Page:Angellier - À l’amie perdue, 1920.djvu/227

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IV



Pages
I. 
Mes mots t’avaient blessée et voulaient te blesser 
 85
II. 
Cœurs épris des amants, bien longtemps vous bravez 
 86
III. 
Ciel étrange, marbré de vert pâle et de noir 
 87
IV. 
Te souvient-il, ô toi qui fus ma bien-aimée 
 88
V. 
Quelquefois le travail, la taciturne étude 
 89
VI. 
À l’heure poignante où, tout au fond de la plaine 
 90
VII. 
Je cache à mon ami que mon cœur est en deuil 
 91
VIII. 
Que le matin est long dans la blanche bourgade 
 92
IX. 
Ce jour fait de rayons palpitants et d’averses 
 93
X. 
Toujours je reverrai l’étroit sentier humide 
 94
XI. 
Elle laissa son cœur se répandre en reproches 
 95
XII. 
Mais elle était venue avec l’arrêt cruel 
 96
XIII. 
Ô les profonds, les purs et les divins moments 
 97
XIV. 
Ce ne fut qu’un instant, car il fallait partir 
 98
XV. 
Soleil, tu fus vainqueur, ce jour-là, des nuées 
 99


V



I. 
Depuis les premiers mots timides et tremblants 
 103
II. 
Où s’en vont tous ceux-ci qui marchent en pleurant 
 104