGRET. 377 Partie!*., s’écria-t-elle tout
+Partie !... ’’s’écria-t-elle tout
-Oh I Dieu
+Oh ! Dieu
-bon I... Elle
+bon !... Elle
-! J> L’instant
+! » L’instant
-fille. <r Ange
+fille. « Ange
-cœur, murmurait-elle.... que
+cœur, murmurait-elle... que
-réservé 1... »
+réservé !... »
-prononcés, ellç enlaça
+prononcés, elle enlaça
-de Rosamond , qui
+de Rosamond, qui
-de Rosamond.... Il ; e prolongea
+de Rosamond... Il se prolongea
-acheva 50 n œuvre..,, et
+acheva son œuvre... et
-épuisée. CHAPITRE V. Quarante
+épuisée. === CHAPITRE V. — Quarante
-sterling. Un
+sterling. === Un
-les vivants? Quand
+les vivants ? Quand
-n’a jamais , à
+n’a jamais, à
-des morts , c’est l’impê-
+des morts, c’est l’impérieuse
--i^aTur^Tr;- wi—T» 378 LË SECRET, rièusô nécôSsîté de
+nécessité de
-à l’existencô de cens ÇUi leur surviventLa Vie que
+à l’existence de ceux qui leur survivent. La vie que
-Rosamond, sôuS le
+Rosamond, sous le
-de ôèttë lourde
+de cette lourde
-était lâ meilleure
+était la meilleure
-théorie. Aptès <Jûé, malgré là force
+théorie. Après que, malgré la force
-le Choc de
+le choc de
-était vehue lui
+était venue lui
-à peiné retrouvée,
+à peine retrouvée,
-peu â, pfeu à
+peu à peu à
-bien lâ nécessité,
+bien la nécessité,
-de délais; la
+de délais ; la
-de plëurer avec
+de pleurer avec
-peine Commencée était
+peine commencée était
-soirée fatale , il
+soirée fatale, il
-courir audevant de
+courir au-devant de
-terrible vérité; au
+terrible vérité ; au
-à Soutenir le premier âssaùt de la douleur; après
+à soutenir le premier assaut de la douleur ; après
-volonté i tels
+volonté : tels
-de Rosamond; et
+de Rosamond ; et
-en elle-même» Ce
+en elle-même. Ce
-pauvre viëillard une
+pauvre vieillard une
-en jitat de supporter. * Ses
+en état de supporter. Ses
-à jatoaiS amorties
+à jamais amorties
-des ’ heures
+des heures
-parfois d’utte main
+parfois d’une main
-ces joiesv de
+ces joies, de
-LE SECRET. 379 tous ôes chagrins
+tous ces chagrins
-seuls intérêts , les
+seuls intérêts, les
-Lorsque Ëosamond, pour la : première
+Lorsque Rosamond, pour la première
-côtés s*âsseoir et
+côtés s’asseoir et
-consoler Un peu,
+consoler un peu,
-promena Ses yeux
+promena ses yeux
-la botte de
+la boîte de
-: <t Tous
+: « Tous
-à pré! senti*.. Oui, tous.... Frère
+à présent !... Oui, tous... Frère
-aussi, : la nièce SarahI... Il
+aussi, la nièce Sarah !... Il
-au monde.,.. Mozart
+au monde... Mozart
-plus chanter.... Il
+plus chanter... Il
-de tous.... a Le
+de tous... » Le
-se fît en lui aueutt changement appréciable* Le troisième, Rôsâmônd, posant àVéc respect SUr le
+se fit en lui aucun changement appréciable. Le troisième, Rosamond, posant avec respect sur le
-petit voluttie d’Hymûès, fentouré d’une
+petit volume d’Hymnes, entouré d’une
-cheveux, bàisâ pour
+cheveux, baisa pour
-à des adiéui muets; et, , quand
+à ces adieux muets ; et, quand
-suivit RoSâïnofld. A côté
+suivit Rosamond. À côté
-elle l’èut ïâniené àUprès de
+elle l’eut ramené auprès de
-à parlêr de
+à parler de
-à fixer , suivait
+à fixer, suivait
-le Cornouailles.... Puisqu’elle
+le Cornouailles... Puisqu’elle
-de ïàême ?
+de même ?
