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IV
Pages
I.
Mes mots t’avaient blessée et voulaient te blesser
II.
Cœurs épris des amants, bien longtemps vous bravez
III.
Ciel étrange, marbré de vert pâle et de noir
IV.
Te souvient-il, ô toi qui fus ma bien-aimée
V.
Quelquefois le travail, la taciturne étude
VI.
À l’heure poignante où, tout au fond de la plaine
VII.
Je cache à mon ami que mon cœur est en deuil
VIII.
Que le matin est long dans la blanche bourgade
IX.
Ce jour fait de rayons palpitants et d’averses
X.
Toujours je reverrai l’étroit sentier humide
XI.
Elle laissa son cœur se répandre en reproches
XII.
Mais elle était venue avec l’arrêt cruel
XIII.
Ô les profonds, les purs et les divins moments
XIV.
Ce ne fut qu’un instant, car il fallait partir
XV.
Soleil, tu fus vainqueur, ce jour-là, des nuées
V
I.
Depuis les premiers mots timides et tremblants
II.
Où s’en vont tous ceux-ci qui marchent en pleurant