Page:Angellier - À l’amie perdue, 1920.djvu/226

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VI. 
Si l’on dressait encor, suivant l’antique rite 
 60
VII. 
Oui ! ce pays est beau, de soleil surchargé 
 61
VIII. 
Le vieux jardin désert, rempli d’un bruit d’eaux vives 
 62
IX. 
Sur la terrasse, à l’ombre obscure des platanes 
 63
X. 
Nous restâmes assis, presque silencieux 
 64
XI. 
Je lui lis le récit que j’avais entendu 
 65


III



I. 
Me voici sur les monts aux flancs étincelants 
 69
II. 
Dans les vastes forêts de sapins et de hêtres 
 70
III. 
Splendides reflets bleus des parois des glaciers 
 71
IV. 
Ton visage est plus pâle et ton regard est triste 
 72
V. 
Vois ces monts éternels, le Temps les désagrège 
 73
VI. 
Et c’est pourquoi nous deux qui ne durons qu’une heure 
 74
VII. 
Les châlets sont bâtis de mélèze bruni 
 75
VIII. 
Aux heures du matin, lorsque les ombres bleues 
 76
IX. 
Ô quelle solitude en ce grand val perdu 
 77
X. 
Le soir tombe, partons et marchons dans la nuit ! 
 78
XI. 
Pour notre dernier jour nous allâmes diner 
 79
XII. 
Au pied de sombres pics où croule l’avalanche 
 80
XIII. 
Le grimpeur est debout sur la plus haute cime 
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