-cette translatait aux
+cette translation aux
-mari Voulait rester
+mari voulait rester
-des obsèques; elle
+des obsèques ; elle
-moment dé crise
+moment de crise
-380 LE SECRET. f de
+de
-la soumission , les
+la soumission, les
-fini, i{ renouvela
+fini, il renouvela
-protection, saiîs le
+protection, sans le
-d’assiduités importunes , ils
+d’assiduités importunes, ils
-éphémère existence, a Bientôt,
+éphémère existence. « Bientôt,
-ce fapage de
+ce tapage de
-nièce Sarah.... Je
+nièce Sarah... Je
-leur fortune? Ce
+leur fortune ? Ce
-docteur Chennery; et
+docteur Chennery ; et
-tous àes vœux
+tous ses vœux
-LE SECRET. 381 le
+le
-d’éprouver, â la
+d’éprouver, à la
-conviait. ( i ; Tout
+conviait. Tout
-souvenirs ; les
+souvenirs les
-compté : comme
+compté comme
-leur con, fidence, à
+leur confidence, à
-West-Winston, dè lui
+West-Winston, de lui
-chambre auz Myrtes, ! pour
+chambre aux Myrtes, pour
-irrévocable. Il’n’était pas
+irrévocable. Il n’était pas
-s’ouvrit, violem ; ment poussée,
+s’ouvrit, violemment poussée,
-haute taille assez
+haute taille, assez
-plus parla colère,
+plus par la colère,
-contenue, tenait
+contenue, se tenait
-de : l’hôtel. Trois
+de l’hôtel. « Trois
-mistress Frankland.... 1 —
+mistress Frankland... —
-pas che* eux,
+pas chez eux,
-garçon d’hôtel.... Oui,
+garçon d’hôtel... Oui,
-vérité I... que; dès
+vérité !... que, dès
-S82 LE SECRET, me
+me
-de TOUS croire.... Et,
+de vous croire... Et,
-effet, YOUS mentiez I Voici
+effet, vous mentiez ! Voici
-me nomme. Andrew Treverton. * Là-dessus
+me nomme Andrew Treverton. » Là-dessus
-de Léonard; mais
+de Léonard ; mais
-que sou mari
+que son mari
-parole. e A quoi
+parole. « À quoi
-fâcher ainsi? lui
+fâcher ainsi ? lui
-voix basse.... Avec
+voix basse... Avec
-mieux. * Elle
+mieux. » Elle
-garçon, quisî trouva
+garçon, qui se trouva
-: «t Monsieur,
+: « Monsieur,
-chagrins, sur/; venus tout
+chagrins, survenus tout
-hors d ? état d’engager
+hors d’état d’engager
-Soyez tranquille; pour
+Soyez tranquille ; pour
-remis 5 tertio, j’en» tends le
+remis ; tertio, j’entends le
-Qu’en pensez*-vous ?
+Qu’en pensez-vous ?
-repartit Léonard.’... Nous
+repartit Léonard... Nous
-vos mains..,, et
+vos mains... et
-voulussiez la garder. * — Oui-dal,.. Est-ce
+voulussiez le garder. — Oui-da !... Est-ce
-dites là?... reprit
+dites là ?... reprit
-aucune espérance? Ne
+aucune espérance ? Ne
-que / quelque
+que quelque
-la vôtre» ce
+la vôtre ce
-petit capital?,.. Je
+petit capital ?... Je
-douce illusion.... Elle n’at pas
+douce illusion... Elle n’a pas
-réaliser jamais.... Pas
+réaliser jamais... Pas
-tienne Gômpte de
+tienne compte de
-sacrifice hérok
+sacrifice héroï
-\ LE SECRET, ’ 383 que.
+que.
-aux Doctors’ Gommons J’y
+aux Doctors’Commons. J’y
-chez nipû banquier,
+chez mon banquier,
-bon sentiment,*,. C’est
+bon sentiment... C’est
-de çette grpsse fortune
+de cette grosse fortune
-l’autre. —Et je
+l’autre. — Et je
-répète, moi» répliqua
+répète, moi, répliqua
-nous n’ayons aucune
+nous n’avons aucune
-pour pelle de ma femme* tjne d’être
+pour celle de ma femme, que d’être
-cet argent» vous nous faites , à
+cet argent, vous nous faites, à
-pas vrai? dit M. Treverton- C’est
+pas vrai ? dit M. Treverton. C’est
-que vpus me
+que vous me
-avez perdu’cet argent,
+avez perdu cet argent,
-l’ai recouvré?,.. Et
+l’ai recouvré ?... Et
-deux, çi bon lui semblait? demauda-t-il, s’adressant brusquement i Rosamond, —
+deux, si bon lui semblait ? demanda-t-il, s’adressant brusquement à Rosamond. —
-qu’en ’ ce
+qu’en ce
-Treverton • en çe cas, yous n’attachez
+Treverton ; en ce cas, vous n’attachez
-joli capital? —
+joli capital ? —
-repartit Rosamond; c ? est un
+repartit Rosamond ; c’est un
-volontairement. $ M. Trevertpn plaça
+volontairement. » M. Treverton plaça
-portait avec, lui,
+portait avec lui,
-ses genpux, croisa
+ses genoux, croisa
-son mentpn, et,
+son menton, et,
-attitude investigatrice , regarda
+attitude investigatrice, regarda
-Rosamond. (r J’aurais
+Rosamond. « J’aurais
-se disait*} à
+se disait-il à
-avec Cour de judicature ecclésiastique et civile oii sqnt portées, en général» les questiops 3 e trfmsmis^oii fo propriété par voie bérédtt&ire.
+avec
-384 LË SECRET, moi..,. J’aurais
+moi... J’aurais
-vît ceci..,. J’ensuis tout
+vît ceci... J’en suis tout
-que moi.... Ces
+que moi... Ces
-de volume.... et
+de volume... et
-semblent appartenu à
+semblent appartenir à
-plus connu.... Et
+plus connu... Et
-riche d’ua demi-penny. a Il
+riche d’un demi-penny. » Il
-Rosamond. <r Me
+Rosamond. « Me
-de main? * Rosamond
+de main ? » Rosamond
-porte. <r Ne
+porte. « Ne
-Lenny l... lùi dit Rosamond.... Il
+Lenny !... lui dit Rosamond... Il
-volonté. * Treverton,
+volonté. » Treverton,
-l’espèce. c J’ai
+l’espèce. « J’ai
-se disait-il.... J’ai
+se disait-il... J’ai
-de planète et
+de planète, et
-qui l’habitent; mais
+qui l’habitent ; mais
-deux person nages. »
+deux personnages. »
-LE SECRET. 385 • Frankland
+Frankland
-il éta?t parti
+il était parti
-une satia» ^ faction évidente,
+une satisfaction évidente,
-ordre. f Sur
+ordre. Sur
-: •ï Prenez
+: Prenez
-longs remercî1 ments ;
+longs remercîments ;
-ma ’générosité; et,
+ma générosité ; et,
-plus lë moindre
+plus le moindre
-Shrowl. ÀNDHEW TREVERTON. \s La
+Shrowl. ANDREW TREVERTON. La
-réponse. H raconta
+réponse. Il raconta
-lui : rompît
+lui rompît
-mettre la
+mettre à la
-lui. <r Je
+lui. « Je
-domestique èt * LE SECRET 25 i i
+domestique et
-t. • ’ , . , i 386 LE SEGRET. lui avaienî échangé
+lui avaient échangé
-prises ’ de
+prises de
-maître. Aujourdhui, enfin,
+maître. Aujourd’hui, enfin,
-mis k bas.
+mis à bas.
-il trpuvait un auditeur intraitable.... Il
+il trouvait un auditeur intraitable... Il
-aucun m essage...,il ne
+aucun message..., il ne
-ultérieurs, c*est qu’il
+ultérieurs, c’est qu’il
-le mal. qui
+le mal qui
-disait-il, lui, était
+disait-il, lui était
-créatures excep-^ tionnelles, des
+créatures exceptionnelles, des
-départ projeté; mais
+départ projeté ; mais
-jardin ; c Dites
+jardin : « Dites
-vivantes ( ainsi s’exprima
+vivantes (ainsi s’exprima
-que jë revienne
+que je revienne
-r LE SECRET. 387 i k > + CHAPITRE YI. L’aurore
+=== CHAPITRE VI. — L’aurore
-nouvelle. Quatre
+nouvelle. === Quatre
-de Porthgënnà. La
+de Porthgenna. La
-sur ! elle.
+sur elle.
-sur laquelle , par
+sur laquelle, par
-soi qu’elle/n’avait jamais
+soi qu’elle n’avait jamais
-myrtes ; > qui
+myrtes qui
-dressait î de
+dressait de
-gravée l’épij taphe du
+gravée l’épitaphe du
-voix baâse, lisait cette inscripE tion pour
+voix basse, lisait cette inscription pour
-l’oncle î Joseph,
+l’oncle Joseph,
-au [ pied
+au pied
-quand Û la
+quand il la
-il cares^ sait ses
+il caressait ses
-délicates. Ajouterons-nous
+délicates. « Ajouterons-nous
-lettres usées? dît Rosamond
+lettres usées ? dit Rosamond
-sa mort? Je
+sa mort ? Je
-LE SEGRET. —
+—
-du vieillard, «Prenez ma
+du vieillard. « Prenez ma
-sur un
+sur elle un
-cuir mainten bien
+cuir maintenant bien
-il tait mis
+il s’était mis
-Rosamond ïa’ releva,
+Rosamond la releva,
-l’attacha elle-m à
+l’attacha elle-même à
-quand l’on Joseph
+quand l’oncle Joseph
-de soin,
+de ce soin,
-chanter, disait-il.... Il
+chanter, disait-il... Il
-— Non..,* pas
+— Non... pas
-ce monde.... Bien
+ce monde... Bien
-des s lèvres
+des lèvres
-vieillard. «Voilà, dit-il,
+vieillard. « Voilà, dit-il,
-un peu..,Oui, cela
+un peu... Oui, cela
-avec douceur.... Rent ensemble,
+avec douceur... Rentrons ensemble,
-» 11 regardait tristeiaent la fosse *. «
+» Il regardait tristement la fosse : «
-rejoindrai, dit-il; marchez
+rejoindrai, dit-il ; marchez
-: Adieu,
+: « Adieu,
-! * murmura-t-il,
+! » murmura-t-il,
-son mari; elle
+son mari ; elle
-Joseph. Gomme la
+Joseph. « Comme la
-la mer!... Voici,
+la mer !... Voici,
-blanc vif*. . Les
+blanc vif... Les
-I LE SECRET. 389 se
+se
-lettre fatale..,. Jusqu’à
+lettre fatale... Jusqu’à
-existence nouvelle.... Je
+existence nouvelle... Je
-du moins; aussi
+du moins ; aussi
-m’a donnée ? i* —
+m’a donnée. —
-chère amie.... mais
+chère amie... mais
-de lavie :
+de la vie :
-confèrent R AMOUR et
+confèrent l’AMOUR et
-SINCÉRITÉ. 4L y^UF 1-/\ ;U \V FIN. V* *
+SINCÉRITÉ. » FIN.
-TABL MATIÈRES LITRE PREMIER. •r CHÀP. I. Le
+TABLE DES MATIÈRES. Le
-1829 Pages 3 — IL L’enfant,,. , 19 — in. Le
+1829 |section=Chap. I.|largeurs=70 | aligns=left |page=3}} Chap. II. L’enfant 19 Chap. III. Le
-24 LIVRE II. t \ CHÀP. I. Quinze ans après. 35 — II.
+24 {{interligne|2em}} Quinze ans après |section=Chap. I.|largeurs=70 | aligns=left |page=35}} Chap. II.
-de Porthgenna-Tower50 — in. Le
+de Porthgenna-Tower 50 Chap. III. Le
-63 i LIVRE III.CHÀP, I. Timon
+63 {{interligne|2em}} Timon
-Londres 81 — II. Viendront-ils? 96 — ni. Mistress
+Londres |section=Chap. I.|largeurs=70 | aligns=left |page=81}} Chap. II. Viendront-ils ? 96 Chap. III. Mistress
-101 — IV.
+101 Chap. IV.
-113 — V, Un
+113 Chap. V. Un
-137 — VI.
+137 Chap. VI.
-145 . LIVRE IV. CHÀP. I. On
+145 {{interligne|2em}} On
-Secret 153 — II.
+Secret |section=Chap. I.|largeurs=70 | aligns=left |page=153}} Chap. II.
-manoir .. 171 — in. Dans
+manoir 171 Chap. III. Dans
-188 — IV. M, Munder,
+188 Chap. IV. M. Munder,
-suprême * 206 — V.
+suprême 206 Chap. V.
-Mozart c.* 223 i LIVRE V. CHÀP. I. Un
+Mozart 223 {{interligne|2em}} Un
-plan 239 — II.
+plan |section=Chap. I.|largeurs=70 | aligns=left |page=239}} Chap. II.
-246 — III.
+246 Chap. III.
-255 — IV.
+255 Chap. IV.
-268 * \ ’ .JRV„\ .h -•l-v’
+268
-1 * . y * ï .ï . • 392 TABLE DES MATIÈRES. Chap. V. la Chambre
+Chap. V. La Chambre
-278 — VI.
+278 Chap. VI.
-295 LIVRE VI. \ ’ CIIAF. I. L’oncle Joseph . 308 — n. Attente, espérance .325 — III, L’histoire
+295 {{interligne|2em}} L’oncle Joseph |section=Chap. I.|largeurs=70 | aligns=left |page=308}} Chap. II. Attente, espérance 325 Chap. III. L’histoire
-passé •> 341 — IV.
+passé 341 Chap. IV.
-jour . ._•>*•. .•.358 — V.
+jour 358 Chap. V.
-livres sterling.^ *...... .V. •. 377 VI.
+livres sterling 377 Chap. VI.
-nouvelle ï.,. 387 >:î\«Ï y *s\}’’}\> 4 V’/7 ^ • .y •¥ PIN DE LA TABLE* :* 1 .I" i J ’’f»• r Î’. I Îl Coulommiers. — Typographie de A. MOTJ8S1N. ’ <i ’ > / / -T " y, Vr
+nouvelle 387